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  1. poseidon2

    La Venise des Louves

    Rhhhaaa pourquoi les bonnes histoires sont souvent trop courtes ? Ou alors est ce parce que l'histoire est bonne que l'on en voudrait plus ? C'est clairement le cas ici. Le background derrière l'histoire de nos louves est juste magique. Innovant, intéressant et bien pensé, on aurait quasiment aimé avoir un one shot sur chacune des louves tellement il y a de pistes à explorer. Car, et sans trop en dire ce qui gâcherait la surprise, l'univers imaginé par XXX est très bon. On mélange de fantastique, horreur et cape et épée détonnant. Le mix semble improbable, mais se trouve être très bon et bien mis en avant par le dessin subtil de Emanuele Contarini. Trop bien je dirais. Car le seul défaut de cet album est bien de nous laisser sur notre faim. L'histoire est bien conclue.... mais on aurait préféré qu'elle ne le soit pas et que l'on prenne plus de temps pour détailler les passer de ces dames, de notre héros ou encore de l'ile. Une bonne lecture mais ou il y avait de quoi faire une excellente série. Dommage
  2. Titre de l'album : La Venise des Louves Scenariste de l'album : Aurelie Wellenstein Dessinateur de l'album : Emanuele Contarini Coloriste : Emanuele Contarini Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Dans une Venise de fantasy ravagée par des attentats surréalistes, un rescapé et ses alliées dissimulées sous des masques de loup cherchent à comprendre qui sont les terroristes qui ont détruit leur vie. L'archipel des Gabbiani était un bel endroit avant que l'une de ses îles ne soit brusquement coupée des autres. De celle qu'on surnomme désormais « l'île noire » viennent de mystérieux gondoliers. Ils sillonnent les canaux, exigeant des impôts exorbitants, et si les habitants ne se soumettent pas, un attentat ravage leurs quartiers de bombes surréalistes qui déforment, dispersent, désagrègent ou effacent leurs victimes.Renzo, pianiste surdoué, a vu son bras effacé lors d'un attentat. Il a rassemblé autour de lui quatre femmes, elles aussi victimes de la bombe. Ils forment une nouvelle famille, une meute, cinq doigts d'une main d'acier. Cachés sous des masques de loup, ils n'ont qu'un objectif : accoster sur l'île noire en quête de vengeance... et de sens. Critique : Rhhhaaa pourquoi les bonnes histoires sont souvent trop courtes ? Ou alors est ce parce que l'histoire est bonne que l'on en voudrait plus ? C'est clairement le cas ici. Le background derrière l'histoire de nos louves est juste magique. Innovant, intéressant et bien pensé, on aurait quasiment aimé avoir un one shot sur chacune des louves tellement il y a de pistes à explorer. Car, et sans trop en dire ce qui gâcherait la surprise, l'univers imaginé par XXX est très bon. On mélange de fantastique, horreur et cape et épée détonnant. Le mix semble improbable, mais se trouve être très bon et bien mis en avant par le dessin subtil de Emanuele Contarini. Trop bien je dirais. Car le seul défaut de cet album est bien de nous laisser sur notre faim. L'histoire est bien conclue.... mais on aurait préféré qu'elle ne le soit pas et que l'on prenne plus de temps pour détailler les passer de ces dames, de notre héros ou encore de l'ile. Une bonne lecture mais ou il y avait de quoi faire une excellente série. Dommage Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venise-des-louves?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Sangdragon

    Retour aux sources du fantastique pour ce nouveau one shot Dupuis pour le jeune public : On revient aux chevaliers, aux dragons et à une héroïne pleine de caractère. Un retour aux sources dynamique porté par un dessin simple mais vraiment raccord au scenario qui cherche à ne pas trop compliquer les choses. En effet, c'est l'objectif de nos auteurs : faire un album original, orienté pour les jeunes lecteurs et sur un thème peut être trop sous-coté chez les plus jeunes. Et c'est une vraie réussite. Le mix prend bien, l'aventure est sympathique, dense et globalement prenante. Une réussite pour les plus jeunes lecteurs.
  4. poseidon2

    Sangdragon

    Titre de l'album : Sangdragon Scenariste de l'album : Bedu Dessinateur de l'album : Bedu Coloriste : Bedu Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans les hautes terres d'Ergwad, le roi Arthmel vient de mourir, laissant son trône au brutal prince Oghor. Ce dernier, craignant de se voir évincé par sa soeur, la princesse Hélia, la fait emprisonner. Son seul crime ? Que la Pyrize, une pierre mystérieuse, l'ait désignée responsable de l'éveil du dragon qui va ravager le royaume... Hélia, rebelle et fougueuse, va s'évader, emportant la Pyrize. Accompagnée de Yoyo, de la race des Khtolls, elle va se diriger vers Kohrmor, la terre des dragons, afin de combattre la terrible créature menaçant son peuple. Elle n'est dorénavant plus princesse. Mais guerrière ! Et elle ira jusqu'au bout d'elle-même, de tous les dangers, de toutes les surprises que lui réserve sa quête. On a trop vite réduit Bédu aux célèbres Psys ! Car après Hugo, ce grand auteur renoue avec une heroic fantasy à la fois raffinée et populaire, pour un album déjà incontournable. Critique : Retour aux sources du fantastique pour ce nouveau one shot Dupuis pour le jeune public : On revient aux chevaliers, aux dragons et à une héroïne pleine de caractère. Un retour aux sources dynamique porté par un dessin simple mais vraiment raccord au scenario qui cherche à ne pas trop compliquer les choses. En effet, c'est l'objectif de nos auteurs : faire un album original, orienté pour les jeunes lecteurs et sur un thème peut être trop sous-coté chez les plus jeunes. Et c'est une vraie réussite. Le mix prend bien, l'aventure est sympathique, dense et globalement prenante. Une réussite pour les plus jeunes lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangdragon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango...
  6. Titre de l'album : Lonesome - Tome 4 - Le territoire du sorcier Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Yves Swolfs Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Elijah était venu à New York pour régler ses comptes, il en est reparti avec une famille exhumée des sables du temps et de la mémoire. Mais ni lui ni sa soeur, Miss Lyle, agente des Pinkerton, n'ont pu confronter le responsable de toutes leurs infortunes : leur père, le sénateur Dawson. Et ce dernier a trouvé refuge au beau milieu des bois sur les terres de Cromley, un cultiste redouté. Pour avoir enfin droit à leur réunion de famille, il leur faudra défier le diable en personne ! Critique : Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonesome-tome-4-le-territoire-du-sorcier-9782808210256?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂
  8. Titre de l'album : Ophélia et les abysses - tome 1 Scenariste de l'album : Hans Jorgen Sandnes Dessinateur de l'album : Hans Jorgen Sandnes Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ophélia emménage dans la petite ville côtière de Saltvik. Elle va y vivre avec sa nouvelle famille d'accueil, joyeuse et sportive. Mais la jeune fifille se lie d'amitié avec son voisin, Bernard, un pêcheur avec qui elle partage une fascination pour les créatures sous-marines. Ophélia préfère discuter de cryptozoologie plutôt que de se suspendre à un mur d'escalade. Un soir, par la fenêtre, Ophélia aperçoit une forme étrange. Quelle est donc cette créature qui se dissimule dans la mer ? Aurait-elle un rapport avec le garçon ayant récemment disparu après avoir plongé à l'eau ? Critique : L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ophelia-et-les-abysses-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Rebis

    Titre de l'album : Rebis Scenariste de l'album : Irène Marchesini Dessinateur de l'album : Carlotta Dicataldo Coloriste : Claudia Migliaccio Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : En plein Moyen-Âge, Martino a eu le malheur de naître atteint d'albinisme au beau milieu d'une communauté prompte à purifier toute différence par le feu. Rejeté par son père, harcelé par les autres enfants du village, il va devoir prendre les chemins de traverse. En plein coeur de la forêt, Martino fait la connaissance de Viviana, une « sorcière ». Entre exclus, on se reconnaît. Au sein d'une sororité de femmes mis au ban de la société, le jeune garçon va grandir et se révéler à lui-même pour tenter d'accepter sa différence face à l'intolérance de la société. Critique : Oh que c'est bien Rebis. Une belle histoire de sorcières, de différence, et de quête de soi dans un moyen âge tenté par l'obscurantisme. Parfois dramatique, souvent positif, c'est une magnifique histoire portée par un dessin sublime et élégant. Les influences du dessins sont riches, on se croit parfois dans un Myasaki, les images semblent en mouvement, les personnages semblent vivre et les paysages sortir du livre. On en prend plein les mirettes, surtout qu'il ne s'agit que d'une influence, bien digérée, et intégrée à un dessin plus européen. Un régal. La colorisation est au diapason du trait, et apporte un gros plus avec ces couleurs lumineuses mais douces. L'histoire aurait pu être plus marquante, ou plus dramatique, mais finalement, on en ressort presque apaisé, et c'est une belle lecture, de celles qui enrichissent un peu l'âme mais aussi les réflexions. Bref, je vous le recommande, ce n'est peut être pas la bd la plus marquante de cette année, mais vous passerez un moment de lecture d'une grande douceur. Autres infos : A noter qu'un petit making of est édité en fin d'album. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Rebis

    Oh que c'est bien Rebis. Une belle histoire de sorcières, de différence, et de quête de soi dans un moyen âge tenté par l'obscurantisme. Parfois dramatique, souvent positif, c'est une magnifique histoire portée par un dessin sublime et élégant. Les influences du dessins sont riches, on se croit parfois dans un Myasaki, les images semblent en mouvement, les personnages semblent vivre et les paysages sortir du livre. On en prend plein les mirettes, surtout qu'il ne s'agit que d'une influence, bien digérée, et intégrée à un dessin plus européen. Un régal. La colorisation est au diapason du trait, et apporte un gros plus avec ces couleurs lumineuses mais douces. L'histoire aurait pu être plus marquante, ou plus dramatique, mais finalement, on en ressort presque apaisé, et c'est une belle lecture, de celles qui enrichissent un peu l'âme mais aussi les réflexions. Bref, je vous le recommande, ce n'est peut être pas la bd la plus marquante de cette année, mais vous passerez un moment de lecture d'une grande douceur.
  11. Titre de l'album : Castelwitch - Tome 2 - Le grand Effaroucheur Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Francois Gomes Coloriste : Sandrine Cordurié Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Irina est nouvelle et depuis le décès de ses parents, elle vit avec sa tante. Irina a un secret : son compagnon est passé du côté sombre de l'imagination, c'est un Maléfic qu'elle parvient difficilement à contrôler. Désespérée, elle demande de l'aide, seul Malo accepte. L'unité du groupe d'adolescents s'en trouve alors menacée tandis que la guerre entre Maléfics et Imaginaires ravage la cité. Critique : Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/castlewitch-tome-2-le-grand-effaroucheur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    La magie d'Oz , tome 3

    Voilà qui conclut le premier cycle des aventures en pays d'Oz pour Dorothée Gale ! Narrés par le nain Rho'Khat dans une taverne en tout début d'album , les événements s'enchainent rapidement pour la jeune femme du Kansas découvrant ses nouveaux pouvoirs . On suit sa progression et celles de ses compagnons , les menant droit vers l'affrontement obligatoire de Zamora , la puissante sorcière . De nombreuses surprises attendent les lecteurs , ainsi que des rebondissements assez surprenants . Cette revisite du célèbre Magicien d'Oz , oeuvre importante dans le paysage littéraire américain est rafraîchissante et moderne . Les femmes occupent le premier plan (et souvent en tenues légères) et le dessin très "informatique" aux couleurs pétantes , opèrent un lifting en profondeur du conte . Il en devient plus "rock'n roll" si vous me permettez l'expression . Je ne suis pas un grand fan de ce type de trait , mais il ravira à coups sûrs les fans de la saga , d'autant qu'il n'est pas impossible d'avoir un nouveau cycle 😉 . Le monde de la cité d'Emeraude a probablement encore des tas de secrets à révéler pour notre troupe émérite . De superbes couvertures se trouvent en annexe de fin d'album .
  13. Titre de l'album : La magie d'Oz , tome 3 Scenariste de l'album : Jeff et Kristin Massey Dessinateur de l'album : Antonio Bifulco Coloriste : Hedwin Zaldivar Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Troisième volume de la série, La Magie d'Oz, le règne de la Reine Sorcière clôt ce premier cycle. Le Seigneur de guerre a été mis en déroute et la paix semble de nouveau être revenue au royaume d'OZ, mais pour combien de temps ? Alors que Thorne et ses amis se rallient aux Bons peuples d'Oz, une guerre civile éclate et menace la tranquillité du royaume. Dorothée et ses compagnons devront une nouvelle fois sauver OZ... mais qui sauvera OZ de Dorothée Gale ? Réinterprétation envoûtante et épique du célèbre roman Le Magicien d'Oz, cette série en 3 tomes est une véritable épopée pleine d'aventures et de magie. Critique : Voilà qui conclut le premier cycle des aventures en pays d'Oz pour Dorothée Gale ! Narrés par le nain Rho'Khat dans une taverne en tout début d'album , les événements s'enchainent rapidement pour la jeune femme du Kansas découvrant ses nouveaux pouvoirs . On suit sa progression et celles de ses compagnons , les menant droit vers l'affrontement obligatoire de Zamora , la puissante sorcière . De nombreuses surprises attendent les lecteurs , ainsi que des rebondissements assez surprenants . Cette revisite du célèbre Magicien d'Oz , oeuvre importante dans le paysage littéraire américain est rafraîchissante et moderne . Les femmes occupent le premier plan (et souvent en tenues légères) et le dessin très "informatique" aux couleurs pétantes , opèrent un lifting en profondeur du conte . Il en devient plus "rock'n roll" si vous me permettez l'expression . Je ne suis pas un grand fan de ce type de trait , mais il ravira à coups sûrs les fans de la saga , d'autant qu'il n'est pas impossible d'avoir un nouveau cycle 😉 . Le monde de la cité d'Emeraude a probablement encore des tas de secrets à révéler pour notre troupe émérite . De superbes couvertures se trouvent en annexe de fin d'album . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-magie-d-oz-tome-3-le-regne-de-la-reine-sorciere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner.
  15. The_PoP

    Eigyr

    Et voilà la première belle surprise de la rentrée pour moi. Eigyr n'est pas qu'un énième récit autour de la légende de Merlin, même si l'évocation de celui-ci hante le récit du début à la fin. C'est d'abord la découverte d'un dessin audacieux, il ne séduira peut être pas tout le monde, mais il y a un vrai parti pris graphique qui en ravira plus d'un. C'est la première bd que je lis dessinée par Damien Colboc et nul doute que nous le reverrons bientôt. Ensuite Jérome Hamon nous bichonne un scénario classique mais réussi grâce à ses personnages plus vivants que nature. Comme sur Green Class au demeurant, c'est vraiment ce qui m'a marqué. On ressent leurs émotions, on les comprends, c'est simple et limpide, tout en étant très empathique. Une réussite. Mention spéciale au personnage d'Eigyr qui fait une très juste héroïne de cette histoire. Je ne peux que vous recommander ce one shot très réussi.
  16. The_PoP

    Eigyr

    Titre de l'album : Eigyr Scenariste de l'album : Jérome Hamon Dessinateur de l'album : Damien Colboc Coloriste : Damien Colboc Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au fin fond d'une Angleterre qui ne porte pas encore ce nom, Chrétiens et Bretons s'affrontent sur un nouveau champ de bataille : la possession d'Eigyr ! Est-ce là un artefact ou une place forte ? Que nenni ! Eigyr est une jeune femme dont le ventre rond abriterait la réincarnation de Merlin. Son corps est devenu un enjeu politique dont les hommes entendent disposer. Mais une mère est prête à tout pour protéger la future chair de sa chair... Critique : Et voilà la première belle surprise de la rentrée pour moi. Eigyr n'est pas qu'un énième récit autour de la légende de Merlin, même si l'évocation de celui-ci hante le récit du début à la fin. C'est d'abord la découverte d'un dessin audacieux, il ne séduira peut être pas tout le monde, mais il y a un vrai parti pris graphique qui en ravira plus d'un. C'est la première bd que je lis dessinée par Damien Colboc et nul doute que nous le reverrons bientôt. Ensuite Jérome Hamon nous bichonne un scénario classique mais réussi grâce à ses personnages plus vivants que nature. Comme sur Green Class au demeurant, c'est vraiment ce qui m'a marqué. On ressent leurs émotions, on les comprends, c'est simple et limpide, tout en étant très empathique. Une réussite. Mention spéciale au personnage d'Eigyr qui fait une très juste héroïne de cette histoire. Je ne peux que vous recommander ce one shot très réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eigyr?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Yojimbot tome 3 - Neige d'acier Scenariste de l'album : Sylvain Repos Dessinateur de l'album : Sylvain Repos Coloriste : Sylvain Repos Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Affaiblis et usés par leurs précédents combats, Hiro et ses Yojimbots sont en mauvaise posture. Isolés et acculés par Topu et surtout par le redoutable Kozuki, transformé en cyborg léthal, Hiro et sa troupe cherchent un moyen de quitter l'île. Pris au piège dans une zone portuaire, attaqués par Kozuki et son armada, Hiro et les Yojimbots livrent une défense désespérée. Mais le jeune garçon est gravement blessé et laissé pour mort alors que la zone s'apprête à exploser... Critique : Ahhh Yojimbot ! Ou comment un jeune auteur français réussit à marier les influences japonaises au style européen pour nous livrer une des aventures les plus réussit de ces dernières années. Et Sylvain Repos ne nous trompe pas avec ce tome 3 : on attendait un tome compliqué pour nos héros et on attendait de voir si Sylvain repos irait jusqu'au bout de la méchanceté des gens du centre.... et bien autant vous rassurer, l'histoire est aussi choquante, par moment, que dynamique. Toujours graphiquement impressionnant, il nous livre un tome 3 ou tout est possible avec un climax final MAGNIFIQUE. Une gestion de la double histoire magique qui nous amène à croire à .... non je ne dis rien. C'est juste parfait ! On ne peut que regretter de devoir attendre un an de plus pour avoir le tome suivant 😞 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yojimbot-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore !
  19. Titre de l'album : Le Paris des merveilles tome 2 - Les enchantements d'Ambremer Scenariste de l'album : Étienne Willem d'apres Pierre Pevel Dessinateur de l'album : Étienne Willem Coloriste : Étienne Willem Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Nous sommes en 1909, dans le Paris des Merveilles. Tout en enquêtant sur un trafic d'objets enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage et gentleman, a levé une partie du voile sur un secret d'État impliquant l'OutreMonde et la sinistre Reine Noire. En danger de mort, il lui faut tirer cette affaire au clair, aidé pour le meilleur et pour le pire par une vieille connaissance, Isabel de Saint-Gil, fée renégate, espionne et cambrioleuse de haut vol. Critique : Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-paris-des-merveilles-tome-2-les-enchantements-d-ambremer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Nevermoor tome 1 - Les défis de Morrigane Crow Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Le premier tome de l'adaptation en bande dessinée des romans de Jessica Townsend ! Morrigane Crow est une enfant maudite. Au soir du Merveillon, elle mourra. En attendant, tous les maux du monde sont attribués à la pauvre jeune fille. Et comble de l'horreur, avec près d'un an d'avance, les cloches du Merveillon se mettent à sonner ! Morrigane doit se préparer à sa mort imminente ! À moins que Jupiter, son mystérieux et excentrique mécène, ne vienne l'arracher à une mort certaine pour l'entrainer dans le monde magique de Nevermoor... Critique : Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nevermoor-tome-1-les-defis-de-morrigane-crow/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes.
  22. Titre de l'album : Sangre - Tome 4 - Donnadion le Béat Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani & Gloria Vezzaro Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Après plusieurs semaines d'enquête dans la cité de Thériasme, Sangre trouve un marin qui la guide jusqu'à un archipel perdu au coeur de la mangrove, un repaire d'esclaves évadés. Donnadion y vit en ermite, prêchant la non-violence. Mais comment imaginer ce terrible écumeur en saint homme, héros d'une libération pacifique des esclaves ? La vengeance aurait-elle un sens face à un homme en pleine rédemption ? Critique : Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-4-donnadion-le-beat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉
  24. Kevin Nivek

    Le voyage de Shuna

    Avec la sortie chez Sarbacane de cette oeuvre du grand Miyazaki , datée de 1983, ne vous prenez pas à rêver (hélas) à d'autres pépites gardées en réserve du génie japonais ! Nausicaä de la vallée du vent est son autre unique feuilleton terminé en 7 tomes et publié en France , le reste est anecdotique au regard de ses parutions "animés" . Mais quel plaisir de découvrir une de ses premières histoires , tellement significative de son univers ! Publié en 15x21cm , avec des aquarelles magnifiques aux couleurs légèrement passées , donnant des airs de conte ancien au récit , le livre se lit bien de droite à gauche , que les aficionados se rassurent 😉 Cette quête de Shuna est empruntée par l'auteur à une histoire tibétaine : Le prince changé en chien , qui mentionnait l'introduction de l'orge au Tibet , une céréale composant l'alimentation de base du pays . Miyazaki devait faire de ce conte un film mais le manque de soutiens financiers ont anéanti cette volonté . Qu'importe , il lui donnera une seconde vie à travers ces 160 pages de toute beauté . Vous retrouverez les thématiques chères à l'auteur , comme l'amour , la quête initiatique , le bestiaire onirique , la magie et un profond rappel des questions écologiques . Des étendues désertiques composent cet univers , la terre semble stérile , les hommes ont toutes les difficultés à faire pousser leurs plantations , certains se cloitrent derrière des remparts et exploitent l'homme par l'homme ; aussi lorsque Shuna le prince de son village découvre l'existence de graines fertiles , il entreprend son long voyage afin de sauver son peuple . C'est un réel plaisir de contempler ces planches colorées et suivre l'avancée de Shuna , on tourne les pages de façon frénétique afin de savoir où l'auteur va nous mener car le chemin est jalonnée d'obstacles et de surprises .Voilà une parfaite idée de cadeau de Noël pour les amateurs de Miyazaki et les autres , car l'histoire est intemporelle et magnifiquement contée .
  25. Titre de l'album : Le voyage de Shuna Scenariste de l'album : Hayao Miyazaki Dessinateur de l'album : Hayao Miyazaki Coloriste : Hayao Miyazaki Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Shuna, le prince d'une contrée pauvre, regarde impuissant ses sujets souffrir en permanence de la faim et se tuer à la tâche pour tenter de faire pousser des céréales que leur terre, stérile, leur refuse. Un beau jour, un voyageur lui parle d'une graine dorée miraculeuse qui fait onduler les plaines en vagues fertiles. Elle provient d'un pays, loin à l'Ouest, peuplé d'esprits et hostile à l'homme, dont nul n'est jamais revenu. En dépit des soupirs des anciens et des larmes de ses parents, Shuna empacte ses affaires et se lance, sur son fidèle yakuru, vers cet Eldorado dans l'espoir d'y trouver de quoi sauver son peuple. Sur le chemin, il libère une jeune esclave, Théa, et sa petite soeur, retenues prisonnières par des trafiquants d'hommes. Poursuivis par leurs ennemis, Shuna confie les deux filles à son yakuru qui les emmène vite vers le Nord, tandis qu'il continue, à pied, vers l'Ouest. Quand il atteint enfin la terre des êtres divins, ce qu'il y voit le changera à tout jamais. Théa reverra-t-elle un jour Shuna ? Ramènera-t-il chez lui la précieuse céréale ? Critique : Avec la sortie chez Sarbacane de cette oeuvre du grand Miyazaki , datée de 1983, ne vous prenez pas à rêver (hélas) à d'autres pépites gardées en réserve du génie japonais ! Nausicaä de la vallée du vent est son autre unique feuilleton terminé en 7 tomes et publié en France , le reste est anecdotique au regard de ses parutions "animés" . Mais quel plaisir de découvrir une de ses premières histoires , tellement significative de son univers ! Publié en 15x21cm , avec des aquarelles magnifiques aux couleurs légèrement passées , donnant des airs de conte ancien au récit , le livre se lit bien de droite à gauche , que les aficionados se rassurent 😉 Cette quête de Shuna est empruntée par l'auteur à une histoire tibétaine : Le prince changé en chien , qui mentionnait l'introduction de l'orge au Tibet , une céréale composant l'alimentation de base du pays . Miyazaki devait faire de ce conte un film mais le manque de soutiens financiers ont anéanti cette volonté . Qu'importe , il lui donnera une seconde vie à travers ces 160 pages de toute beauté . Vous retrouverez les thématiques chères à l'auteur , comme l'amour , la quête initiatique , le bestiaire onirique , la magie et un profond rappel des questions écologiques . Des étendues désertiques composent cet univers , la terre semble stérile , les hommes ont toutes les difficultés à faire pousser leurs plantations , certains se cloitrent derrière des remparts et exploitent l'homme par l'homme ; aussi lorsque Shuna le prince de son village découvre l'existence de graines fertiles , il entreprend son long voyage afin de sauver son peuple . C'est un réel plaisir de contempler ces planches colorées et suivre l'avancée de Shuna , on tourne les pages de façon frénétique afin de savoir où l'auteur va nous mener car le chemin est jalonnée d'obstacles et de surprises .Voilà une parfaite idée de cadeau de Noël pour les amateurs de Miyazaki et les autres , car l'histoire est intemporelle et magnifiquement contée . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-voyage-de-shuna/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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