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  1. Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé.
  2. Titre de l'album : Hellboy tome 17 - Les os des géants Scenariste de l'album : Christopher Golden & Mike Mignola Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy contre les Géants du Givre ! Lorsqu'une découverte surprenante est faite en Suède, le B.P.R.D. envoie Hellboy et Abe Sapien pour enquêter. S'ensuit une aventure pleine de légendes nordiques, de créatures mythiques et émaillée d'une menace qui pourrait détruire non seulement la Terre, mais aussi les Neuf Royaumes de la mythologie nordique ! Critique : On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-17-les-os-des-geants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy.
  4. Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome.
  5. Titre de l'album : The Last Ronin - Teenage Mutant Ninja Turtles Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Peter Laird & Tom Waltz Dessinateur de l'album : Esau & Isaac Escorza Coloriste : Luis Antonio Delgado Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Qui est le dernier Ronin ? Le clan Hamato n'est plus et les Foot règnent sur un New York post-apocalyptique ravagé par les guerres civiles... mais le dernier survivant de la fratrie des Tortues rôde dans l'ombre. Hantée par les fantômes des tragédies passées, la mystérieuse Tortue se lance dans une mission désespérée pour venger l'honneur de sa famille disparue. Par les cocréateurs légendaires Kevin Eastman et Peter Laird, accompagnés de Tom Waltz, scénariste de la série principale, découvrez l'histoire finale des Tortues Ninja ! Un best-seller du New York Times Critique : Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome. Autres infos : Cowabunga ! Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-last-ronin-tortues-ninja?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Lord Gravestone - Tome 2 - Le dernier loup d'alba Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Nicolas Sinner Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand le chasseur devient la proie. Mordu par la stryge qui a tué son père, John Gravestone pourrait bien devenir une créature des ténèbres si ce démon venait à parachever son oeuvre. Pour le protéger, son oncle Théophile et son fidèle Tibbett organisent sa fuite vers les terres écossaises de son enfance. Mais malgré leurs efforts, la vampire Camilla reste inexorablement proche de sa proie. Le destin des Gravestone va-t-il se jouer dans la relation ambiguë qui commence à se nouer entre John et Camilla ? Tandis que Tibbett dévoile son vrai visage, la situation pourrait prendre un tournant des plus inattendus. Récit à l'atmosphère sombre et gothique, Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, Jérôme Le Gris et Nicolas Siner imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette. Un récit épique et fascinant au coeur de l'épais brouillard anglais. Critique : Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-gravestone-tome-2-les-hauts-loups-d-alba?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs.
  8. jusqu’à
    Le Salon Fantastique et la Japan Party s'associent pour partager un grand espace de 10 000 m3 au parc floral de Paris le week-end des 8 et 9 avril 2023 Le Salon Fantastique est un événement culturel dont l’objectif est de rendre justice aux cultures de l’imaginaire et ludiques, trop souvent décrites comme des cultures marginales. Nous accueillons chaque année presque une centaine d’auteurs, des dizaines d’artisans, des artistes, des éditeurs de romans ou de jeux et des créateurs de tous horizons. Depuis 2011, Japan Party est le festival des cultures geek et asiatiques organisé par l’association d’intérêt général Imagin’ Con. Le billet vous donnera accès aux 2 événements Chaque festival garde son identité propre tout en s’articulant autour du partage de valeurs communes : encourager les créateurs, auteurs et artisans ; respecter et écouter les partenaires, exposants et intervenants ; et faire de l’originalité le fer de lance de cette nouvelle édition ! Pour cette édition spéciale, plus de 400 exposants attendront les fans : boutiques, jeunes créateurs, illustrateurs, associations, animations Les premiers invités annoncés : Musiciens, auteurs, comédiens de doublage, youtubeurs et influenceurs… Tous ces univers se rencontrent aussi par le biais des invités présents durant le weekend. En voici quelques-uns, d’autres seront annoncés prochainement : Lixiviatio et Neivee (streameuses), Magoyond (musique), Davy Mourier (auteur), Evy Reeves (autrice), Joranne Bagoule (illustratrice et blogueuse Japon), Alexis Thomassian (voix de Martin Mystère, Light dans Death Note ou encore Fry dans Futurama), Céline Monsarrat (Bulma dans Dragon Ball, Dory dans Le Monde de Nemo/Dory…), Pascale Chemin (Kirua dans Hunter X Hunter, Annie dans L’Attaque des Titans, Command Shepard dans Mass Effect), Boris Rehlinger (voix régulière de Colin Farrell et Ben Affleck ; Pedro Pascal et son personnage de Joel dans la série The Last of US) ou encore Géraldine Asselin (Halle Berry, Zoe Saldana ; Ashley dans Mass Effects). Sachez qui si vous venez déguisé (au moins 80% de la tenue) Vous bénéficiez d'un tarif réduit ! Site officiel
  9. Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse.
  10. Titre de l'album : L'agence Pendergast tome 1 : le prince des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Lambert & Florent Sacré Dessinateur de l'album : Javier Casado Coloriste : Hélia Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des monstres menacent la ville ? Une solution : l'Agence Pendergast ! New York, 1893. Sean Donovan est un jeune voleur des rues, il connaît la ville par coeur. Sa vie bascule le jour où il est recruté par la mystérieuse Agence Pendergast. Situés au pied de la Statue de la Liberté, ses super-agents ont pour mission d'intercepter les créatures paranormales qui arrivent à New York dans le flots des migrants. Critique : Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse. Autres infos : Editions : Auzou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-agence-pendergast/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Issunboshi - Le petit Samouraï

    Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
  13. Titre de l'album : Karolus Magnus - Tome 2 - La trahison de Brunehilde Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Eon Coloriste : Simona Rossi & Eon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nous retrouvons l'ancien otage Vascon, lutter contre son oncle Félon, meurtrier du Duc de Vasconie. Karolus Magnus, poursuit sa conquête des terres au-delà des Pyrénées mais la trahison du gouverneur de Saragosse va contrecarrer ses plans alors que Brunhilde et Marwan disparaissent dans cette cité fortifiée... Critique : Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karolus-magnus-l-empereur-des-barbares-tome-2-la-trahison-de-brunhilde/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes.
  15. The_PoP

    Latah

    Titre de l'album : Latah Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une légende raconte que quelque part au beau milieu de la jungle vietnamienne se trouve le territoire du Latah. Le récipiendaire des douleurs de son peuple. Et des douleurs, les Américains en ont infligé leur lot… Lorsque leurs membres commencent à tomber, une petite troupe de GI égarée comprend qu'elle vient d'entrer au purgatoire de cet enfer vert. Sur les terres du Latah, les victimes deviennent bourreaux, et vice-versa… Car le bouc émissaire finit toujours par ruer. Critique : La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/latah/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  17. alx23

    BRZRKR tome 1

    Titre de l'album : BRZRKR tome 1 Scenariste de l'album : Matt Kindt & Keanu Reeves Dessinateur de l'album : Ron Garney Coloriste : Bill Crabtree Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : L'homme connu uniquement sous le nom de B est un guerrier immortel. Il est sujet à des accès d'ultraviolence... au détriment de sa raison. Après des siècles d'errance, B a accepté de travailler pour le gouvernement américain en prenant part à des missions trop dangereuses pour des mortels. En échange, B espère obtenir la vérité sur les origines de son existence... et surtout comment y mettre fin ! Critique : BRZRKR fait beaucoup de bruit dans le monde du comics avec l'acteur Keanu Reeves dans l'équipe artistique et à l'origine du projet ou du moins l'idée de l'histoire. Ce premier tome ne laissera pas indifférent les lecteurs avec une introduction portée sur l'action comme les films de Reeves en général, dans un style très violent. On suit donc un personnage mystérieux surnommé B, dans une mission périlleuse, armé juste de ses deux poings face à des soldats. Reeves collabore avec Matt Kindt pour apporter de la matière à l'intrigue. Cette série est prévue en trois tomes dont une version en noir et blanc du premier tome disponible en même temps en librairie. L'album se termine sur un chapitre director's cut avec les explications des deux scénaristes qui commentent toutes les planches du premier chapitre, ainsi que le titre énigmatique. La partie graphique est assurée par Ron Garney secondé par Rafael Grampa sur la conception des personnages de l'histoire. Le dessinateur propose des planches très dynamiques pour suivre l'action avec des scènes souvent sanglante où B démembre les adversaires à mains nus. On ressent une forte influence de Franck Miller dans le trait, d'ailleurs Reeves et Kindt y font allusion en fin d'album. BRZRKR tome 1 est un titre d'action efficace dans ce registre, attendons de lire la suite pour juger du potentiel, avec le prochain tome prévu pour octobre 2023. Après les films, le jeu vidéo, Keanu Reeves donne ses traits à un personnage de comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    BRZRKR tome 1

    BRZRKR fait beaucoup de bruit dans le monde du comics avec l'acteur Keanu Reeves dans l'équipe artistique et à l'origine du projet ou du moins l'idée de l'histoire. Ce premier tome ne laissera pas indifférent les lecteurs avec une introduction portée sur l'action comme les films de Reeves en général, dans un style très violent. On suit donc un personnage mystérieux surnommé B, dans une mission périlleuse, armé juste de ses deux poings face à des soldats. Reeves collabore avec Matt Kindt pour apporter de la matière à l'intrigue. Cette série est prévue en trois tomes dont une version en noir et blanc du premier tome disponible en même temps en librairie. L'album se termine sur un chapitre director's cut avec les explications des deux scénaristes qui commentent toutes les planches du premier chapitre, ainsi que le titre énigmatique. La partie graphique est assurée par Ron Garney secondé par Rafael Grampa sur la conception des personnages de l'histoire. Le dessinateur propose des planches très dynamiques pour suivre l'action avec des scènes souvent sanglante où B démembre les adversaires à mains nus. On ressent une forte influence de Franck Miller dans le trait, d'ailleurs Reeves et Kindt y font allusion en fin d'album. BRZRKR tome 1 est un titre d'action efficace dans ce registre, attendons de lire la suite pour juger du potentiel, avec le prochain tome prévu pour octobre 2023. Après les films, le jeu vidéo, Keanu Reeves donne ses traits à un personnage de comics.
  19. Titre de l'album : M.O.R.I.A.R.T.Y Tome 4 - Le voleur aux cent visages 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Gess Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sherlock, Watson et Freud guettent le départ de la course en ballon autour du monde pour appréhender leur cible mais l'épreuve ne cesse d'être repoussée à cause d'intempéries. En attendant, le prodige de Baker Street se penche sur les disparitions de cargos en pleine mer. Les armateurs, victimes de ces larcins de grande envergure, parlent d'un unique rescapé qui ne cesse de déblatérer sur un Kraken... Critique : En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-tome-4-le-voleur-aux-cent-visages-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes.
  21. Titre de l'album : House of slaughter tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV & Tate Brombal Dessinateur de l'album : Chris Shehan Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Avant de revêtir le masque noir, le mentor d'Erica Slaughter, Aaron Slaughter, a fait ses armes dans un ordre peu conventionnel. Fief de l'ordre des chasseurs, les enfants, destinés à devenir des guerriers, y sont confrontés à des menaces plurielles. Élève réservé, la trajectoire d'Aaron prend une tournure inattendue et inquiétante quand il s'éprend du jeune homme qui deviendra son rival. La chasse horrifique dans les forêts du Midwest se teinte alors d'un drame intime. Critique : Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/house-of-slaughter-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    House of slaughter tome 1

    Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs.
  23. Titre de l'album : Capitaine Vaudou tome 2 - Le trésor de Christophe Colomb Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Darko Perovic Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sur l'île des fantômes, le Baron Mort Lente se livre à d'étranges expériences sur le frère de Cormac qu'il s'apprête à transformer en zombie. Il a compris l'importance du lien unissant le jeune rebelle irlandais à Erzuli, divinité de la beauté et de l'amour. Mort Lente part pour la Jamaïque afin d'y rencontrer les esclaves révoltés qui y ont créé une communauté au service des dieux du vaudou. Critique : Le premier tome de Capitaine Vaudou a reçu un très bon accueil lors de sa sortie et j'attendais cette suite pour reprendre cette aventure de pirate avec une partie fantastique très marquée. Ce titre est une adaptation du jeu de rôle par Jean-Pierre Pécau qui est aussi cocréateur du jeu. Comme on pouvait s'en attendre avec le tome précédent, le frère du héros sera le déclencheur pour poursuivre dans une histoire fantastique avec le vaudou. Les couvertures de Ugo Pinson mettent bien en avant cette série et donnent envie de découvrir cette série. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste et très détaillé. Les couleurs de Nuria Sayago fonctionnent très bien avec des couleurs plus claires sur cette suite. Avec Capitaine Vaudou, les auteurs fusionnent une aventure de pirates en respectant les codes avec une histoire fantastique très poussée pour un résultat des plus convaincant. J'avais beaucoup apprécié le premier tome et cette suite confirme l'excellente qualité aussi bien de l'histoire que des dessins. Le prochain tome apportera la conclusion de l’histoire qui pourrait découler sur un autre cycle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/capitaine-vaudou-tome-2-le-tresor-de-christophe-colomb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Le premier tome de Capitaine Vaudou a reçu un très bon accueil lors de sa sortie et j'attendais cette suite pour reprendre cette aventure de pirate avec une partie fantastique très marquée. Ce titre est une adaptation du jeu de rôle par Jean-Pierre Pécau qui est aussi cocréateur du jeu. Comme on pouvait s'en attendre avec le tome précédent, le frère du héros sera le déclencheur pour poursuivre dans une histoire fantastique avec le vaudou. Les couvertures de Ugo Pinson mettent bien en avant cette série et donnent envie de découvrir cette série. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste et très détaillé. Les couleurs de Nuria Sayago fonctionnent très bien avec des couleurs plus claires sur cette suite. Avec Capitaine Vaudou, les auteurs fusionnent une aventure de pirates en respectant les codes avec une histoire fantastique très poussée pour un résultat des plus convaincant. J'avais beaucoup apprécié le premier tome et cette suite confirme l'excellente qualité aussi bien de l'histoire que des dessins. Le prochain tome apportera la conclusion de l’histoire qui pourrait découler sur un autre cycle.
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    Salamandre

    I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours.
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