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  • KAIJU N°8 tome 1


    Nickad
    • Scenariste: MATSUMOTO Naoya Dessinateur: MATSUMOTO Naoya Editeur: Crunchyroll Note :
      Résumé:

      Enfant, Kafka Hibino rêvait d’intégrer les Forces de Défense pour combattre ces terribles ennemis, mais après de nombreux échecs à l’examen d’entrée, ce trentenaire travaille à nettoyer les rues de leurs encombrants cadavres. jusqu’au jour où une mystérieuse créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humaine, mi-kaiju. Son nouveau nom de code : “Kaiju n° 8”.

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: -- Nb de pages: --
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    Kaiju N°8 est le titre phare de l’année chez Kazé, annoncé fin juin, il bénéficie d’une grande campagne de promotion ! Mais de quoi parle-t-on exactement ?

    Le début du manga est assez classique : notre bonne vieille Terre est envahie par des monstres (kaiju) qui apparaissent de temps en temps, détruisent tout sur leur passage, croquent de l’humain et surtout on ne sait pas d’où ils viennent ni pourquoi. De braves humains, avec des capacités supérieures à la normale, exterminent ces vilaines bestioles. Jusque-là, on retrouve une thématique assez habituelle, voir green worldz, kanon, world trigger, Q-Kou, VS earth, etc…

    Après leur passage, des nettoyeurs viennent les dépecer pour récupérer tout ce qui est exploitable. Notre héros est justement l’un d’eux, au cours d’une journée où il forme un petit nouveau, le voilà confronté à un Kaiju ; les deux hommes s’en sortent grâce à l’intervention des forces de Défense et finissent à l’hôpital. Ils décident plus tard de passer les tests pour faire partie de ces forces (c’est d’ailleurs leur rêve ultime !).

    Raconté comme ça, rien de très original me direz-vous, mais un événement inattendu se produit à la fin du 1er chapitre qui va changer la donne. Je ne vous en dirai pas plus car ce serait gâcher la surprise ! Le manga mêle donc action, combats et une grosse dose d’humour, il y a des moments qui m’ont bien fait rire ! Et c’est là le charme du manga, au déroulé classique du « manga de monstres à combattre » vient s’ajouter l’humour. Non seulement cela apporte de la légèreté mais laisse aussi la place à des situations imprévues. Un excellent 1er tome qui nous laisse vraiment dans l’attente de la suite !

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Bordel j’ai tellement l’impression d’avoir lu ce synopsis 300 fois que même en ayant potassé l’article du monde sur le sujet (faites gaffe ils spoilent la surprise eux) ben j’ai du mal à piger l’intérêt de réécrire une histoire qui a globalement déjà été faite 15 fois.

     

    vous pensez que vu l’équipe aux commandes (éditeur et Mangaka) il y a une chance d’avoir un déroulement d’histoire plus novateur/original ?

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    c'est sûr, d'ailleurs au début du livre, je n'étais pas très emballée, mais contrairement à d'autres, on n'est pas dans une ambiance sombre et l'humour est plutôt bien amené. Ce 1er tome m'a vraiment plu. Après sur la durée, je crains qu'on ne tombe dans du déjà vu...

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    il y a 3 minutes, Kevin Nivek a dit :

    Alma ou Wombs sont tellement plus innovants !

    d'accord, mais ce n'est pas destiné au même public, ces deux là sont pour un public plus adulte, et Wombs est parfois dur à comprendre je trouve

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    il y a une heure, Nickad a dit :

    d'accord, mais ce n'est pas destiné au même public, ces deux là sont pour un public plus adulte, et Wombs est parfois dur à comprendre je trouve

    Oui je suis bien d'accord , le tome 2 de Wombs m' a un peu perdu des fois , surtout à cause du grand nombre de protagonistes !

     

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    Un affichage aux dimensions géantes sur l’une des tours de la Bibliothèque nationale de France.

    À l’occasion de la sortie du manga KAIJU N°8, en librairie depuis le 6 octobre, l’équipe de Kazé Manga a initié un dispositif de lancement exceptionnel : corner dédié à la FNAC Montparnasse, marque-pages offerts dans de nombreuses enseignes et librairies indépendantes, mais surtout un affichage visible sur l’une des tours de la Bibliothèque nationale de France à Paris !
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    À PROPOS DE KAIJU N°8

    KAIJU N°8 nous entraîne sur les traces des kaiju, des créatures fantastiques telles que Godzilla ou Gamera apparues dans le cinéma japonais d’après-guerre. Le film américain Pacific Rim a contribué à les populariser à travers le monde entier. 
    Lancé au Japon il y a un peu plus d’un an sur l’application Shônen Jump+, le manga ne cesse de battre des records de ventes
    Sa sortie en France s’inscrit dans l’actualité d’un marché du manga au mieux de sa forme. Plus de 28 millions de tomes vendus (chiffres GFK) dans l’hexagone depuis le début de l’année 2021. Depuis le début de l’année, plus d’une BD sur deux vendues en France est un manga !

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    Je veux la suiteeeeeeeeee 

     

    @The_PoP @Kevin Nivek@VladNirky @kvin@alx23Sincerement si certains veulent comprendre le phenomene mangas, je vous encourage a lire ce premier tome.

     

    Il recelle tout ce qu'un lecteur de manga recherche (enfin amateur de shonen) dans un seul et excellent premier tome !!! c'est trop bon, et deja hyper addictif !

     

    je ne pense pas pouvoir attendre le 8 decembre pour lire la suite !

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    Je ne suis pas sur de vouloir le comprendre le phénomène Manga 😄 c'est vrai que l'histoire annoncée n' arien d'exceptionnelle même pour moi et même avec la surprise à la fin. 

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    Haha! Je ne veux pas tomber dedans 😉 j'ai déjà craqué pour l'attaque des titans, Eden, et je suis en train de me retenir pour les Ito ainsi que wombs, gannibal etc... SI je mets le nez dedans, je suis foutu...

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  • Dernières Critiques

    • I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques
      Note :
      Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. 

      Stephen Desberg est pourtant une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. Le complot final se révèle peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle.

      Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture.

      Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
      • 0 réponse
    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
      • 0 réponse
    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
      • 0 réponse
    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
      • 0 réponse
    • Alerte - Tome 1 - Le poids du doute
      Note :
      A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ?

      Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars .
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