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  1. poseidon2

    Juliette a New York et à Paris

    Les lectrices (enfin surtout lectrices adolescentes) éclairées me diront que ce Juliette n'est pas une nouveauté. Et elles auront raison 🙂 Ces ont déjà 2-3 ans. Mais pour ne pas venir sans rien de neuf, ces BDs font parties du'ne opérations sympathique de la maison d'édition Kennes d'offrir un tome pour un acheté : Une bonne occasion pour redécouvrir quelques-uns des titres phares la petite maison d'éditions pour jeunes filles québécoises (la maison d'édition, pas les jeunes filles... enfin pas que québécoise les jeunes filles... je m'embrouille). Et si je connaissais déjà la vie compliqué de Léa olivier, parmi le top 5 de ma fille aînée (et vu c qu'elle ingurgite comme BD c'est un gage de qualité), je ne connaissais pas Juliette. Je l'ai donc... fait lire à ma fille 🙂Et si elle a commencé avec "bon ce n'est pas aussi bien que Léa Olivier' (tu m'étonnes, on parle d'une tome 5) ca a ensuite embrayé sur un "mais c'est quand même très cool. On apprend plein de trucs sur les villes qu’on n’a pas vu... même si moi paris j'avais déjà vu (je vous ai dit qu'elle avait 11 ans ?). Et puis la mère de Juliette est quand même super cool.(bim un tacle) Bref j'aime bien. On garde". Le couperet est tombé : j'ai dû faire une nouvelle étagère ce week end ! Vous l'aurez compris avec cette critique débridée, si je forme une successeur.... ce n'est pas encore pour tout de suite 😄 Mais si vous avez une fille de 10 à 14 ans je vous encourage vivement à profiter de cette offre pour découvrir Juliette et ses découvertes, aussi sympathique qu'éducatives, des grandes villes de ce monde.
  2. Titre de l'album : Juliette a New York et à Paris Scenariste de l'album : Lisette Morival adaptant Rose-Line Brasset Dessinateur de l'album : Émilie Decrock Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : En compagnie de sa mère journaliste, Juliette voyage aussitôt qu’un congé scolaire se présente. Quelques jours avant Pâques, l’adolescente s’envole vers la Grosse Pomme pour passer une semaine de rêve dans la fameuse ville qui ne dort jamais. Au programme: shopping, visites et scrapbooking. Mais c’était évidemment sans compter sur les nouveaux amis de Juliette qui l’entraînent dans des aventures incroyables à travers tout New York… Critique : Les lectrices (enfin surtout lectrices adolescentes) éclairées me diront que ce Juliette n'est pas une nouveauté. Et elles auront raison 🙂 Ces ont déjà 2-3 ans. Mais pour ne pas venir sans rien de neuf, ces BDs font parties du'ne opérations sympathique de la maison d'édition Kennes d'offrir un tome pour un acheté : Une bonne occasion pour redécouvrir quelques-uns des titres phares la petite maison d'éditions pour jeunes filles québécoises (la maison d'édition, pas les jeunes filles... enfin pas que québécoise les jeunes filles... je m'embrouille). Et si je connaissais déjà la vie compliqué de Léa olivier, parmi le top 5 de ma fille aînée (et vu c qu'elle ingurgite comme BD c'est un gage de qualité), je ne connaissais pas Juliette. Je l'ai donc... fait lire à ma fille 🙂Et si elle a commencé avec "bon ce n'est pas aussi bien que Léa Olivier' (tu m'étonnes, on parle d'une tome 5) ca a ensuite embrayé sur un "mais c'est quand même très cool. On apprend plein de trucs sur les villes qu’on n’a pas vu... même si moi paris j'avais déjà vu (je vous ai dit qu'elle avait 11 ans ?). Et puis la mère de Juliette est quand même super cool.(bim un tacle) Bref j'aime bien. On garde". Le couperet est tombé : j'ai dû faire une nouvelle étagère ce week end ! Vous l'aurez compris avec cette critique débridée, si je forme une successeur.... ce n'est pas encore pour tout de suite 😄 Mais si vous avez une fille de 10 à 14 ans je vous encourage vivement à profiter de cette offre pour découvrir Juliette et ses découvertes, aussi sympathique qu'éducatives, des grandes villes de ce monde. Autres infos : Editions Kennes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/juliette-a-new-york-bd?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. L'été c'est l'occasion d'acheter des BDs à nos petites têtes blondes pour leur faire lâcher leurs écrans. Et pourquoi pas avec Ursula. Si le graphisme fait très (trop pour un adulte) enfantin et simpliste, le discours derrière est plutôt bien trouvé. Tourné vers les familles séparées, elle nous parle de la difficulté de ne pas avoir un chouchou parmi ses parents....et que dans ces cas l'a c'est souvent celui que l'on voit le moins et souvent...le père. Porté par une petite espiègle au possible, cette histoire est celle d'une découverte de qui est vraiment le papa d'Ursula. Le parti pris intelligent est que, contrairement aux films et séries standard, ce n'est pas deux personnages qui s'apprivoisent mais bien une fille qui découvre un père. Père qui lui a toujours aimé sa fille. En résumé une très belle BD pour les enfants de parents séparés et une bonne BD pour comprendre les problématiques des copains et copines pour ceux qui ont la chance d'avoir des parents encore ensemble.
  4. Titre de l'album : Ursula, mon père, cet enfer.... Scenariste de l'album : Sandra Nelson Dessinateur de l'album : Anaïs Poilpré Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Ursula est une jeune fille pleine de vie et d'énergie. Passionnée par la fabrication de la slime, la musique et son chat Zizou, sa vie bascule le jour où, sa mère et son beau-père partent trois mois en Amazonie pour leur travail de botaniste. C'est décidé, Ursula ira vivre chez son père. Mais comment gérer ce dernier, qui adore les listes et les objectifs, quand en plus on fait sa première rentrée au collège ! Ursula va devoir affronter cette nouvelle vie et appréhender ce père qu'elle connaît si peu... Critique : L'été c'est l'occasion d'acheter des BDs à nos petites têtes blondes pour leur faire lâcher leurs écrans. Et pourquoi pas avec Ursula. Si le graphisme fait très (trop pour un adulte) enfantin et simpliste, le discours derrière est plutôt bien trouvé. Tourné vers les familles séparées, elle nous parle de la difficulté de ne pas avoir un chouchou parmi ses parents....et que dans ces cas l'a c'est souvent celui que l'on voit le moins et souvent...le père. Porté par une petite espiègle au possible, cette histoire est celle d'une découverte de qui est vraiment le papa d'Ursula. Le parti pris intelligent est que, contrairement aux films et séries standard, ce n'est pas deux personnages qui s'apprivoisent mais bien une fille qui découvre un père. Père qui lui a toujours aimé sa fille. En résumé une très belle BD pour les enfants de parents séparés et une bonne BD pour comprendre les problématiques des copains et copines pour ceux qui ont la chance d'avoir des parents encore ensemble. Autres infos : Edition Jungle Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ursula-pere-enfer/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Les contes du Givre t1 et 2 @VladNirky à sortit sa BD en financement participative, je sors la mienne 🙂 Pas de raison 🙂 Sans rigoler on est pas du tout dans le même genre. Ici on est vraiment dans un albums dans la veine des légendes de la gardes. Des histoires/contes d'un monde d'animaux humanisé le tout porté par un graphisme sublime. La campagne marche bien avec un financement à 200% atteint avec donc deja un conte en plus et un marque page offert. Possibilité d'acheter le premier tome durant la campagne ! Ca se passe la : https://fr.ulule.com/contes-givre-2-ode-materia/ Regarder moi ce travail :
  6. C'est l'été ! Et pour ne pas lire que les comics et des mangas (qui sont les parutions qui ne craignent pas la chaleur), je me suis dit que continuer notre BDtheque ne serait pas un mal. Place aujourd’hui à l'une des séries magiques de feu "poisson-pilote", la collection d’humour adulte de Dargaud. On devrait la collection loufoque de Dargaud. J'ai choisi les cosmonautes du futur car ils représentent bien cette collection : Un des premiers titres portés par un jeune dessinateur qui débute (qui ne donnera surement rien) et auteur déjà reconnu pour son humour pas comme les autres. Mais je l'ai aussi choisi parce que cette série est excellente. Les deux jeunes personnages que sont Gildas et Martina sont juste parfaits. Ils sont aussi drôle qu'émouvant, aussi bêtes que lucide. Des enfants qui croiseront de extraterrestres, des robots, des clones (une vraie guerre des clones d'ailleurs :D), des clones de robots, des extraterrestres dans des robots.... une vie normale quoi ! C'est dur de parler de cette BDs sans révéler la surprise principale du premier tome mais ce qu'il faut retenir c'est que cette BD marqua le début de plus de 10 ans loufoquerie sympathique et déjantée pour adultes ne se prenant pas la tête. 10 ans qui auront vu l’émergence de futur grand nom de la BD européenne. Une collection déjantée qui manque au panel actuel d'une bande dessinée devenu peut être un peu trop sérieuse.
  7. Titre de l'album : La bdtheque de 1001bd: les cosmonautes du futur Scenariste de l'album : Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Manu Larcenet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : - tu sais gildas, il faudra qu'on parle vraiment un jour... ça ne peut plus durer ces histoires d'extraterrestres... - c'est vrai, tu as raison. dès que je peux, je les extermine tous. - sérieusement, gildas... tu ne crois quand même pas qu'il y a des aliens partout ? - et pourquoi pas ? la terre présente un énorme intérêt économique. il y a plein de tonnes de gâteaux, de bonbons et de jeux vidéo... Critique : C'est l'été ! Et pour ne pas lire que les comics et des mangas (qui sont les parutions qui ne craignent pas la chaleur), je me suis dit que continuer notre BDtheque ne serait pas un mal. Place aujourd’hui à l'une des séries magiques de feu "poisson-pilote", la collection d’humour adulte de Dargaud. On devrait la collection loufoque de Dargaud. J'ai choisi les cosmonautes du futur car ils représentent bien cette collection : Un des premiers titres portés par un jeune dessinateur qui débute (qui ne donnera surement rien) et auteur déjà reconnu pour son humour pas comme les autres. Mais je l'ai aussi choisi parce que cette série est excellente. Les deux jeunes personnages que sont Gildas et Martina sont juste parfaits. Ils sont aussi drôle qu'émouvant, aussi bêtes que lucide. Des enfants qui croiseront de extraterrestres, des robots, des clones (une vraie guerre des clones d'ailleurs :D), des clones de robots, des extraterrestres dans des robots.... une vie normale quoi ! C'est dur de parler de cette BDs sans révéler la surprise principale du premier tome mais ce qu'il faut retenir c'est que cette BD marqua le début de plus de 10 ans loufoquerie sympathique et déjantée pour adultes ne se prenant pas la tête. 10 ans qui auront vu l’émergence de futur grand nom de la BD européenne. Une collection déjantée qui manque au panel actuel d'une bande dessinée devenu peut être un peu trop sérieuse. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-cosmonautes-du-futur-t-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Corps en grêve

    Corps en grève c'est typiquement le genre de BD que j’hésite à prendre. En effet il y a reportage et reportage. Quoi qu'on en dise un reportage est forcément engagé et le niveau d'engagement du reportage peu nuire à la narration en devenant trop partisan. J'avais un peu peur de cela. Pour d'avoir entre les mains une unique diatribe du pouvoir en place à l'époque. Alors qu'en fait, pas complètement. Nos autrices gardent un regard complet sur cette affaire. En effet elles parlent (et c'est bien normal) du manque d'implication des gens et de la préfecture qui a mis des bâtons dans les roues des immigrants. Mais fort intelligemment ce sont des points parmi d'autre. On voit bien qu'elles se sont bien renseignées sur le sujet. L'implication de l'ambassadeur de Tunisie tout comme la non participations de certains aillant déjà leurs cartes de séjours ou encore ce lyonnais qui ne veut pas rester spectateur, tous ces détails forge l'histoire et nous montre la complexité de l'affaire et que cela ne se résumait pas en un affrontement Gréviste/Gouvernement français. J'avais donc hésité mais, comme nos manifestants de la bande dessinée, j'ai bien fait de franchir le cap. On regrettera seulement, mais comme tout documentaire, le potentiel de relecture qui, une fois les informations connus, est assez faible.
  9. poseidon2

    Corps en grêve

    Titre de l'album : Corps en grêve Scenariste de l'album : Valentine Boucq Dessinateur de l'album : Amandine Puntous Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lyon, mars 1973. Vingt-trois travailleurs tunisiens sans-papiers entament une grève de la faim pour obtenir un titre de séjour. Elle durera vingt jours durant lesquels Français et immigrés lutteront ensemble, jusqu'au bout. Raconter le combat oublié de ces travailleurs immigrés sans-papiers, c'est se replonger au début des années 1970, lorsque l'opinion publique " découvre" leurs conditions de vie : selon un rapport officiel, 800 000 travailleurs étrangers vivaient alors en France dans de véritables taudis. Les autrices ont enquêté, retrouvé « les trois Mohamed » aujourd'hui retraités, pères de familles ayant fait souche en France... Leur histoire fait indéniablement échos à l'actualité. Les bidonvilles ont disparu, jungle et campements de fortune sont apparus, les droits humains restent bafoués. Critique : Corps en grève c'est typiquement le genre de BD que j’hésite à prendre. En effet il y a reportage et reportage. Quoi qu'on en dise un reportage est forcément engagé et le niveau d'engagement du reportage peu nuire à la narration en devenant trop partisan. J'avais un peu peur de cela. Pour d'avoir entre les mains une unique diatribe du pouvoir en place à l'époque. Alors qu'en fait, pas complètement. Nos autrices gardent un regard complet sur cette affaire. En effet elles parlent (et c'est bien normal) du manque d'implication des gens et de la préfecture qui a mis des bâtons dans les roues des immigrants. Mais fort intelligemment ce sont des points parmi d'autre. On voit bien qu'elles se sont bien renseignées sur le sujet. L'implication de l'ambassadeur de Tunisie tout comme la non participations de certains aillant déjà leurs cartes de séjours ou encore ce lyonnais qui ne veut pas rester spectateur, tous ces détails forge l'histoire et nous montre la complexité de l'affaire et que cela ne se résumait pas en un affrontement Gréviste/Gouvernement français. J'avais donc hésité mais, comme nos manifestants de la bande dessinée, j'ai bien fait de franchir le cap. On regrettera seulement, mais comme tout documentaire, le potentiel de relecture qui, une fois les informations connus, est assez faible. Autres infos : Edition Steinkis Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-en-greve?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. A la vue de la couverture et avant la lecture, j'ai tout de suite pensé au 1er tome de cette série fleuve. Nous sommes au tome 28, et bien des histoires différentes, dans le fond ou la forme, ont parsemé ces dernières années La Geste des Chevaliers Dragons. Pourtant ce tome est comme une espèce de retour aux racines. Vous allez en effet y trouver un dragon à occire, pas [trop] de politique, puisque par définition l'ordre des Chevaliers Dragons ne fait pas de politique (!). Une équipe de chevalier typique, avec son maître et sa jeune apprentie dévouée , de très belles planches (j'y reviendrais plus bas), et un scénario efficace qui va droit au but en servant des branches annexes avec succès, et qui vont se révéler plus importantes que l'histoire principale. Pourtant ce tome s'inscrit également dans le fil rouge présent déjà depuis longtemps dans la série (pour information, ce tome 28 prend place chronologiquement entre le tome 24 et le tome 26), et contribue par petites touches à l'enrichissement de l'univers des auteurs vers quelques chose de solide. Il y a portant des différences dans la manière de raconter cette histoire qui s'annonçait assez classique (nous sommes au tome 28, ne l'oubliez pas, et des références dans la couverture sonnent comme un rappel aux origines: L'ordre, le chevalier, l'armure, l'épée). Le ton employé est assez léger, et tout en humour et le dessin y participe dès les 1ères cases et planches. Ensuite le point de vu adopté n'est pas centré sur le Chevalier Dragon qui apprend à son apprentie, comme c'est souvent le cas, mais sur Tarek. Vendeur / Magouilleur, au bon cœur au final, qui va recroiser (pour son bonheur) Sybille: son amour impossible, qu'il va poursuivre sur sa mission de Chevalier. Côté dessin, j'avoue que je suis surpris très favorablement par les très belles planches que nous livre Roberto Viacava, qui nous à déjà offert quelques comics (Batman / Superman) ou le 5e évangile avec Jean-Luc Istin chez Soleil. Ses planches sont très précises, lumineuses (la mise en couleur y participe aussi), réalistes. Avec beaucoup de détails. Elles s'adaptent parfaitement au récit et y ajoutent pas mal de légèreté, car au final le ton malgrè son contexte habituel, grave et son lots de morts par dizaines ou même centaine, reste léger. A cause des situations décalées et de l'humour ironique et sarcastique de part et d'autre des planches. En conclusion, c'est un très bon tome de la Geste, une bonne histoire, solide, bien mise en images et qui sert la série. Et cela suffit à mon bonheur de lecteur de la Geste. Et je vais aller relire le Tome 24, qui chronologiquement se place juste avant pour retrouver les personnages juste avant cet épisode, qui est aussi leur dénouement.
  11. Titre de l'album : La geste des chevaliers dragons: Tome 28 : Contrebandes Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Viacava Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tarek, jeune contrebandier séduisant, et qui n'aspire qu'à la fortune et aux femmes, est une nouvelle fois embarqué dans un conspiration qui le dépasse. Une conspiration où est impliqué l'Ordre des Chevaliers Dragon... et la belle Sybile, qui a eu une grande importance dans le passé de Tarek et qui dont la seule présence va remettre en question l'avenir de contrebandier, sa moralité... et sa vie. Critique : A la vue de la couverture et avant la lecture, j'ai tout de suite pensé au 1er tome de cette série fleuve. Nous sommes au tome 28, et bien des histoires différentes, dans le fond ou la forme, ont parsemé ces dernières années La Geste des Chevaliers Dragons. Pourtant ce tome est comme une espèce de retour aux racines. Vous allez en effet y trouver un dragon à occire, pas [trop] de politique, puisque par définition l'ordre des Chevaliers Dragons ne fait pas de politique (!). Une équipe de chevalier typique, avec son maître et sa jeune apprentie dévouée , de très belles planches (j'y reviendrais plus bas), et un scénario efficace qui va droit au but en servant des branches annexes avec succès, et qui vont se révéler plus importantes que l'histoire principale. Pourtant ce tome s'inscrit également dans le fil rouge présent déjà depuis longtemps dans la série (pour information, ce tome 28 prend place chronologiquement entre le tome 24 et le tome 26), et contribue par petites touches à l'enrichissement de l'univers des auteurs vers quelques chose de solide. Il y a portant des différences dans la manière de raconter cette histoire qui s'annonçait assez classique (nous sommes au tome 28, ne l'oubliez pas, et des références dans la couverture sonnent comme un rappel aux origines: L'ordre, le chevalier, l'armure, l'épée). Le ton employé est assez léger, et tout en humour et le dessin y participe dès les 1ères cases et planches. Ensuite le point de vu adopté n'est pas centré sur le Chevalier Dragon qui apprend à son apprentie, comme c'est souvent le cas, mais sur Tarek. Vendeur / Magouilleur, au bon cœur au final, qui va recroiser (pour son bonheur) Sybille: son amour impossible, qu'il va poursuivre sur sa mission de Chevalier. Côté dessin, j'avoue que je suis surpris très favorablement par les très belles planches que nous livre Roberto Viacava, qui nous à déjà offert quelques comics (Batman / Superman) ou le 5e évangile avec Jean-Luc Istin chez Soleil. Ses planches sont très précises, lumineuses (la mise en couleur y participe aussi), réalistes. Avec beaucoup de détails. Elles s'adaptent parfaitement au récit et y ajoutent pas mal de légèreté, car au final le ton malgrè son contexte habituel, grave et son lots de morts par dizaines ou même centaine, reste léger. A cause des situations décalées et de l'humour ironique et sarcastique de part et d'autre des planches. En conclusion, c'est un très bon tome de la Geste, une bonne histoire, solide, bien mise en images et qui sert la série. Et cela suffit à mon bonheur de lecteur de la Geste. Et je vais aller relire le Tome 24, qui chronologiquement se place juste avant pour retrouver les personnages juste avant cet épisode, qui est aussi leur dénouement. Autres infos : J'aime les séries fleuve Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-geste-des-chevaliers-dragons-tome-28?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Androïdes Tome 1 : Résurrection Scénario : Jean-Luc Istin Dessin : Jesus Hervas Millan Couleur : Olivier Héban Genre : Science-fiction Edition : Soleil Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : En 2545, l'humanité est frappée de stérilité. Plus personne sur terre n'a engendré d'enfants depuis 500 ans. Si la société Microcorp n'avait pas inventé le mélange « la pilule bleue », la Terre serait aujourd'hui inhabitée. Grâce au « mélange », la jeunesse éternelle est garantie. Plus de maladies, plus de vieillesse. C'est dans ce contexte que Liv Anderson, flic au caractère bien trempé, enquête sur le meurtre d'un directeur de musée, retrouvé chez lui criblé de balles. Très vite, ce qui ressemble à une banale affaire semble conduire à une donnée si secrète qu'elle pousse ses gardiens à tuer quiconque s'en approche. Parallèlement, Anna Hopkins, restauratrice d'oeuvres d'art, se sent de plus en plus mal. Elle consulte le Dr Castle et le verdict tombe. Depuis 500 ans, l'humanité est stérile, mais. Anna est enceinte. Ce premier tome d’Androïdes débute une nouvelle série de science-fiction composée de quatre tomes. Une équipe artistique différente travaillera sur chaque album autour du thème des androïdes, avec une parution tous les trimestres. Ce premier tome intitulé Résurrection nous présente une société futuriste où les hommes sont devenus immortels avec les recherches scientifiques effectuées, pour faire face aux épidémies. Des androïdes aident les personnes dans toutes les tâches ingrates ou dangereuses. Dans ce contexte, on suit l’enquête de Liv Anderson une femme animée par son métier et la vérité. En parallèle on suit également la vie d’une jeune artiste qui rénove les anciennes œuvres d’art. La partie graphique permet de rentrer dans l’histoire avec des planches détaillées et une ville futuriste énorme. Ce premier tome nous plonge dans une ambiance d’anticipation ou de science-fiction avec des androïdes proches des récits des maitres du genre Asimov et de Philip K. Dick. Note : Alx23
  13. poseidon2

    Le blog de cleo

    C'est étonnant comme Beka et Gregoire Mabire réussissent là où je les voyais échouer : le renouvellement. En effet en enchaînant les "blog de" je pensais que l'on lirait tout le temps la même chose à quelque détails prêt. Et bien en fait pas du tout. Si le blog est au centre de l'histoire avec des pages complètes de blog représentées, chaque album a son thème bien à lui. Apres l'isolement, le harcèlement et le geo catching, voici venu le blog pour extérioriser une rupture.... et pas que. C'est ce qui rend cette lecture agréable (enfin surtout pour les ados de sexe féminin, il ne faut pas le cacher). EN effet nous n'avons pas ici que cette histoire de rupture mais aussi une petit partie enquête et mystère qui a bien plu à ma fille de 11 ans. On se retrouve avec un album qui réussira à capter le lecteur jusqu'au bout malgré des grandes pages de blog à lire. Une suite sympathique d'une belle série pour écolière.
  14. poseidon2

    Le blog de cleo

    Titre de l'album : Le blog de cleo Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Gregoire Mabire Editeur de l'album : Bamboo Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png Résumé de l'album : Entre journal intime 2.0 et bande dessinée. À Paris, Cléo ne se remet pas de sa rupture avec son amoureux, Valentin. Sur les conseils de sa psychologue, elle commence à écrire des contes de fées sur son blog littéraire. Mais elle n'arrive pas à oublier Valentin... Nina invite Cléo à passer quelques jours chez elle, à la campagne, en compagnie de Charlotte, Maxime et Raphaël. Le mystère irrésolu du vieux manoir du village va donner envie à Cléo de mener l'enquête et de continuer à écrire. Car quoi de mieux que l'imaginaire pour fuir son quotidien morose et s'inventer de nouvelles vies ? Critique : C'est étonnant comme Beka et Gregoire Mabire réussissent là où je les voyais échouer : le renouvellement. En effet en enchaînant les "blog de" je pensais que l'on lirait tout le temps la même chose à quelque détails prêt. Et bien en fait pas du tout. Si le blog est au centre de l'histoire avec des pages complètes de blog représentées, chaque album a son thème bien à lui. Apres l'isolement, le harcèlement et le geo catching, voici venu le blog pour extérioriser une rupture.... et pas que. C'est ce qui rend cette lecture agréable (enfin surtout pour les ados de sexe féminin, il ne faut pas le cacher). EN effet nous n'avons pas ici que cette histoire de rupture mais aussi une petit partie enquête et mystère qui a bien plu à ma fille de 11 ans. On se retrouve avec un album qui réussira à capter le lecteur jusqu'au bout malgré des grandes pages de blog à lire. Une suite sympathique d'une belle série pour écolière. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-blog-de-cleo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Sweet Home

    Sweet home rejoint la collection Grindhouse aux éditions Glénat, dont les titres sont assez moyens pour le moment. Je me suis quand même laissé tenter par Sweet home avec une histoire assez simple mais qui semblait convenir au registre de la collection de séries B. Sébastien Viozat nous propose de vivre une course poursuite après à un braquage qui à dégénéré pour terminer en huit-clos dans une maison. On lit sans vraiment s'arrêter sur l'histoire et les personnages ne sont pas charismatiques à part le shérif. J'avais découvert Kieran avec We are the night scénarisé par Ozanam puis une histoire courte dans Doggybags et la suite de son histoire the golden boy. Le trait du dessinateur m'avait bien plu avec des planches très détaillées. Mais je n'ai pas retrouvé son style avec Sweet home avec des planches aux décors assez vides ou peu détaillées et une forte impression numérique. Cela s'explique certainement avec le format de l'album plus grand que ses dernières productions... Sweet home ne me laissera pas un grand souvenir, comme les autres titres de la collection Grindhouse au final.
  16. alx23

    Sweet Home

    Titre de l'album : Sweet Home Scenariste de l'album : Sébastien Viozat Dessinateur de l'album : Kieran Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Méfiez-vous des apparences... Zack, Sally et Ethan ont une spécialité : attaquer les fourgons de banque. Mais leur dernier braquage a mal tourné et l’un d’entre eux a écopé d’une balle dans le ventre. Pourchassés par la police et trahis par Zack, Sally et Ethan fuient dans les hauteurs de Mulholland Drive et n’ont d’autre choix que de trouver refuge de force dans la superbe villa des Campbell. Mais si, en apparence, cette famille a tout du bon petit foyer de bourgeois américains, le couple de gangsters va vite s’apercevoir que quelque chose cloche ici. Et si le véritable danger était à l’intérieur ? Critique : Sweet home rejoint la collection Grindhouse aux éditions Glénat, dont les titres sont assez moyens pour le moment. Je me suis quand même laissé tenter par Sweet home avec une histoire assez simple mais qui semblait convenir au registre de la collection de séries B. Sébastien Viozat nous propose de vivre une course poursuite après à un braquage qui à dégénéré pour terminer en huit-clos dans une maison. On lit sans vraiment s'arrêter sur l'histoire et les personnages ne sont pas charismatiques à part le shérif. J'avais découvert Kieran avec We are the night scénarisé par Ozanam puis une histoire courte dans Doggybags et la suite de son histoire the golden boy. Le trait du dessinateur m'avait bien plu avec des planches très détaillées. Mais je n'ai pas retrouvé son style avec Sweet home avec des planches aux décors assez vides ou peu détaillées et une forte impression numérique. Cela s'explique certainement avec le format de l'album plus grand que ses dernières productions... Sweet home ne me laissera pas un grand souvenir, comme les autres titres de la collection Grindhouse au final. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Série : Conquêtes Scenario :Nicolas Jarry / Jean-Luc Istin / Dessin : Stéphane Créty my 2 cents Le meilleur des 5 Edition : Soleil Acheter sur BDfugue Résumé :La flotte spatiale canadienne gravite autour d'Enorus alors que, officiellement, les autorités cherchent un endroit pour implanter une première colonie. En vérité un phénomène de glaciation aussi brutal qu'inattendu a étouffé tout espoir de pouvoir un jour y vivre. Enorus est morte et la flotte n'a pas suffisamment de ressources pour rallier une autre planète, à moins qu'elle ne sacrifie la moitié de ses vaisseaux. L'amiral Murphy doit trancher... Et si relisait Universal war one ? Ou le Fléaux des dieux ? Oui je suis un peu triste de dire cela alors même que ce tome 5 est le meilleur de la série mais... on a un peu un arrière-gout de tout ça pour... ben pour quoi ? Pourquoi nous faire 5 tomes sans aucun lien ? 5 tomes qui, jusqu’à celui-là, allaient trop vite en besogne et ne prenait pas le temps suffisant pour bien nous impliquer dans ces histoires ? J'ai dû avoir trop d'attente sur cette série de BDs SF. trop de bon souvenirs de toutes les bonnes BD de SF ambitieuse des années passées... Ce qui est d'autant plus dommage c'est que ce tome ci, le cinquième et dernier, est très bon. En effet cette fois ci Jarry et Istin nous livre un vrai épisode de BattleStar Gallactica : l'important n'est pas tant le fait de conquérir une planète que le fait de montrer au jour de tous la vraie nature de l'homme. Une BD certes plus fataliste mais qui prend plus le temps de bien nous présenter les différents protagonistes et les questions qui leur font faire ces choix "discutables". Une vraie bonne histoire sur fond de SF quoi a contrario des autres qui étaient plus de la SF sans véritables histoires. Bref, convaincu par celui-là mais déçu par l'ensemble. Ma Note:
  18. poseidon2

    Les amies de papiers

    Les amies grandissent et en grandissant leurs amitiés ne fait que se renforcer. Mais en grandissant arrivent les histoires de garçons, les peines de cœurs et les fois où le papier n'est pas suffisant. Ce qui est bien dans ce tome 4 c'est que nos auteurs nous montrent que malgré l'attachement des deux jeunes filles aux papiers, elles restent des gamines de 13 ans qui vivent dans un monde ou le téléphone est omni présent. On a donc dans ce tome 4 l'introduction de cet objet qui permet quand même aux filles de se contacter en cas d'urgence. Si cet ajout est la bienvenue, l'histoire du théâtre ne m'a pas vraiment plu. A ma fille non plus. Elle l'a lu rapidement et m'a dit : bof. Alors qu'elle adore les 3 premiers. En effet ce côté n'est pas assez développé pour être autre chose qu'un prétexte. Bref un tome qui reste sympa parce que l'on retrouve nos héroïnes... mais pas beaucoup plus que ça.
  19. Titre de l'album : Les amies de papiers Scenariste de l'album : Christophe Cazenove / Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Cecile Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une belle relation épistolaire à l'heure du portable et des réseaux sociaux. Qu'est-ce qui peut justifier que Charlotte décide de rompre le pacte fait avec Meï, son amie de papier, de ne construire leur amitié que par écrit et aucun autre moyen ? Si elle décide de lui téléphoner, c'est certainement que les choses sont graves. Mais à 14 ans, ce n'est pas évident de savoir ce qui est vraiment grave ou pas. Si c'est une histoire de coeur, Meï pourra l'aider en tant que spécialiste du sujet. L'adolescence s'installe et ajoute de belles feuilles aux vies déjà bien remplies de Meï et Charlotte. Critique : Les amies grandissent et en grandissant leurs amitiés ne fait que se renforcer. Mais en grandissant arrivent les histoires de garçons, les peines de cœurs et les fois où le papier n'est pas suffisant. Ce qui est bien dans ce tome 4 c'est que nos auteurs nous montrent que malgré l'attachement des deux jeunes filles aux papiers, elles restent des gamines de 13 ans qui vivent dans un monde ou le téléphone est omni présent. On a donc dans ce tome 4 l'introduction de cet objet qui permet quand même aux filles de se contacter en cas d'urgence. Si cet ajout est la bienvenue, l'histoire du théâtre ne m'a pas vraiment plu. A ma fille non plus. Elle l'a lu rapidement et m'a dit : bof. Alors qu'elle adore les 3 premiers. En effet ce côté n'est pas assez développé pour être autre chose qu'un prétexte. Bref un tome qui reste sympa parce que l'on retrouve nos héroïnes... mais pas beaucoup plus que ça. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-amies-de-papier-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Pandora T5

    Alors je ne connaissais pas Pandora de chez Casterman et bien... c'était un tort ! Car Pandora c'est ni plus ni moins que le cahier de vacances des grandes personnes ! Il n'y a pas de raison que seul les enfants aient leur cahier de vacances non ? Et c'est vraiment cela : on y retrouve des jeux, des bandes dessinées, des articles, des blagues.... difficile de tout vous lister car... j'en ai gardé sous le coude pour mes vacances à moi 🙂 Reste que le casting est impressionnant : de Blutch à Anouk Ricard, de Taniguchi à Bastien Vivès, de Jean Harambat à Nicolas de Crécy... et j'en rate ! Fort de plus de 300 pages de BDs/Jeux et autres, ce Pandora est à mettre dans toutes les valises d'amateurs de BD et a savouré en sirotant un cocktail pendant que les gentils enfants ne font pas de bruit sur une plage des Seychelles avec une bonne bière pendant que les gosses braillent en sautant dans la piscine du camping ! Une superbe surprise pour cet été 🙂
  21. poseidon2

    Pandora T5

    Titre de l'album : Pandora T5 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : La revue de bande dessinée de l'été ! L'été 2020 s'annonce plus ensoleillé que jamais, aussi Pandora a décidé de faire peau neuve ! Sa nouvelle formule de 280 pages, enrichie à la bande dessinée, aux illustrations et autres jeux désopilants fera de Pandora le compagnon idéal de vos vacances. Pandora, c'est le job d'été préféré des autrices et des auteurs ! Ils sont plus de 60 à nous offrir autant de récits libres, aventureux, drolatiques, extravagants et toujours surprenants autour du thème fédérateur de l'été ! Pandora enfilera son maillot de bain un peu en avance, dès la fin du mois de mai, et sera une véritable invitation aux vacances d'été ! Sur la plage, Pandora est aussi indispensable qu'une serviette de bain, mais surtout n'oublions pas : c'est la seule revue de bande dessinée qui se lit avec des lunettes... de soleil ! Critique : Alors je ne connaissais pas Pandora de chez Casterman et bien... c'était un tort ! Car Pandora c'est ni plus ni moins que le cahier de vacances des grandes personnes ! Il n'y a pas de raison que seul les enfants aient leur cahier de vacances non ? Et c'est vraiment cela : on y retrouve des jeux, des bandes dessinées, des articles, des blagues.... difficile de tout vous lister car... j'en ai gardé sous le coude pour mes vacances à moi 🙂 Reste que le casting est impressionnant : de Blutch à Anouk Ricard, de Taniguchi à Bastien Vivès, de Jean Harambat à Nicolas de Crécy... et j'en rate ! Fort de plus de 300 pages de BDs/Jeux et autres, ce Pandora est à mettre dans toutes les valises d'amateurs de BD et a savouré en sirotant un cocktail pendant que les gentils enfants ne font pas de bruit sur une plage des Seychelles avec une bonne bière pendant que les gosses braillent en sautant dans la piscine du camping ! Une superbe surprise pour cet été 🙂 Autres infos : Le cahier de vacances des parents Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pandora-n-5-revue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Gideon falls tome 3 Chemin de croix

    Avec Gideon falls, Jeff Lemire change de registre et s'attaque au fantastique horrifique. Dans ce troisième tome, on apprend davantage d'information et le rôle de la fameuse grange noire mais un peu moins sur l'homme qui sourit. On reprend l'aventure à l'époque du Père Burke qui pourchasse Norton Sinclair à travers les époques et les dimensions. A partir de ce moment, l'histoire prend une tournure encore plus complexe avec les voyages à travers les dimensions ou mondes parallèles qui ramènent toujours les protagonistes à Gideon falls. Jeff Lemire nous prouve une fois de plus son talent de scénariste pour nous plonger dans des histoires prenantes. En parallèle, Daniel Sutton et le père Fred ont échangé leur place en traversant les dimensions par la porte de la grange noire. J'ai découvert Andrea Sorrentino avec la série Old man Logan, parce que je trouvais que les dessins apportaient quelque chose de nouveau et original. Depuis je suis cet artiste et avec Gideon Falls on profite pleinement des dessins mais aussi de la construction des planches très travaillée. Son style m'a rappelé un peu celui de Williams III, J.H. sur Desolation Jones ou Batwoman. Pour l'instant, Gideon Falls est une des meilleures séries que je lis actuellement.
  23. Titre de l'album : Gideon falls tome 3 Chemin de croix Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il n'y a plus de doute possible, la Grange Noire est la source de tout, des disparitions, comme des meurtres. Alors que Norton Sinclair et le Dr Xu décident de reconstruire sa porte, pour en percer les secrets, le père Fred suit la trace de Joe Reddy pour comprendre la disparition de Daniel Sutton. Les chemins de Norton et Fred finissent par se croiser dans ce lieu maléfique, où le temps, les époques et la réalité y semblent distendus. Critique : Avec Gideon falls, Jeff Lemire change de registre et s'attaque au fantastique horrifique. Dans ce troisième tome, on apprend davantage d'information et le rôle de la fameuse grange noire mais un peu moins sur l'homme qui sourit. On reprend l'aventure à l'époque du Père Burke qui pourchasse Norton Sinclair à travers les époques et les dimensions. A partir de ce moment, l'histoire prend une tournure encore plus complexe avec les voyages à travers les dimensions ou mondes parallèles qui ramènent toujours les protagonistes à Gideon falls. Jeff Lemire nous prouve une fois de plus son talent de scénariste pour nous plonger dans des histoires prenantes. En parallèle, Daniel Sutton et le père Fred ont échangé leur place en traversant les dimensions par la porte de la grange noire. J'ai découvert Andrea Sorrentino avec la série Old man Logan, parce que je trouvais que les dessins apportaient quelque chose de nouveau et original. Depuis je suis cet artiste et avec Gideon Falls on profite pleinement des dessins mais aussi de la construction des planches très travaillée. Son style m'a rappelé un peu celui de Williams III, J.H. sur Desolation Jones ou Batwoman. Pour l'instant, Gideon Falls est une des meilleures séries que je lis actuellement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gideon-falls-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Mutations t2

    Bon et bien cette suite au Mermaid Project n'a pas du soulever les foules. En effet là où le premier cycle faisait 5 tomes celui-ci clos la série en 2. Mais au moins les auteurs et Dargaud ont le bon gout de clore comme il faut. Car cette fin de diptyque est très honnête. Bon on sent bien qu'il y avait plus à dire mais cela nous fait un tome dense et intéressant. Un tome qui nous fait faire le tour du monde mais ou les auteurs prennent quand même le temps de terminer toutes les histoires commencer dans le premiers cycle. En effet on voit se conclure l’enquête en court mais aussi les histoires de la sirène, de la sœur de Romane et sa famille etc... Bref un bon tome de fin de série pour une série qui n'aurait pas souffert d'un tome de plus quand même.
  25. Titre de l'album : Mutations t2 Scenariste de l'album : Leo Dessinateur de l'album : Jamar Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Mandatés par l'ONU, Romane Pennac et Brahim El Malik (héros de la série Mermaid Project) poursuivent leur nouvelle enquête sur les mystérieuses attaques de bateaux menés par des cétacés. Du Brésil au Mozambique, leurs recherches les amènent à recroiser la route d'Algapower, puissante société scientifique spécialisées dans les mutations génétiques et dont l'héritier, Paul Dorrington Jr, semble manipulé au profit d'un groupe extrémiste, la White Army... Critique : Bon et bien cette suite au Mermaid Project n'a pas du soulever les foules. En effet là où le premier cycle faisait 5 tomes celui-ci clos la série en 2. Mais au moins les auteurs et Dargaud ont le bon gout de clore comme il faut. Car cette fin de diptyque est très honnête. Bon on sent bien qu'il y avait plus à dire mais cela nous fait un tome dense et intéressant. Un tome qui nous fait faire le tour du monde mais ou les auteurs prennent quand même le temps de terminer toutes les histoires commencer dans le premiers cycle. En effet on voit se conclure l’enquête en court mais aussi les histoires de la sirène, de la sœur de Romane et sa famille etc... Bref un bon tome de fin de série pour une série qui n'aurait pas souffert d'un tome de plus quand même. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mutations-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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