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Manga

Affichage de[s] tout le contenu étiquetés 'manga' et 'mangas' et posté[e][s] durant les 244 derniers jours.

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  1. Hier
  2. Nickad

    Studio Cabana tome 1

    Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer. La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux ! La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ? Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place. Extrait
  3. Titre de l'album : Studio Cabana tome 1 Scenariste de l'album : AGRI Uma / AGURI Uma Dessinateur de l'album : AGRI Uma / AGURI Uma Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Yukari Maki est une lycéenne plutôt banale, dont la vie est brusquement bouleversée lorsqu'elle aperçoit à la dérobée Yusuke Kusaka, le délinquant de sa classe, interpréter une chanson d'amour. En entendant cette voix mélancolique qu'elle ne lui connait pas et ne ressemble en rien à l'attitude habituelle du jeune homme, Yukari tombe immédiatement sous son charme... Critique : Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer. La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux ! La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ? Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/studio-cabana-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. La dernière semaine
  5. poseidon2

    Rebuild the world tome 8

    Fin du combat entre Akira et la pilleuse de relique et quelle fin de combat ! Tendu comme jamais, ce combat nous montre un Akira devant se passer de l'aide d'alpha pour esquiver tout en réussissant à contre-attaquer. Mais le vrai intérêt de ce tome 8, c'est qu'outre la fin de ce combat, il avance sur l'intrigue principale en nous faisant apprendre pas mal de chose sur Alpha, mais aussi sur les forces s'affrontant pour prendre le contrôle global. Le dessin de Kirihito Ayamura est toujours très bon et le scenario se pose enfin un peu pour se permettre de nous donner des miettes de ce qui nous attend dans la suite. Un manga toujours aussi dense et intéressant.
  6. Titre de l'album : Rebuild the world tome 8 Scenariste de l'album : Nahuse Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les monstres attaquent les terres dévastées, Akira, un enfant venant des taudis, projette de devenir un grand chasseur dans le but de sortir de la misère. Pour chaque relique de l'ancien monde vendue, une somme d'argent plus ou moins grande est à la clé, et les plus grands chasseurs peuvent même vivre derrière les murailles, en sécurité. Un jour, alors qu'un groupe de bandits essaie de le dépouiller, Akira aperçoit une femme qu'il est le seul à voir, et qui lui sauve la vie lors d'une explosion. Elle prétend se nommer Alpha, et être une réalité augmentée de l'ancien monde. Voyant un potentiel de chasseur chez le jeune garçon, elle lui propose de passer un contrat avec elle : en échange de son soutien dans ses combats et des reliques pouvant permettre de rapporter beaucoup d'argent à Akira, ce dernier devra reconquérir une partie des ruines des terres dévastées pour elle. Critique : Fin du combat entre Akira et la pilleuse de relique et quelle fin de combat ! Tendu comme jamais, ce combat nous montre un Akira devant se passer de l'aide d'alpha pour esquiver tout en réussissant à contre-attaquer. Mais le vrai intérêt de ce tome 8, c'est qu'outre la fin de ce combat, il avance sur l'intrigue principale en nous faisant apprendre pas mal de chose sur Alpha, mais aussi sur les forces s'affrontant pour prendre le contrôle global. Le dessin de Kirihito Ayamura est toujours très bon et le scenario se pose enfin un peu pour se permettre de nous donner des miettes de ce qui nous attend dans la suite. Un manga toujours aussi dense et intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Me voila rassuré ! Le hors série n'aura vraiment pas duré longtemps et nous revoici dans le dur avec une histoire qui évolue super vite. On retrouve des liens avec l'ancien monde via la découverte d'une pyramide. Son exploration permet d'éclaircir certains points, mais il est surtout l'occasion de belles batailles et d'un retour au premier plan de Codeholder, de Cid et de l'eraser. Mais pas que ! le "groupe" derrière tout ca commence à apparaitre et une alliance entre les différentes races commence à se profiler avec une question qui en ressort : la domination par humains, dans le monde base de Kai, était-elle une bonne chose ? Les autres races méritaient-elles vraiment cela ? C'est dense, c'est dynamique et ça avance suffisamment pour que le spin off ne nous ait rien gâché. Une excellente série décidément !
  8. Titre de l'album : Why nobody remembers my world ? tome 10 Scenariste de l'album : Arikan Dessinateur de l'album : Arikan Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Pourquoi personne ne se souvient du monde d'avant ? La Grande Guerre pour la suprématie du monde qui opposa les cinq races se solda par la victoire de l'humanité menée par le héros Sid. Mais soudain, le monde est réécrit sous les yeux du jeune Kai qui se retrouve projeté dans un monde dans lequel les humains ont perdu la Grande Guerre des cinq races.Afin d'en apprendre plus sur le mode de vie des spectres, Kai et ses camarades se rendent dans un nid, mais, à leur arrivée, les spectres ont déjà quitté l'endroit. Les soldats décident d'explorer les environs et ne tardent pas à apercevoir un Tombeau, une ancienne construction pyramidale dans laquelle les créatures des quatre grandes races étaient retenues prisonnières. Commence alors un combat qui va voir se transformer le paysage de toute la zone alentour...Un jeune garçon dont l'existence a été effacée va tenter de remettre en place le monde tel qu'il était avant ! Critique : Me voila rassuré ! Le hors série n'aura vraiment pas duré longtemps et nous revoici dans le dur avec une histoire qui évolue super vite. On retrouve des liens avec l'ancien monde via la découverte d'une pyramide. Son exploration permet d'éclaircir certains points, mais il est surtout l'occasion de belles batailles et d'un retour au premier plan de Codeholder, de Cid et de l'eraser. Mais pas que ! le "groupe" derrière tout ca commence à apparaitre et une alliance entre les différentes races commence à se profiler avec une question qui en ressort : la domination par humains, dans le monde base de Kai, était-elle une bonne chose ? Les autres races méritaient-elles vraiment cela ? C'est dense, c'est dynamique et ça avance suffisamment pour que le spin off ne nous ait rien gâché. Une excellente série décidément ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/why-nobody-remembers-my-world-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Critique de @TheOtaku : Voilà un tome très agréable à lire, la différence entre les personnages et les histoires est de plus en plus visibles, on ne se perd plus avec qui est qui et les histoires de chacune évoluent petit à petit. Dans ce tome on verra chacune de nos quatre histoires "différentes" évoluer, un nouveau personnage du passé de Shizuku risque de faire surface, Iori sent sa relation avec Minami changer, Heke veut faire sa déclaration à Shinohara et un petit rendez vous professeur/élève s'annonce ! J'ai beaucoup aimé ce tome et les différentes tournures que prennent les différentes histoires, beaucoup de suspense arrive et je n'ai qu'une envie : avoir des réponses !
  10. Titre de l'album : Critique par une ado : Nos différences enlacées tome 6 Scenariste de l'album : Mikanuji Dessinateur de l'album : Mikanuji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Une lycéenne amoureuse de sa grande soeur, Iori. Elle essaie de rester forte mais elle ne peut pas s'empêcher de se goinfrer, quand elle est confrontée à la triste réalité ! J'aimerais pouvoir être tout le temps avec ma soeur... Parler avec elle, la prendre dans mes bras... Mais... Elle est déjà en couple. Elle est si occupée par son travail qu'on ne se voit presque jamais... Et ça, c'est vraiment dur... C'est là que, sur un coup de tête, j'ai appelé quelqu'un... Shizuku... On est dans la même classe et on s'entend plus ou moins bien... qui sait si on est vraiment proches... Qu'est-ce qu'elle est, pour moi, au fond ? Critique : Critique de @TheOtaku : Voilà un tome très agréable à lire, la différence entre les personnages et les histoires est de plus en plus visibles, on ne se perd plus avec qui est qui et les histoires de chacune évoluent petit à petit. Dans ce tome on verra chacune de nos quatre histoires "différentes" évoluer, un nouveau personnage du passé de Shizuku risque de faire surface, Iori sent sa relation avec Minami changer, Heke veut faire sa déclaration à Shinohara et un petit rendez vous professeur/élève s'annonce ! J'ai beaucoup aimé ce tome et les différentes tournures que prennent les différentes histoires, beaucoup de suspense arrive et je n'ai qu'une envie : avoir des réponses ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-differences-enlacees-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Une critique de @TheOtaku : En voilà un scénario profond. Sachi décide de se rendre seule à la clinique, en plein le déni, mais à l'instant où elle entend les battements du cœur de l'embryon en elle, elle ne sait plus. Il ne reste plus que 3 semaines à Takara et elle pour prendre une décision mais elle n'arrive plus à savoir. Faut-il avorter ? Faut-il le faire adopter ? Pourras -t-elle le garder ? Quel est l'avis des adultes ? Peu importe leur décision, il leur faudra un accord parental, mais avant tout il faut commencer par en parler aux adultes. Mais quel manga ! Quelle histoire ! Nous voici avec une histoire des plus prenantes, pleine de suspense, mais aussi une histoire reflétant la triste réalité, la triste dureté de ce que certains pourraient appeler plus tard une "erreur de jeunesse" ou bien un "choix fait à la va-vite". Ce manga est dur à sa façon, il met la boule au ventre à sa façon, il reflète une vérité peu connue, il explique tout dans les détails, des détails qui nous sont souvent inconnus ou peu écouter, il fait mal, et pour preuve il est déconseillé aux moins de 13 ans. Ce manga est génial, triste bien sûr mais très bon. L'histoire, les sentiments des personnages et leurs points de vue sont très bien mis en scène et le scénario est assez poussé sans pour autant paraître absurde, il reflète une "triste" condition tout en lui laissant son côté réel et véritable. Enfin, le sujet est abordé de manière simple et sans quelconque sous-entendu péjoratif, ce qui rend la lecture de ce manga encore plus absorbante et calme. J'ai adoré ce tome 2 et en suis sortie toute chamboulée et toute triste je pourrais dire.
  12. Titre de l'album : Critique par une ado : L'enfant en moi tome 2 Scenariste de l'album : Mamoru Aoi Dessinateur de l'album : Mamoru Aoi Coloriste : Editeur de l'album : 404 Graphics Note : Résumé de l'album : Alors qu'elle était censée attendre Takara pour aller voir un gynécologue, Sachi décide finalement de se rendre seule à la clinique. Sur son formulaire, Sachi avait coché l'I.V.G., mais dès l'instant où elle a entendu les battements de coeur de l'embryon en elle, elle n'a plus été sûre de rien. Il ne lui reste que trois semaines pour prendre une décision. Confuse, la jeune fille va à présent devoir faire face à sa mère et à celle de Takara, et les mettre au courant de sa grossesse. Quelle décision prendra-t-elle ? Critique : Une critique de @TheOtaku : En voilà un scénario profond. Sachi décide de se rendre seule à la clinique, en plein le déni, mais à l'instant où elle entend les battements du cœur de l'embryon en elle, elle ne sait plus. Il ne reste plus que 3 semaines à Takara et elle pour prendre une décision mais elle n'arrive plus à savoir. Faut-il avorter ? Faut-il le faire adopter ? Pourras -t-elle le garder ? Quel est l'avis des adultes ? Peu importe leur décision, il leur faudra un accord parental, mais avant tout il faut commencer par en parler aux adultes. Mais quel manga ! Quelle histoire ! Nous voici avec une histoire des plus prenantes, pleine de suspense, mais aussi une histoire reflétant la triste réalité, la triste dureté de ce que certains pourraient appeler plus tard une "erreur de jeunesse" ou bien un "choix fait à la va-vite". Ce manga est dur à sa façon, il met la boule au ventre à sa façon, il reflète une vérité peu connue, il explique tout dans les détails, des détails qui nous sont souvent inconnus ou peu écouter, il fait mal, et pour preuve il est déconseillé aux moins de 13 ans. Ce manga est génial, triste bien sûr mais très bon. L'histoire, les sentiments des personnages et leurs points de vue sont très bien mis en scène et le scénario est assez poussé sans pour autant paraître absurde, il reflète une "triste" condition tout en lui laissant son côté réel et véritable. Enfin, le sujet est abordé de manière simple et sans quelconque sous-entendu péjoratif, ce qui rend la lecture de ce manga encore plus absorbante et calme. J'ai adoré ce tome 2 et en suis sortie toute chamboulée et toute triste je pourrais dire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-en-moi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Helck tome 3

    Pfff plus ça avance plus c'est bon. Si Helck est encore une fois un peu passé au second plan, notre histoire, elle se densifie de plus en plus. L'un des seigneurs des démons nous montre son niveau, mais il nous explique surtout les forces en présence et nous montre en quoi les humains étaient jusqu'alors d'un niveau ridicule… et à quel point ils ont changé radicalement. En parallèle, Helck continue son bonhomme de chemin dans un manga qui n'est pas sans rappeler : Dragon ball. Oui oui rien que cela. C'est ce qui me titillait depuis le début. On retrouve un côté détente avec des rencontres débiles et rigolotes (concours de bouffe, rencontres loufoques…), des méchants qui ont l'air très bête mais mixé avec une histoire des plus sérieuses et super intéressante. Un mix pas vu depuis un petit moment !!
  14. poseidon2

    Helck tome 3

    Titre de l'album : Helck tome 3 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Alors que les humains viennent de battre le terrible Roi démon, le peuple des forces du mal s'affronte maintenant dans un tournoi dont le vainqueur sera reconnu comme prochain roi. Jusque-là, rien de bien étrange. Mais l'un des participants les plus puissants, le plus à même de gagner et accéder au trône, n'est autre qu'un héros humain... Un certain Helck aux allures d'Hercule du pauvre, qui affirme détester ses semblables et vouloir rallier les démons pour vaincre la race humaine ! Ce qui n'est pas du tout du goût d'une des organisatrices, Vermilio la Rouge, qui va tout faire pour éliminer cet intrus humain. Mais qui est cet étrange énergumène et quelles sont ses véritables intentions ? Critique : Pfff plus ça avance plus c'est bon. Si Helck est encore une fois un peu passé au second plan, notre histoire, elle se densifie de plus en plus. L'un des seigneurs des démons nous montre son niveau, mais il nous explique surtout les forces en présence et nous montre en quoi les humains étaient jusqu'alors d'un niveau ridicule… et à quel point ils ont changé radicalement. En parallèle, Helck continue son bonhomme de chemin dans un manga qui n'est pas sans rappeler : Dragon ball. Oui oui rien que cela. C'est ce qui me titillait depuis le début. On retrouve un côté détente avec des rencontres débiles et rigolotes (concours de bouffe, rencontres loufoques…), des méchants qui ont l'air très bête mais mixé avec une histoire des plus sérieuses et super intéressante. Un mix pas vu depuis un petit moment !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nouvelle série chez Meian mais, a contrario de ce que pourrait laisser penser la couverture, ce n'est en aucun cas un shojo. C'est un manga d'aventure fantastique assez original. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette histoire n'est pas que celle de notre princesse, mais aussi celle de sa sœur et du monde qu'elles sont censées protéger. Et c'est cette relation entre les deux sœurs, et les mensonges des parents pour les séparer qui pimentent réellement cette histoire. Cela permet de relancer l'histoire de notre princesse durant ses temps morts et de casser un peu sa surpuissance qui, si elle est étonnante et intéressante dans ces deux tomes, n'avaient pas forcément de perspectives. Mais cette superpuissance mise au profit de son pays d'adoption conjugué au fait de savoir ce qu'il se passe dans les pays voisins rend cette histoire plus globale et plus intéressante, car bien plus incertaine ! Vivement la suite !
  16. Titre de l'album : The saint whose engagement was broken tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Kôki Fuyutsuki Dessinateur de l'album : Mago Ayakita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Née dans une famille où le rôle de « Sainte » est transmis de génération en génération, Philia a reçu une éducation spartiate qui l'a poussée à viser la perfection, ce qui lui a valu le titre de « plus grande Sainte de l'Histoire ». Mais l'écart entre son attitude trop parfaite et son apparence peu charmante ne plaît pas à tout le monde, et même son fiancé, le second prince Julius, finit par rompre sa promesse de mariage... Pire encore, elle est vendue par ses proches au pays voisin, qui souffrait de ne plus avoir de Sainte. Mais alors que Philia part en s'attendant à être traitée encore plus misérablement, le pays voisin la reçoit en grande pompe ?! Critique : Nouvelle série chez Meian mais, a contrario de ce que pourrait laisser penser la couverture, ce n'est en aucun cas un shojo. C'est un manga d'aventure fantastique assez original. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette histoire n'est pas que celle de notre princesse, mais aussi celle de sa sœur et du monde qu'elles sont censées protéger. Et c'est cette relation entre les deux sœurs, et les mensonges des parents pour les séparer qui pimentent réellement cette histoire. Cela permet de relancer l'histoire de notre princesse durant ses temps morts et de casser un peu sa surpuissance qui, si elle est étonnante et intéressante dans ces deux tomes, n'avaient pas forcément de perspectives. Mais cette superpuissance mise au profit de son pays d'adoption conjugué au fait de savoir ce qu'il se passe dans les pays voisins rend cette histoire plus globale et plus intéressante, car bien plus incertaine ! Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-saint-whose-engagement-was-broken-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Le guérisseur de l'ombre tome 1

    Dans son équipe d’aventuriers, Zenos est le guérisseur, il a appris tout seul et n’a aucune idée de son niveau. Un jour, son équipe le rejette, prétextant qu’il est inutile et qu’il se la coule douce. En réalité, ces aventuriers souhaitent briller en société et se faire bien voir de l’aristocratie alors avoir Zenos dans la troupe fait tache car ce dernier est orphelin et issu des classes pauvres, un statut discriminé dans une société régie par des castes. Bien sûr, Zenos est un très bon guérisseur, tellement doué qu’il peut faire des invocations sans cercle et guérir des blessures supposées inguérissables ! Il s’installe avec Lily, une jeune elfe qu’il a sauvé, dans les bas quartiers, afin d’y ouvrir une clinique de l’ombre. Un aventurier mis à l’écart par le reste de son équipe, c’est du déjà vu et on sait en général que ses compétences ont mal été évaluées et qu’il est un élément indispensable à l’équipe ! J’attends d’ailleurs impatiemment le moment où l’on verra son ancienne troupe se vautrer lamentablement. Cependant, il ne faut pas s’arrêter à cet élément du scénario et même si la suite n’est pas non plus très originale (côté harem et compétences de haut niveau), l’ensemble fonctionne très bien. En plus du côté aventure et purement fantasy du récit, d’autres thématiques sont aussi abordées à commencer par la conscience du médecin dont l’objectif principal est de soigner sans discrimination (le serment d’Hippocrate en somme). Ensuite vous trouverez des discours sur l’acceptation de l’autre, les préjugés, l’entraide… et surtout de ne pas se fier aux apparences car les méchants ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Ajouté une pointe d’humour et un graphisme réussi bien qu’il soit un peu trop « propre » (on sent l’utilisation du numérique), ce manga fait un bon début et propose un bon divertissement. A suivre.
  18. Titre de l'album : Le guérisseur de l'ombre tome 1 Scenariste de l'album : HISHIKAWA Sakaku Dessinateur de l'album : JUNOICHI Ten Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : La vie d'un guérisseur nonchalant aux pouvoirs exceptionnels ! Un jour, Zenos, un guérisseur de génie, se fait brusquement expulser de son groupe. Déprimé, il rencontre une elfe nommée Lily et décide d'ouvrir ensemble une clinique clandestine dans les bas quartiers. Les rumeurs d'un guérisseur talentueux capable de soigner n'importe quelle blessure se répandent alors rapidement, attirant l'attention des trois grands clans de demi-humains qui s'affrontent pour la suprématie des bas quartiers... Suivez la vie renversante d'un guérisseur nonchalant au talent démesuré Critique : Dans son équipe d’aventuriers, Zenos est le guérisseur, il a appris tout seul et n’a aucune idée de son niveau. Un jour, son équipe le rejette, prétextant qu’il est inutile et qu’il se la coule douce. En réalité, ces aventuriers souhaitent briller en société et se faire bien voir de l’aristocratie alors avoir Zenos dans la troupe fait tache car ce dernier est orphelin et issu des classes pauvres, un statut discriminé dans une société régie par des castes. Bien sûr, Zenos est un très bon guérisseur, tellement doué qu’il peut faire des invocations sans cercle et guérir des blessures supposées inguérissables ! Il s’installe avec Lily, une jeune elfe qu’il a sauvé, dans les bas quartiers, afin d’y ouvrir une clinique de l’ombre. Un aventurier mis à l’écart par le reste de son équipe, c’est du déjà vu et on sait en général que ses compétences ont mal été évaluées et qu’il est un élément indispensable à l’équipe ! J’attends d’ailleurs impatiemment le moment où l’on verra son ancienne troupe se vautrer lamentablement. Cependant, il ne faut pas s’arrêter à cet élément du scénario et même si la suite n’est pas non plus très originale (côté harem et compétences de haut niveau), l’ensemble fonctionne très bien. En plus du côté aventure et purement fantasy du récit, d’autres thématiques sont aussi abordées à commencer par la conscience du médecin dont l’objectif principal est de soigner sans discrimination (le serment d’Hippocrate en somme). Ensuite vous trouverez des discours sur l’acceptation de l’autre, les préjugés, l’entraide… et surtout de ne pas se fier aux apparences car les méchants ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Ajouté une pointe d’humour et un graphisme réussi bien qu’il soit un peu trop « propre » (on sent l’utilisation du numérique), ce manga fait un bon début et propose un bon divertissement. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-guerisseur-de-l-ombre-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Kaijû defense force tomes 3 & 4

    Le sauvetage du Fugaku arrive à sa fin, hélas, tous ne s’en sortent pas et la grand-mère de Konoé décède. Après cet incident, le gouvernement décide de mettre en place une force spéciale destinée à prendre en charge les états de crises et lutter notamment contre les kaijûs, son nom « le bureau de lutte contre les catastrophes paranormales ». Konoé et s’y engage sous les ordres du capitaine Yamato. Dans le tome 3, les forces d’auto-défense débarquent sur une ile et éliminent les petits du monstre mais rassurez-vous, il y en a d’autres ! Cela aurait été dommage que l’histoire s’arrête déjà 😊 ! Il y a donc une petite poignée de militaires qui s’entrainent à faire face aux kaijûs mais en même temps des politiciens qui ne voient pas ça d’un bon œil, prétextant que ce ne sont que des dépenses inutiles et que la menace est passée ! Mais quand plusieurs disparitions se produisent en plein cœur de Tokyo, la tension monte et la chasse se rapproche. Mais qui sera le chasseur ? De temps en temps, il y a quelques passages un peu longuets car il faut bien mettre en place les nouvelles organisations et dénoncer au passage quelques dysfonctionnements souvent liés aux affaires politiques nationales et internationales. Mais, avec son graphisme très travaillé proposant beaucoup de détails et une bonne gestion de l’espace et un scénario fourni et cohérent, le manga nous propose un récit d’action digne des grands films catastrophes. Vivement le tome 5 !
  20. Titre de l'album : Kaijû defense force tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : SHIRATO Seiichi Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, ce n'est qu'un avant-goût des calamités à venir. La bataille qui se joue sur le Fugaku entre dans sa phase finale. Des torpilles lourdes sont lancées alors que Konoé, sa grand-mère et le petit Ren se trouvent toujours dans le canot de sauvetage. Contraint de changer de tactique, Yamato riposte en ciblant directement le monstre. Par la suite, tous découvriront pourquoi le kaijû s'est montré aux îles Senkaku.. Critique : Le sauvetage du Fugaku arrive à sa fin, hélas, tous ne s’en sortent pas et la grand-mère de Konoé décède. Après cet incident, le gouvernement décide de mettre en place une force spéciale destinée à prendre en charge les états de crises et lutter notamment contre les kaijûs, son nom « le bureau de lutte contre les catastrophes paranormales ». Konoé et s’y engage sous les ordres du capitaine Yamato. Dans le tome 3, les forces d’auto-défense débarquent sur une ile et éliminent les petits du monstre mais rassurez-vous, il y en a d’autres ! Cela aurait été dommage que l’histoire s’arrête déjà 😊 ! Il y a donc une petite poignée de militaires qui s’entrainent à faire face aux kaijûs mais en même temps des politiciens qui ne voient pas ça d’un bon œil, prétextant que ce ne sont que des dépenses inutiles et que la menace est passée ! Mais quand plusieurs disparitions se produisent en plein cœur de Tokyo, la tension monte et la chasse se rapproche. Mais qui sera le chasseur ? De temps en temps, il y a quelques passages un peu longuets car il faut bien mettre en place les nouvelles organisations et dénoncer au passage quelques dysfonctionnements souvent liés aux affaires politiques nationales et internationales. Mais, avec son graphisme très travaillé proposant beaucoup de détails et une bonne gestion de l’espace et un scénario fourni et cohérent, le manga nous propose un récit d’action digne des grands films catastrophes. Vivement le tome 5 ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Dead Rock tome 1

    Voici la nouvelle série de Hiro Mashima, l’auteur de Fairy Tail et Edens Zero. Commencée en juillet 2023, elle compte 1 seul tome pour le moment. Dead Rock est le nom d’une académie formant les plus puissants de tous les démons. Deux façons d’y entrer : soit avoir eu une recommandation, soit passer une épreuve spéciale qui voit peu de candidats réussir. Et cette année, sur les 1000 inscrits seuls 7 sont reçus et 985 sont morts !! Parmi les reçus se trouve Yakuto, un descendant du dragon noir. Une académie située en Enfer avec plein de démons, une classe spéciale avec peu d’élèves et un peu à l’écart des autres, il y a un petit air d’Iruma dans l’air… La ressemblance s’arrête là car même s’il y a de l’humour, l’histoire est assez violente et baigne dans le sang, pas vraiment visuellement car nous sommes dans un shonen et le manga n’est pas gore. Mais si on se penche sur le propos, c’est vraiment la loi du plus fort et le règlement même de l’école l’autorise, l’article 3 dit « on peut tuer tous ceux que l’on n’aime pas » y compris les professeurs ! Et Yakuto est bien décidé à atteindre son objectif quels que soient les moyens ! Ce nouveau titre de Mashima est clairement plus sombre que ces précédentes œuvres et promet quelques rebondissements intéressants. On appréciera retrouver quelques références à Fairy Tail, notamment l’apparence de Yakuto et ses capacités (« poing destructeur du dragon noir ») qui ne peuvent que nous faire penser à Acnologia. Un manga prometteur dont on lira la suite avec plaisir. Extrait
  22. Nickad

    Dead Rock tome 1

    Titre de l'album : Dead Rock tome 1 Scenariste de l'album : MASHIMA Hiro Dessinateur de l'album : MASHIMA Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Dead Rock. Ainsi se nomme l'académie de formation des grands démons située dans la 666e strate des Enfers. Yakuto, un garçon poli, effacé et tout à fait banal, décide un jour de participer à un examen mortel pour intégrer cet effroyable établissement. Quiconque obtient son diplôme à Dead Rock reçoit en récompense une partie du monde des humains à gouverner, mais Yakuto cache un objectif très différent et il sera prêt à tout pour l'atteindre... même à tuer. Critique : Voici la nouvelle série de Hiro Mashima, l’auteur de Fairy Tail et Edens Zero. Commencée en juillet 2023, elle compte 1 seul tome pour le moment. Dead Rock est le nom d’une académie formant les plus puissants de tous les démons. Deux façons d’y entrer : soit avoir eu une recommandation, soit passer une épreuve spéciale qui voit peu de candidats réussir. Et cette année, sur les 1000 inscrits seuls 7 sont reçus et 985 sont morts !! Parmi les reçus se trouve Yakuto, un descendant du dragon noir. Une académie située en Enfer avec plein de démons, une classe spéciale avec peu d’élèves et un peu à l’écart des autres, il y a un petit air d’Iruma dans l’air… La ressemblance s’arrête là car même s’il y a de l’humour, l’histoire est assez violente et baigne dans le sang, pas vraiment visuellement car nous sommes dans un shonen et le manga n’est pas gore. Mais si on se penche sur le propos, c’est vraiment la loi du plus fort et le règlement même de l’école l’autorise, l’article 3 dit « on peut tuer tous ceux que l’on n’aime pas » y compris les professeurs ! Et Yakuto est bien décidé à atteindre son objectif quels que soient les moyens ! Ce nouveau titre de Mashima est clairement plus sombre que ces précédentes œuvres et promet quelques rebondissements intéressants. On appréciera retrouver quelques références à Fairy Tail, notamment l’apparence de Yakuto et ses capacités (« poing destructeur du dragon noir ») qui ne peuvent que nous faire penser à Acnologia. Un manga prometteur dont on lira la suite avec plaisir. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dead-rock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Le roi démon qui était enfermé dans le corps de Rem se révèle être une petite fille qui a perdu une partie de sa mémoire et qui raffole de biscuits. Diablo décide donc de la garder dans son groupe. Hélas, Alicia cachait ses objectifs et elle fait tout pour réveiller sa mémoire et éveiller le roi démon afin qu’elle extermine les humains. Les aventures de Diablo au pays de la fantasy « fan service » se poursuivent. Côté action, les standards sont de mises : des méchants pas si méchants, des soi-disant gentils assez ignobles, des trahisons, des alliances, des démons et des combats ! Côté ambiance, Diablo est entourée de jeunes femmes aux charmes variées, un indispensable dans les isekai de fantasy ! Concernant le personnage principal ; il est bien réussi, le décalage entre son côté otaku et son comportement de roi-démon est un peu moins présent mais il y a encore des situations qui portent à confusion pour notre plus grand plaisir. How not to summon a demon est un manga sympathique qui a sa place dans votre mangathèque d’isekais d’heroic fantasy. C’est un bon shonen distrayant et agréable à lire.
  24. Titre de l'album : How not to summon a demon tomes 7 & 8 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je suis Diablo, le roi démon ! Tu peux me confier tous tes fardeaux ! Le rituel d'Edelgard a fonctionné et l'âme du roi démon Krebskulm a été extraite du corps de Rem... pour se réincarner en une petite fille qui adore les biscuits !! Tout semble aller pour le mieux... Mais c'est sans compter sur une horrible trahison et les viles intentions d'un homme tombé dans la démence !! Critique : Le roi démon qui était enfermé dans le corps de Rem se révèle être une petite fille qui a perdu une partie de sa mémoire et qui raffole de biscuits. Diablo décide donc de la garder dans son groupe. Hélas, Alicia cachait ses objectifs et elle fait tout pour réveiller sa mémoire et éveiller le roi démon afin qu’elle extermine les humains. Les aventures de Diablo au pays de la fantasy « fan service » se poursuivent. Côté action, les standards sont de mises : des méchants pas si méchants, des soi-disant gentils assez ignobles, des trahisons, des alliances, des démons et des combats ! Côté ambiance, Diablo est entourée de jeunes femmes aux charmes variées, un indispensable dans les isekai de fantasy ! Concernant le personnage principal ; il est bien réussi, le décalage entre son côté otaku et son comportement de roi-démon est un peu moins présent mais il y a encore des situations qui portent à confusion pour notre plus grand plaisir. How not to summon a demon est un manga sympathique qui a sa place dans votre mangathèque d’isekais d’heroic fantasy. C’est un bon shonen distrayant et agréable à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Le chien qui voulait voir le sud

    Après une catastrophe naturelle, Tamon, un chien, voyage seul, il regarde toujours dans la même direction. Pendant son périple, il rencontre des personnes variées avec lesquelles il va passer un moment, des personnes qui essayent aussi de survivre dans un monde en ruine, des personnes qui ont toutes une histoire atypique voir un peu dramatique. Le chien semble être comme un ange gardien qui leur permet d’aller de l’avant, de prendre une décision ou juste de leur apporter un peu de réconfort. Mais lui, poursuit sa route comme si quelqu’un l’attendait quelque part. L’histoire se déroule après le tsunami de 2011 et met en scène l’après-catastrophe à sa façon. Toutes les personnes que Tamon rencontre mènent des vies difficiles, elles peinent à trouver un travail convenable, elles ont perdu des proches ou des biens, elles vivent des moments difficiles. Tamon ne fait que passer dans leur vie, il n’est pas vraiment un ange gardien dans le sens où les histoires ne se finissent pas toujours bien mais il représente un déclic qui va provoquer un changement, il apporte un réconfort, une présence à ces personnes qui sont particulièrement seules. Ce n’est qu’à la fin de livre que Tamon atteindra sa destination, une fin un peu précipitée peut-être qui d’un côté apporte de l’espoir et de l’émotion mais qui de l’autre, nous laisse en proie à un destin inéluctable. Certes l’histoire de ce chien qui a passé 5 ans de sa vie à parcourir le pays est belle, l’amitié qui le meut est touchante mais fallait-il en plus du drame de 2011 rajouter une seconde couche sur une autre catastrophe qui n’a que quelques pages pour être abordée ? Ce qui est sûr c’est que le lecteur ressent bien le désarroi des habitants et le besoin de se raccrocher à une présence rassurante.
  26. Titre de l'album : Le chien qui voulait voir le sud Scenariste de l'album : MURAKAMI Takashi Dessinateur de l'album : MURAKAMI Takashi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis la triple catastrophe du Tohoku, Tamon est devenu un chien errant et il voyage inlassablement vers le Sud... Sur sa route, il rencontre de nombreux laissés-pour-compte de la société : un père de famille poussé au crime, un immigré, une prostituée et un vieillard aux portes de la mort. Mais ce chien ne juge jamais les humains et il pourrait même soigner le cœur de ces âmes meurtries par la vie... Pourtant, malgré les liens qu'il crée au fil de ses rencontres, il ne semble jamais vouloir s'arrêter. Toujours, il avance vers le Sud. Quelle est sa véritable motivation ? Critique : Après une catastrophe naturelle, Tamon, un chien, voyage seul, il regarde toujours dans la même direction. Pendant son périple, il rencontre des personnes variées avec lesquelles il va passer un moment, des personnes qui essayent aussi de survivre dans un monde en ruine, des personnes qui ont toutes une histoire atypique voir un peu dramatique. Le chien semble être comme un ange gardien qui leur permet d’aller de l’avant, de prendre une décision ou juste de leur apporter un peu de réconfort. Mais lui, poursuit sa route comme si quelqu’un l’attendait quelque part. L’histoire se déroule après le tsunami de 2011 et met en scène l’après-catastrophe à sa façon. Toutes les personnes que Tamon rencontre mènent des vies difficiles, elles peinent à trouver un travail convenable, elles ont perdu des proches ou des biens, elles vivent des moments difficiles. Tamon ne fait que passer dans leur vie, il n’est pas vraiment un ange gardien dans le sens où les histoires ne se finissent pas toujours bien mais il représente un déclic qui va provoquer un changement, il apporte un réconfort, une présence à ces personnes qui sont particulièrement seules. Ce n’est qu’à la fin de livre que Tamon atteindra sa destination, une fin un peu précipitée peut-être qui d’un côté apporte de l’espoir et de l’émotion mais qui de l’autre, nous laisse en proie à un destin inéluctable. Certes l’histoire de ce chien qui a passé 5 ans de sa vie à parcourir le pays est belle, l’amitié qui le meut est touchante mais fallait-il en plus du drame de 2011 rajouter une seconde couche sur une autre catastrophe qui n’a que quelques pages pour être abordée ? Ce qui est sûr c’est que le lecteur ressent bien le désarroi des habitants et le besoin de se raccrocher à une présence rassurante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chien-qui-voulait-voir-le-sud?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  27. Titre de l'album : Critique par une ado : The one tome 15 & 16 Scenariste de l'album : Nicky Lee Dessinateur de l'album : Nicky Lee Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Après la douceur, un vent de folie surgit de nouveau... La colocation de Lele et Angie débute officiellement. Devant l'harmonie qui règne entre eux, semblable à celle d'un couple, Yin est fou de jalousie ! Parallèlement, Feidna élabore un piège ayant pour but d'anéantir les sentiments liant Yin et Lele. Ces derniers pourront-ils traverser, main dans la main, cette épreuve ? Critique : Critique de @TheOtaku : Mais quelle série ! Lele et Andre commencent enfin leur colocation. Yin devient jaloux. Dame Manda veut se venger. Long est toujours en relation sous contrat. Feidna veut séparer nos tourtereaux et détruire la carrière de Lele. Le couple craque. Yin lui court après. Long pète un câble. ---> conclusion : il se passe encore plein de choses dans ces 2 tomes. Ces deux tomes sont tout simplement trop bien, les dessins, le scénario, les sentiments des personnages, le travail de mannequin et puis l'HISTOIRE qui avance et qui se rapproche de la fin car et oui dans 2 tome The one, notre série sur le mannequinat sera complète, certains diront "enfin !" d'autres seront tristes, mais moi tout ce que j'espère c'est une conclusion digne de ce nom ! Enfin nous n'y sommes pas encore 😝 Pour conclure, je vous conseille vraiment cette romance de 18 tomes sur le mannequinat, passer outre des dessins de couvertures et de la différence de style, le changement fait du bien parfois ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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  • Dernières Critiques

    • Les omniscients - Tome 5 - Le second squelette
      Note :
      Je suis probablement dur avec cette série jeunesse mais je trouve que le scénario de Vincent Dugomier peine à décoller. Les enjeux à la fin du premier tome étaient super sympas et vraiment prenants, et puis on a le sentiment que l'intrigue au fur et à mesure qu'elle se complexifiait un peu perdait beaucoup de son intérêt et de sa dramaturgie en se diluant dans des considérations un peu quelconques... On finit presque par se perdre dans des circonvolutions assez anodines finalement, et c'est étonnant pour une série jeunesse.

      Hors cela fait déjà deux tomes que j'ai cette impression de patinage, ce qui est vraiment dommage je trouve tant le pitch de départ s'annonçait prometteur. J'espère que le prochain tome nous fournira un rebond pour aller un peu plus dans le vif du sujet. Par ailleurs, les dessins de Renata Castellani sont très bien pour une série jeunesse et ils donnent plutôt envie de découvrir cette série. 
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    • Vertigéo
      Note :
      Dans ce duo de scénaristes , vous connaissez probablement Lloyd Chéry , redac en chef adjoint sur le magazine Métal Hurlant et producteur de l'émission sur France Inter : C'est plus que de la SF . Autant dire que rayon science-fiction , il en connait un bout et ne pouvait pas tomber dans le panneau du "déjà-vu" sur ce genre de support . On pouvait donc être en droit de s'attendre à un scénario abouti et surprenant . Autant vous dire qu'il atteint l'objectif haut la main 🙂 De la présentation de ce monde renaissant après une série d'apocalypses dévastatrices , à de nouvelles croyances et une société neuve avec une séparation des sexes et des emplois bien définis pour chacun , tout est bien construit et réaliste . Il dévoile les infos au compte gouttes , donnant au récit des allures de thriller avec une tension palpable au fil des pages . Le suspens vous tiendra en haleine jusqu'à la toute fin avec LA grande révélation sur cet univers et ses secrets . Peut-être l'unique défaut de cette oeuvre digne héritière de Soleil vert , une fois que vous saurez la fin , l'envie de relire sera éventuellement moins pressante .

      Pour illustrer ce noir et blanc architectural et machiniste , qui de mieux à l'heure actuelle que le prodige Amaury Bundgen ??  Sa première création Ion mud avait retenti comme un coup de tonnerre dans le monde du 9ème art , il fait partie de cette nouvelle génération surdouée de la SF avec Jaouen Salaun entre autres . Il réalise un trait ultra réaliste en persistant dans ce noir et blanc teinté de gris , lumineux à souhait ! Le découpage est aussi fluide que la narration et vous ne sentirez pas défiler sous vos yeux ébahis les 136 pages de ce one-shot assez remarquable .
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    • Laurel et hardy
      Note :
      Quelle bonne idée de l'auteur italien Gianluca Buttolo de nous offrir une biographie du plus connu des duos comiques de l'histoire du cinéma ! Source d'inspiration inépuisable pour bon nombres de cinéastes et acteurs plus "contemporains" , les deux acteurs se livrent corps et âmes sous vos yeux à travers cette biographie hautement documentée . Le fil narratif commence au début des années 60 , Laurel est vieux et usé , il reçoit un coup de fil d'un jeune garçon nommé Seth . On apprend ainsi avec étonnement que son numéro de téléphone est disponible dans l'annuaire et qu'il est très heureux de discuter avec ses anciens fans . Le jeune Seth désire réaliser un travail scolaire sur le tandem , de leur genèse à leur fin . Laurel va donc se livrer à ce jeu avec la plus grande sympathie et une sincérité confondante . Cela ira même jusqu'à leur vie privée , faite de hauts et de bas sentimentaux ! Vous découvrirez  leur parcours au fil des chapitres centrés sur une question de l'écolier avec ensuite la réponse détaillée de Monsieur Laurel  . Gianlucca Buttolo expose cette biographie avec un dessin idoine pour le sujet ! Il joue sur les ombrages et les fonds blancs pour faire ressortir les personnages , on croirait visionner des films d'époque , ne manque plus que la musique accompagnante 😉 Une élégance du trait rare et une lumière éclatante , comme pour mieux mettre en avant ces deux génies du rire , parachèvent cette composition graphique de haute volée . Certes on peut reprocher quelques longueurs au fil de ces 176 pages , avec des passages ennuyeux sur les discussions entre les artistes et les producteurs , les deux parties n'allant pas toujours dans le même sens ; mais l'ensemble est assez remarquable et immersif, cela  donne envie de revisionner des courts métrages d'époque sur messieurs Laurel et Hardy !
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    • Caledonia - Tome 1 - La IXe légion
      Note :
      Mêler Peplum et fantasy est plutôt alléchant sur le papier, surtout en terres celtiques. C'est M. Corbeyran qui se colle au scénario de cette nouvelle série Soleil et il réussit pas mal son intrigue, même si quelques narrations en chronologie décalée perturberont un peu le lecteur. Côté dessin, Emmanuel Despujol nous livre un travail soigné mais où l'on ressent la forte utilisation des outils modernes informatisés, notamment par la mise en couleur réalisée par sa fille, Juliette Despujol. Ce n'eszt pas forcément le style que je préfère, le côté un peu photoréaliste manquant pour mon goût un peu trop de traits de crayon. Mais cela c'est vraiment propre à chaque lecteur. C'est très propre, les décors sont un peu minimaliste sans pour autant faire vides, et les personnages facilement identifiables, tout comme les scènes d'action.

      Soleil nous promet une série en 3 tomes avec un rythme de parution d'un tome par an. 
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    • Studio Cabana tome 1
      Note :
      Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer.

      La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux !

      La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ?  

      Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place.

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