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  1. Michael Mignola s'associe au scénariste Chris Roberson un habitué de l'univers étendu de Hellboy, avec ses nombreuses participations à des récits du B.P.R.D. ou Witchfinder. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et nous ont concocté cet album comme un recueil de cinq récits courts. Avec l'introduction du Club de la Lanterne d'argent, on découvre les membres qui combattent et côtoient le fantastique. Sir Edward Grey joue un rôle essentiel dans ce club si bien que l'on a l'impression de lire un tome de la série Witchfinder. Hellboy ne fait que des apparitions en début et fin de chapitre sans apporter de réel intérêt. Les histoires sont bien mais seront vite oubliées sauf celle avec Yad Tovich, le chasseur de loup-garou que l'on connait déjà d'un autre récit d'Hellboy. Matthew Dow Smith et Ben Stenbeck se chargent de la partie graphique dans un style classique. Pour une fois, Dave Stewart ne gère pas les couleurs, cela contribue au rendu différent par rapport à d'habitude. L'album se termine avec des explications sur les étapes de réalisation de planches. Ce tome 18 est un peu décevant puisque l'on ne s'attend pas à suivre Sir Edward Grey mais Hellboy, un tome assez basique et pas indispensable.
  2. Titre de l'album : Batman - one bad day - Catwoman Scenariste de l'album : Gwendolyn Willow Wilson Dessinateur de l'album : Jamie McKelvie Coloriste : Jamie McKelvie Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors que Selina Kyle n'était qu'une adolescente, sa mère a dû se résoudre à vendre une broche dont elle avait héritée à un prêteur sur gages peu scrupuleux. Quelques années plus tard, lorsque Catwoman apprend que ce bijou est en réalité d'une valeur inestimable, elle n'a plus qu'une idée en tête : reprendre ce trésor familial à tout prix ! Mais cette course effrénée ne risque-t-elle pas de déterminer le reste de son existence ? Contenu vo : Batman - One Bad Day: Catwoman. Critique : Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-catwoman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Batman - one bad day - Catwoman

    Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série.
  4. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Reborn - Tome 1 - Renaissance Scenariste de l'album : Sophie Campbell Dessinateur de l'album : Sophie Campbell Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le nouveau monde des Tortues ninja !Après les événements cataclysmiques de New York, ville en guerre, des changements radicaux s'opèrent dans le fief des Tortues : de nouvelles factions ennemies apparaissent, et les alliés se font rares. Nos héros découvrent que pour survivre, la coopération est plus essentielle que jamais, mais lorsqu'ils se retrouvent séparés, Old Hob décide de combler le vide du pouvoir avec des mutants uniques en leur genre : Zanna, Champi et Zink ! Une nouvelle ère passionnante commence pour les Tortues, scénarisée et illustrée par la talentueuse Sophie Campbell (Wet Moon, Shadoweyes, Jem and the Holograms...). « Les Tortues ninja entrent dans une nouvelle ère mais restent au sommet... On aurait bien du mal à trouver un comics actuel mieux conçu que celui-ci. » ComicBook.com« Campbell offre une narration visuelle de premier ordre. Ses dessins font littéralement partie des meilleurs parmi les publications du moment. » Word of the Nerd Online Critique : Quel pied ! Sincèrement je me suis régalé à lire les histoires de ces tortues. Voici un reboot qui a de l'allure, de la continuité, tout en se débarrassant de pas mal des choses encombrants le premier long run. On retrouve nos tortues dans le dur, avec des problématiques plus terre à terre et qui nous lient plus fortement à elles. C'est un tome d'introduction, et forcément, la part belle est faite à leur reconstruction, mais cela ne les rend que plus proches de nous. On perd moins de temps avec des persos secondaires, et on les voit gagner en maturité en affrontant le deuil. A la manière de Last Ronin, on se sert d'un univers que l'on connait pour nous proposer un début d'histoire différent, et quelque part plus mature, tout comme nos tortues. Tant mieux. J'espère simplement que la suite de ce reborn les emmènera plutôt à affronter des menaces communes de leur monde bouleversé et non des menaces extraterrestre ou divines, car je pense que c'est là que cette série peut nous conquérir définitivement. Graphiquement même constat, c'est réussi, peut être parfois un peu trop épuré, mais globalement très constant, lisible et beau. Je me suis régalé. Chapeau Mme Sophie Campbell. Autres infos : d'après la série originale de K. Eastman et T. Waltz Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-reborn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Quel pied ! Sincèrement je me suis régalé à lire les histoires de ces tortues. Voici un reboot qui a de l'allure, de la continuité, tout en se débarrassant de pas mal des choses encombrants le premier long run. On retrouve nos tortues dans le dur, avec des problématiques plus terre à terre et qui nous lient plus fortement à elles. C'est un tome d'introduction, et forcément, la part belle est faite à leur reconstruction, mais cela ne les rend que plus proches de nous. On perd moins de temps avec des persos secondaires, et on les voit gagner en maturité en affrontant le deuil. A la manière de Last Ronin, on se sert d'un univers que l'on connait pour nous proposer un début d'histoire différent, et quelque part plus mature, tout comme nos tortues. Tant mieux. J'espère simplement que la suite de ce reborn les emmènera plutôt à affronter des menaces communes de leur monde bouleversé et non des menaces extraterrestre ou divines, car je pense que c'est là que cette série peut nous conquérir définitivement. Graphiquement même constat, c'est réussi, peut être parfois un peu trop épuré, mais globalement très constant, lisible et beau. Je me suis régalé. Chapeau Mme Sophie Campbell.
  6. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  8. alx23

    Lodger

    David Lapham s'est construit une solide réputation de scénariste de polar avec Stray Bullets, dont cinq intégrales sont déjà disponibles aux éditions Delcourt. Avec Lodger, l'auteur s'associe à sa femme pour écrire l'histoire, elle produisait également Stray Bullets. Ce one shot nous propose de suivre la destinée tragique de Ricky Toledo, une jeune femme en quête de vengeance. L'histoire se sépare en deux parties entre le passé avec des flashbacks pour comprendre la situation et la partie présente en suivant le parcours de cette femme accompagnée de son meilleur ami, un Smith & Wesson. Au travers de ce polar, on découvre une histoire d'amour très étrange tout au long de l'album avec un côté bien déjanté et sombre. L'ambiance est pesante durant ce road-trip dans les campagnes américaine. Si vous connaissez Stray Bullets, vous avez une bonne vision des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste et en noir et blanc. Dans la continuité de sa série de polars, Lodger nous présente des tranches de vie désespérées avec tous les codes du genre et des rebondissement surprenants.
  9. alx23

    Lodger

    Titre de l'album : Lodger Scenariste de l'album : David Lapham & María Lapham Dessinateur de l'album : David Lapham Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ricky Toledo avait quinze ans lorsqu'elle est tombée amoureuse d'un beau et ténébreux vagabond qui louait une chambre dans sa maison familiale. Puis le bellâtre a tué sa mère et fait en sorte que son père soit envoyé en prison pour ce meurtre. Trois ans plus tard, Ricky ne recule devant rien pour se venger. Et la jeune femme brisée est accompagnée de son fidèle compagnon - un Smith et Wesson 45 en or nommé Golddigger... Critique : David Lapham s'est construit une solide réputation de scénariste de polar avec Stray Bullets, dont cinq intégrales sont déjà disponibles aux éditions Delcourt. Avec Lodger, l'auteur s'associe à sa femme pour écrire l'histoire, elle produisait également Stray Bullets. Ce one shot nous propose de suivre la destinée tragique de Ricky Toledo, une jeune femme en quête de vengeance. L'histoire se sépare en deux parties entre le passé avec des flashbacks pour comprendre la situation et la partie présente en suivant le parcours de cette femme accompagnée de son meilleur ami, un Smith & Wesson. Au travers de ce polar, on découvre une histoire d'amour très étrange tout au long de l'album avec un côté bien déjanté et sombre. L'ambiance est pesante durant ce road-trip dans les campagnes américaine. Si vous connaissez Stray Bullets, vous avez une bonne vision des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste et en noir et blanc. Dans la continuité de sa série de polars, Lodger nous présente des tranches de vie désespérées avec tous les codes du genre et des rebondissement surprenants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lodger/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Contre pied complet de Blue Beetle sur ce WW HIstoria. Ici, on est dans du roman graphique pure. Un roman graphique qui raconte l'histoire des amazones, de leurs créations par les déesses à leur exclusion sur Themiscyra. Cette histoire n'a "rien" à voir avec Wonder Woman, autant vous le dire. c'est l'histoire d'Hippolyte et de la rébellion des déesses devant le sort qui est réservé aux femmes sur terre. C'est, toujours a contrario de Blue Bettle, subliment bien dessiné et détaillé. Le découpage est original, le parti prix graphique étonnant et exigeant pour nous fournir une œuvre assez hors norme qui... ne trouvera peut-être son public dans les fans classiques de super héros. Car ici on est plus dans de la mythologie que dans du super héroïsme. N'attendez pas d'autres héros, ou de lasso de la vérité ou de bracelet magique ou de fille qui vole.... On est définitivement plus proche de l'odyssée que d'une crise à la DC. Loin de moi l'idée de dire que ce n'est pas bien, j'ai adoré. C'est juste pour que vous sachiez à quoi vous attendre.
  11. Titre de l'album : Wonder woman historia - The amazons Scenariste de l'album : Kelly Sue DeConnick Dessinateur de l'album : Gene Ha | Phil Jimenez | Nicola Scott Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a des millénaires, la reine Héra et les déesses du panthéon olympien se sont montrées très insatisfaites de leurs homologues masculins. Loin de leur regard, elles mirent un plan à exécution : une nouvelle société était, une société jamais vue sur Terre, capable de choses merveilleuses et terribles : les Amazones. Mais leur existence ne pouvait rester secrète éternellement, si bien que lorsqu'une femme désespérée du nom d'Hippolyte croisa leur chemin, une guerre totale entre le ciel et la Terre débuta, et sans que personne ne puisse l'imaginer, allait mener à la naissance de la plus grande gardienne de la Terre ! Critique : Contre pied complet de Blue Beetle sur ce WW HIstoria. Ici, on est dans du roman graphique pure. Un roman graphique qui raconte l'histoire des amazones, de leurs créations par les déesses à leur exclusion sur Themiscyra. Cette histoire n'a "rien" à voir avec Wonder Woman, autant vous le dire. c'est l'histoire d'Hippolyte et de la rébellion des déesses devant le sort qui est réservé aux femmes sur terre. C'est, toujours a contrario de Blue Bettle, subliment bien dessiné et détaillé. Le découpage est original, le parti prix graphique étonnant et exigeant pour nous fournir une œuvre assez hors norme qui... ne trouvera peut-être son public dans les fans classiques de super héros. Car ici on est plus dans de la mythologie que dans du super héroïsme. N'attendez pas d'autres héros, ou de lasso de la vérité ou de bracelet magique ou de fille qui vole.... On est définitivement plus proche de l'odyssée que d'une crise à la DC. Loin de moi l'idée de dire que ce n'est pas bien, j'ai adoré. C'est juste pour que vous sachiez à quoi vous attendre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-historia-the-amazons?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Dans la lignée de la sortie du film au cinéma, Urban comics nous sort un tome "introductif" sur le nouveau Blue Beetle. Nouveau, car troisième du nom. Personnage recoupant donc le héros de cinéma. L'histoire est résolument orienté (out comme le héros)à vers un jeune public. Dessins très colorés ayant peu de détails, personnage principal gaffeur cherchant à se faire une place parmi les grands noms des super héros et d'adversaire haut en couleurs. De quoi ravir nos jeunes, mais peut-être un peu moins les lecteurs historiques de DC qui trouveront le scenario trop facile.
  13. Titre de l'album : Blue Beetle - Remise de diplôme Scenariste de l'album : Adrián Gutierrez Dessinateur de l'album : Josh Trujillo Coloriste : Josh Trujillo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le post-bac, c'est pas de la tarte. En plus de devoir mettre hors d'état de nuire un nouveau super-vilain bien décidé à réduire El Paso en poussières, Jaime doit aussi subir la pression de son entourage à propos de ses choix à la sortie du lycée, et celle de la Ligue de Justice qui lui incombe de mettre son costume et ses ambition super-héroïques au placard pour laisser les adultes prendre le relai. Comme si ça ne suffisait pas, le scarabée qui permet à Jaime de se transformer en Blue Beetle commence à subir des interférences alors qu'un autre super-héros, Yellow Beetle, fait surface. Jamie parviendra t-il à trouver l'équilibre entre sa vie privée et sa carrière de super-héros, ou devra t-il pour de bon dire au revoir à Blue Beetle ? Contenu vo : Blue Beetle: Graduation Day #1-6. Critique : Dans la lignée de la sortie du film au cinéma, Urban comics nous sort un tome "introductif" sur le nouveau Blue Beetle. Nouveau, car troisième du nom. Personnage recoupant donc le héros de cinéma. L'histoire est résolument orienté (out comme le héros)à vers un jeune public. Dessins très colorés ayant peu de détails, personnage principal gaffeur cherchant à se faire une place parmi les grands noms des super héros et d'adversaire haut en couleurs. De quoi ravir nos jeunes, mais peut-être un peu moins les lecteurs historiques de DC qui trouveront le scenario trop facile. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-beetle-infinite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Reckless - Descente aux enfers Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À la suite du tremblement de terre survenu en 1989, Ethan se rend à San Francisco afin de rechercher une femme disparue. Mais il est bientôt pris dans les méandres d'une sombre affaire, bien différente de tout ce à quoi il a été confronté auparavant. Critique : Déjà cinq albums et un sans-faute pour le duo Brubaker et Phillips avec leur série Reckless, ils annoncent une petite pause sur la série avant d'y revenir plus tard sur une autre période. Le tome précédent se consacrait au personnage d'Anna, l'assistante d'Ethan le héros principal parti en déplacement sur une autre affaire mystérieuse. Ce cinquième tome revient sur cette enquête autour d'une jeune femme portée disparue par son mari. Brubaker exploite encore des faits sordides pour construire son intrigue autour d'une ancienne toxico partie en quête de vengeance. L'écriture de Brubaker est maitrisée, on plonge dans l'histoire dès les premières pages. Le cheminement reste très classique mais l'on prend plaisir à découvrir ce polar qui utilise les codes du genre. Sean Phillips dessine à merveille la partie graphique avec une vision du héros plus âgé pour l'occasion de cette histoire. Il gère bien les ambiances avec les différents lieux visités à la recherche de cette femme. Sons fils assure les couleurs pour un rendu au top. Cette série est excellent, je vous conseille de relire le tome précédent pour replonger et enchainer les deux albums qui se lisent comme un diptyque. Descente aux enfers est une réussite et on peut déjà être content de retrouver les mêmes auteurs le mois prochain avec le thriller Night fever. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reckless-descente-aux-enfers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Reckless - Descente aux enfers

    Déjà cinq albums et un sans-faute pour le duo Brubaker et Phillips avec leur série Reckless, ils annoncent une petite pause sur la série avant d'y revenir plus tard sur une autre période. Le tome précédent se consacrait au personnage d'Anna, l'assistante d'Ethan le héros principal parti en déplacement sur une autre affaire mystérieuse. Ce cinquième tome revient sur cette enquête autour d'une jeune femme portée disparue par son mari. Brubaker exploite encore des faits sordides pour construire son intrigue autour d'une ancienne toxico partie en quête de vengeance. L'écriture de Brubaker est maitrisée, on plonge dans l'histoire dès les premières pages. Le cheminement reste très classique mais l'on prend plaisir à découvrir ce polar qui utilise les codes du genre. Sean Phillips dessine à merveille la partie graphique avec une vision du héros plus âgé pour l'occasion de cette histoire. Il gère bien les ambiances avec les différents lieux visités à la recherche de cette femme. Sons fils assure les couleurs pour un rendu au top. Cette série est excellent, je vous conseille de relire le tome précédent pour replonger et enchainer les deux albums qui se lisent comme un diptyque. Descente aux enfers est une réussite et on peut déjà être content de retrouver les mêmes auteurs le mois prochain avec le thriller Night fever.
  16. alx23

    20th Century Eightball

    La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes.
  17. Titre de l'album : 20th Century Eightball Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 20th Century Eightball est un recueil d'histoires courtes issues des 18 premiers fascicules des comics éponymes publiés entre 1989 et 2004, et démontrant la versatilité de l'auteur ainsi que de son talent de satire sociale. Avec ses récits plusieurs fois primés Clowes est reconnu dans le monde et notamment par Chris Ware qui considère le numéro 1 comme le plus grand comic-book de la fin du XXe siècle. Critique : La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-eightball?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Le retour de la Justice league Dark après le big event qui a vu l'homme inversé être absorbée par Zatana pour sauver la magie. Et quoi de mieux, pour relancer la franchise, que d'aller chercher un personnage iconique : Merlin. Un Merlin revanchard et blasé qui a bien décidé d'en finir avec l'humanité et les différentes réalités. Cela parle au fan de DC ? Et bien sûr car ce tome sur Merlin rejoint les étranges numéros de Futur State que nous avions lu l'année dernière. On a même le droit... de l'avoir en double. 😞 Concernant le numéro lui même, il est bon mais.... semble étrangement incomplet. En effet la première partie qui nous montre la montée en puissance de Merlin et le désarroi de la Justice League Dark est excellente… mais en suite, on saute étrangement dans les numéros de Future State et on zappe toute la partie "Victoire de Merlin" et occupation de la terre par des forces magiques. J'espère que cette partie de l'histoire sera racontée via des flashbacks dans les prochains numéros de la Justice league Dark.... De toute façon, au vu de la fin, on ne peut pas en rester la
  19. Titre de l'album : Justice League Dark - Le retour de Merlin Scenariste de l'album : Ram V. Dessinateur de l'album : Xermanico Coloriste : Xermanico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le road-trip de Zatanna et John Constantine au Nouveau-Mexique est interrompu par un incendie d'où émerge une vieille connaissance. À plusieurs kilomètres de là, dans l'antre d'une cité perdue du Pays de Galles, ce sont des flammes tout aussi dévastatrices qui brûlent dans le regard de Merlin, dont le retour fera pâlir chaque membre de la Ligue de Justice. Pour sauver l'humanité, ils devront percer les mystères d'une bibliothèque possédée. Une nouvelle légende serait-elle en train d'être écrite ? Contenu vo : Justice League #59-71 Back-ups + Justice League Dark Annual #1 + Future State Justice League Dark #1-2. Critique : Le retour de la Justice league Dark après le big event qui a vu l'homme inversé être absorbée par Zatana pour sauver la magie. Et quoi de mieux, pour relancer la franchise, que d'aller chercher un personnage iconique : Merlin. Un Merlin revanchard et blasé qui a bien décidé d'en finir avec l'humanité et les différentes réalités. Cela parle au fan de DC ? Et bien sûr car ce tome sur Merlin rejoint les étranges numéros de Futur State que nous avions lu l'année dernière. On a même le droit... de l'avoir en double. 😞 Concernant le numéro lui même, il est bon mais.... semble étrangement incomplet. En effet la première partie qui nous montre la montée en puissance de Merlin et le désarroi de la Justice League Dark est excellente… mais en suite, on saute étrangement dans les numéros de Future State et on zappe toute la partie "Victoire de Merlin" et occupation de la terre par des forces magiques. J'espère que cette partie de l'histoire sera racontée via des flashbacks dans les prochains numéros de la Justice league Dark.... De toute façon, au vu de la fin, on ne peut pas en rester la Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-dark-infinite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Friday tome 2

    Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome.
  21. alx23

    Friday tome 2

    Titre de l'album : Friday tome 2 Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Marcos Martin Coloriste : Muntsa Vincente Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une enquête aux frontières du réel.En revenant à Kings Hill, Friday a retrouvé son meilleur ami Lancelot. Ce petit prodige a toujours su résoudre les affaires étranges de la région. Mais cette fois, il y a laissé sa vie. Alors que Friday est dévastée par le chagrin, pour les autorités, l'affaire est close : c'est un accident. Comment peut-on imaginer pareille sottise ? Lancelot travaillait sur une mystérieuse affaire au moment où Friday a découvert son corps dans leur QG en feu. De toute évidence, on a essayé de le faire taire à jamais. Malgré la douleur, Friday se lance dans une épineuse enquête pour honorer la mémoire de son ami. Hélas les lieux du crime ne livreront aucun indice, tout a été détruit dans l'incendie. Friday repense alors à Fouinard, ce camarade qui avait disjoncté à cause d'une étrange dague juste avant la mort de Lancelot. Et si ces deux affaires étaient liées ? De pistes en pistes, Friday va se heurter à une énigme qui évoque une légende locale tout en essayant de déchiffrer les signes que Lancelot semble lui avoir laissés sur sa route. La jeune femme n'avait pas prévu qu'elle devrait se dresser face à une créature maléfique ! Critique : Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/friday-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    La malédiction de Spawn tome 1

    Avant que les éditions Delcourt récupèrent les droits des comics Spawn en version françaises, les éditions Semic avaient commencé à traduire la série principale ainsi que des hors-séries à la fin des années 90. Fort du succès des derniers épisodes de Spawn sortis et de l’univers étendue, les éditions Delcourt nous proposent maintenant une première intégrale, regroupant onze numéros de la série Curse of Spawn. L'album présente trois histoires sur des personnages emblématiques de la série principale ou inconnus. Alan Mcelroy est le scénariste du film Spanw avant d'écrire Curse of Spawn. On découvre un Hellspawn dans un monde apocalyptique avec des démons surarmés et près à en découdre avec les derniers humains en vie. Les deux inspecteurs Sam & Twitch sont les héros de la seconde histoire dans une enquête prenante et surnaturelle. La dernière histoire revient sur le personnage d'Angela que l'on a déjà croisé plusieurs fois maintenant. Dwayne Turner se charge de la partie graphique dans un style très représentative des années 90 en comics. L'ensemble est bien sombre avec beaucoup de monstres sortant des enfers. Cette première intégrale commence bien pour tous les amateurs de Spawn et pour compléter leur collection avec des titres de qualité avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage.
  23. Titre de l'album : La malédiction de Spawn tome 1 Scenariste de l'album : Todd Mcfarlane, Alan Mcelroy Dessinateur de l'album : Dwayne Turner Coloriste : Danny Miki, Todd Broeker Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : L'univers de Spawn ne se limite pas à une succession d'arcs narratifs, mais est riche de nombreux personnages secondaires ou d'incarnations du suppôt de l'Enfer. Cette série - écrite par l'auteur du film Spawn, Allen McElroy, et dessinée principalement par Dwayne Turner - passe en revue divers personnages créés par Todd McFarlane. Critique : Avant que les éditions Delcourt récupèrent les droits des comics Spawn en version françaises, les éditions Semic avaient commencé à traduire la série principale ainsi que des hors-séries à la fin des années 90. Fort du succès des derniers épisodes de Spawn sortis et de l’univers étendue, les éditions Delcourt nous proposent maintenant une première intégrale, regroupant onze numéros de la série Curse of Spawn. L'album présente trois histoires sur des personnages emblématiques de la série principale ou inconnus. Alan Mcelroy est le scénariste du film Spanw avant d'écrire Curse of Spawn. On découvre un Hellspawn dans un monde apocalyptique avec des démons surarmés et près à en découdre avec les derniers humains en vie. Les deux inspecteurs Sam & Twitch sont les héros de la seconde histoire dans une enquête prenante et surnaturelle. La dernière histoire revient sur le personnage d'Angela que l'on a déjà croisé plusieurs fois maintenant. Dwayne Turner se charge de la partie graphique dans un style très représentative des années 90 en comics. L'ensemble est bien sombre avec beaucoup de monstres sortant des enfers. Cette première intégrale commence bien pour tous les amateurs de Spawn et pour compléter leur collection avec des titres de qualité avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-malediction-de-spawn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Lazarus - intégrale tome 1

    On ne fera pas l'affront de présenter le hit et Greg Rucka et Michael Lark. je vous renvoie vers les critiques (dont les nôtres 🙂 ) existantes qui louent unanimement l'une des meilleures série d'espionnages en comics. Je parlerai plutôt ici de la qualité des choix d'édition d'Urban Comics sur cette série. En effet, cette série était éditée par Glénat Comics avant de passer sous le giron d'Urban. On aurait pu s'attendre à ce qu'Urban réédite les titres déjà existant dans un format différents pour forcer au rachat les fans... Et bien, il n'en est rien du tout. En effet Urban a gardé le même design que Glenat pour le tome 9 de la série (avec juste le logo qui change) pour permettre aux amateurs de ne pas devoir tout changer. Ca c'est déjà être très beau joueur. De plus, pour les petits nouveaux, Urban passe directement à la case Intégrale avec un prix pas déconnant mais surtout une version "grand format" faisant la part belle aux dessins de Michael Lark. De quoi aussi contenter les nouveaux venus comme les anciens. Une super démarche de la part d'Urban. Démarche que l'on aimerait voir plus souvent !
  25. Titre de l'album : Lazarus - intégrale tome 1 Scenariste de l'album : Greg Rucka Dessinateur de l'album : Michael Lark Coloriste : Michael Lark Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un futur dystopique où les gouvernements sont devenus des concepts d'un autre temps, une poignée de familles règne, par l'argent et le pouvoir, gardant jalousement ce qu'elles possèdent et exploitant les personnes n'ayant rien, les "déchets". La famille Carlyle est l'une des plus puissantes d'entre elles, grâce à un atout de poids : Forever Carlyle, leur protectrice, leur Lazare, entraînée depuis l'enfance pour défendre les biens de sa famille par la ruse et la force. Manipulée aussi bien génétiquement que psychiquement, ses capacités exceptionnelles font d'elle un atout redoutable... tant que les secrets qui l'entourent ne se révèlent pas au grand jour. Critique : On ne fera pas l'affront de présenter le hit et Greg Rucka et Michael Lark. je vous renvoie vers les critiques (dont les nôtres 🙂 ) existantes qui louent unanimement l'une des meilleures série d'espionnages en comics. Je parlerai plutôt ici de la qualité des choix d'édition d'Urban Comics sur cette série. En effet, cette série était éditée par Glénat Comics avant de passer sous le giron d'Urban. On aurait pu s'attendre à ce qu'Urban réédite les titres déjà existant dans un format différents pour forcer au rachat les fans... Et bien, il n'en est rien du tout. En effet Urban a gardé le même design que Glenat pour le tome 9 de la série (avec juste le logo qui change) pour permettre aux amateurs de ne pas devoir tout changer. Ca c'est déjà être très beau joueur. De plus, pour les petits nouveaux, Urban passe directement à la case Intégrale avec un prix pas déconnant mais surtout une version "grand format" faisant la part belle aux dessins de Michael Lark. De quoi aussi contenter les nouveaux venus comme les anciens. Une super démarche de la part d'Urban. Démarche que l'on aimerait voir plus souvent ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lazarus-integrale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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