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  2. Titre de l'album : Vies d'ensemble - au-delà des mots tome 1 Scenariste de l'album : HAYASHI Fumiya Dessinateur de l'album : HAYASHI Fumiya Coloriste : Editeur de l'album : naBan edition Note : Résumé de l'album : Takeda est professeur de japonais et Arita est fleuriste. Camarades de classe au lycée, ils ne s'étaient plus revus depuis la fin de leurs études. Mais un jour de pluie, leur relation évolue lorsqu'ils viennent en aide à un chat. Ils n'ont pas de sentiments amoureux l'un pour l'autre, ni même de raison particulière de vivre ensemble. Pourtant, c'est lorsqu'ils sont aux côtés l'un de l'autre qu'ils se sentent le plus à l'aise. Ils ont une relation différente des couples, des amis ou encore d'une famille. Mais ils apprécient passer du temps ensemble. Critique : Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là ! Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre. Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vies-d-ensemble-au-dela-des-mots-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là ! Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre. Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse".
  4. Titre de l'album : Though I am an inept villainess tome 3 Scenariste de l'album : NAKAMURA Satsuki Dessinateur de l'album : OHITSUJI Ei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tôsetsu, dame d'honneur du clan Kô, découvre avec effroi que les corps de Reirin et Keigetsu ont été échangés. Elle regrette de ne pas de s'en être aperçue plus tôt, mais Reirin lui interdit de dévoiler l'information à qui que ce soit. De son côté, Keigetsu commence à s'interroger sur son étrange maladie... Personne ne guérit d'une fièvre grâce au son de la corde d'un arc ! Ne s'agirait-il pas plutôt d'une malédiction ? Critique : Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger ! En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver... Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/though-i-am-an-inept-villainess-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger ! En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver... Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience.
  6. Titre de l'album : Coubertin, entre ombre et lumière Scenariste de l'album : Xavier Bétaucourt Dessinateur de l'album : Didier Pagot Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Pierre de Coubertin, son nom est lié à jamais aux Jeux olympiques, mais qui était-il vraiment ? Un amoureux de la Grèce antique, en quête d'un idéal universel... Un aristocrate converti à la République... Un jeune pédagogue qui devine les vertus du sport de masse. Un misogyne indécrottable et un colonialiste convaincu. Tout cela et bien plus... Voici le parcours d'un homme complexe dans une époque qui le fut tout autant. Critique : Ils approchent ces fameux JO de Paris , le 26 juillet plus précisément et l'éditeur Steinkis nous rappelle que le Baron de Coubertin fut à l'origine de ces jeux "modernes" . La BD commence avec un bref rappel de la création des premiers jeux grecs dans l'antiquité , qui seront annulés au début de notre ère par un romain méfiant de ce genre de manifestations . Puis , nous retrouvons deux journalistes en route pour l'ouverture des JO tristement célèbres de 1936 à Munich sous le régime nazi . L'axe narratif tournera autour de la conversation qu'ont ces deux reporters à propos de la vie de Pierre de Coubertin . Ils relatent les grandes dates de sa vie politique et son parcours diplomatique jalonné de hauts et de bas . Ainsi on y découvre ses "créations" mais aussi une façade de sa personnalité qui peut sembler sombre à notre époque . Au début du siècle dernier , la société était on ne peut plus patriarcale , donc tenir des positions "misogynes" en 1900 ou en 2000 n'a pas le même impact . Idem pour ses positions sur le colonialisme qui rapportait d'énormes profits à la France , mais aussi aux anglais et hollandais entre autres . Les auteurs abordent ces sujets avec une certaine conscience du contexte historique . En revanche ils risquent de perdre un peu le lecteur avec ces nombreuses allées et venues entre les deux reporters racontant sa vie , et ces moments contés auprès du baron lui-même ! On alterne les époques et les protagonistes sans aucun point de repère et il est parfois compliqué de reconnaître les personnages , d'autant que le récit s'étale sur plus de 40 ans ! Le dessin académique de Didier Pagot lorgne du côté de la ligne claire avec un plus grand réalisme . Avec la galerie de personnages présentés , on aurait aimé une légère dissociation des époques . Mais rassurez-vous , ce n'est pas insurmontable et vous apprendrez un tas d'anecdotes sur cet homme qui restera dans l'histoire et qui nous permet de visionner les cérémonies d'ouverture des JO en français , peu importe le pays organisateurs 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coubertin-entre-ombre-et-lumiere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Ils approchent ces fameux JO de Paris , le 26 juillet plus précisément et l'éditeur Steinkis nous rappelle que le Baron de Coubertin fut à l'origine de ces jeux "modernes" . La BD commence avec un bref rappel de la création des premiers jeux grecs dans l'antiquité , qui seront annulés au début de notre ère par un romain méfiant de ce genre de manifestations . Puis , nous retrouvons deux journalistes en route pour l'ouverture des JO tristement célèbres de 1936 à Munich sous le régime nazi . L'axe narratif tournera autour de la conversation qu'ont ces deux reporters à propos de la vie de Pierre de Coubertin . Ils relatent les grandes dates de sa vie politique et son parcours diplomatique jalonné de hauts et de bas . Ainsi on y découvre ses "créations" mais aussi une façade de sa personnalité qui peut sembler sombre à notre époque . Au début du siècle dernier , la société était on ne peut plus patriarcale , donc tenir des positions "misogynes" en 1900 ou en 2000 n'a pas le même impact . Idem pour ses positions sur le colonialisme qui rapportait d'énormes profits à la France , mais aussi aux anglais et hollandais entre autres . Les auteurs abordent ces sujets avec une certaine conscience du contexte historique . En revanche ils risquent de perdre un peu le lecteur avec ces nombreuses allées et venues entre les deux reporters racontant sa vie , et ces moments contés auprès du baron lui-même ! On alterne les époques et les protagonistes sans aucun point de repère et il est parfois compliqué de reconnaître les personnages , d'autant que le récit s'étale sur plus de 40 ans ! Le dessin académique de Didier Pagot lorgne du côté de la ligne claire avec un plus grand réalisme . Avec la galerie de personnages présentés , on aurait aimé une légère dissociation des époques . Mais rassurez-vous , ce n'est pas insurmontable et vous apprendrez un tas d'anecdotes sur cet homme qui restera dans l'histoire et qui nous permet de visionner les cérémonies d'ouverture des JO en français , peu importe le pays organisateurs 😉
  8. La dernière semaine
  9. Kevin Nivek

    Star naze

    Même pas je t'assure 🙂
  10. Titre de l'album : Spiderlouze - Tome 1 Scenariste de l'album : Ced Dessinateur de l'album : Stivo Coloriste : Stivo Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Entre les différents acteurs, le multiverse et des pouvoirs surprenants, Spiderlouze a plus de chance d'être à côté de la plaque que d'être un grand super-héros ! La parodie de l'univers de Spider-man, le super héros le plus emblématique de l'univers Marvel ! Critique : Le talentueux auteur Ced continue de sévir avec son humour irrévérencieux ! Après Star wars , il s'en prend aux super-héros à collants Marvel , avec en tête de gondole : Spiderman . Des caméos d'autres héros feront irruption mais l'homme araignée représente l'essentiel de la lecture . Ced fait une nouvelle fois mouche avec une version parodique des aventures de Spiderman , toujours sur 4 cases par sketch il use de scènes connus du héros et les adapte à sa guise ; plutôt il s'engouffre dans les brèches . Vous vous êtes sûrement posé la question à la lecture de ses aventures : il jette sa toile partout sur les murs des immeubles , mais que se passe t'il si une fenêtre est ouverte ? Sur qui ou quoi la toile va t'elle s'accrocher ? Il détourne avec talent les pouvoirs des némésis de "Péteur Parcoeur" et se sert de scènes mythiques des films , peut-être mieux connus que les histoires parues en comics . Stivo le dessinateur réalise un travail graphique dans un style "numérique" fidèle aux dessins animés sortis récemment au cinéma . Les personnages sont facilement reconnaissables , et si une bonne culture du personnage et de ses aventures amène un plus à la lecture , ce n'est pas indispensable pour saisir les gags . Un premier tome réussi qui en appelle d'autres car comme l'univers Star wars , le monde Marvel est une source inépuisable d'inspirations , surtout lorsqu'on a le talent de Ced pour détourner les situations 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spiderlouze-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Kevin Nivek

    Spiderlouze - Tome 1

    Le talentueux auteur Ced continue de sévir avec son humour irrévérencieux ! Après Star wars , il s'en prend aux super-héros à collants Marvel , avec en tête de gondole : Spiderman . Des caméos d'autres héros feront irruption mais l'homme araignée représente l'essentiel de la lecture . Ced fait une nouvelle fois mouche avec une version parodique des aventures de Spiderman , toujours sur 4 cases par sketch il use de scènes connus du héros et les adapte à sa guise ; plutôt il s'engouffre dans les brèches . Vous vous êtes sûrement posé la question à la lecture de ses aventures : il jette sa toile partout sur les murs des immeubles , mais que se passe t'il si une fenêtre est ouverte ? Sur qui ou quoi la toile va t'elle s'accrocher ? Il détourne avec talent les pouvoirs des némésis de "Péteur Parcoeur" et se sert de scènes mythiques des films , peut-être mieux connus que les histoires parues en comics . Stivo le dessinateur réalise un travail graphique dans un style "numérique" fidèle aux dessins animés sortis récemment au cinéma . Les personnages sont facilement reconnaissables , et si une bonne culture du personnage et de ses aventures amène un plus à la lecture , ce n'est pas indispensable pour saisir les gags . Un premier tome réussi qui en appelle d'autres car comme l'univers Star wars , le monde Marvel est une source inépuisable d'inspirations , surtout lorsqu'on a le talent de Ced pour détourner les situations 🙂
  12. VladNirky

    Star naze

    Oué mais non, c’est 20 ans trop tard
  13. Kevin Nivek

    Star naze

    Titre de l'album : Star naze Scenariste de l'album : Ced Dessinateur de l'album : Christo Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Il n'y pas si longtemps, dans une galaxie se trouvant dans un périmètre tout à fait raisonnable... Critique : On connaissait Naguère les étoiles paru aux éditions Delcourt , voilà que l'éditeur Jungle se met aussi à la parodie de Star wars ! Source inépuisable , la saga intergalactique n'a pas fini de nous étonner . Ced , auteur entre autres de parodies sur Spiderman , met tout son talent au service du lecteur dans cette série de sketchs . Chaque planche couvre 4 cases avec le déroulé de la blague et c'est fin tout en restant fidèle . Il couvre une très large partie des films et épisodes de séries , une bonne connaissance des moments ciblés est appréciable mais non indispensable pour saisir l'humour . Mais je dois avouer qu'il vaut mieux en connaître un minimum sur la saga afin de mieux discerner les subtilités du gag . Christo effectue un dessin estampillé "jeunesse" mais convenant parfaitement au ton donné . Les héros sont facilement reconnaissables , autant que les races extra-terrestres , et il use souvent d'onomatopées pour amener du mouvement aux scènes . On entendrait presque les sons des sabres laser en action ! Vous lirez les 128 pages avec frénésie , avides d'en voir plus et à quelle sauce les protagonistes historiques seront mangés . Et que dire du vocabulaire employé : la Force devient la Fougue , Vador : Kador , la base Starkiller devient Startiflette ; j'en passe et des meilleures . Ce petit format souple rentre dans tous les sacs et il est à posséder pour tous les amateurs de Star wars 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/starnaze/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Kevin Nivek

    Star naze

    On connaissait Naguère les étoiles paru aux éditions Delcourt , voilà que l'éditeur Jungle se met aussi à la parodie de Star wars ! Source inépuisable , la saga intergalactique n'a pas fini de nous étonner . Ced , auteur entre autres de parodies sur Spiderman , met tout son talent au service du lecteur dans cette série de sketchs . Chaque planche couvre 4 cases avec le déroulé de la blague et c'est fin tout en restant fidèle . Il couvre une très large partie des films et épisodes de séries , une bonne connaissance des moments ciblés est appréciable mais non indispensable pour saisir l'humour . Mais je dois avouer qu'il vaut mieux en connaître un minimum sur la saga afin de mieux discerner les subtilités du gag . Christo effectue un dessin estampillé "jeunesse" mais convenant parfaitement au ton donné . Les héros sont facilement reconnaissables , autant que les races extra-terrestres , et il use souvent d'onomatopées pour amener du mouvement aux scènes . On entendrait presque les sons des sabres laser en action ! Vous lirez les 128 pages avec frénésie , avides d'en voir plus et à quelle sauce les protagonistes historiques seront mangés . Et que dire du vocabulaire employé : la Force devient la Fougue , Vador : Kador , la base Starkiller devient Startiflette ; j'en passe et des meilleures . Ce petit format souple rentre dans tous les sacs et il est à posséder pour tous les amateurs de Star wars 😉
  15. Titre de l'album : Les fantômes de Syracuse Scenariste de l'album : Jean-Pierre Duffour Dessinateur de l'album : Alexandre Kha Coloriste : Alexandre Kha Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Sur les routes sinueuses qui mènent à Syracuse, une voiture rouge fend l’air lugubre. Matteo, mycologue de profession, se rend dans la ville de son enfance pour y donner une conférence. Mais à partir de la rencontre avec un auto-stoppeur inquiétant et une sortie de route inopinée, plus rien ne va se passer normalement. Arrivé à destination, Matteo redécouvre une Syracuse métamorphosée. Il erre dans une cité devenue un véritable labyrinthe de décombres et de souvenirs et croise de vieilles connaissances qui se débattent dans un monde corrompu par la Piovra Nera, organisation tentaculaire qui a la main mise sur la ville. Lui-même, en tant qu’ancien membre de cette pègre, est confronté à ses propres démons. Ainsi rattrapé par son passé, il se lance dans une fuite éperdue. Guidé par Salvatore, l’animateur d’une mystérieuse radio pirate, il trouvera également une aide précieuse auprès de la botaniste Grazia, qui semble se détacher de cet univers où le temps et l’espace obéissent à des lois étranges… Critique : Alexandre Kha nous emmène dans un univers étrange dès l'introduction avec un professeur spécialisée dans les champignons en retard pour une conférence à Syracuse. Plusieurs évènements s'enchainent pour empêcher le professeur de retourner dans sa ville d'enfance. On découvre alors un monde fantastique où les anecdotes du passé se mélangent avec le présent. On est vite pris dans cette course possible impossible pour une conférence où tous les personnages du passé du héros veulent régler leur compte avec lui. Pour accompagner ce récit, Jean-Pierre Duffour propose des personnages avec des têtes étranges reprenant des caractéristiques des animaux avec les yeux de reptiles ou des oreilles de chats. L'architecture du décor n'est pas en reste pour nous donner le tournis comme au héros de l'histoire. Il suffit de regarder les planches avec de nombreux escaliers impossible à la façon d'Escher avec des flèches de signalisation pour connaitre le sens du parcours. Les ombres des personnages jouent également un rôle et se déforment à leur convenance. Les auteurs se sont inspirés de récits de la mafia avec un côté loufoque pour donner une histoire improbable avec des champignons. Et l'on apprécie apprendre sur le passé louche de ce professeur impliqué dans l'organisation de la Piovra Nera. Autres infos : Editions Tanibis Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Les fantômes de Syracuse

    Alexandre Kha nous emmène dans un univers étrange dès l'introduction avec un professeur spécialisée dans les champignons en retard pour une conférence à Syracuse. Plusieurs évènements s'enchainent pour empêcher le professeur de retourner dans sa ville d'enfance. On découvre alors un monde fantastique où les anecdotes du passé se mélangent avec le présent. On est vite pris dans cette course possible impossible pour une conférence où tous les personnages du passé du héros veulent régler leur compte avec lui. Pour accompagner ce récit, Jean-Pierre Duffour propose des personnages avec des têtes étranges reprenant des caractéristiques des animaux avec les yeux de reptiles ou des oreilles de chats. L'architecture du décor n'est pas en reste pour nous donner le tournis comme au héros de l'histoire. Il suffit de regarder les planches avec de nombreux escaliers impossible à la façon d'Escher avec des flèches de signalisation pour connaitre le sens du parcours. Les ombres des personnages jouent également un rôle et se déforment à leur convenance. Les auteurs se sont inspirés de récits de la mafia avec un côté loufoque pour donner une histoire improbable avec des champignons. Et l'on apprécie apprendre sur le passé louche de ce professeur impliqué dans l'organisation de la Piovra Nera.
  17. gilloux

    les heures rouges

    Bonjour, je débute sur votre forum. J'ai publié un premier album en 2018 chez Pottok (maison confidentielle mais à compte d'éditeur), depuis, je travaille sur une autre projet qui jusque là m'a été refusé. Je suis donc en quête de critiques (même vaches), de conseils pour l'améliorer, tant il est vrai qu'on voit plus facilement la paille dans l’œil du voisin que la poutre dans la sien, comme dirait l'autre. D'avance, merci Vous pouvez retrouver le dit projet à cette adresse https://www.dropbox.com/preview/OUEST projet complet.pdf?context=content_suggestions&role=personal
  18. Ca sent pas bon… 🙂 me semble en avoir vu un sur vinted
  19. Et il était pas en rayon
  20. Avant
  21. The_PoP

    Divers JV

    Je pigeais pas grand chose au hardware mais qu’est ce que j’aimais leur humour ! je dévorais les tests. Je crois que j’ai été abonné un ou deux ans au moins
  22. Y_Kanzaki

    Death game tome 1

    Personnellement, je trouve que, comme @poseidon2 l'a dit, les élèments pris séparément ne sont pas très originaux, à part que notre "héros" ne peut pas prouver son innocence puisque pour pouvoir le faire, il faut qu'il survivre à cette expérience... Ce n'est donc pas ici une enquête vers la vérité comme dans Le Bateau du Thésée ou DeadLock. Mais pour alors lu la quasi totalité des mangas survival, je trouve que celui-ci sort du lot. Tout d'abord, on ne peut pas prévoir à l'avance qui va mourir et les actions qui vont potentiellement y mener. De plus, le but de ce survival n'est pas de tuer des gens pour survivre, au contraire ! Et chaque action effectuée (bonne ou mauvaise) se répercute sur tout le groupe: encore un point qu'on ne trouve quasiment pas dans les autres séries du type. Et ce que je trouve particulièrement intéressant, c'est le contexte carcéral du livre. Les détenus ne sont pas tous si pourris que ça, et même s'ils ont fait des actes fortement répréhensibles, certains l'ont fait pour ce qu'ils pensent être la bonne cause. Et d'un autre côté, on a les gens "normaux" qui partent du principe que puisqu'ils sont incarcérés ce sont forcément des raclures, quelle que soit leur motivation. Je trouve que ces pensées reflètent bien celles que certaines personnes pensent vraiment, et le livre met bien en avant ces différents points de vue. Enfin, il y a une vraie réflexion sur ce qu'est une bonne action et un remerciement, et surtout sur la sincérité de ceux-ci. A la lecture du tome, on se rend compte que beaucoup de gens ne disent "merci" que pas habitude alors qu'ils ne le pensent pas. Ce qui nous amène -et c'est là l'un des propos du livre- à nous demander comment savoir si ces paroles sont vraiment sincères ou non. Et c'est justement ces aspects qui font que Death Game sort du lot: ce n'est pas un simple jeu de survie classique où il faut tuer des gens, il y a beaucoup d'autres paramètres qui rentrent en jeu.
  23. Nickad

    Bons Plans

  24. Nickad

    Bons Plans

  25. Nickad

    Bons Plans

  26. Titre de l'album : Danzai lock tome 1 Scenariste de l'album : Yasuko Kobayashi Dessinateur de l'album : Masaki Nonoya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un moine torturé et un bourreau au grand coeur s'allient dans un monde où chacun lutte pour vivre une heure de plus... Dans ce monde qui pourrait être le nôtre, toute personne qui cause le décès d'un tiers est automatiquement condamnée à mort. Et cela, qu'il s'agisse d'un meurtre prémédité, d'un homicide involontaire ou de légitime défense. Les coupables se voient attribuer un nombre d'années restant à vivre et sont envoyés dans le 6e district carcéral.Dans cette ville à part entière, tous les moyens sont bons pour gagner quelques minutes supplémentaires de vie...L'arrivée de Yûshin, un intrigant moine censé soulager les âmes, confronté à Kunoji, un mystérieux bourreau veillant sur une adorable petite fille, va bouleverser ce monde où règnent crimes et châtiments ! Critique : Nouvelle série chez Doki-Doki avec une histoire reprenant le principe de l'ile prison. Mais pour dépasser les soucis de surpopulation, nos prisonniers vont sur cette ile pour ... finir leurs jours. En effet, ils ont à leur bras une puce qui leur montre le temps qu'il leur reste à vivre. La ou le scenario de base devient très intéressant, c'est que, assez évidemment, ce temps devient... la monnaie courante d'une ile ou les prisonniers essayent de vivre le plus normalement possible. Contrairement à ce que nous vend la couverture, nous ne sommes donc pas du tout dans une histoire médiévale. Il se trouve juste que notre héros aime s'habiller à l'ancienne tout comme le moine qui arrive sur l'ile.... les autres sont tous habillés normalement 🙂 Ce premier tome est très introductif. On y apprend les us et coutumes en place dans cette ile prison mais aussi les responsabilités et rôle de chacun. De belles promesses, mais qui nécessitent d'être concrétisé dans les prochains tome pou s'emballer tout de suite . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danzai-lock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  27. poseidon2

    Danzai lock tome 1

    Nouvelle série chez Doki-Doki avec une histoire reprenant le principe de l'ile prison. Mais pour dépasser les soucis de surpopulation, nos prisonniers vont sur cette ile pour ... finir leurs jours. En effet, ils ont à leur bras une puce qui leur montre le temps qu'il leur reste à vivre. La ou le scenario de base devient très intéressant, c'est que, assez évidemment, ce temps devient... la monnaie courante d'une ile ou les prisonniers essayent de vivre le plus normalement possible. Contrairement à ce que nous vend la couverture, nous ne sommes donc pas du tout dans une histoire médiévale. Il se trouve juste que notre héros aime s'habiller à l'ancienne tout comme le moine qui arrive sur l'ile.... les autres sont tous habillés normalement 🙂 Ce premier tome est très introductif. On y apprend les us et coutumes en place dans cette ile prison mais aussi les responsabilités et rôle de chacun. De belles promesses, mais qui nécessitent d'être concrétisé dans les prochains tome pou s'emballer tout de suite .
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    • Coubertin, entre ombre et lumière
      Note :
      Ils approchent ces fameux JO de Paris , le 26 juillet plus précisément et l'éditeur Steinkis nous rappelle que le Baron de Coubertin fut à l'origine de ces jeux "modernes" . La BD commence avec un bref rappel de la création des premiers jeux grecs dans l'antiquité , qui seront annulés au début de notre ère par un romain méfiant de ce genre de manifestations . Puis , nous retrouvons deux journalistes en route pour l'ouverture des JO tristement célèbres de 1936 à Munich sous le régime nazi . L'axe narratif tournera autour de la conversation qu'ont ces deux reporters à propos de la vie de Pierre de Coubertin . Ils relatent les grandes dates de sa vie politique et son parcours diplomatique jalonné de hauts et de bas . Ainsi on y découvre ses "créations" mais aussi une façade de sa personnalité qui peut sembler sombre à notre époque . Au début du siècle dernier , la société était on ne peut plus patriarcale , donc tenir des positions "misogynes" en 1900 ou en 2000 n'a pas le même impact . Idem pour ses positions sur le colonialisme qui rapportait d'énormes profits à la France , mais aussi aux anglais et hollandais entre autres . Les auteurs abordent ces sujets avec une certaine conscience du contexte historique . En revanche ils risquent de perdre un peu le lecteur avec ces nombreuses allées et venues entre les deux reporters racontant sa vie , et ces moments contés auprès du baron lui-même ! On alterne les époques et les protagonistes sans aucun point de repère et il est parfois compliqué de reconnaître les personnages , d'autant que le récit s'étale sur plus de 40 ans ! Le dessin académique de Didier Pagot lorgne du côté de la ligne claire avec un plus grand réalisme . Avec la galerie de personnages présentés , on aurait aimé une légère dissociation des époques . Mais rassurez-vous , ce n'est pas insurmontable et vous apprendrez un tas d'anecdotes sur cet homme qui restera dans l'histoire et qui nous permet de visionner les cérémonies d'ouverture des JO en français , peu importe le pays organisateurs 😉 
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    • Spiderlouze - Tome 1
      Note :
      Le talentueux auteur Ced continue de sévir avec son humour irrévérencieux ! Après Star wars , il s'en prend aux super-héros à collants Marvel , avec en tête de gondole : Spiderman . Des caméos d'autres héros feront irruption mais l'homme araignée représente l'essentiel de la lecture . Ced fait une nouvelle fois mouche avec une version parodique des aventures de Spiderman , toujours sur 4 cases par sketch il use de scènes connus du héros et les adapte à sa guise ; plutôt il s'engouffre dans les brèches . Vous vous êtes sûrement posé la question à la lecture de ses aventures : il jette sa toile partout sur les murs des immeubles , mais que se passe t'il si une fenêtre est ouverte ? Sur qui ou quoi la toile va t'elle s'accrocher ? Il détourne avec talent les pouvoirs des némésis de "Péteur Parcoeur" et se sert de scènes mythiques des films , peut-être mieux connus que les histoires parues en comics . Stivo le dessinateur réalise un travail graphique dans un style "numérique" fidèle aux dessins animés sortis récemment au cinéma . Les personnages sont facilement reconnaissables , et si une bonne culture du personnage et de ses aventures amène un plus à la lecture , ce n'est pas indispensable pour saisir les gags . Un premier tome réussi qui en appelle d'autres car comme l'univers Star wars , le monde Marvel est une source inépuisable d'inspirations , surtout lorsqu'on a le talent de Ced pour détourner les situations 🙂 
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    • Star naze
      Note :
      On connaissait Naguère les étoiles  paru aux éditions Delcourt , voilà que l'éditeur Jungle se met aussi à la parodie de Star wars ! Source inépuisable , la saga intergalactique n'a pas fini de nous étonner . Ced , auteur entre autres de parodies sur Spiderman , met tout son talent au service du lecteur dans cette série de sketchs . Chaque planche couvre 4 cases avec le déroulé de la blague et c'est fin tout en restant fidèle . Il couvre une très large partie des films et épisodes de séries , une bonne connaissance des moments ciblés est appréciable mais non indispensable pour saisir l'humour . Mais je dois avouer qu'il vaut mieux en connaître un minimum sur la saga afin de mieux discerner les subtilités du gag . Christo effectue un dessin estampillé "jeunesse" mais convenant parfaitement au ton donné . Les héros sont facilement reconnaissables , autant que les races extra-terrestres , et il use souvent d'onomatopées pour amener du mouvement aux scènes . On entendrait presque les sons des sabres laser en action ! Vous lirez les 128 pages avec frénésie , avides d'en voir plus et à quelle sauce les protagonistes historiques seront mangés . Et que dire du vocabulaire employé : la Force devient la Fougue , Vador : Kador , la base Starkiller devient Startiflette ; j'en passe et des meilleures . Ce petit format souple rentre dans tous les sacs et il est à posséder pour tous les amateurs de Star wars 😉 
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    • Vies d'ensemble - au-delà des mots tome 1
      Note :
      Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. 

      Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là !

      Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. 

      Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre.

      Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse".
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    • Though I am an inept villainess tome 3
      Note :
      Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger !

      En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver...

      Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience.
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