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  1. Titre de l'album : Terence Trolley t2/2 : le dernier chainon Scenariste de l'album : Le tendre Dessinateur de l'album : Boutin-gagne Coloriste : Boutin-gagne Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Après avoir empêché la Panaklay, une multinationale aux dents longues, d’enlever par la force deux enfants aux étranges pouvoirs, Terence Trolley se retrouve confronté à de nouveaux périls. Pour récupérer les enfants, la Panaklay a enlevé la famille de Greg, son associé, et menace de la liquider. Un mystérieux loup gris et son jeune maître décident de rentrer dans la danse. Amanda, la compagne droïde de Terence, est prête à tout par amour pour son amant, y compris le pire. Et surtout, à l’abri dans une base lointaine, l’un des derniers cobayes de la Panaklay est sur le point de révéler à notre héros un secret qui risque bien de changer la face du monde ! Critique : Lors de la sortie du tome 1, j'avais comparé ce Terence Trolley avec Travis. Sur le look, sur l'aspect SF, sur l'aventurier au grand cœur..... Si la ressemblance du look continue tout comme l'orientation très anticipation de l'histoire, il faut avouer que les deux scénaristes aux commandes des deux séries sont radicalement différents. On pourrait quasiment dire qu'on aimerait que leurs séries aient des trajectoires opposé. Là ou Duval ne réussit pas ou n'a pas envie de clôturer sa série, Le Tendre nous offre une fin toute en finesse et en beauté. Une vraie belle fin pour son histoire et une fin dont le suspense est retenu jusqu'à l'ultime moment. Et c'est là qu'on se dit qu'on a retrouvé un bon Le Tendre sur ce diptyque. Il gère avec merveille le suspense et surtout le dénouement. Les pièces s’emboîtent bien les unes dans les autres pour nous livrer une belle sculpture finale. Mais, car il y a un mais, là où le diptyque de Le Tendre est l'opposé de celle de Duval c'est que cette série aurait mérité trois tomes. Bon faire une analogie facile on a l'impression d'avoir entre les mains une très belle sculpture en Duplo. Alors qu'avec la même sculpture en Lego on aurait été aux anges avec tous ces petits détails en plus qui, sans dénaturer la forme, aurait rendu l'ensemble encore plus joli. Ce sont vraiment de petits détails.... des personnages qui mériteraient plus de profondeurs, des fin trop rapides, des liaisons entre quelques scènes trop rapide ou on est obligé d'aiguiller le lecteur via des "info bulles" pour qu'il ne soit pas perdu car on a pas le temps de bien introduire le lieu... plein de petits détails qui donne à ce diptyque un gout de trop peu. Des petits détails qui nous font que cette bonne histoire d'aventure et d’anticipation aurait pu être géniale et plus immersive avec un tome de plus. Mais ne boudons pas notre plaisir. Cette histoire EST une bonne histoire en deux tomes. N'est-ce pas déjà suffisant ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terence-trolley-tome-2-le-dernier-chainon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    George Best, twist and shoot

    Ce titre est l'adaptation en bande dessinée du roman le cinquième Beatles de Vincent Duluc, sur la carrière de ce prodige du football. Le scénariste Kris se charge de cette adaptation où l'on découvre la carrière assez courte de ce joueur de Manchester. Ce jeune homme était assez ingérable avec ses nombreuses conquêtes féminines, ses gouts pour les voitures de luxe et son amour pour l'alcool. Son style ou surtout sa coiffure faisait de lui une icône au même titre d'un chanteur d'où cette référence aux Beatles. Je ne connaissais juste de nom mais apparemment il était aussi très connu pour ses punchlines très limite mais qui pouvaient passer à cette époque. Les amateurs de ce sport apprécieront de lire son parcours depuis le début de sa carrière jusqu'à la fin au format bande dessinée. La partie graphique est somptueuse avec le trait facilement reconnaissable de Florent Calvez avec beaucoup de trait encore visible par-dessus les couleurs. George Best, twist and shoot est une autobiographie bien gérée qui donne envie de poursuivre la lecture avec la personnalité de Best assez folle, surprenante et peu sérieuse malgré le niveau professionnel.
  3. Titre de l'album : George Best, twist and shoot Scenariste de l'album : Kris Dessinateur de l'album : Florent Calvez Coloriste : Florent Calvez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : A 17 ans, le prodige intègre Manchester United. Son coéquipier Bobby Charlton n'a plus esquissé un sourire depuis l'accident d'avion qui coûta la vie à 8 de ses partenaires au retour d'un match de coupe d'Europe. Ces deux-là, le fêtard et le bosseur, sont incapables de se comprendre dans la vie mais se retrouvent sur un terrain de football et vont écrire ensemble les grandes heures de Manchester. Critique : Ce titre est l'adaptation en bande dessinée du roman le cinquième Beatles de Vincent Duluc, sur la carrière de ce prodige du football. Le scénariste Kris se charge de cette adaptation où l'on découvre la carrière assez courte de ce joueur de Manchester. Ce jeune homme était assez ingérable avec ses nombreuses conquêtes féminines, ses gouts pour les voitures de luxe et son amour pour l'alcool. Son style ou surtout sa coiffure faisait de lui une icône au même titre d'un chanteur d'où cette référence aux Beatles. Je ne connaissais juste de nom mais apparemment il était aussi très connu pour ses punchlines très limite mais qui pouvaient passer à cette époque. Les amateurs de ce sport apprécieront de lire son parcours depuis le début de sa carrière jusqu'à la fin au format bande dessinée. La partie graphique est somptueuse avec le trait facilement reconnaissable de Florent Calvez avec beaucoup de trait encore visible par-dessus les couleurs. George Best, twist and shoot est une autobiographie bien gérée qui donne envie de poursuivre la lecture avec la personnalité de Best assez folle, surprenante et peu sérieuse malgré le niveau professionnel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/george-best-twist-and-shoot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Miam miam, merci une nouvelle fois à Rue de Sèvres pour cette excellente lecture, aussi instructive que passionnante. Le challenge était relevé, car même si l'épopée de l'invention du cinéma est forcément passionnante, prendre le parti de la traiter en profondeur, dans le détail, et avec sérieux tout en restant intéressant n'était pas gagné d'avance. Et ici le challenge est décroché haut la main, tant cette BD est instructive et agréable à lire. Pour les amateurs d'histoire et de cinéma, il est plus qu'alléchant de rentrer ainsi dans le vif du sujet, et dans la conception, le développement et la commercialisation de cette invention qui allait changer le monde. Pénétrer ainsi de manière documenté au sein de cette époque profondément méconnue pour nous est une vraie découverte. Les dessins de Jean-Baptiste Hostache sont bien adaptés à cette époque je trouve avec des personnages transmettant une certaine ambiance de ces années là, bien appuyés par les arrières plans souvent discrets, esquissés voir parfois flous, mais toujours juste dans les tons, les ambiances et les suggestions. Rajoutez à ça une pagination importante (146 pages) pour un prix de 25€ et vous aurez une intrigue déjà très avancée que devrais venir compléter prochainement un tome 2 à la pagination équivalente je pense, qui nous amènera lui vers le cinéma tel qu'on le connait.
  5. Titre de l'album : Les pionniers - Tome 1 - La machine du diable Scenariste de l'album : Guillaume Dorison Dessinateur de l'album : Jean-Baptiste Hostache Coloriste : Jean-Baptiste Hostache & Jean-Baptiste Merle Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1894. Paris est au centre du monde. Artistes, inventeurs et industriels se fréquentent dans une grande fièvre. La technique est au centre de toutes les préoccupations. Les arts, comme l'économie ou les sciences, se rationalisent. Le monde entier semble en passe d'être mécanisé... Six personnes détiennent le même secret. Une invention démoniaque dont ils cherchent à comprendre le sens et maîtriser la puissance. Ils sont ingénieur, fils de boucher, magicien, forain ou jeune secrétaire-sténographe. Ils sont jeunes, rêveurs, ambitieux et vont devoir se démarquer. Ils se nomment Léon Gaumont, Charles Pathé, Georges Méliès, Louis et Auguste Lumière ou Alice Guy. Et leur enjeu s'appelle le Cinéma. Critique : Miam miam, merci une nouvelle fois à Rue de Sèvres pour cette excellente lecture, aussi instructive que passionnante. Le challenge était relevé, car même si l'épopée de l'invention du cinéma est forcément passionnante, prendre le parti de la traiter en profondeur, dans le détail, et avec sérieux tout en restant intéressant n'était pas gagné d'avance. Et ici le challenge est décroché haut la main, tant cette BD est instructive et agréable à lire. Pour les amateurs d'histoire et de cinéma, il est plus qu'alléchant de rentrer ainsi dans le vif du sujet, et dans la conception, le développement et la commercialisation de cette invention qui allait changer le monde. Pénétrer ainsi de manière documenté au sein de cette époque profondément méconnue pour nous est une vraie découverte. Les dessins de Jean-Baptiste Hostache sont bien adaptés à cette époque je trouve avec des personnages transmettant une certaine ambiance de ces années là, bien appuyés par les arrières plans souvent discrets, esquissés voir parfois flous, mais toujours juste dans les tons, les ambiances et les suggestions. Rajoutez à ça une pagination importante (146 pages) pour un prix de 25€ et vous aurez une intrigue déjà très avancée que devrais venir compléter prochainement un tome 2 à la pagination équivalente je pense, qui nous amènera lui vers le cinéma tel qu'on le connait. Autres infos : Idée originale, documentation et conseils historiques de Damien MARIC Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-pionniers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Yojimbot T2

    Titre de l'album : Yojimbot T2 Scenariste de l'album : Sylvain Repos Dessinateur de l'album : Sylvain Repos Coloriste : Sylvain Repos Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Hiro, aidé par les Yojimbots, des robots samouraïs, échappe par miracle aux attaques successives du cruel Topu et de ses drones. Malgré une situation désespérée, le jeune garçon est déterminé à connaître la vérité sur le sort de sa famille. Hiro se rend compte que les croyances qui étaient les siennes jusqu'à alors ne sont que des mensonges tissés par ce mystérieux organisme qui cherche justement à le capturer. Malheureusement, piégé par Topu, et ne devant sa survie qu'au sacrifice d'un des Yojimbots, il fait alors face à un nouveau type de robot particulièrement redoutable. Celui-ci pourrait être la clé des réponses que se pose Hiro... Critique : Yojimbot avait été mon coup de coeur du début d'année dernière. Un tome super rafraichissant et super dynamique. J'attendais donc avec impatience ce deuxième tome. En effet le premier était interessant par les originalités developpées par Sylvain Repos mais n'était qu'une grosse introduction. Ce tome deux était donc attendu comme le tome de la confirmation ou de la douche froide pour nos Yojimbot. Et bien je peux vous rassurer : ce tome deux confirme la qualités des idées lancées dans le premier. En effet Sylvain Repos prend le temps de bien developper les différentes pistes qui nous travaillaient le cerveau. Que se soit la contaimatiation, la troisième guerre mondiale ou encore l'étrange robot sauveteur, toutes ces questions trouvent une réponse dans ce deuxième tome. En bon conteur d'histoire, Sylvain Repos nous fait arriver à la moitié de son récit (qui comptera 4 tomes donc 😉 ) avec les idées claires sur ce qu'il se passe vraiment. Cela lui permet de lancer la phase d'aventure et de péripéties tournées non plus autour de l'histoire avec un grand H mais bien autour de notre héros, de ses robots et de son combat contre les forces de l'ile. Toutes les pièces sopnt en places pour lancer un final en deux tomes qui s'annonce de toute beauté. Pour ne rien gacher à ce tome 2, Sylvain Repos nous livre une fin impressionnante, avec un suspens et un retournement de situation digne des meilleurs épisodes de Game of thrones. Vivement le prochain tome. Je dirais meme vivement les 2 prochains tomes ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yojimbot-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Yojimbot T2

    Yojimbot avait été mon coup de coeur du début d'année dernière. Un tome super rafraichissant et super dynamique. J'attendais donc avec impatience ce deuxième tome. En effet le premier était interessant par les originalités developpées par Sylvain Repos mais n'était qu'une grosse introduction. Ce tome deux était donc attendu comme le tome de la confirmation ou de la douche froide pour nos Yojimbot. Et bien je peux vous rassurer : ce tome deux confirme la qualités des idées lancées dans le premier. En effet Sylvain Repos prend le temps de bien developper les différentes pistes qui nous travaillaient le cerveau. Que se soit la contaimatiation, la troisième guerre mondiale ou encore l'étrange robot sauveteur, toutes ces questions trouvent une réponse dans ce deuxième tome. En bon conteur d'histoire, Sylvain Repos nous fait arriver à la moitié de son récit (qui comptera 4 tomes donc 😉 ) avec les idées claires sur ce qu'il se passe vraiment. Cela lui permet de lancer la phase d'aventure et de péripéties tournées non plus autour de l'histoire avec un grand H mais bien autour de notre héros, de ses robots et de son combat contre les forces de l'ile. Toutes les pièces sopnt en places pour lancer un final en deux tomes qui s'annonce de toute beauté. Pour ne rien gacher à ce tome 2, Sylvain Repos nous livre une fin impressionnante, avec un suspens et un retournement de situation digne des meilleurs épisodes de Game of thrones. Vivement le prochain tome. Je dirais meme vivement les 2 prochains tomes !
  8. poseidon2

    Maroni : les gens du fleuve

    En voilà une très belle initiative : Inviter une belle branche d'auteurs de BDs au festival de bande dessinée d'un village de Guyane. Auteurs qui nous font part, au travers de petites histoires, de leurs découvertes du Maroni et la vie des gens du fleuve. Et ce qui est vraiment très bien dans ce recueil, c'est que nos auteurs ne prennent pas de filtre et nous racontent leurs ressentie. Ce recueil n'est pas une ode à la Guyane. Ce n'est pas un prospectus publicitaire pour de future vacances. Nos auteurs nous livrent des tranches de vies brutes, telles qu'elles ont l'air d'avoir lieux là-bas, avec leurs difficultés, leurs gravités et le décalage qu'elles peuvent avoir avec notre société "moderne". Une honnêteté qui rend la lecture encore plus intéressante et montre bien que ce genre de voyage n'a pas le même impact sur tous. Un album pour découvrir le vrai Maroni et donner (ou pas) envie d'aller voir sur place.
  9. Titre de l'album : Maroni : les gens du fleuve Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Le piroguier a une connaissance intime du fleuve et de ses fameux « sauts ». La forêt touffue qui borde le fleuve est plein de mystères et d'histoires d'amour. Les chiens de Maripasoula errent en bande. Le Baklu est un démon créé avec l'âme d'un bébé. Instituteurs, médecins, infirmières, gendarmes, militaires, agents commerciaux, piroguiers, layonneurs et autres charpentiers sont les travailleurs du fleuve... Les armes parfois parlent d'une rive à l'autre. Mais l'enfance au bord du Maroni, dans cette France d'Amérique du Sud, malgré la distance, malgré les cultures, est-elle au fond si différente de l'enfance métropolitaine ? Les auteurs ont rapporté de leurs séjours sur place (souvent ensemble et avec Olivier Copin, Guyanais d'adoption) l'envie de faire un livre et de parler de cette France d'Amérique du Sud. D'une à dix-huit pages, réalisées sur place ou non, fictions ou reportages, drolatiques ou sérieuses, les histoires de Maroni composent une mosaïque de récits qui s'interpénètrent, se répondent et forment, au bout du compte, un chant d'amour pour la Guyane, son fleuve et ses peuples. Avec la collaboration de : Olivier Copin, Jean-Luc Cornette, Étienne Davodeau, Joub, Emmanuel Lepage, Thierry Martin, Aude Mermilliod, Nicoby, Eric Sagot, Terreur Graphique, Jean Louis Tripp. Critique : En voilà une très belle initiative : Inviter une belle branche d'auteurs de BDs au festival de bande dessinée d'un village de Guyane. Auteurs qui nous font part, au travers de petites histoires, de leurs découvertes du Maroni et la vie des gens du fleuve. Et ce qui est vraiment très bien dans ce recueil, c'est que nos auteurs ne prennent pas de filtre et nous racontent leurs ressentie. Ce recueil n'est pas une ode à la Guyane. Ce n'est pas un prospectus publicitaire pour de future vacances. Nos auteurs nous livrent des tranches de vies brutes, telles qu'elles ont l'air d'avoir lieux là-bas, avec leurs difficultés, leurs gravités et le décalage qu'elles peuvent avoir avec notre société "moderne". Une honnêteté qui rend la lecture encore plus intéressante et montre bien que ce genre de voyage n'a pas le même impact sur tous. Un album pour découvrir le vrai Maroni et donner (ou pas) envie d'aller voir sur place. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maroni?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Hel

    En voila une belle decouverte jeunesse. Une belle prise pour les éditions Michel Jeunesse. Un peu caché sous un dessin un peu hésitant de prime abord, Hel se trouve être une histoire très inventive et pleine de références. Inventive car cette histoire est plus qu'une histoire de passage dans l'au-dela. Philippe Scherding nous montre aussi que les passeurs ont aussi des attentes et que ces attentes peuvent entrer en conflit avec leurs travaille. Niveau référence on retrouve un mix de différentes croyances ce qui permet de ne pas avoir à respecter un cadre trop restreint. Entre le caractère bien trempée de Victor et la vision "de la mort" blasée de Hel, cette histoire est bien plus intéréssante et offre bien plus de rebondissement qu'une simple traversée du Stix. Une belle decouverte dans un one shot qui plaira aussi bien aux parents qu'aux enfants
  11. poseidon2

    Hel

    Titre de l'album : Hel Scenariste de l'album : Philippe Scherding Dessinateur de l'album : Philippe Scherding Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Victor, un professeur retraité et misanthrope, est emporté par HEL, une adolescente passeuse d'âmes, dans l'autre monde. Perdus dans les limbes, le vieil homme et la jeune fille devront s'apprivoiser pour faire face aux multiples dangers qui les guettent et rejoindre Léthé, la cité de l'oubli. Critique : En voila une belle decouverte jeunesse. Une belle prise pour les éditions Michel Jeunesse. Un peu caché sous un dessin un peu hésitant de prime abord, Hel se trouve être une histoire très inventive et pleine de références. Inventive car cette histoire est plus qu'une histoire de passage dans l'au-dela. Philippe Scherding nous montre aussi que les passeurs ont aussi des attentes et que ces attentes peuvent entrer en conflit avec leurs travaille. Niveau référence on retrouve un mix de différentes croyances ce qui permet de ne pas avoir à respecter un cadre trop restreint. Entre le caractère bien trempée de Victor et la vision "de la mort" blasée de Hel, cette histoire est bien plus intéréssante et offre bien plus de rebondissement qu'une simple traversée du Stix. Une belle decouverte dans un one shot qui plaira aussi bien aux parents qu'aux enfants Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    l'or des belges t1

    Premier coup de coeur depuis un petit moment. Ce printemps est rempli de bonne lecteur mais il manquait un coup de coeur. Cet Or des Belges en est definitivement un. Graphiquement deja c'est du très haut niveau. Que ce soit au niveau de la précision du trait que du choix des couleurs, on est dans du haut niveau de dessin "classique". Et niveau scénario on n'est pas en reste. Pierre Boisserie et Philippe Guillaume ont déniché la petite perle : le fait divers encore non traité (et peu connu) d'une guerre archi utilisée en BD. Cela pose des bases deja intriguantes sur l'histoire de cette or et aborde la problematique financière de cette deuxième guerre mondiale. Un sujet dont on ne parle pas trop mais qui devait bien etre central au vu des montants qui se compte en milliards. En plus de détails de l'histoire, nos auteurs nous livre une aventure, inventée, bien menée avec des personnages haut en couleurs et d'horizon différents. Une petite équipe avec des secrets et des objectifs differents qui dynamise une BD d'histoire deja intéressante. La bd rafraichissante du printemps !
  13. Titre de l'album : l'or des belges t1 Scenariste de l'album : Pierre Boisserie/Philippe Guillaume Dessinateur de l'album : Stephane Brangier Coloriste : Stephane Brangier Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 940, les Nazis veulent s'emparer de la réserve d'or de la Belgique. Le roi Léopold III la confie alors à la France, qui l'envoie à Dakar... Où les Allemands la chargent dans un train qui traverse l'Afrique, direction Berlin. Un Royal Marine, un ex-officier français, un mécano alcoolique et un indépendantiste ivoirien engagent alors une course poursuite pour récupérer l'Or des Belges. D'un authentique fait de guerre, Pierre Boisserie et Philippe Guillaume ont tiré une BD d'aventure historique où se conjuguent drame et humour, mis en lumière par un Stéphane Brangier au sommet de sa forme ! Critique : Premier coup de coeur depuis un petit moment. Ce printemps est rempli de bonne lecteur mais il manquait un coup de coeur. Cet Or des Belges en est definitivement un. Graphiquement deja c'est du très haut niveau. Que ce soit au niveau de la précision du trait que du choix des couleurs, on est dans du haut niveau de dessin "classique". Et niveau scénario on n'est pas en reste. Pierre Boisserie et Philippe Guillaume ont déniché la petite perle : le fait divers encore non traité (et peu connu) d'une guerre archi utilisée en BD. Cela pose des bases deja intriguantes sur l'histoire de cette or et aborde la problematique financière de cette deuxième guerre mondiale. Un sujet dont on ne parle pas trop mais qui devait bien etre central au vu des montants qui se compte en milliards. En plus de détails de l'histoire, nos auteurs nous livre une aventure, inventée, bien menée avec des personnages haut en couleurs et d'horizon différents. Une petite équipe avec des secrets et des objectifs differents qui dynamise une BD d'histoire deja intéressante. La bd rafraichissante du printemps ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-des-belges-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Elfes - Tome 31 - Ylanoon

    En voilà une belle idée ! L e monde de fantasy imaginé sur les terres d'Arran pour les séries Elfes, Nains, Orcs et Gobelins mais aussi Mages étant désormais bien connu, et très défini, il ne fournit malheureusement que peu de nouvel imaginaire à chaque épisode. Mais il faut aussi en voir les bons côté puisque les auteurs peuvent désormais s'affranchir de la nécessité d'explorer encore ce univers pour plutôt y intégrer d'autres genres. Et ici on tombe en plein récit Thriller/fantastique avec une ambiance plutôt réussie et cette série de crimes mystérieux à élucider. Un polar dans un univers de Fantasy, c'est plutôt bien pensé. Le clin d'oeil appuyé à un grand film du genre en milieu de BD est également savoureux, bien trouvé et amené. Las j'ai trouvé que certaines ficelles scénaristiques manquaient un poil de cohérence, tout comme le Deus Ex Machina de la fin. Graphiquement Duarte nous livre comme à son habitude un travail soigné respectant scrupuleusement les codes du genre.
  15. Titre de l'album : Elfes - Tome 31 - Ylanoon Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Duarte Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à l'immense raz-de-marée qui a dévasté les côtes des terres d'Arran, les elfes bleus érigent leur nouvelle capitale sur les ruines de la cité d'Ennlya. Mais d'étranges massacres jettent l'opprobre sur les différentes communautés. Pour Lanawyn et sa jeune apprentie Ylanoon commence alors une enquête sanglante au plus profond d'une forêt sombre où se tapit la mort incarnée. Critique : En voilà une belle idée ! L e monde de fantasy imaginé sur les terres d'Arran pour les séries Elfes, Nains, Orcs et Gobelins mais aussi Mages étant désormais bien connu, et très défini, il ne fournit malheureusement que peu de nouvel imaginaire à chaque épisode. Mais il faut aussi en voir les bons côté puisque les auteurs peuvent désormais s'affranchir de la nécessité d'explorer encore ce univers pour plutôt y intégrer d'autres genres. Et ici on tombe en plein récit Thriller/fantastique avec une ambiance plutôt réussie et cette série de crimes mystérieux à élucider. Un polar dans un univers de Fantasy, c'est plutôt bien pensé. Le clin d'oeil appuyé à un grand film du genre en milieu de BD est également savoureux, bien trouvé et amené. Las j'ai trouvé que certaines ficelles scénaristiques manquaient un poil de cohérence, tout comme le Deus Ex Machina de la fin. Graphiquement Duarte nous livre comme à son habitude un travail soigné respectant scrupuleusement les codes du genre. Autres infos : Y a aussi du polar... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elfes-tome-31?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Furioso t1 Garald est revenu

    Après le bon (mais à la fin un peu rapide) Alter, le duo Philippe Pelaez / Laval Ng revient chez Darkoo avec une histoire de Dark Fantaisy inspiré d'un poême de XVI siècle. Et si l'idée est bonne avec des inspirations diverses et variées comme la table ronde, ou encore, évidemment, Roland de Ronceveaux et son épée Durandal, j'ai un petit peur que le duo ne retombe dans les travers du deuxième tome de Alter (ou encore ce que l'on a pu voir sur le Pierre du Chaos) c'est à dire d'avoir un scenario trop ambitieux et ne pas avoir le volume de pages nécessaire pour imposer le récit et répondre à toutes les questions. Au départ le sujet du héros revenu d'entre les morts qui revient mettre la royauté en péril est intéressant. Mais à cela on ajoute des sorcière/Déesses en fin de "vie", une écuyère étrange, un fils inconnu, un Roland fou, un Merlin, un... bref beaucoup de choses. Beaucoup de choses qui bien mélangées peuvent faire une vraie belle histoire mais qui, à l'instar de la pierre du chaos, pourraient tourner court si les auteurs n'ont pas la pagination nécessaire pour developper l'histoire. Niveau graphisme je trouve que le trait de Laval NG est un peu trop obscurci (surtout au début) par la coloration volontairement "Dark". Pour en voir plus je vous encourage à relire l'interview dessinée qu'il avait accepter de nous donner :
  17. Titre de l'album : Furioso t1 Garald est revenu Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Laval Ng Coloriste : Laval Ng Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Inspiré du poème de L'Arioste,Orlando Furioso(1516), voici l'histoire de Roland rendu fou par un amour impossible, et de son pire ennemi, Garalt, revenu d'entre les Morts. Garalt est revenu d'entre les morts, ressuscité par celle qui était amoureuse de lui, la fée Alcyna. Jadis considéré comme le meilleur chevalier du monde, il fut tué par Roland, le neveu du roi. Aidé par Sybil, une jeune et jolie écuyère qui se met à son service, Garalt cherche à revoir Bradamante, la virago farouche et impétueuse qui lui donna un fils.Mais sur sa route se dressent Morgane, jalouse de l'amour que sa soeur Alcyna porte au chevalier, et Roland, rendu fou furieux par un amour contrarié. Critique : Après le bon (mais à la fin un peu rapide) Alter, le duo Philippe Pelaez / Laval Ng revient chez Darkoo avec une histoire de Dark Fantaisy inspiré d'un poême de XVI siècle. Et si l'idée est bonne avec des inspirations diverses et variées comme la table ronde, ou encore, évidemment, Roland de Ronceveaux et son épée Durandal, j'ai un petit peur que le duo ne retombe dans les travers du deuxième tome de Alter (ou encore ce que l'on a pu voir sur le Pierre du Chaos) c'est à dire d'avoir un scenario trop ambitieux et ne pas avoir le volume de pages nécessaire pour imposer le récit et répondre à toutes les questions. Au départ le sujet du héros revenu d'entre les morts qui revient mettre la royauté en péril est intéressant. Mais à cela on ajoute des sorcière/Déesses en fin de "vie", une écuyère étrange, un fils inconnu, un Roland fou, un Merlin, un... bref beaucoup de choses. Beaucoup de choses qui bien mélangées peuvent faire une vraie belle histoire mais qui, à l'instar de la pierre du chaos, pourraient tourner court si les auteurs n'ont pas la pagination nécessaire pour developper l'histoire. Niveau graphisme je trouve que le trait de Laval NG est un peu trop obscurci (surtout au début) par la coloration volontairement "Dark". Pour en voir plus je vous encourage à relire l'interview dessinée qu'il avait accepter de nous donner : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/furioso-tome-1-garalt-est-revenu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Ça faisait longtemps que j'attendais ça : Un scénario de Serge le tendre sans aucune influence de la quête de l'oiseau du temps. Un scénario bien encré dans le XXI ieme siècle. Et c'est chose faite et bien faite avec ce Terence Trolley. Le Tendre nous livre ici une version relooké de notre ami Travis. Oui oui rien que cela. Un Héros au lourd passé menant des aventures à tombeau ouvert et ayant un charme certains sur ces dames, et ce dans une atmosphère de SF politico financière. Au final rien de super original mais... un scénario efficace, qui happe le lecteur et ne le laisse ressortir qu'au profit d'une attente du tome 2. Rien que je n'avais ressenti depuis un moment avec monsieur le Tendre. Il faut dire qu'il est superbement aidé par Patrick Boutin-Gagné, ses dessins aux lignes franches et dynamiques, et a sa coloration qui réveillerait un mort. Un ensemble qui colle parfaitement au scénario tres punchy de monsieur Le Tendre. Un vrai bon moment de détente qui prouve qu'il n'y a pas d'age pour se réinventer. Bien joué monsieur Le Tendre.
  19. Titre de l'album : Terence Trolley T1 : la fenetre sur le cerveau Scenariste de l'album : Serge Le Tendre Dessinateur de l'album : Patrick Boutin-Gagné Editeur de l'album : Drakoo Note de l'album : 4 Résumé de l'album : La Panaklay, une multinationale, avait financé il y a une douzaine d’années, un laboratoire de recherches afin d’explorer les perceptions extrasensorielles de très jeunes enfants avant que leur fontanelle, la « fenêtre sur le cerveau », ne se referme. Norton, l’un des responsables du projet, révolté par l’exploitation de ces petits cobayes, avait saboté le laboratoire avant de s’enfuir avec deux des enfants les plus prometteurs. Dix ans plus tard, la Panaklay vient de retrouver la trace de Norton. Celui-ci fait appel à son neveu, Terence Trolley, pour qu’il veille sur ses protégés. Tous ignorent que les étranges pouvoirs des enfants sont en train de se réveiller et qu’ils vont tout faire basculer. Ce sera un voyage sans retour au bout de la peur. Critique : Ça faisait longtemps que j'attendais ça : Un scénario de Serge le tendre sans aucune influence de la quête de l'oiseau du temps. Un scénario bien encré dans le XXI ieme siècle. Et c'est chose faite et bien faite avec ce Terence Trolley. Le Tendre nous livre ici une version relooké de notre ami Travis. Oui oui rien que cela. Un Héros au lourd passé menant des aventures à tombeau ouvert et ayant un charme certains sur ces dames, et ce dans une atmosphère de SF politico financière. Au final rien de super original mais... un scénario efficace, qui happe le lecteur et ne le laisse ressortir qu'au profit d'une attente du tome 2. Rien que je n'avais ressenti depuis un moment avec monsieur le Tendre. Il faut dire qu'il est superbement aidé par Patrick Boutin-Gagné, ses dessins aux lignes franches et dynamiques, et a sa coloration qui réveillerait un mort. Un ensemble qui colle parfaitement au scénario tres punchy de monsieur Le Tendre. Un vrai bon moment de détente qui prouve qu'il n'y a pas d'age pour se réinventer. Bien joué monsieur Le Tendre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terence-trolley-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : La Drôle De Guerre De Papi Et Lucien - Tome 1 Scenariste de l'album : Frabice Erre Dessinateur de l'album : Thierry Maunier Coloriste : Thierry Maunier Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : 1940. Papi est un ancien poilu, toujours très remonté contre les Allemands. Pour lui, rien ne vaut une bonne tranchée ! Son petit-fils, Lucien, essaye de lui expliquer que ce nouveau conflit qui s'annonce n'a rien à voir avec la Grande Guerre. Un jour, Papi entend l'appel du Général de Gaulle à la radio. Remonté comme un coucou, il décide d'aller rejoindre la Résistance à Londres. Avec courage (et une bonne dose d'inconscience) Lucien et son grand-père démarrent un incroyable road-trip à travers la France, sur un chemin semé d'embûches. Critique : Cette nouvelle série nous présente un road-trip avec un enfant et son grand-père dans la France occupée par les nazis en 1940. Le grand-père a déjà participé à la première guerre mondiale et ne comprend pas forcément la situation de cette seconde guerre et confond l'ennemi. Son petit-fils va lui remettre les idées au clair. L'humour est présent durant tout l'album avec des références pour les jeunes lecteurs mais aussi les plus âgés. La seconde guerre est une thématique souvent utilisée dans le monde de la bande dessinée. Les dessins sont un style minimaliste et caricatural pour convenir au genre humoristique. Ce premier tome présente les deux personnages mais aussi leur aventure au centre du conflit contre les soldats nazis. Les deux héros doivent fuir la France comme le général pour rejoindre Londres afin de préparer à l'offensive. Autres infos : Maison d'édition : Auzou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com Voir la totalité de enregistrement
  21. Cette nouvelle série nous présente un road-trip avec un enfant et son grand-père dans la France occupée par les nazis en 1940. Le grand-père a déjà participé à la première guerre mondiale et ne comprend pas forcément la situation de cette seconde guerre et confond l'ennemi. Son petit-fils va lui remettre les idées au clair. L'humour est présent durant tout l'album avec des références pour les jeunes lecteurs mais aussi les plus âgés. La seconde guerre est une thématique souvent utilisée dans le monde de la bande dessinée. Les dessins sont un style minimaliste et caricatural pour convenir au genre humoristique. Ce premier tome présente les deux personnages mais aussi leur aventure au centre du conflit contre les soldats nazis. Les deux héros doivent fuir la France comme le général pour rejoindre Londres afin de préparer à l'offensive.
  22. alx23

    Aïda

    Avec Aïda, Sergio Gerasi écrit une critique de la société de consommation actuelle mais également sur un la prise de conscience de l'art qui nous entoure. On pourra comparer son récit au film fight club sans la violence, d'ailleurs l'auteur donne quelques références à des films culte de ce genre. La jeune Aïda voit le monde à travers l'objectif de son appareil photo et livre son ressenti. Elle va rejoindre un groupe de jeunes aux idées très engagées et contre le capitalisme en général. Pour eux l'éveil des consciences est l'enjeu majeur de notre époque. Le groupe va organiser des happenings artistiques dans Milan, afin de frapper très fort tous les habitants. L'auteur critique également les proches d'Aïda, jugés de trop superficiel ou refusant de s'affirmer. La mère d'Aïda n'est pas oubliée avec toutes ses amies ayant recours à la chirurgie esthétique pour se donner une nouvelle jeunesse apparente, tout en buvant beaucoup d'alcool lors de soirée entre femme. Les dessins sont très travaillés avec beaucoup de détails pour mettre en image les actions du groupe dans Milan. Ce roman graphique dénonce les dérives de notre époque pour mettre l'art en avant ou en solution à notre société.
  23. alx23

    Aïda

    Titre de l'album : Aïda Scenariste de l'album : Sergio Gerasi Dessinateur de l'album : Sergio Gerasi Coloriste : Sergio Gerasi Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Si Aïda aime photographier le monde et le façonner avec son imagination, elle le comprend de moins en moins. Sa mère, présentatrice télé workaholic, la voit s'éloigner tout en restant impuissante. Quant à ses deux meilleurs amis, Tancrède et Ludo, ils passent leur temps enfermés à consommer des séries télévisées ou à entretenir des rapports virtuels. Cela désespère Aïda qui donnerait tout pour goûter à une vraie relation humaine. Une nuit, alors qu'elle promène seule son chien dans les rues d'un Milan aux allures post-apocalyptiques, elle fait la connaissance des « virus », un groupe d'artistes non-conformistes connus des médias pour leurs happening subversifs dans la ville... Séduite par leur attitude rebelle, Aïda va tout mettre en oeuvre pour s'intégrer à leur communauté. Et si ce virus artistique était le « bon » ? Celui qui permettra à Aïda de ressentir enfin une vibration dans sa vie et secouer ceux qui l'entourent. Critique : Avec Aïda, Sergio Gerasi écrit une critique de la société de consommation actuelle mais également sur un la prise de conscience de l'art qui nous entoure. On pourra comparer son récit au film fight club sans la violence, d'ailleurs l'auteur donne quelques références à des films culte de ce genre. La jeune Aïda voit le monde à travers l'objectif de son appareil photo et livre son ressenti. Elle va rejoindre un groupe de jeunes aux idées très engagées et contre le capitalisme en général. Pour eux l'éveil des consciences est l'enjeu majeur de notre époque. Le groupe va organiser des happenings artistiques dans Milan, afin de frapper très fort tous les habitants. L'auteur critique également les proches d'Aïda, jugés de trop superficiel ou refusant de s'affirmer. La mère d'Aïda n'est pas oubliée avec toutes ses amies ayant recours à la chirurgie esthétique pour se donner une nouvelle jeunesse apparente, tout en buvant beaucoup d'alcool lors de soirée entre femme. Les dessins sont très travaillés avec beaucoup de détails pour mettre en image les actions du groupe dans Milan. Ce roman graphique dénonce les dérives de notre époque pour mettre l'art en avant ou en solution à notre société. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aida?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Il est difficile d'écrire cette chronique après avoir lu La république du crâne dans le même weekend, puisqu'en effet il est difficile de ne pas comparer les deux bandes dessinées, les deux auteurs principaux étant les mêmes, même si pour Cosaques, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat sont renforcés fort à propos par le travail remarquable de Yoann Guillo, mais j'y reviendrais plus tard. J'écrirais donc cette chronique en mettant souvent en parallèle les deux ouvrages car je vous sais nombreux à avoir lu La république du crâne. On est ici également sur de la bd d'aventure historique, appuyé sur une forte thématique de recherche de liberté, finalement bien plus proche de La république du crâne qu'il ne peut y sembler au premier abord. L'emplacement géographique choisi pour cette bd prendra fort malheureusement un douloureux écho avec notre actualité mais il nous apporte de la fraicheur puisqu'on en ignore à peu près tout, même pour les plus férus d'histoire. Ceci dit il y a une différence très importante entre les deux, et qui explique en, grande partie la note légèrement inférieure attribué sur Cosaques. Il ne s'agit ici que d'un premier tome et non d'une histoire complète aboutie. Et malheureusement, on craint ici l'effet Ira Déi, à savoir une série avec de fortes promesses, qui peuvent finalement décevoir si les chiffres de ventes ne suivant pas, la série doit s'arrêter. L'histoire de ce Cosaques avance vite, à un rythme soutenu, mais agréable et la fin de ce tome 1 ne nous laisse pas en plan au beau milieu de l'intrigue, ce qui reste agréable. Reste que j'ai toutefois eu du mal à discerner le fil conducteur de la série à venir et les futurs enjeux de la trame principale. Il faut cependant je crois faire confiance à Vincent Brugeas pour nous livrer une intrigue qui devrait gagner en intensité sur les prochains tomes. Côté dessin, on touche au très très beau. Si le trait de Ronan Toulhoat est habituellement puissant et sans concession sur ses personnages, accentuant souvent leurs émotions au profit d'un certains esthétisme ou réalisme, il nous livre ici des planches plus conventionnelles par rapport à son style habituel, mais dont les personnages et l'action sont toujours le centre, quitte parfois à nous présenter des décors et des arrières plans un poil trop évanescent pour les amateurs de paysages. Il n'empêche qu'une fois que j'ai fait la fine bouche ainsi, je ne peux que constater que l'influence de Yoann Guillo est ici toute bénéfique tant les planches, l'ambiance, les personnages dégagent une harmonie et une cohérence qui donne envie de tourner chaque pages et d'y revenir. Ses mises en couleurs, toutes en nuances, renforcent les ambiances de chaque planches et me rappellent beaucoup le travail d'Alex Alice. Le travail de Yoann Guillo avait déjà été mis en avant à juste titre sur Goldorak, il faut ici tirer son chapeau car il réussit à bonifier encore une fois le travail d'un artiste pourtant déjà merveilleux. Une fois refermé, ce Cosaques m'a moins marqué que ma lecture de la République du Crâne puisqu'il ne s'agit que d'un début d'histoire, mais il m'est resté, une fois la dernière page refermée, comme une impression de jeune Scorpion, ce qui est plutôt remarquable. Croisons les doigts pour le succès en librairie de ce Cosaques, et l'inspiration de Vincent Burgeas, afin de nous retrouver avec une série dont on dévorera chaque nouveau tome avec un immense plaisir.
  25. Titre de l'album : Cosaques - Tome 1 - Le hussard ailé Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat & Yoann Guillo Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1634. Écoeuré après une bataille sanglante, un jeune hussard polonais décide de déserter. Il est accueilli par une étrange peuplade de guerriers ivres de libertés : les Cosaques. Mais la guerre semble le suivre où qu'il aille. Le nouveau Cosaque devra bientôt reprendre les armes pour défendre ses amis. Critique : Il est difficile d'écrire cette chronique après avoir lu La république du crâne dans le même weekend, puisqu'en effet il est difficile de ne pas comparer les deux bandes dessinées, les deux auteurs principaux étant les mêmes, même si pour Cosaques, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat sont renforcés fort à propos par le travail remarquable de Yoann Guillo, mais j'y reviendrais plus tard. J'écrirais donc cette chronique en mettant souvent en parallèle les deux ouvrages car je vous sais nombreux à avoir lu La république du crâne. On est ici également sur de la bd d'aventure historique, appuyé sur une forte thématique de recherche de liberté, finalement bien plus proche de La république du crâne qu'il ne peut y sembler au premier abord. L'emplacement géographique choisi pour cette bd prendra fort malheureusement un douloureux écho avec notre actualité mais il nous apporte de la fraicheur puisqu'on en ignore à peu près tout, même pour les plus férus d'histoire. Ceci dit il y a une différence très importante entre les deux, et qui explique en, grande partie la note légèrement inférieure attribué sur Cosaques. Il ne s'agit ici que d'un premier tome et non d'une histoire complète aboutie. Et malheureusement, on craint ici l'effet Ira Déi, à savoir une série avec de fortes promesses, qui peuvent finalement décevoir si les chiffres de ventes ne suivant pas, la série doit s'arrêter. L'histoire de ce Cosaques avance vite, à un rythme soutenu, mais agréable et la fin de ce tome 1 ne nous laisse pas en plan au beau milieu de l'intrigue, ce qui reste agréable. Reste que j'ai toutefois eu du mal à discerner le fil conducteur de la série à venir et les futurs enjeux de la trame principale. Il faut cependant je crois faire confiance à Vincent Brugeas pour nous livrer une intrigue qui devrait gagner en intensité sur les prochains tomes. Côté dessin, on touche au très très beau. Si le trait de Ronan Toulhoat est habituellement puissant et sans concession sur ses personnages, accentuant souvent leurs émotions au profit d'un certains esthétisme ou réalisme, il nous livre ici des planches plus conventionnelles par rapport à son style habituel, mais dont les personnages et l'action sont toujours le centre, quitte parfois à nous présenter des décors et des arrières plans un poil trop évanescent pour les amateurs de paysages. Il n'empêche qu'une fois que j'ai fait la fine bouche ainsi, je ne peux que constater que l'influence de Yoann Guillo est ici toute bénéfique tant les planches, l'ambiance, les personnages dégagent une harmonie et une cohérence qui donne envie de tourner chaque pages et d'y revenir. Ses mises en couleurs, toutes en nuances, renforcent les ambiances de chaque planches et me rappellent beaucoup le travail d'Alex Alice. Le travail de Yoann Guillo avait déjà été mis en avant à juste titre sur Goldorak, il faut ici tirer son chapeau car il réussit à bonifier encore une fois le travail d'un artiste pourtant déjà merveilleux. Une fois refermé, ce Cosaques m'a moins marqué que ma lecture de la République du Crâne puisqu'il ne s'agit que d'un début d'histoire, mais il m'est resté, une fois la dernière page refermée, comme une impression de jeune Scorpion, ce qui est plutôt remarquable. Croisons les doigts pour le succès en librairie de ce Cosaques, et l'inspiration de Vincent Burgeas, afin de nous retrouver avec une série dont on dévorera chaque nouveau tome avec un immense plaisir. Autres infos : Encore ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cosaques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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