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  1. poseidon2

    Yojimbot t1

    Titre de l'album : Yojimbot t1 Scenariste de l'album : Sylvain Repos Dessinateur de l'album : Sylvain Repos Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Japon, 2241. Suite à la « 3e crise de l'homme », la surface de la Terre est devenue inhabitable pour l'être humain. Parmi les ruines, ne restent que des robots. Mais l'un d'eux (un Yojimbot, robot samouraï) tombe inopinément sur Hiro,un jeune garçon, et son père qui cherchent à échapper à une troupe armée. Le Yojimbot se défait de l'escouade et sauve l'enfant. Il va vite comprendre que, de la survie d'Hiro, dépend le sort de l'humanité.... Un premier tome au rythme effréné où les sabres s'entrechoquent au gré de combats dantesques dans une ambiance post-apocalyptique des plus abouties ! Critique : C'est fou car avant ce début d'année je me disais : tiens ça fait longtemps que Dargaud n'a pas sortie une série qui m'accroche vraiment. Et bien au final le COVID doit avoir un lien avec cela car le coup sur coup mes deux lectures sont deux coups de cœur. Et deux complètements différents. Elecboy c'était la perspective et la beauté du trait, Yojimbot c'est le coup de cœur sur le moment. C'est de l'instantané. C'est un thème qui me parle dès l'ouverture du bouquin : post-apo mangaïsant avec des robots samouraïs. Oui ça peut vous paraître cliché mais c'est super bien fait. Vraiment. En quelques pages on a les lois de la robotique qui sont traitées, on a aussi soupçon d'une population faussement retenu enfermé, un robot qui se trouve une quête et un enfant complètement perdu. Très rapidement arrive la comparaison entre les mensonges des hommes et la logique binaire des robots aux yeux d'un enfant. L'attachement d'un enfant à la moindre trace de figure paternelle, tout robotique soit elle. Bref une sublime lecture qui devrait être enjolivé d'un contenu Web, si l'on en croit la dernière page, pour nous permettre de découvrir plus en profondeur l'univers. A lire absolument ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yojimbot-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Décidément, l'actualité du scénariste du Convoyeur est chargée en ce moment puisqu'après la conclusion de son excellent diptyque Psykoparis sortie toute récemment et que j'avais déjà adoré, voici la sortie du non moins attendu tome 2 du Convoyeur, l'une des nouvelles séries qui nous avait le plus impressionné l'année dernière. Rien que ça. Alors si je vous dis qu'en plus M. Armand, le dessinateur est aussi l'homme derrière les excellentissimes Sykes et Texas Jack, et qu'on a là une superbe aventure de post apo, encore plus ambitieuse qu'entrevue dans le tome 1, je vous avoue que je vais avoir du mal à garder ma mesure. Commençons par les bémols : la partie graphique est excellente encore une fois, mais je trouve Le Convoyeur un léger cran en dessous de Sykes en terme d'effet Waouh. Rien de gênant, cette série se plaçant de toute façon en haut des sorties du genre graphiquement. Les couleurs sont belles, l'action est fluide, les découpages soignés, et les personnages aisément identifiables. Et c'est tout pour les bémols. Oui j'ai adoré tout le reste. L'histoire m'a plu. J'ai aimé qu'elle prenne encore plus d'ampleur, et que l'on ai immédiatement envie de relire le premier tome une fois le second bouclé. J'ai aimé l'évolution des personnages. J'ai aimé que l'on soit finalement bousculés dans ce que l'on croyait avoir compris. L'univers présenté est toujours plus fascinant, et je n'ai finalement qu'une hâte : La suite vite !
  3. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 2 - La cité des mille flèches Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour d'une de ses missions, le Convoyeur est attaqué par surprise par la mystérieuse Chasseresse. Il sort vainqueur de l'affrontement, mais renonce à achever son adversaire. Les deux ennemis se croisent à nouveau à la cour du Duc d'Arcasso, où cruauté et dépravation règnent en maîtres. Face à un mal qui les dépasse, Convoyeur et Chasseresse seront-ils capables de s'allier ? Critique : Décidément, l'actualité du scénariste du Convoyeur est chargée en ce moment puisqu'après la conclusion de son excellent diptyque Psykoparis sortie toute récemment et que j'avais déjà adoré, voici la sortie du non moins attendu tome 2 du Convoyeur, l'une des nouvelles séries qui nous avait le plus impressionné l'année dernière. Rien que ça. Alors si je vous dis qu'en plus M. Armand, le dessinateur est aussi l'homme derrière les excellentissimes Sykes et Texas Jack, et qu'on a là une superbe aventure de post apo, encore plus ambitieuse qu'entrevue dans le tome 1, je vous avoue que je vais avoir du mal à garder ma mesure. Commençons par les bémols : la partie graphique est excellente encore une fois, mais je trouve Le Convoyeur un léger cran en dessous de Sykes en terme d'effet Waouh. Rien de gênant, cette série se plaçant de toute façon en haut des sorties du genre graphiquement. Les couleurs sont belles, l'action est fluide, les découpages soignés, et les personnages aisément identifiables. Et c'est tout pour les bémols. Oui j'ai adoré tout le reste. L'histoire m'a plu. J'ai aimé qu'elle prenne encore plus d'ampleur, et que l'on ai immédiatement envie de relire le premier tome une fois le second bouclé. J'ai aimé l'évolution des personnages. J'ai aimé que l'on soit finalement bousculés dans ce que l'on croyait avoir compris. L'univers présenté est toujours plus fascinant, et je n'ai finalement qu'une hâte : La suite vite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-2-la-cite-des-mille-fleches?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Go west young man

    Pour bien prendre en compte la porté de l'œuvre (car oui il faut appeler cela une œuvre) de Tiburce Oger, il faut se dire que je ne suis pas le fan de Western du site. Je dirais même que je suis peut être la cible la moins facile du site. Moi je suis un fan de Tiburce Oger sur Gorn. Et pourtant pourtant.... on ne peut que reconnaitre le travail qui a été réalisé par Tiburce Oger. Ce pourquoi j'ai mis en avant le fait que c'était une œuvre. Car réussir à réunir 17 dessinateurs différents, tous plus bons les uns que les autres, pour nous livrer des mini histoires toutes très denses et très poignantes. Tiburce Oger réussi très intelligemment à balayer tout ce qui a pu être fait sur le Western et à chaque fois avec une histoire bien trouvée. Notre montre passe dans les mains de cowboy, d'indiens, de tuniques bleues, de sudistes, de mexicains ou encore de trappeurs du grand nord. Et chacun des 17 dessinateurs s'est prit au jeu et a donné le maximum pour illustrer sa mini histoire. Le voyage de cette montre est un immense et superbe hommage à ce que le western nous à offert et un gigantesque appel à découvrir ce que la BD peut nous proposer sur le thème. Je regrette de ne pas avoir pris la version deluxe tient !
  5. Titre de l'album : Go west young man Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le parcours sauvage et violentd 'une montre pendant la conquête de l'Ouest.Un western qui sent la poudre et la boue... En quatorze histoires, Go West young man retrace la conquête de l'Ouestaméricain, de 1763 à 1938. Des conflits des grands lacs au désert duMexique, les destins se succèdent. Trappeurs et pionniers, tribus indiennes,desperados et prostituées vont se battre et survivre dans les grandes plaines,les villes champignons et les guerres interminables. Si les grands thèmes sontà l'honneur dans cet album, c'est le côté obscur des Hommes qui ressort,présentant avec un goût amer le rêve américain. Racisme, génocide indien,condition des femmes, guerres et misère. Go West young man est un hommageau western, mais un hommage lucide. Texte : Tiburce Oger. Dessins : Christian Rossi, François Boucq, Patrick Prugne, Hugues Labiano, Michel Rouge, Michel Blanc-Dumont, Félix Meynet, Enrico Marini, Dominique Bertail, Ronan Toulhoat, Benjamin Blasco-martinez, Paul GASTINE, Steve CUZOR, Eric HERENGUEL, TaDuc, Ralph MEYER. Critique : Pour bien prendre en compte la porté de l'œuvre (car oui il faut appeler cela une œuvre) de Tiburce Oger, il faut se dire que je ne suis pas le fan de Western du site. Je dirais même que je suis peut être la cible la moins facile du site. Moi je suis un fan de Tiburce Oger sur Gorn. Et pourtant pourtant.... on ne peut que reconnaitre le travail qui a été réalisé par Tiburce Oger. Ce pourquoi j'ai mis en avant le fait que c'était une œuvre. Car réussir à réunir 17 dessinateurs différents, tous plus bons les uns que les autres, pour nous livrer des mini histoires toutes très denses et très poignantes. Tiburce Oger réussi très intelligemment à balayer tout ce qui a pu être fait sur le Western et à chaque fois avec une histoire bien trouvée. Notre montre passe dans les mains de cowboy, d'indiens, de tuniques bleues, de sudistes, de mexicains ou encore de trappeurs du grand nord. Et chacun des 17 dessinateurs s'est prit au jeu et a donné le maximum pour illustrer sa mini histoire. Le voyage de cette montre est un immense et superbe hommage à ce que le western nous à offert et un gigantesque appel à découvrir ce que la BD peut nous proposer sur le thème. Je regrette de ne pas avoir pris la version deluxe tient ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/go-west-young-man?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Goldorak

    C'est fou la mémoire quand même. Elle filtre tant qu'elle peut mais ne perds pas grand-chose. Pas les souvenirs de Goldorak par exemple. En effet je suis la dizaine juste après Goldorak. Moi mon truc c'était les chevaliers du zodiaque. Goldorak, sortie en 78 en France soit 4 ans avant ma naissance, c'était pour les grands. Je pensais donc lire cet album plus pour la myriade d'auteur plus connus les uns que les autres plus qu'autre chose. Et bim bam boum comme dirait ma fille : dès le début de la lecture de cette suite à Goldorak, il y a pleins d'images qui sont revenus de partout et dans tous les sens. Des images qui doivent venir de quand j'étais tout petit et que mon grand frère regardait Goldorak. Le ranch, les sorties de Goldorak, Arctarus, les Golgoths, les habitants de Vega.... fiou ça m'a rappelé pourquoi on surnommait mon petit frère Golgloth 13... Bref une belle nostalgie soulevée par une sublime BD. Car si les souvenirs remontés furent beaux ça a été possible grâce à une sublime BD. Graphiquement déjà C'est le top de ce qu'on peut voir à l'heure actuelle. Niveau histoire c'est encore mieux car c'est plus adulte que le dessin animé de l'époque avec un traitement complexe des personnages beaucoup moins manichéens qu'avant. Et cela sans parler de la fin qui est... je vous laisserais découvrir si ce n'est déjà fait. On sent bien que nos auteurs sont des fans et qu'ils ont écrit une histoire pour eux. Une "fin" à Goldorak comme ils auraient aimé la voir. Mais ils ne se sont pas contentés de cela. Ils nous ont livré avant tout un vrai bon scenario de BDs qui devrait ravir toute personne ne connaissant pas Goldorak. Un sublime album, une belle histoire et un hommage comme on en voit rarement d'une génération d'européen envers un des maitres de l'animation des années 80. Bref un des musts de l'année !
  7. poseidon2

    Goldorak

    Titre de l'album : Goldorak Scenariste de l'album : Bajram / Dorison / Cossu / Sentenac Dessinateur de l'album : Bajram / Dorison / Cossu / Sentenac Coloriste : Bajram / Dorison / Cossu / Sentenac Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : La guerre entre les forces de Véga et Goldorak est un lointain souvenir. Actarus et sa sœur sont repartis sur Euphor tandis qu’Alcor et Vénusia tentent de mener une vie normale. Jusqu’au jour où, issu des confins de l’espace, surgit le plus puissant des golgoths de la division ruine : Hydragon. Face à lui, les armées terriennes sont balayées et les exigences de la dernière division de Véga sidèrent la planète ; sous peine d’annihilation totale, tous les habitants du Japon ont sept jours pour quitter leur pays et laisser les forces de Véga coloniser l’archipel. Face à cet ultimatum impossible, il ne reste qu’un dernier espoir, le plus grand des géants… Goldorak. Vue par quatre grands noms de la Bande Dessinée, la plus célèbre des séries cultes de la télévision revient. Critique : C'est fou la mémoire quand même. Elle filtre tant qu'elle peut mais ne perds pas grand-chose. Pas les souvenirs de Goldorak par exemple. En effet je suis la dizaine juste après Goldorak. Moi mon truc c'était les chevaliers du zodiaque. Goldorak, sortie en 78 en France soit 4 ans avant ma naissance, c'était pour les grands. Je pensais donc lire cet album plus pour la myriade d'auteur plus connus les uns que les autres plus qu'autre chose. Et bim bam boum comme dirait ma fille : dès le début de la lecture de cette suite à Goldorak, il y a pleins d'images qui sont revenus de partout et dans tous les sens. Des images qui doivent venir de quand j'étais tout petit et que mon grand frère regardait Goldorak. Le ranch, les sorties de Goldorak, Arctarus, les Golgoths, les habitants de Vega.... fiou ça m'a rappelé pourquoi on surnommait mon petit frère Golgloth 13... Bref une belle nostalgie soulevée par une sublime BD. Car si les souvenirs remontés furent beaux ça a été possible grâce à une sublime BD. Graphiquement déjà C'est le top de ce qu'on peut voir à l'heure actuelle. Niveau histoire c'est encore mieux car c'est plus adulte que le dessin animé de l'époque avec un traitement complexe des personnages beaucoup moins manichéens qu'avant. Et cela sans parler de la fin qui est... je vous laisserais découvrir si ce n'est déjà fait. On sent bien que nos auteurs sont des fans et qu'ils ont écrit une histoire pour eux. Une "fin" à Goldorak comme ils auraient aimé la voir. Mais ils ne se sont pas contentés de cela. Ils nous ont livré avant tout un vrai bon scenario de BDs qui devrait ravir toute personne ne connaissant pas Goldorak. Un sublime album, une belle histoire et un hommage comme on en voit rarement d'une génération d'européen envers un des maitres de l'animation des années 80. Bref un des musts de l'année ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bd-goldorak?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Ténébreuse t1

    Arff qu'est ce que cette BD meriterait un coup de coeur ! Tout est en place pour recevoor un coup de coeur : un dessin sublime de Vincent Maillé porté par un scénario intriguant en plein de mystères et de mélancolies à une époque fantastique dans un superbe album à la pagination importante. Bref tout ce que l'on rêve de voir et de lire en BD. Un coup de coeur assuré... s'il n'y avait pas eu Sortilège avant. C'est du pur ressenti bien sur. Mais que ce soit l'ambiance, la coloration, l'heroine et meme le trait de Vincent Maillé, tout m'a rappelé la BD de Munuera. Et ce sentiment de déja vu m'empêche de donnner un coup de coeur à cette BD. Je ne doute pas qu'un autre chroniqueur de 1001bd franchira le pas et mettra cet album dans sa sélection. Moi cette impression de deja lu m'a un peu pesé lors de la lecture. Apres 4,5 ce n'est pas une mauvaise notre note non plus loin de la et tout le monde dira que cette BD est excellente. Elle vous paraitra juste encore meilleure si vous n'avez pas lu Sortilèges. J'attend vos avis avec impatience 🙂
  9. poseidon2

    Ténébreuse t1

    Titre de l'album : Ténébreuse t1 Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Mallié Coloriste : Mallié Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Il était une fois un chevalier déchu et une jolie princesse à délivrer... Méprisé par ses anciens compagnons d'armes pour un crime qui entache à jamais sa réputation, Arzhur erre de tavernes en champs de bataille à la recherche du prochain contrat qui remplira sa bourse. Une nuit, trois mystérieuses vieilles femmes lui proposent le pacte dont rêvent tous les mercenaires : retrouver honneur et fortune en délivrant une fille de roi, retenue captive dans les ruines d'un château abandonné. Malgré la méfiance de son écuyer, Arzhur accepte le marché et livre un combat sans pitié aux monstres qui gardent la princesse. Mais Islen n'est pas la frêle jeune fille en détresse qu'il imaginait sauver... D'où viennent ses obscurs pouvoirs, que tout le royaume semble redouter ? Quels liens l'unissent aux trois vieilles qui ont payé Arzhur pour la libérer ? Victimes d'un complot dont ils n'ont pas toutes les clés, les jeunes gens s'allient pour reprendre leur destinée en main. Critique : Arff qu'est ce que cette BD meriterait un coup de coeur ! Tout est en place pour recevoor un coup de coeur : un dessin sublime de Vincent Maillé porté par un scénario intriguant en plein de mystères et de mélancolies à une époque fantastique dans un superbe album à la pagination importante. Bref tout ce que l'on rêve de voir et de lire en BD. Un coup de coeur assuré... s'il n'y avait pas eu Sortilège avant. C'est du pur ressenti bien sur. Mais que ce soit l'ambiance, la coloration, l'heroine et meme le trait de Vincent Maillé, tout m'a rappelé la BD de Munuera. Et ce sentiment de déja vu m'empêche de donnner un coup de coeur à cette BD. Je ne doute pas qu'un autre chroniqueur de 1001bd franchira le pas et mettra cet album dans sa sélection. Moi cette impression de deja lu m'a un peu pesé lors de la lecture. Apres 4,5 ce n'est pas une mauvaise notre note non plus loin de la et tout le monde dira que cette BD est excellente. Elle vous paraitra juste encore meilleure si vous n'avez pas lu Sortilèges. J'attend vos avis avec impatience 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tenebreuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Le chateaux animaux t2

    Fiouuuu avec des adaptations comme ça... on n’a même pas envie de lire l'originale. C’est con hein. Mais quand graphiquement c'est une claque monstrueuse et quand le scénario nous prend aux tripes comme ça... ben autant en rester la Car c'est ce qu'on ressent sur ce tome 2 encore plus que sur le 1. Le premier c'était le début de la révolte. Là c'est la guerre et Silvio n'a vraiment pas envie de laisser son trône, peu importe ce que cela lui coûte. Dorison réussit encore une fois une fantastique gestion du scénario. On est très rapidement au milieu des animaux en train de faire le pied de grue sous la neige et on est aussi surpris que Miss B quand... enfin vous verrez. Les quelques parties de l'histoire ou l'on pourrait s'ennuyer sont compensée par un dessin encore une fois sublimes. Que ce soit les animaux, les expressions et les décors, il n'y a aucune fausse note dans le travail de Felix Delep. Ce tome deux est une tuerie. Vous le saviez surement déjà mais il est suffisamment bon pour que le redise une nouvelle fois.
  11. Titre de l'album : Le chateaux animaux t2 Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Felix Delep Coloriste : Felix Delep Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : L'hiver a gagné le château. Le climat est rude pour ses habitants, d'autant que le Président Silvio continue de faire régner la terreur... Mais Miss B et ses amis, le lapin César et le rat Azélar, n'ont pas dit leur dernier mot. Baptisé "les Marguerites" , leur mouvement, continue les outrances au taureau dictateur, refusant le port de collier à grelots et exigeant la gratuité du bois pour tous les animaux. Pour être mieux entendus, ces courageux compagnons bravent le froid chaque nuit pour faire un sit-in sous les fenêtres de Silvio. Mais pour Miss B, vaincre la dictature ne peut se faire qu'en évitant le plus redoutable des pièges : la tentation de la violence. Parviendra t-elle à convaincre ses amis de résister pacifiquement ? Le défi semble bien difficile... Critique : Fiouuuu avec des adaptations comme ça... on n’a même pas envie de lire l'originale. C’est con hein. Mais quand graphiquement c'est une claque monstrueuse et quand le scénario nous prend aux tripes comme ça... ben autant en rester la Car c'est ce qu'on ressent sur ce tome 2 encore plus que sur le 1. Le premier c'était le début de la révolte. Là c'est la guerre et Silvio n'a vraiment pas envie de laisser son trône, peu importe ce que cela lui coûte. Dorison réussit encore une fois une fantastique gestion du scénario. On est très rapidement au milieu des animaux en train de faire le pied de grue sous la neige et on est aussi surpris que Miss B quand... enfin vous verrez. Les quelques parties de l'histoire ou l'on pourrait s'ennuyer sont compensée par un dessin encore une fois sublimes. Que ce soit les animaux, les expressions et les décors, il n'y a aucune fausse note dans le travail de Felix Delep. Ce tome deux est une tuerie. Vous le saviez surement déjà mais il est suffisamment bon pour que le redise une nouvelle fois. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-animaux-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Ténébreuse t2 (fin) Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Vincent Mallié Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Islen, usant des terribles pouvoirs de sa mère, a déchaîné ses animaux contre son Roi de père. Échappée du château de ce dernier en compagnie d'Arzhur le chevalier déchu, elle apprend à mieux connaître cet homme qui, comme elle, cherche à échapper au poids de son hérédité... La fuite de ces âmes blessées sera-t-elle un havre de bonheur permettant à la jeune fille de ne pas assumer le destin laissé en héritage par sa mère aussi puissante que toxique ? Les trois vieilles, dangereuses harpies qui la surveillent dans l'ombre, ne perdront pas une miette de ce romantique et dramatique spectacle, au cours duquel de nombreux masques tomberont... Entre amour tragique, féminisme, matricide et grande aventure, la conclusion d'une fantasy littéraire furieusement actuelle, menée par le regretté Hubert (Beauté) et Vincent Mallié (La Quête de l'oiseau du temps). Critique : Quel conte, mais quel conte… On retrouve dans le scenario de ce deuxième tome, de feu Hubert, tout ce qui fait la magie des contes à l'ancienne : De la dramaturgie, de l'amour, de la haine, des batailles et un dénouement en apothéose. Porté par un graphisme toujours magnifique de Vincent Maillé, ce tome deux nous offre tout d'abord l'histoire d'Azhur, ce chevalier mystérieux au lourd passé, avant de clarifier celui d'Islen et nous déchirer nos amants. Une histoire magnifique de dramatisme, qui nous rappelle qu'une belle histoire n'est pas forcément une histoire de héros tout blanc et tout lisse. Une belle histoire est une histoire qui a du cœur... et celle-ci en est remplie ! Un sublime dytique ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tenebreuse-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Ténébreuse t2 (fin)

    Quel conte, mais quel conte… On retrouve dans le scenario de ce deuxième tome, de feu Hubert, tout ce qui fait la magie des contes à l'ancienne : De la dramaturgie, de l'amour, de la haine, des batailles et un dénouement en apothéose. Porté par un graphisme toujours magnifique de Vincent Maillé, ce tome deux nous offre tout d'abord l'histoire d'Azhur, ce chevalier mystérieux au lourd passé, avant de clarifier celui d'Islen et nous déchirer nos amants. Une histoire magnifique de dramatisme, qui nous rappelle qu'une belle histoire n'est pas forcément une histoire de héros tout blanc et tout lisse. Une belle histoire est une histoire qui a du cœur... et celle-ci en est remplie ! Un sublime dytique !
  14. De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon.
  15. Titre de l'album : Donjon Zénith T9 - Larmes et brouillard Scenariste de l'album : Joann Sfar / Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Boulet Coloriste : Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le fils d'Herbert et Isis est né. Si les jeunes parents se réjouissent de cette nouvelle arrivée, des tensions ne tardent pas à se faire sentir. Alors qu'Isis veut soumettre son bébé au rite de passage traditionnel kochaque, Herbert, jugeant ce dernier bien trop dangereux, tente de l'en dissuader. Incapable de la convaincre, il décide finalement de kidnapper le nourrisson. Critique : De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon. Autres infos : Le tome 10 est annoncé pour Avril 2023 Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-zenith-tome-9-steppes-et-brouillard?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Les damnés du grand large

    Allez on va dire que ce "Damnés du grand large" profite de l'effet "rentrée" de vacances sans BD. Mais la date de sortie fait partie du jeu et du pari de chaque éditeur. Pourquoi est-ce que je commence ma critique par cela ? Eh bien tout simplement parce que j'ai été subjugué par cette BD. Dès les premières pages, le dessin et la coloration accrocheuse de Beatrice Penco Sechi m'ont transporté dans le bar mal famé avec les marins. Les premiers somptueux croquis m'ont automatiquement déplacé derrière le rêveur, au cœur d'un bateau en proie à une malédiction. Et ensuite le scenario a pris le relais : Kristof Mishel réussi à nous livrer un récit ou le fantastique, aussi bien que l'explication finale, paraissent tous deux trames crédibles. L'ambiance est telle que l'on accepterait quasiment n'importe quelle fin tant qu'elle ne nous sort pas de notre taverne de marin et ne nous ramène pas au XXIieme siècle. En gros, une superbe histoire de pirate, à laquelle on pourra, en cherchant la petite bête, reprocher des visages parfois un peu trop expressifs.
  17. Titre de l'album : Les damnés du grand large Scenariste de l'album : Kristof Mishel Dessinateur de l'album : Beatrice Penco Sechi Coloriste : Beatrice Penco Sechi Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : « Je colporte la plus étrange histoire qu'il vous ait e te donne d'entendre, je vous l'échange contre un repas ». Il y a deux cents ans, un curieux voyageur fit résonner une taverne d'un inquiétant récit.Celui d'un navire pris dans la tourmente de meurtres inexplicables. Celui de cadavres de marins marqués d'un signe obscur, et d'un équipage terrorisé. Celui d'un jeune mousse au carnet rempli de monstres, qui semblait tout connaître des forces effroyables qui régissaient les eaux où le vaisseau s'était aventuré.Mais l'auditoire ne pouvait prévoir que derrière le récit fascinant du conteur se cachait quelque chose de plus sinistre que la mort elle-même... Critique : Allez on va dire que ce "Damnés du grand large" profite de l'effet "rentrée" de vacances sans BD. Mais la date de sortie fait partie du jeu et du pari de chaque éditeur. Pourquoi est-ce que je commence ma critique par cela ? Eh bien tout simplement parce que j'ai été subjugué par cette BD. Dès les premières pages, le dessin et la coloration accrocheuse de Beatrice Penco Sechi m'ont transporté dans le bar mal famé avec les marins. Les premiers somptueux croquis m'ont automatiquement déplacé derrière le rêveur, au cœur d'un bateau en proie à une malédiction. Et ensuite le scenario a pris le relais : Kristof Mishel réussi à nous livrer un récit ou le fantastique, aussi bien que l'explication finale, paraissent tous deux trames crédibles. L'ambiance est telle que l'on accepterait quasiment n'importe quelle fin tant qu'elle ne nous sort pas de notre taverne de marin et ne nous ramène pas au XXIieme siècle. En gros, une superbe histoire de pirate, à laquelle on pourra, en cherchant la petite bête, reprocher des visages parfois un peu trop expressifs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-damnes-du-grand-large?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Mademoiselle Baudelaire

    Franchement je crois qu'Yslaire est le meilleur dessinateur de notre époque. Attention je ne dis pas qu'il produit ce qu'il se fait de plus beau, car cela dépend de ce que chacun recherche, mais je dis juste que c'est la meilleure en terme technique. Franchement dans cet album on frise le parfait. Ses reproductions de tableaux d'époque sont sublimes et que dire de ses personnages. Ses nues sont sublimes. Les pleines pages le sont tout autant. Graphiquement il fait de tout dans cet album et fait tout bien. Apres au niveau de scenario, on pourrait penser qu'un énième récit sur Baudelaire, et sa vie de bohème, soit un peu redondant mais en fait pas du tout. Le fait de raconter l'histoire du poète au travers de sa muse est une bonne idée. Cela nous offre une vision autre de la vie de Baudelaire. Une vision qui parle beaucoup du conflit avec sa mère, de sa folie dépensière et ses constants problèmes d'argent. Bref une sublime biographie du poète par un Yslaire qui se fait rare mais pour être toujours au top des dessinateurs actuels.
  19. Titre de l'album : Mademoiselle Baudelaire Scenariste de l'album : Yslaire Dessinateur de l'album : Yslaire Coloriste : Yslaire Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Deux cents ans après sa naissance, Baudelaire continue de marquer les générations et le poète plane sur l'oeuvre d'Yslaire depuis les origines. C'est pourtant Jeanne Duval, celle que le poète a le plus aimée et le plus maudite, que le dessinateur a choisie pour revisiter dans ce chef-d'oeuvre la matière sulfureuse et autobiographique des Fleurs du mal. De Jeanne, pourtant, on ne sait presque rien, ni son vrai nom, ni sa date de naissance, ni sa date de décès. Aucune lettre signée de sa main ne nous est parvenue. Restent quelques témoignages, des portraits dessinés par Baudelaire lui-même, une photo de Nadar non authentifiée, sans oublier les poèmes qu'elle lui a inspirés. Jeanne, "c'est l'invisible de toute une époque" qui réapparaît dans la résonance féministe de la nôtre. Elle qui était stigmatisée comme mulâtresse, créole et surnommée "Vénus noire" en référence à la "Vénus hottentote", aimante tous les préjugés d'un siècle misogyne et raciste. Critique : Franchement je crois qu'Yslaire est le meilleur dessinateur de notre époque. Attention je ne dis pas qu'il produit ce qu'il se fait de plus beau, car cela dépend de ce que chacun recherche, mais je dis juste que c'est la meilleure en terme technique. Franchement dans cet album on frise le parfait. Ses reproductions de tableaux d'époque sont sublimes et que dire de ses personnages. Ses nues sont sublimes. Les pleines pages le sont tout autant. Graphiquement il fait de tout dans cet album et fait tout bien. Apres au niveau de scenario, on pourrait penser qu'un énième récit sur Baudelaire, et sa vie de bohème, soit un peu redondant mais en fait pas du tout. Le fait de raconter l'histoire du poète au travers de sa muse est une bonne idée. Cela nous offre une vision autre de la vie de Baudelaire. Une vision qui parle beaucoup du conflit avec sa mère, de sa folie dépensière et ses constants problèmes d'argent. Bref une sublime biographie du poète par un Yslaire qui se fait rare mais pour être toujours au top des dessinateurs actuels. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mademoiselle-baudelaire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Une romance anglaise

    Comme le dit bien Jean-Luc Fromental en conclusion de cette histoire, nous autres européens n'avons aucune connaissance de cette rocambolesque histoire mêlant politique, espionnage et filles sexys. Et c'est bien étonnant tellement elle défie les films américains les plus fous. C'est impressionnant. On suit avec passion et intérêt les mésaventures mais surtout l'étonnante vie de Stephen Ward, homme aimant les femmes, mais homme surtout étonnamment romantique et désintéressé. Un homme vivant la fin d'une époque d'après guerre qui marque aussi la fin d'une génération d'élites anglaises. Le choix de présenter l'histoire au travers de la vision de Stephen Ward est intéressant car ce n'est autres que le bouc émissaire de la presse et le seul à n'avoir pu donner sa vision des choses. C'est aussi le personnage qui semble vraiment être le moins coupable. Coupable d'une seule chose au final : faire trop confiance. Un polar surréaliste qui nous montre bien que la vraie vie n'a rien à envier aux scenarios américains.
  21. Titre de l'album : Une romance anglaise Scenariste de l'album : Jean-Luc Fromental Dessinateur de l'album : Miles Hyman Coloriste : Miles Hyman Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Londres, dans les années 60. Le docteur Stephen Ward, ostéopathe dont les talents lui valent l'affection de nombreux notables, partage ses loisirs entre réceptions mondaines et parties fines... Lorsqu'il croise Christine, une jeune danseuse ambitieuse, il en devient le Pygmalion, lui faisant rencontrer des hommes aussi importants (et sensibles à son charme) qu'un espion russe ou encore le ministre de la Guerre anglais, John Profumo... L'affaire Profumo, avec ses relents d'espionnage international et de coucheries mondaines, fut le plus grand scandale de la société anglaise des sixties. Miles Hyman et Jean-Luc Fromental, après Le Coup de Prague, se révèlent parfaits pour lui redonner vie, dépeignant avec une égale réussite l'esthétisme guindé d'une Londres bourgeoise et la beauté des corps cherchant à s'affranchir de cette rigidité. Un grand livre - dans la tradition d'un John Le Carré - pour une énorme affaire... Critique : Comme le dit bien Jean-Luc Fromental en conclusion de cette histoire, nous autres européens n'avons aucune connaissance de cette rocambolesque histoire mêlant politique, espionnage et filles sexys. Et c'est bien étonnant tellement elle défie les films américains les plus fous. C'est impressionnant. On suit avec passion et intérêt les mésaventures mais surtout l'étonnante vie de Stephen Ward, homme aimant les femmes, mais homme surtout étonnamment romantique et désintéressé. Un homme vivant la fin d'une époque d'après guerre qui marque aussi la fin d'une génération d'élites anglaises. Le choix de présenter l'histoire au travers de la vision de Stephen Ward est intéressant car ce n'est autres que le bouc émissaire de la presse et le seul à n'avoir pu donner sa vision des choses. C'est aussi le personnage qui semble vraiment être le moins coupable. Coupable d'une seule chose au final : faire trop confiance. Un polar surréaliste qui nous montre bien que la vraie vie n'a rien à envier aux scenarios américains. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-romance-anglaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Légende - Tome 9 - Renouveau

    Ce tome 9 de Légende ressemble à s'y méprendre à une conclusion de la série. Je ne sais pas si ils relanceront un nouveau cycle mais celui-ci se termine de manière cohérente, incitant d'ailleurs à de petites réflexions bienvenues. C'est assez agréable sur une série de ce type. Je n'ai lu que le pdf de cet album mais je dois avouer que j'ai par contre été un peu déçu graphiquement puisque je l'ai trouvé un cran en deçà du reste de la série. Cela est aussi probablement du à la piètre qualité de lecture au format numérique. Ceci étant dit, passer après Swolf n'est guère évident, et cela n'enlève rien à la qualité globale de la bd. On sent toutefois que, au scénario comme aux crayons il a bien fallut faire évoluer la série avec les changements d'auteur. Malgré un contenu peut être plus mature et une histoire moins héroïque quoique plus remplie d'humains, ce second cycle aura marqué un réel essoufflement de mon intérêt pour cette série. Il n'en reste pas moins que Légende est une série Médiévale (Fantastique simplement sur le premier cycle) de qualité, qui gagne a être connue. Et que le travail de Stéphane Collignon mérite d'être revu en dehors du cadre laissé par un auteur créateur de série différent.
  23. Titre de l'album : Légende - Tome 9 - Renouveau Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Stéphane Collignon Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tristan de Halsbourg a occis l'Empereur du Danemark pour mettre le jeune Abel sur le trône. La guerre est terminée. Hélas, quelque part dans le monde, un volcan explose, les cendres obscurcissent le ciel et le froid s'abat. Or le froid, c'est la famine, la révolte. Ce sont tous les principes de Tristan, des Halsbourg - qui s'écroulent, alors qu'un nouveau monde est en train de naître... Critique : Ce tome 9 de Légende ressemble à s'y méprendre à une conclusion de la série. Je ne sais pas si ils relanceront un nouveau cycle mais celui-ci se termine de manière cohérente, incitant d'ailleurs à de petites réflexions bienvenues. C'est assez agréable sur une série de ce type. Je n'ai lu que le pdf de cet album mais je dois avouer que j'ai par contre été un peu déçu graphiquement puisque je l'ai trouvé un cran en deçà du reste de la série. Cela est aussi probablement du à la piètre qualité de lecture au format numérique. Ceci étant dit, passer après Swolf n'est guère évident, et cela n'enlève rien à la qualité globale de la bd. On sent toutefois que, au scénario comme aux crayons il a bien fallut faire évoluer la série avec les changements d'auteur. Malgré un contenu peut être plus mature et une histoire moins héroïque quoique plus remplie d'humains, ce second cycle aura marqué un réel essoufflement de mon intérêt pour cette série. Il n'en reste pas moins que Légende est une série Médiévale (Fantastique simplement sur le premier cycle) de qualité, qui gagne a être connue. Et que le travail de Stéphane Collignon mérite d'être revu en dehors du cadre laissé par un auteur créateur de série différent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legende-tome-9-renouveau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Indians !

    Après le très bon Go West Young Man, Tiburce Oger remet le couvert avec cette fois le point de vue des Indiens dans le développement des États-Unis d'Amériques. Pour ce faire, il fait encore appel à une quantité impressionnant des meilleurs dessinateurs de BD actuelles : Mathieu Lauffray, Derib, Hugues Labiano, Christian Rossi.... Tout comme dans Go West Young Man ou Tiburce Oger nous avait fait suivre l'histoire d'une montre, il nous fait ici suivre le regard du grand aigle sur l'évolution du peuple qu'il protège. Au fil du temps, on découvre les exploitations, les luttes et les trahisons de ces peuples qui n'avaient pas demandé la présence des blancs sur leurs territoires. Encore un beau western où l'on voit que les dessinateurs ont pris du plaisir.
  25. poseidon2

    Indians !

    Titre de l'album : Indians ! Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le parcours sauvage et violent de l'aigle sacré des Indiens pendant la conquête de l'Ouest. Un western qui sent la poudre et la boue... En seize histoires, Indians retrace de 1540 à 1889 les épisodes sombres de la conquête de l'Ouest. Quatre siècles de colonisation qui vont mener, entre les massacres et les maladies propagées par les colons, à un génocide qui n'a jamais porté officiellement ce nom mais qui décima 14 millions d'Amérindiens. Décrivant la face cachée du rêve américain, Indians est un vibrant hommage aux peuples autochtones opprimés... Critique : Après le très bon Go West Young Man, Tiburce Oger remet le couvert avec cette fois le point de vue des Indiens dans le développement des États-Unis d'Amériques. Pour ce faire, il fait encore appel à une quantité impressionnant des meilleurs dessinateurs de BD actuelles : Mathieu Lauffray, Derib, Hugues Labiano, Christian Rossi.... Tout comme dans Go West Young Man ou Tiburce Oger nous avait fait suivre l'histoire d'une montre, il nous fait ici suivre le regard du grand aigle sur l'évolution du peuple qu'il protège. Au fil du temps, on découvre les exploitations, les luttes et les trahisons de ces peuples qui n'avaient pas demandé la présence des blancs sur leurs territoires. Encore un beau western où l'on voit que les dessinateurs ont pris du plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/indians-tome-1-l-ombre-noire-de-l-homme-blanc?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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