Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Urban Limited : Curse of White Night


    poseidon2
    • Scenariste: Sean Murphy Dessinateur: Sean Murphy Coloriste: Sean Murphy Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      La collection Urban Limited propose de découvrir des récits majeurs de DC Comics dans un format hors du commun et une fabrication particulièrement luxueuse. Les tirages sont uniques, limités à 1500 exemplaires et numérotés à la machine à l'intérieur des ouvrages.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Super héros Prix: -- Nb de pages: --
     Share

    Noel arrive. Et si la magie de Noel existe, c'est pour permettre d'offrir (ou de s'offrir) des ouvrages de ce genre... dans la mesure ou vous en trouvez encores de disponibles bien sur.... Car cette critique va bien uniquement parler de l'ouvrage lui meme et non de ce qu'il y a à l'intérieur.  En effet Urban sort en Limited edition les 3 albums suivants :

    The Curse of the wight Night : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-curse-of-the-white-knight-edition-nb-r244/

    Doomsday clock : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/doomsday-clock-r331/

     

     

    Batman : Last knight on Earth : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-last-knight-on-earth-r38/

    Je vous laisse jeter un coup d'oeil aux critiques pour vous faire une idée. Je parlerais ici du contenant. Du superbe contenant. Car le tout est superbe. Papier super épais, couverture orignal pour l'occasion, reliuire toilée, marque page et surtout des dimensions gigantesques. J'étais legerement sceptique sur ces dernières mesures. En effet tous les dessins ne s'adaptent pas forcement à un grand format. On peut le voir d'ailleurs sur les agrandissements de la partie consacrée à Von Freeze. En effet la partie de Klaus Janson passe un peu moins bien en grand format. Donne un peu l'effet Zoom dont j'avais peur (d'ou ma demi étoile en moins). Mais Heureusement ce qu'un petit chapitre.

    Mais pour ce qui est des dessins de Sean Murphy.... fiouuuu. ..On voit tout de suite que Murphy travaille de base sur des grandes planches. Les détails qui apparaissent en plus sont légions ! On se rend compte du travail apporté  par Murphy à ses personnages encore plus que dans la version noir et blanc. Le plaisir de lecture est démultiplié tellement on prend le temps de disséquer chaque page .... La lecture se fait plus longue mais plus immersive.

    Niveau contenu supplémentaire, ne vous attendez pas à 250 pages de plus, ce n'est pas le propos. Ici on met l'accent sur le dessin de Murphy. On a donc droit, en plus de la prmeiere page numéroté à la main, à de sublimes  illustrations de chacun des personnages principaux et d'une partie du story board. En pleine page....... 

    image.pngimage.png

     

    Bref il ne reste plus qu'à parler du prix... Car oui un objet comme celui la à un coup. 49 pour le Last night on Earth, 59 pour ce Curse of the White night et 69 pour le Doomsday (le prix dependant du nombre de pages bien sur)

    Je trouve l'idée d'Urban intelligente en offrant 3 tomes pour 3 tailles de bourse. Apres est-ce que cela vaux la difference de prix ? Cela depend de ce que vous recherchez. De la lecture ni plus ni moins ? Don ce cas non. Un beau cadeau ou un objet que vous adorerez regarder, re-ouvrir, feuilletez, montrez à vos enfants.... dans ce cas dépêchez vous de regarder s'il en reste.

    Pour ma part une fois celui la recu, j'ai réservé Doomsday Clock chez mon libraire... c'était le dernier..... Car oui pour que ces éditions de luxe soit "rentables" pour le lecteur, elles sont limitées. 1500 par histoire... et je pense que beaucoups sont deja parties...

    Bonnes chassent !

     

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    Il y a 11 heures, poseidon2 a dit :

    Par contre j'ai du mal a penser que le trait de Miller vaudra le coup sur Batman année un.

    Surtout que c'est David Mazzuchelli aux dessins 😄

    Je vais voir ce que vaut les 3 jokers car je pense déjà prendre les deux autres

    Modifié par alx23
    Lien vers le commentaire
    Partager sur d’autres sites




    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   0 membre, 2 anonymes, 29 invités (Afficher la liste complète)

    • Il n’y a aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
      • 0 réponse
    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
      • 0 réponse
    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
      • 0 réponse
    • Alerte - Tome 1 - Le poids du doute
      Note :
      A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ?

      Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars .
      • 0 réponse

    • Princesse puncheuse tome 5
      Note :
      En voila une série qui ne finit de plus de surprendre avec un tome qui délaisse complètement l'aspect "puncheuse" de notre héroïne pour bien mettre en avant soin aspect "sainte" mais surtout nous plonger dans une histoire ou les "combats de rues" sont dépassés par un conflit d'ampleur : une alliance des nations autour des palmaistes pour renverser le pouvoir en place. 

      Plus que cela, on en apprend même beaucoup plus sur les déesses elle-même, le combat qu'elle mène et la façon dont elles confèrent des pouvoirs aux humains.

      Un tome qui comble nos dernières ignorances sur cet univers et nous lance dans une bataille qui s'annonce ardue. C'est à peine si on a le temps de regretter que la romance entre le prince et notre saint n'évolue pas plus vite.

       
      • 0 réponse
×
×
  • Créer...