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  1. Titre de l'album : Alice au pays du chaos Scenariste de l'album : Manolo Carot Dessinateur de l'album : Manolo Carot Coloriste : Manolo Carot Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Alice se réveille au sein d'une étrange maisonnée. Que c'est-il passé? qui est cette femme qui s'occupe d'elle avec tant d'attention? et pourquoi cette gamine la regarde avec admiration? mais oú est-elle? c'est alors qu'elle cherche une réponse à ses questions que le destin lui répond avec toute la force dont il sait faire parfois usage. l'entraînant dans un monde délirant oú le sexe est la monnaie d'échange la plus efficace pour survivre dans ce cauchemar. Bienvenue, alice, au pays du chaos!. Critique : Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Alice au pays du chaos

    Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf
  3. The_PoP

    Les chimères de vénus - Tome 2

    Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique.
  4. Titre de l'album : Les chimères de vénus - Tome 2 Scenariste de l'album : Alain Ayroles Dessinateur de l'album : Etienne Jung Coloriste : Thierry Leprévost Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1874, au coeur de l'âge de l'éther. Les empires terrestres se disputent le contrôle du système solaire. Sur Vénus, le poète Aurélien d'Hormont, évadé des bagnes de Napoléon III, s'enfonce toujours plus loin dans l'inconnu en compagnie d'étranges créatures amphibies. De son côté, l'actrice Hélène Martin redouble de courage et d'ingéniosité pour se frayer un chemin sur cette planète hostile et retrouver son amant hors-la-loi. Bravant l'Océan déchaîné et ses inquiétants abysses, Hélène embarque en direction de l'Île Magnétique. Aventurières intrépides, forçats à la dérive, entités télépathes, croiseur britannique, sous-marin français... toutes et tous semblent inexorablement attirés par ces inaccessibles rivages où se dressent les vestiges d'une mystérieuse civilisation. Critique : Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chimeres-de-venus-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Silver coin Tome 1

    Titre de l'album : Silver coin Tome 1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky, Jeff Lemire, Ed Brisson, Michael Walsh & Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Michael Walsh Coloriste : Michael Walsh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une malédiction doit se nourrir...C’est l’histoire d’une mystérieuse pièce d’argent qui passe de main en main depuis des siècles, de la Nouvelle Angleterre puritaine aux terres ravagées de 2467… Critique : Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu. Autres infos : Edition : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-silver-coin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Silver coin Tome 1

    Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu.
  7. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 7 - Le retour d'Effie Kolb Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Adam Hughes, Matt Smith, Zach Howard & Tiernen Trevallion Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy est de retour aux côtés des membres du BPRD pour affronter des fantômes et des démons. Pour cela, il nous entraîne des Appalaches à la Russie, en passant par la France et le sud des États-unis. Critique : Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-et-bprd-tome-7-le-retour-d-effie-kolb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série.
  9. Titre de l'album : Marécage t1 : Sombra Scenariste de l'album : Antonio Zurera Dessinateur de l'album : Antonio Zurera Coloriste : Hiroyuki Ooshima Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le Marécage. Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures. Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels. Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots. Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner. Car la princesse mourra... À moins qu'il ne se trouve un moyen de garder vivant son nom... De quoi pousser ses nombreux ennemis à sortir de l'ombre pour une terrible traque, dans laquelle sera prise une mystérieuse aventurière masquée : Sombra... Quand un maître du design et du dessin animé compose un univers de fantasy animalière convoquant la puissance du Loisel de La Quête de l'oiseau du temps, il est recommandé de bien s'accrocher à son fauteuil avant toute lecture... Attention : choc graphique ! Critique : Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marecage-tome-1-sombra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Marécage t1 : Sombra

    Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique.
  11. Titre de l'album : Odah et Dako - Tome 1 - Les maîtres du flow Scenariste de l'album : Benj Dessinateur de l'album : Valeria Orlando Coloriste : Nicole Feliziani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Odah et Dako vivent sur leur île suspendue, vaste continent peuplé de créatures en tout genre. Ils ne rêvent que de maîtriser leur flow, pouvoir capable de transformer les mots en éléments magiques, et gagner le grand tournoi qui se déroulera dans la capitale. Mais arrivés dans la grande cité, rien ne se passe pas comme prévu : trois sorcières maléfiques jettent un sort aux deux héros... Critique : Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte. Autres infos : BD tirée de la chaîne youtube Odah & Dako Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/odah-et-dako-tome-1-les-maitres-du-flow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte.
  13. Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple.
  14. Titre de l'album : Les héricornes - Tome 1 - L'appel de la déesse Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Véronica Alvarez Coloriste : Véronica Alvarez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tous les cent ans, l'héritière du royaume de Lémuria doit se rendre au temple de la Déesse pour lui demander sa protection, et formuler un voeu personnel. Le chemin sera long mais la princesse Céleste peut compter sur les armes de Lémuria et sur sa licorne. Ce qu'elle ignore encore, en revanche, c'est que son glorieux destin n'a rien d'unique. Elle le partagera avec quatre autres « Héricornes », les héritières aux licornes. Le nombre fera-t-il la force ou engendrera-t-il la division...? Critique : Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple. Autres infos : BD Jeunesse - Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-hericornes-tome-1-l-appel-de-la-deesse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Abaddon - Tome 1 - Sinaï

    Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre.
  16. Titre de l'album : Abaddon - Tome 1 - Sinaï Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Robert Carey Coloriste : Vincent Powell Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 2027. Partout dans le monde, des objets mythiques des 5 grandes religions sont découverts. Les pouvoirs de ces artefacts sèment la mort et la panique et les hautes instances religieuses semblent cacher un secret qui pourrait anéantir l'Humanité. Trois générations plus tard. Alors que la société s'est réorganisée, des migrants font route vers Si-Naï, où ils espèrent trouver un dernier refuge. Critique : Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abaddon-tome-1-si-nai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Hellboy tome 17 - Les os des géants Scenariste de l'album : Christopher Golden & Mike Mignola Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy contre les Géants du Givre ! Lorsqu'une découverte surprenante est faite en Suède, le B.P.R.D. envoie Hellboy et Abe Sapien pour enquêter. S'ensuit une aventure pleine de légendes nordiques, de créatures mythiques et émaillée d'une menace qui pourrait détruire non seulement la Terre, mais aussi les Neuf Royaumes de la mythologie nordique ! Critique : On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-17-les-os-des-geants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy.
  19. jusqu’à
    Le Salon Fantastique et la Japan Party s'associent pour partager un grand espace de 10 000 m3 au parc floral de Paris le week-end des 8 et 9 avril 2023 Le Salon Fantastique est un événement culturel dont l’objectif est de rendre justice aux cultures de l’imaginaire et ludiques, trop souvent décrites comme des cultures marginales. Nous accueillons chaque année presque une centaine d’auteurs, des dizaines d’artisans, des artistes, des éditeurs de romans ou de jeux et des créateurs de tous horizons. Depuis 2011, Japan Party est le festival des cultures geek et asiatiques organisé par l’association d’intérêt général Imagin’ Con. Le billet vous donnera accès aux 2 événements Chaque festival garde son identité propre tout en s’articulant autour du partage de valeurs communes : encourager les créateurs, auteurs et artisans ; respecter et écouter les partenaires, exposants et intervenants ; et faire de l’originalité le fer de lance de cette nouvelle édition ! Pour cette édition spéciale, plus de 400 exposants attendront les fans : boutiques, jeunes créateurs, illustrateurs, associations, animations Les premiers invités annoncés : Musiciens, auteurs, comédiens de doublage, youtubeurs et influenceurs… Tous ces univers se rencontrent aussi par le biais des invités présents durant le weekend. En voici quelques-uns, d’autres seront annoncés prochainement : Lixiviatio et Neivee (streameuses), Magoyond (musique), Davy Mourier (auteur), Evy Reeves (autrice), Joranne Bagoule (illustratrice et blogueuse Japon), Alexis Thomassian (voix de Martin Mystère, Light dans Death Note ou encore Fry dans Futurama), Céline Monsarrat (Bulma dans Dragon Ball, Dory dans Le Monde de Nemo/Dory…), Pascale Chemin (Kirua dans Hunter X Hunter, Annie dans L’Attaque des Titans, Command Shepard dans Mass Effect), Boris Rehlinger (voix régulière de Colin Farrell et Ben Affleck ; Pedro Pascal et son personnage de Joel dans la série The Last of US) ou encore Géraldine Asselin (Halle Berry, Zoe Saldana ; Ashley dans Mass Effects). Sachez qui si vous venez déguisé (au moins 80% de la tenue) Vous bénéficiez d'un tarif réduit ! Site officiel
  20. The_PoP

    Lozère apocalypse

    Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note.
  21. Titre de l'album : Lozère apocalypse Scenariste de l'album : Stan Silas Dessinateur de l'album : Stan Silas Coloriste : Stan Silas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les « alevins » sont surexcités : pour leur douze ans, l'institution qui les a placés en famille d'accueil leur paye un vol vers de super vacances ! Malheureusement, leur avion s'écrase au-dessus de la Lozère et les secours n'arrivent pas. Lorsqu'un groupe d'adolescents mutés en poulets attaque violemment les survivants, ces derniers n'ont d'autre choix que de suivre un renard bipède et loquace. Et ils ne sont vraiment - mais alors vraiment - pas au bout de leurs surprises ! Critique : Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note. Autres infos : Histoire complète prévue en deux tomes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lozere-apocalypse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse.
  23. Titre de l'album : L'agence Pendergast tome 1 : le prince des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Lambert & Florent Sacré Dessinateur de l'album : Javier Casado Coloriste : Hélia Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des monstres menacent la ville ? Une solution : l'Agence Pendergast ! New York, 1893. Sean Donovan est un jeune voleur des rues, il connaît la ville par coeur. Sa vie bascule le jour où il est recruté par la mystérieuse Agence Pendergast. Situés au pied de la Statue de la Liberté, ses super-agents ont pour mission d'intercepter les créatures paranormales qui arrivent à New York dans le flots des migrants. Critique : Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse. Autres infos : Editions : Auzou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-agence-pendergast/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Issunboshi - Le petit Samouraï

    Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
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