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  1. Titre de l'album : Dawn of Superman tome 1 Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Jamal Campbell Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Superman est de retour à Metropolis et son plus grand ennemi Lex Luthor est enfin derrière les barreaux. Alors que, sous son identité de Clark Kent, il peut reprendre le cours de sa vie, celle-ci prend cependant un tournant très inattendu : bien qu'il soit en prison, Lex Luthor a décidé de céder toutes ses parts de LexCorp à l'Homme d'Acier et de renommer la société SuperCorp. Véritable volonté de rédemption ou nouveau piège machiavélique conçu par le plus grand adversaire du kryptonien ? Contenu vo : SUPERMAN #1-5 + SUPERMAN ANNUAL #1 + ACTION COMICS #1051-1056 + KNIGHT TERRORS: SUPERMAN #1 -2. Critique : Et c'est parti pour la suite d'Infinite avec Dawn of Superman et le retour de Superman sur terre. Un retour qui le "confronte" à la super family qui est apparu durant l'absence de Superman sur le Warlord mais aussi qui l'oblige à se questionner sur Luthor et sa nouvelle volonté d'aider superman. En découle un album découpé en deux phases : l'histoire principale sur Luthor et Superman et sa famille, somme toute très ("trop") classique si on enlève le cliffhanger. Dessin correct. Histoire dans les standard de Superman. Une histoire qui donne l'impression d'une recherche de normalité dans un univers particulièrement perturbé par Infinite. La deuxième partie, alors que l'on aimerait la suite, se trouve être... bien meilleure en fait. Graphiquement un cran au-dessus, avec une mise en avant des personnages secondaires super intéressants, tout particulièrement les jumeaux issus du Warlord qui montre des facettes intrigantes. Un ensemble très différent. Pour tout dire j'aurais bien aimé acheter uniquement la deuxième partie Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawn-of-superman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    The Riddler - Année un

    C'est y est, elle est là. La première Maestria de l'année. Vous savez, la lecture qui est plus qu'un coup de cœur. Celle qui vous prend aux tripes, que vous n'arrivez pas à lâcher avant de l'avoir fini. Et bien, je l'ai trouvé avec ce the Riddler. Graphiquement c'est une oeuvre. Un mélange parfait de tous les matériaux possibles du 9ieme art. Stevan Subic est au sommet de ce qu'il sait faire. Les parties croquées sur des pages de comptables, la mise en image de la folie, les textes écris sur des bouts de scotch.... une imagination qui nous plonge dans l'esprit d'Edward et qui nous fait nous prendre d'empathie pour un des ennemis les plus iconiques de Batman. Dans la veine du film sur le Joker, Paul Dano prend le personnage au sérieux et le traite comme tel. Il en fait un personnage torturé mais dont on comprend la psyché et dont on ne peut que comprendre les motivations, même si on n'est pas d'accord sur la façon de faire. Et c'est la réussite de ce scenario : réussir à rendre dur et crédible et un personnage trop souvent présenté comme un bouffon. Une master class autant graphique que scénaristique. À lire par tous ceux qui aiment les comics exigeants !
  3. poseidon2

    Dawn of Superman tome 1

    Et c'est parti pour la suite d'Infinite avec Dawn of Superman et le retour de Superman sur terre. Un retour qui le "confronte" à la super family qui est apparu durant l'absence de Superman sur le Warlord mais aussi qui l'oblige à se questionner sur Luthor et sa nouvelle volonté d'aider superman. En découle un album découpé en deux phases : l'histoire principale sur Luthor et Superman et sa famille, somme toute très ("trop") classique si on enlève le cliffhanger. Dessin correct. Histoire dans les standard de Superman. Une histoire qui donne l'impression d'une recherche de normalité dans un univers particulièrement perturbé par Infinite. La deuxième partie, alors que l'on aimerait la suite, se trouve être... bien meilleure en fait. Graphiquement un cran au-dessus, avec une mise en avant des personnages secondaires super intéressants, tout particulièrement les jumeaux issus du Warlord qui montre des facettes intrigantes. Un ensemble très différent. Pour tout dire j'aurais bien aimé acheter uniquement la deuxième partie
  4. Titre de l'album : L'obscure clarté des étoiles Scenariste de l'album : Ron Marz Dessinateur de l'album : Claudio Castellini Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Une mystérieuse comète, constituée d'une énergie en apparence inépuisable, s'apprête à rentrer dans notre galaxie. Galactus et Thanos font tous deux appel à leurs propres agents pour les aider à conquérir cette nouvelle source d'énergie. Le premier confie cette tâche au Silver Surfer, le second à la cupide mercenaire White Raven... Critique : Elle m'intriguait cette réédition Panini d'un run du Silver surfer . Les planches colorées de l'époque sont relookées et affinées au profit d'un noir et blanc élégant et d'une finesse rare . Bien connu chez Marvel , DC , il a même travaillé sur Conan , Claudio Castellini est de la trempe des grands , assurément .Ses planches sont remarquables , le surfer est organique , les reflets prennent vie sur son corps au grès de la lumière ; le mouvement est palpable ainsi qu'une expressivité des visages intense . Vous avez ici l'atout majeur de ce titre paru dans la collection Marvel prestige . Là réside la grandeur du titre , le scénario étant lui (trop) court et limité . Une comète aux pouvoirs ancestraux , deux vilains (Thanos et Galactus) la convoitant , un héros et son adversaire féminin aux courbes pulpeuses typiques du début des années 2000 ; pour une fin (soudaine) convenue et attendue . Le manque d'ambition est total et tellement aux antipodes du niveau graphique proposé . Le livre est enrichi de planches du maître italien , de recherches de personnages et de couvertures . Des dialogues et interviews des auteurs complètent une pagination maigre , pour justifier le prix (?) . Vous l'aurez compris , c'est donc une déception que j'ai éprouvé à la fermeture de l'ouvrage . Certes , l'édition est d'une grande qualité , cette "remasterisation" des planches est intéressante , mais le contenu , l'histoire n'est pas au diapason . Le Silver surfer Requiem peut dormir tranquille , il siège tout en haut des runs du surfer avec celui de Dan Slott et Mike Allred paru en omnibus l'automne dernier . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silver-surfer-l-obscure-clarte-des-etoiles-noir-blanc/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Lilah Sturges propose une adaptation très fidèle de l’histoire du film Dune, de Denis Villeneuve, Eric Roth et Jon Spaihts. D’ailleurs même les dessins de Drew Johnson reprennent les traits de visages des acteurs du film. Dès les premières planches nous avons l'impression de lire le storyboard du film, mais en version condensée. En effet, le film prend le temps de mettre en place une atmosphère avec des prises de vues des décors, des cités ou des scènes de combats intenses au contraire de cet album. Par contre, le timing de cette adaptation est parfait, puisqu’elle sort quelques semaines avant le deuxième film. A noter que l’album se termine sur une galerie des personnages du film dessinée par Bill Sienkiewicz pour les couvertures. D'habitude, les adaptations en comics de films, nous proposent des versions différentes ou alternatives (Avatar) afin de d'attirer les lecteurs ou avec des scènes supplémentaires (Django). Cette adaptation de Dune se contente juste de reprendre le film dans une version résumée, d'ailleurs il est préférable de connaitre le film pour réussir à comprendre l’histoire. Cette adaptation officielle du film sert uniquement à donner envie de revoir le film de Villeneuve et la suite à venir.
  6. Je vous l'ai dit après le tome 1 de cette série de tortues ninja "reborn", j'ai une tendresse pour ce reboot qui n'en est pas un. D'abord l'univers plus que foisonnant des tortues Ninja, devenu complètement fouilli voir même bordélique à la fin du précédent run d'Eastman est redevenu plus lisible. Les enjeux y sont clairs, les personnages secondaires bien que toujours nombreux sont désormais connus. Bref, il y a juste ce qu'il faut pour une histoire claire et sympa avec les tortues. Sophie Campbell gère ça admirablement bien. Côté dessin, on est dans quelque chose de très classique finalement pour l'univers des tortues, c'est coloré, dynamique, pas si loin que ça du style du dessin animé mais avec plus de caractère je trouve.
  7. Titre de l'album : Les Tortues Ninja - TMNT Reborn - tome 2 - La vie après la mort Scenariste de l'album : Sophie Campbell Dessinateur de l'album : Nelson Daniel & Jodi Nishijima Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Un tout nouveau monde voit le jour, un monde où cohabitent plus de mutants que jamais. La vie n'en est pas plus facile et bien des complications retournent la ville de New York !Les conséquences de la bombe mutagène lancée par Old Hob continuent d'affecter New York de façon de plus en plus inquiétante. Alors que le gouvernement s'efforce de faire face à une crise humanitaire, des mutants commencent à disparaître. Les Tortues se mettent à la recherche d'indices qui les mènent jusqu'à la mer. C'est là qu'elles découvrent qu'une chose terrifiante sévit désormais dans les profondeurs !Pendant ce temps, une dispute entre Baxter et April éclate et pourrait entraîner des conséquences désastreuses dans le quartier mutant, où l'existence est à jamais bouleversée... Avec la géniale Sophie Campbell (Wet Moon, Shadoweyes, Jem and the Holograms...) au scénario, l'univers des Tortues Ninja, qui compte plus de mutants que jamais, se trouve révolutionné ! Les dessinateurs Nelson Daniel et Jodi Nishijima mettent la main à la pâte pour reconstruire un monde connu, pourtant jamais-vu. Critique : Je vous l'ai dit après le tome 1 de cette série de tortues ninja "reborn", j'ai une tendresse pour ce reboot qui n'en est pas un. D'abord l'univers plus que foisonnant des tortues Ninja, devenu complètement fouilli voir même bordélique à la fin du précédent run d'Eastman est redevenu plus lisible. Les enjeux y sont clairs, les personnages secondaires bien que toujours nombreux sont désormais connus. Bref, il y a juste ce qu'il faut pour une histoire claire et sympa avec les tortues. Sophie Campbell gère ça admirablement bien. Côté dessin, on est dans quelque chose de très classique finalement pour l'univers des tortues, c'est coloré, dynamique, pas si loin que ça du style du dessin animé mais avec plus de caractère je trouve. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-reborn-tome-2-la-vie-apres-la-mort?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Elle m'intriguait cette réédition Panini d'un run du Silver surfer . Les planches colorées de l'époque sont relookées et affinées au profit d'un noir et blanc élégant et d'une finesse rare . Bien connu chez Marvel , DC , il a même travaillé sur Conan , Claudio Castellini est de la trempe des grands , assurément .Ses planches sont remarquables , le surfer est organique , les reflets prennent vie sur son corps au grès de la lumière ; le mouvement est palpable ainsi qu'une expressivité des visages intense . Vous avez ici l'atout majeur de ce titre paru dans la collection Marvel prestige . Là réside la grandeur du titre , le scénario étant lui (trop) court et limité . Une comète aux pouvoirs ancestraux , deux vilains (Thanos et Galactus) la convoitant , un héros et son adversaire féminin aux courbes pulpeuses typiques du début des années 2000 ; pour une fin (soudaine) convenue et attendue . Le manque d'ambition est total et tellement aux antipodes du niveau graphique proposé . Le livre est enrichi de planches du maître italien , de recherches de personnages et de couvertures . Des dialogues et interviews des auteurs complètent une pagination maigre , pour justifier le prix (?) . Vous l'aurez compris , c'est donc une déception que j'ai éprouvé à la fermeture de l'ouvrage . Certes , l'édition est d'une grande qualité , cette "remasterisation" des planches est intéressante , mais le contenu , l'histoire n'est pas au diapason . Le Silver surfer Requiem peut dormir tranquille , il siège tout en haut des runs du surfer avec celui de Dan Slott et Mike Allred paru en omnibus l'automne dernier .
  9. Titre de l'album : World War Wolves - Tome 4 - Maudits soient-ils ! Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Radivojevic Coloriste : Radivojevic Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Au milieu de ce chaos, John Marshall et sa famille au bord de la crise de nerf doivent fuir Las Cruces assiégée par les loups. Malcom Spodling et son groupe récemment évadés de Riker's Island font une bien mauvaise rencontre. Leur point commun, le combat pour leur survie mais pas que... une vision, une intuition, un lieu... une ville en Arizona où vit un peuple indien, où tous convergent. Critique : pffffiooooou, vous non plus vous ne savez plus d'où sort cette série ? Du comics en noir, gris et blanc chez soleil pourtant ce n'est pas si commun ? Et bien je vais vous rafraichir la mémoire, c'est une série dont les 3 premiers tomes sont sortis entre 2014 et 2016, qui vient de nous offrir enfin la suite. Espérons que cela redémarre pour de bon car l'univers, s'il n'est pas hyper original et plutôt chouette, avec une petite dose de mysticisme qui le démarque assez nettement des classiques du genre façon Walking Dead. Bon ici, les zombies sont des loups garous quasi immortels, et seule l'Amérique est infestée. Bon. A cela on rajoute comme je l'ai déjà dit une poignée de mysticisme qui va permettre à nos personnages de partir en quête et de se retrouver à la fin de ce tome. On sent qu'un dénouement pourrait approcher. Par contre je trouve une nouvelle fois que Jean-Luc Istin abuse un petit peu trop de la voix off pour sa narration, ce qui nous détache un petit peu des émotions. Etre dans les pensées des personnages c'est bien et souvent intéressant dans un livre pour améliorer notre proximité au personnage, par contre en bd, je trouve que cela nous coupe parfois des émotions de la situation en temps réelle. Ceci dit j'ai le même ressenti sur certains de ses tomes des terres d'arran, et visiblement cela ne gêne pas grand monde, mon commentaire est donc évidemment à prendre avec des pincettes, c'est une question de goût. Les dessins ont été repris à partir du tome 3 par Radivojevic et ils sont plutôt bons dans le genre. c'est réalisé tout en teintes de gris, noir et blanc, à part la couverture en couleur. Rien d'époustouflant ceci dit, surtout que le manque de couleur rend peut être l'ensemble un peu terne mais décors, visages et ambiances sont bien travaillés, et les personnages sont plutôt facilement identifiables avec des scènes d'actions lisibles. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/world-war-wolves-tome-4-maudits-soient-ils?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    A vicious circle tome 1

    Deuxième sortie de Bermejo après la pseudo-histoire/artbook Cher Detective. Ici, c'est une première œuvre "autonome" de Bermejo. Une œuvre qui sort des super-héros classiques. Une oeuvre qui nous montre une histoire de voyages temporels intelligente. Une histoire qui se découvre petit à petit, ce malgré un rythme effréné d'un livre qui tient autant du film d'action que de la bande dessinée. Le choix du format BD donne énormément d'air au dessin si spécifique de Bermejo. Bermejo s'amuse aussi à changer de style en fonction des passages dans les différentes temporalités, ce qui rend la lecture étonnante. Attention tout de même, si l'album affiche 64 pages, l'histoire d'en fait que 48, le reste étant des ajouts certes intéressants mais pas indispensable.
  11. pffffiooooou, vous non plus vous ne savez plus d'où sort cette série ? Du comics en noir, gris et blanc chez soleil pourtant ce n'est pas si commun ? Et bien je vais vous rafraichir la mémoire, c'est une série dont les 3 premiers tomes sont sortis entre 2014 et 2016, qui vient de nous offrir enfin la suite. Espérons que cela redémarre pour de bon car l'univers, s'il n'est pas hyper original et plutôt chouette, avec une petite dose de mysticisme qui le démarque assez nettement des classiques du genre façon Walking Dead. Bon ici, les zombies sont des loups garous quasi immortels, et seule l'Amérique est infestée. Bon. A cela on rajoute comme je l'ai déjà dit une poignée de mysticisme qui va permettre à nos personnages de partir en quête et de se retrouver à la fin de ce tome. On sent qu'un dénouement pourrait approcher. Par contre je trouve une nouvelle fois que Jean-Luc Istin abuse un petit peu trop de la voix off pour sa narration, ce qui nous détache un petit peu des émotions. Etre dans les pensées des personnages c'est bien et souvent intéressant dans un livre pour améliorer notre proximité au personnage, par contre en bd, je trouve que cela nous coupe parfois des émotions de la situation en temps réelle. Ceci dit j'ai le même ressenti sur certains de ses tomes des terres d'arran, et visiblement cela ne gêne pas grand monde, mon commentaire est donc évidemment à prendre avec des pincettes, c'est une question de goût. Les dessins ont été repris à partir du tome 3 par Radivojevic et ils sont plutôt bons dans le genre. c'est réalisé tout en teintes de gris, noir et blanc, à part la couverture en couleur. Rien d'époustouflant ceci dit, surtout que le manque de couleur rend peut être l'ensemble un peu terne mais décors, visages et ambiances sont bien travaillés, et les personnages sont plutôt facilement identifiables avec des scènes d'actions lisibles.
  12. Titre de l'album : La bibliothèque de Daniel Clowes - Patience Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Patience est une histoire d'amour, un récit de science-fiction, une enquête sur un fond de thriller mais Patience c'est d'abord et avant tout une histoire mise en scène avec génie par Daniel Clowes et dont l'amour n'y est pas mièvre, la SF est élégante et l'enquêteur névrosé se révèle plus inquiétant que rassurant. Pourtant on ne lâche pas la lecture de ce roman graphique tant est maitrisé son scénario. Critique : La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-patience/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes.
  14. Titre de l'album : Reckless - Descente aux enfers Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À la suite du tremblement de terre survenu en 1989, Ethan se rend à San Francisco afin de rechercher une femme disparue. Mais il est bientôt pris dans les méandres d'une sombre affaire, bien différente de tout ce à quoi il a été confronté auparavant. Critique : Déjà cinq albums et un sans-faute pour le duo Brubaker et Phillips avec leur série Reckless, ils annoncent une petite pause sur la série avant d'y revenir plus tard sur une autre période. Le tome précédent se consacrait au personnage d'Anna, l'assistante d'Ethan le héros principal parti en déplacement sur une autre affaire mystérieuse. Ce cinquième tome revient sur cette enquête autour d'une jeune femme portée disparue par son mari. Brubaker exploite encore des faits sordides pour construire son intrigue autour d'une ancienne toxico partie en quête de vengeance. L'écriture de Brubaker est maitrisée, on plonge dans l'histoire dès les premières pages. Le cheminement reste très classique mais l'on prend plaisir à découvrir ce polar qui utilise les codes du genre. Sean Phillips dessine à merveille la partie graphique avec une vision du héros plus âgé pour l'occasion de cette histoire. Il gère bien les ambiances avec les différents lieux visités à la recherche de cette femme. Sons fils assure les couleurs pour un rendu au top. Cette série est excellent, je vous conseille de relire le tome précédent pour replonger et enchainer les deux albums qui se lisent comme un diptyque. Descente aux enfers est une réussite et on peut déjà être content de retrouver les mêmes auteurs le mois prochain avec le thriller Night fever. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reckless-descente-aux-enfers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Reckless - Descente aux enfers

    Déjà cinq albums et un sans-faute pour le duo Brubaker et Phillips avec leur série Reckless, ils annoncent une petite pause sur la série avant d'y revenir plus tard sur une autre période. Le tome précédent se consacrait au personnage d'Anna, l'assistante d'Ethan le héros principal parti en déplacement sur une autre affaire mystérieuse. Ce cinquième tome revient sur cette enquête autour d'une jeune femme portée disparue par son mari. Brubaker exploite encore des faits sordides pour construire son intrigue autour d'une ancienne toxico partie en quête de vengeance. L'écriture de Brubaker est maitrisée, on plonge dans l'histoire dès les premières pages. Le cheminement reste très classique mais l'on prend plaisir à découvrir ce polar qui utilise les codes du genre. Sean Phillips dessine à merveille la partie graphique avec une vision du héros plus âgé pour l'occasion de cette histoire. Il gère bien les ambiances avec les différents lieux visités à la recherche de cette femme. Sons fils assure les couleurs pour un rendu au top. Cette série est excellent, je vous conseille de relire le tome précédent pour replonger et enchainer les deux albums qui se lisent comme un diptyque. Descente aux enfers est une réussite et on peut déjà être content de retrouver les mêmes auteurs le mois prochain avec le thriller Night fever.
  16. Titre de l'album : Solo Lyra - Quand je ne savais pas que tu existais Scenariste de l'album : Oscar Martin Dessinateur de l'album : Leonel Castellani Coloriste : Leonel Castellani Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La jeune Lyra est poussée par les circonstances à voyager avec son frère aîné, sans but précis, simplement pour s'éloigner de l'endroit impitoyable où leur vie a sombré. En chemin, ils rencontrent un être exceptionnel qui consacre sa vie à trouver des solutions aux grands problèmes. Pour l'aider, ils se lancent dans une aventure dangereuse et suicidaire dans un lieu sordide et despotique dont ils ignorent tout... Critique : Un nouveau one shot dans l'univers de Solo vient d'arriver seulement un mois après le dernier tome du deuxième cycle de la série principale. Oscar Martin gère uniquement le scénario de ce spin-off autour d'un frère et d'une sœur rat vivant dans ce monde dévasté et apocalyptique de Solo. L'auteur aime dissimuler quelques informations sur les autres spin-offs, comme pour exemple un chat de passage qui cartographie le monde. Lyra est un personnage important dans la série puisqu’elle apparait dès le deuxième tome de la série principale et devient la compagne de Solo. Avec ce tome Quand je ne savais pas que tu existais, d’ailleurs le titre en dit long on remonte dans le temps, Lyra et son frère doivent prendre la route pour trouver de la nourriture tout en affrontant les dangers et venir en aide même aux humains. La partie graphique est confiée à Leonel Castellani, l'auteur est vite à l'aise et offre des planches magnifiques. Cet album nous emmène dans les terres enneigées où vivent d'étranges parasites qui prennent le contrôle des hôtes pour les dévorer de l'intérieur. L'univers de Solo n'en finit pas de s'étendre pour notre plus grand plaisir avec des dessinateurs apportant leurs visions et styles différents. Les ramifications ou clin d’œil étoffent l’ensemble de la série principale avec les les spin-offs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-lyra-quand-je-ne-savais-pas-que-tu-existais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Stephen Graham Jones construit son histoire à partir de cette idée simple, si Christophe Colomb est tué, l'Europe ne découvre pas l'Amérique, le peuple natif continu son existence et la situation n'est pas catastrophique en 2112. En effet, dans le futur, le monde est dévasté et pratiquement à l'agonie, quand un groupe de quatre amis découvre par hasard une mystérieuse grotte dans le désert. Lorsqu'une personne rentre à l'intérieur de la grotte avec un objet précis d'une époque, elle peut voyager dans le temps. Très rapidement, les jeunes commencent à réfléchir à une action pour sauver leur monde. Le scénario remet en question l’histoire ce que l’on connait et surtout le voyage de Christophe Colomb avec le premier tome de cette trilogie. Il faudra bien se concentrer pour ne pas être perdu avec toutes les problématiques liées au voyage dans le temps et le manque de fluidité dans l'intrigue par moment. Les dessins sont de qualité et réalisés par Davide Gianfelice, j’avais beaucoup apprécié son travail sur Conan le barbare et sa participation à Northlanders. L’auteur gère bien les deux ambiances différentes entre le monde futuriste désertique et celui de 1492. L’album se termine sur des recherches graphique et design des personnages. En conclusion, Earthdivers est un mélange de genres entre science-fiction, historique, aventure et action qui procure un bon divertissement, malgré quelques maladresses dans l'intrigue mais son concept de modifier l'histoire des amérindiens. est intéressant.
  18. Titre de l'album : Earthdivers - A mort, Christophe Colomb ! Scenariste de l'album : Stephen Graham Jones Dessinateur de l'album : Davide Gianfelice Coloriste : Joana Lafuente Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Et si la seule solution pour stopper l'apocalypse était de retourner dans le passé pour tuer Christophe Colomb ? Nous sommes en 2112, et c'est l'apocalypse exactement comme prévu : les rivières reculent, les océans montent, la civilisation s'effondre. L'humanité a perdu tout espoir, à l'exception d'un groupe de survivants indigènes exclus qui ont découvert un portail de voyage dans le temps dans une grotte au milieu du désert et réalisé où le monde a pris un tournant brutal vers le pire : l'Amérique. Convaincus que la seule façon de sauver le monde est de réécrire son passé, ils renvoient l'un des leurs en aller simple sans retour possible en 1492 pour tuer Christophe Colomb avant qu'il n'atteigne le soi-disant Nouveau Monde. Mais se débarrasser d'une icône n'est pas chose facile, et les actes du voyageur pourraient s'avérer dévastateurs pour ses amis à l'avenir. Critique : Stephen Graham Jones construit son histoire à partir de cette idée simple, si Christophe Colomb est tué, l'Europe ne découvre pas l'Amérique, le peuple natif continu son existence et la situation n'est pas catastrophique en 2112. En effet, dans le futur, le monde est dévasté et pratiquement à l'agonie, quand un groupe de quatre amis découvre par hasard une mystérieuse grotte dans le désert. Lorsqu'une personne rentre à l'intérieur de la grotte avec un objet précis d'une époque, elle peut voyager dans le temps. Très rapidement, les jeunes commencent à réfléchir à une action pour sauver leur monde. Le scénario remet en question l’histoire ce que l’on connait et surtout le voyage de Christophe Colomb avec le premier tome de cette trilogie. Il faudra bien se concentrer pour ne pas être perdu avec toutes les problématiques liées au voyage dans le temps et le manque de fluidité dans l'intrigue par moment. Les dessins sont de qualité et réalisés par Davide Gianfelice, j’avais beaucoup apprécié son travail sur Conan le barbare et sa participation à Northlanders. L’auteur gère bien les deux ambiances différentes entre le monde futuriste désertique et celui de 1492. L’album se termine sur des recherches graphique et design des personnages. En conclusion, Earthdivers est un mélange de genres entre science-fiction, historique, aventure et action qui procure un bon divertissement, malgré quelques maladresses dans l'intrigue mais son concept de modifier l'histoire des amérindiens. est intéressant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/earthdivers-tuer-christophe-colomb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Batman - Cher détective

    ATTENTION ! cet album n'est PAS un comics. Enfin pas vraiment. Cet album est une expérience graphique de Lee Bermejo. En effet, il était à la manette des couvertures des derniers numéros de Detective Comics aux US et en a fait toutes les "Variant Cover". Cet album est un recueil de ces vairant cover. Mais pas que. Et c'est la ou commence l'expérience. Bermejo a en effet réalisé ses couvertures comme des illustrations d'une trame narrative d'une enquête de Batman. Il a donc réussi à fournir des couvertures qui suivaient les parutions tout en gardant un fil rouge logique. Fil rouge qui est dévoilé par une série de "message" reçu par Batman et "rythmant" l'histoire. Bon cette expérience ne fait pas de cet album autres choses qu'un recueil de sublimes illustration de Bermejo pour nous autres européens, mais elle a le mérite d'etre soulignée
  20. Titre de l'album : Batman - Cher détective Scenariste de l'album : Lee Bermejo Dessinateur de l'album : Lee Bermejo Coloriste : Lee Bermejo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Batman a reçu de nombreuses lettres par le passé. Mais celles qu'il vient de découvrir sont d'un genre différent. L'expéditeur anonyme paraît connaître intimement le Chevalier Noir, et sans attendre de réponse de sa part, semble espérer s'insinuer dans son esprit, le pousser dans ses retranchements... le faire douter. Mais qui donc se cache derrière ces énigmes épistolaires ? Critique : ATTENTION ! cet album n'est PAS un comics. Enfin pas vraiment. Cet album est une expérience graphique de Lee Bermejo. En effet, il était à la manette des couvertures des derniers numéros de Detective Comics aux US et en a fait toutes les "Variant Cover". Cet album est un recueil de ces vairant cover. Mais pas que. Et c'est la ou commence l'expérience. Bermejo a en effet réalisé ses couvertures comme des illustrations d'une trame narrative d'une enquête de Batman. Il a donc réussi à fournir des couvertures qui suivaient les parutions tout en gardant un fil rouge logique. Fil rouge qui est dévoilé par une série de "message" reçu par Batman et "rythmant" l'histoire. Bon cette expérience ne fait pas de cet album autres choses qu'un recueil de sublimes illustration de Bermejo pour nous autres européens, mais elle a le mérite d'etre soulignée Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-cher-detective?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Un nouveau one shot dans l'univers de Solo vient d'arriver seulement un mois après le dernier tome du deuxième cycle de la série principale. Oscar Martin gère uniquement le scénario de ce spin-off autour d'un frère et d'une sœur rat vivant dans ce monde dévasté et apocalyptique de Solo. L'auteur aime dissimuler quelques informations sur les autres spin-offs, comme pour exemple un chat de passage qui cartographie le monde. Lyra est un personnage important dans la série puisqu’elle apparait dès le deuxième tome de la série principale et devient la compagne de Solo. Avec ce tome Quand je ne savais pas que tu existais, d’ailleurs le titre en dit long on remonte dans le temps, Lyra et son frère doivent prendre la route pour trouver de la nourriture tout en affrontant les dangers et venir en aide même aux humains. La partie graphique est confiée à Leonel Castellani, l'auteur est vite à l'aise et offre des planches magnifiques. Cet album nous emmène dans les terres enneigées où vivent d'étranges parasites qui prennent le contrôle des hôtes pour les dévorer de l'intérieur. L'univers de Solo n'en finit pas de s'étendre pour notre plus grand plaisir avec des dessinateurs apportant leurs visions et styles différents. Les ramifications ou clin d’œil étoffent l’ensemble de la série principale avec les les spin-offs.
  22. Titre de l'album : Solo - Tome 6 - La fin d'un cercle infini Scenariste de l'album : Oscar Martin Dessinateur de l'album : Oscar Martin Coloriste : Oscar Martin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les humains ont décidé de frapper fort. Sans relâche, soldats et mercenaires attaquent et déciment les factions herbivores les plus proches. Alors que le conflit entre espèces se répand, Legatus et son peuple n'ont plus d'autre choix que de prendre position. Vont-ils rejoindre la bataille finale ? Ce tome 6 est une nouvelle preuve du talent de conteur et de dessinateur hors pair d'Oscar Martin. Critique : Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    BRZRKR tome 3

    Ce troisième tome apporte la conclusion de ce premier cycle de BRZRKR, avec pour héros l'acteur Keanu Reeves. Matt Kindt collabore avec Reeves pour l'écriture de l'histoire de ce comics. Une adaptation en série télé est déjà programmée sur Netflix, avec Keanu Reeves reprenant son personnage à travers les siècles en guerrier Berserker. Ce tome apporte l'explication de l'immortalité du héros avec comme pour les autres tomes une suite d'action très musclée et violente. L’histoire n’est pas très subtile mais sert juste au héros à détruire, se battre et partir dans des missions suicide. La partie graphique de Ron Garney apporte vraiment énormément à ce titre. Le découpage des planches est nerveux pour rendre dynamique toutes les nombreuses scènes d’action, avec démembrements, fusillade et autres explosions spectaculaires. Si vous avez apprécié les deux tomes vous trouverez votre compte avec cette conclusion qui reste ouverte pour une suite, suivant le succès. On est vraiment dans le registre de l’acteur avec beaucoup d’action.
  24. alx23

    BRZRKR tome 3

    Titre de l'album : BRZRKR tome 3 Scenariste de l'album : Keanu Reeves & Matt Kindt Dessinateur de l'album : Ron Garney Coloriste : Bill Crabtree Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans cet ultime tome de la trilogie, les anciens mystères sur les origines de notre anti-héros et son destin final sont dévoilés ! Alors que la fureur de B. se déchaîne, une nouvelle découverte promet d'apporter les réponses qu'il cherche depuis des siècles. Mais alors que l'équipe voyage pour enfin comprendre les mystères de la naissance de B., va-t-il atteindre son objectif, ou tous ses efforts auront-ils été vains ? Critique : Ce troisième tome apporte la conclusion de ce premier cycle de BRZRKR, avec pour héros l'acteur Keanu Reeves. Matt Kindt collabore avec Reeves pour l'écriture de l'histoire de ce comics. Une adaptation en série télé est déjà programmée sur Netflix, avec Keanu Reeves reprenant son personnage à travers les siècles en guerrier Berserker. Ce tome apporte l'explication de l'immortalité du héros avec comme pour les autres tomes une suite d'action très musclée et violente. L’histoire n’est pas très subtile mais sert juste au héros à détruire, se battre et partir dans des missions suicide. La partie graphique de Ron Garney apporte vraiment énormément à ce titre. Le découpage des planches est nerveux pour rendre dynamique toutes les nombreuses scènes d’action, avec démembrements, fusillade et autres explosions spectaculaires. Si vous avez apprécié les deux tomes vous trouverez votre compte avec cette conclusion qui reste ouverte pour une suite, suivant le succès. On est vraiment dans le registre de l’acteur avec beaucoup d’action. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    E-Ratic tome 2 Rechargé

    Le deuxième tome de E-Ratic arrive très vite avec ce tome intitulé rechargé, on se doute que notre jeune héros est prêt à en découdre. Pour rappel, le héros ne possède des pouvoirs que durant une dizaine de minutes par jour, ce qui est très peu pour réussir à sauver le monde à chaque fois. Kaare Andrews dessine et écrit également l'histoire de ce super-héros en partageant la partie avec les pouvoirs avec plein d'action et la partie sans pouvoir où le héros subit les difficultés d'un jeune geek dans une école américaine avec tous les clichés que cela occasionne. E-Ratic est avant une série pour les jeunes et adolescent essayant les comics de super-héros en marge de DC et Marvel. Kaare Andrews ne réinvente pas le genre et notre héros est dans uns situation difficile avec sa petite copine avec en plus l'apparition d'une jeune princesse barbare. Les dessins sont très dynamiques, l'auteur est un habitué après travaillé sur Spider-Man et d'autres super-héros. Les lecteurs ayant apprécié le premier tome trouveront leur compte avec cette suite pleine d’action et qui annonce une suite à venir.
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