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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Le style graphique ne me gêne pas outre mesure , j'avais pris celui de Shuiten aussi
  2. Arf , je voulais zapper celui-ci , mais tu fais allusion à la mort aux trousses ! je vois Gary Grant regardant au loin cet avion lui foncent dessus ! je vais finir par lâcher prise ….
  3. Tu l’as encore ?
  4. J'aime bien le dessinateur , il fait la horde du contrevent 🙂 , @The_PoP le specialiste western , tu connais ça ? https://www.bdfugue.com/lune-d-argent-sur-providence-integrale Petite intégrale pour Noël 🙂
  5. je relirai , tout !!!!
  6. Les deux premiers sont supérieurs , et Indians , ben quand t'as lu Golden west , il paraît faible ... Mais oui !! merci 🙂
  7. Titre de l'album : Gunmen of the west - tirage de luxe Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le parcours sauvage et violent des gunfighters de la conquête de l'Ouest. Un western qui sent la poudre et la boue. En douze histoires, Gunmen of the West retrace les destins authentiques et méconnus de hors la loi de l'Ouest américain de 1780 à 1920. Aventuriers, tueurs en série, filles de saloon, esclaves en fuite et amérindiens « hostiles » forment cette mosaïque sans pitié, bien souvent éloignée du mythe hollywoodien. Critique : Tiburce Oger poursuit son exploration de l'ouest sauvage américain avec ce nouvel écueil de nouvelles au doux bruit des Smith et Wesson . Après la vie d'une montre , le point de vue des indiens , il délivre ici une histoire contée par un marchand d'armes se retrouvant à la merci d'un braqueur . Ce commerçant aux faux airs de John Goodman en connait un rayon sur les armes et va tenter de déjouer les plans du jeune brigand en lui racontant des anecdotes liées à chacune des armes proposées dans son magasin . Anecdotes au fort goût de meurtres , vengeances et trahisons dans une Californie plus sauvage que jamais .Tiburce Oger use de véritables histoires ou légendes et donne à chacun des talentueux dessinateurs la mission de nous émerveiller avec leurs traits si différents . On passe de Vatine , Hérenguel , Meynet , Rossi , Toulhoat , Gastine , Blasco-Martinez , bref , des habitués des précédents opus , mais pas que ! Chacun apporte une pierre à un édifice sentant bon la poudre . Je réalise cette chronique à la lecture du tirage de luxe en noir et blanc , mais il existe en couleurs , comme vous pouvez le constater dans les planches ci-jointes . Et je dois bien avouer avoir éprouvé de la déception à la fin de ma lecture . Certes l'emballage est beau , il n'y a rien à dire sur la qualité graphique , le talent est là ! Mais l'histoire ne m'a que peu transporté , au regard du premier tome voire du second , on sent un Tiburce Oger en manque de souffle ici . Ses nouvelles sont vite lues et vite oubliées pour la plupart 😞 . Lui qui habituellement sait si bien raconter les histoires , il serait bien qu'il retrouve de sa splendeur pour un éventuel tome suivant , car j'ai dans l'idée que cela manque de femmes fortes à la conquête de l'ouest 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gunmen-of-the-west-tome-1-luxe-noir-blanc/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Tiburce Oger poursuit son exploration de l'ouest sauvage américain avec ce nouvel écueil de nouvelles au doux bruit des Smith et Wesson . Après la vie d'une montre , le point de vue des indiens , il délivre ici une histoire contée par un marchand d'armes se retrouvant à la merci d'un braqueur . Ce commerçant aux faux airs de John Goodman en connait un rayon sur les armes et va tenter de déjouer les plans du jeune brigand en lui racontant des anecdotes liées à chacune des armes proposées dans son magasin . Anecdotes au fort goût de meurtres , vengeances et trahisons dans une Californie plus sauvage que jamais .Tiburce Oger use de véritables histoires ou légendes et donne à chacun des talentueux dessinateurs la mission de nous émerveiller avec leurs traits si différents . On passe de Vatine , Hérenguel , Meynet , Rossi , Toulhoat , Gastine , Blasco-Martinez , bref , des habitués des précédents opus , mais pas que ! Chacun apporte une pierre à un édifice sentant bon la poudre . Je réalise cette chronique à la lecture du tirage de luxe en noir et blanc , mais il existe en couleurs , comme vous pouvez le constater dans les planches ci-jointes . Et je dois bien avouer avoir éprouvé de la déception à la fin de ma lecture . Certes l'emballage est beau , il n'y a rien à dire sur la qualité graphique , le talent est là ! Mais l'histoire ne m'a que peu transporté , au regard du premier tome voire du second , on sent un Tiburce Oger en manque de souffle ici . Ses nouvelles sont vite lues et vite oubliées pour la plupart 😞 . Lui qui habituellement sait si bien raconter les histoires , il serait bien qu'il retrouve de sa splendeur pour un éventuel tome suivant , car j'ai dans l'idée que cela manque de femmes fortes à la conquête de l'ouest 😉 .
  9. Titre de l'album : La brigade des cauchemars tome 7 - Sofiane Scenariste de l'album : Franck Thilliez Dessinateur de l'album : Yomgui Dumont Coloriste : Drac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Nos souvenirs sont-ils vraiment fidèles à la réalité de ce que nous avons vécus ? Alors que La Brigade des Cauchemars continue d'explorer les voyages dans les souvenirs et d'en découvrir les règles, Ariane ressent un malaise, mais sans se rappeler son passage à la clinique. Cependant, tout change pour elle lorsque Sofiane, son ami d'enfance, disparaît du jour au lendemain. Pas question de rester sans rien faire ! La jeune fille appelle Tristan à la rescousse... Critique : Les auteurs avaient clôturé le premier cycle au tome 5 dans un déluge de révélations , avec de nombreuses répercussions à venir . Le sixième opus démarrait sur le nouveau projet des parents : voyager non plus dans les cauchemars , mais dans les souvenirs , afin de "réparer " (ou tenter de) des traumas psychologiques . Changement de décors avec un phare en bord de mer et des sous-sols bien pratiques pour nos voyageurs psychiques . Dans ce monde des souvenirs aux règles différentes de celles qu'ils ont connues , nos héros auront fort à faire pour découvrir les raisons de la disparition, ainsi que la réapparition soudaine de Sofiane . Ariane ,vue dans l'épisode précédent , intègre l'équipe et les aide dans cette entreprise aux multiples dangers . A l'image de cette couverture magnifique , les souvenirs de Sofiane sont empreints de mystères et pourraient révéler de bien sombres desseins pour nos jeunes héros . Franck Thilliez persiste et signe dans une entreprise qualitative avec cette saga riche en rebondissements et ingéniosité . Oui on pense à Inception qui lui a probablement servi de terreau , mais il a fertilisé le principe au plus haut point ! De l'aventure , de l'amitié , de l'amour ,de la trahison aussi , tous les ingrédients sont là pour une superbe fresque d'aventure . N'oublions pas le suspens présent à tous les étages , et la capacité à rendre le récit aussi intéressant pour un adulte que pour un ado ; une vraie démonstration de force du romancier à succès . Le dessin , sous ses airs "simplistes" se veut d'autant plus immersif et propose un découpage innovant et nerveux . Tout va à 100 à l'heure , c'est un régal pour le lecteur . Je comprends tout à fait le succès rencontré par cette saga , à laquelle je souhaite le meilleur pour l'avenir , car autant vous le dire, à la fermeture de ce tome , vous l'attendrez avec impatience , la suite 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-brigade-des-cauchemars-tome-7-sofiane/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Les auteurs avaient clôturé le premier cycle au tome 5 dans un déluge de révélations , avec de nombreuses répercussions à venir . Le sixième opus démarrait sur le nouveau projet des parents : voyager non plus dans les cauchemars , mais dans les souvenirs , afin de "réparer " (ou tenter de) des traumas psychologiques . Changement de décors avec un phare en bord de mer et des sous-sols bien pratiques pour nos voyageurs psychiques . Dans ce monde des souvenirs aux règles différentes de celles qu'ils ont connues , nos héros auront fort à faire pour découvrir les raisons de la disparition, ainsi que la réapparition soudaine de Sofiane . Ariane ,vue dans l'épisode précédent , intègre l'équipe et les aide dans cette entreprise aux multiples dangers . A l'image de cette couverture magnifique , les souvenirs de Sofiane sont empreints de mystères et pourraient révéler de bien sombres desseins pour nos jeunes héros . Franck Thilliez persiste et signe dans une entreprise qualitative avec cette saga riche en rebondissements et ingéniosité . Oui on pense à Inception qui lui a probablement servi de terreau , mais il a fertilisé le principe au plus haut point ! De l'aventure , de l'amitié , de l'amour ,de la trahison aussi , tous les ingrédients sont là pour une superbe fresque d'aventure . N'oublions pas le suspens présent à tous les étages , et la capacité à rendre le récit aussi intéressant pour un adulte que pour un ado ; une vraie démonstration de force du romancier à succès . Le dessin , sous ses airs "simplistes" se veut d'autant plus immersif et propose un découpage innovant et nerveux . Tout va à 100 à l'heure , c'est un régal pour le lecteur . Je comprends tout à fait le succès rencontré par cette saga , à laquelle je souhaite le meilleur pour l'avenir , car autant vous le dire, à la fermeture de ce tome , vous l'attendrez avec impatience , la suite 😉
  11. Moi qui ne suis pas manga , franchement c'est beau 😉
  12. Kevin Nivek

    Immortal Sergeant

    Lu et c'est effectivement , très bon . Enfin , le propos , les dialogues et l'histoire . J'ai une très grosse réserve sur le dessin qu'un enfant de primaire a du faire durant les vacances d'été ... Tous les poncifs japonisants que je déteste : veine apparente sur le front , bouche écarquillée "postillonante" , cette exacerbation des réactions est le grand défaut de ce livre . Un 4/5 pour moi quand même , bon conseil @The_PoP , mais ce dessin c'est pas possible pour moi 😞 .
  13. Kevin Nivek

    casanier de l'avent bd

    Bien vu 🙂 le kkk , je vois pas non plus !
  14. Pareil , je dois avoir les 9 premiers tomes de la série mère , après lorsqu'il s'associe avec ses potes dans l'industrie du pétrole (je crois) j'ai lâché l'affaire ... Pas tenté les add-ons d'ailleurs .
  15. Kevin Nivek

    casanier de l'avent bd

    sans nul doute , mais alors ce deuxième !!! Je vois pas du tout du tout !
  16. C’est prévu en combien de tomes ? Le fait qu’il y ait une fin me rassure 😅
  17. Bonjour à toutes et tous, Après Bonne nuit demain d’Océane Mazet et Elorah Vitet, projet lauréat de la première édition organisée durant le premier semestre de l’année à l’occasion des 20 ans de la maison, l’équipe Jungle a décidé de relancer son Prix BD jeunesse ! À travers l’organisation de cette nouvelle édition, Jungle souhaite continuer à faire émerger de nouveaux·elles auteurs·rices en se concentrant sur la création d’œuvres originales, une ligne éditoriale initiée depuis un peu plus de 10 ans. Ce concours est ouvert à tous les auteurs·rices majeur·e·s (sans limite d’âge) ayant publié, au plus, deux albums et pas encore publiés chez Steinkis Groupe. Les éditions Jungle recherchent une série ou un album one-shot destiné à la jeunesse (s’adressant à des lecteurs de 7 à 14 ans). Les projets sont à envoyer au plus tard le 31 mars 2024 à l’adresse : prixbdjungle@steinkis-groupe.com. Pour plus d’informations sur les modalités de participation, le Prix et le comité de sélection, veuillez-vous référer au communiqué de presse en PJ. Toute l’équipe des éditions Jungle se tient à votre disposition si vous avez des questions sur cette édition 2024 du Prix BD jeunesse Jungle. Cordialement, Jungle-Prix-BD-Jeunesse-2024-LD.pdf
  18. Mais si , quand même !! Quel drame leur séparation ! En tout cas ravi de ton intervention @Gaets , je suis content que tu aies trouvé le site , je t’en avais parlé lors de ta visite à Hyères 😉. Tu repasses quand tu veux 😀. D’ailleurs j’avais fait une demande par l’intermédiaire d’Ilona pour une petite interview dessinée de Benjamin Blasco Martinez , si tu peux lui rappeler 😬. MERCI !!
  19. Titre de l'album : L'apprenti épouvanteur tome 1 Scenariste de l'album : Pierre Oertel , Joseph Delaney Dessinateur de l'album : Benjamin Bachelier Coloriste : Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Thomas Ward, le septième fils d'un septième fils, devient l'apprenti de l'Épouvanteur du comté. Il doit apprendre à tenir les spectres à distance, à entraver les gobelins, à empêcher les sorcières de nuire... Mais lorsqu'il libère involontairement Mère Malkin, la sorcière la plus maléfique qui soit, l'horreur commence... Critique : Je ne connaissais pas cette oeuvre littéraire de Joseph Delaney parue en 2004 au Royaume-Uni , puis dans toute l'Europe étant donné le succès rencontré . Un moyen-âge inquiétant dans une Angleterre rurale au parfum de "Hurlevents" . Thomas Ward est le septième fils du septième fils , ce qui lui confère un don particulier : la capacité de discerner des créatures magiques au sein même de notre monde . Il est d'emblée soumis à l'apprentissage de son nouveau maître lui même "épouvanteur " depuis longtemps . Parti à l'âge de 13 ans, sa nouvelle vie se dévoile sous nos yeux avec des quêtes initiatiques imposées par son tuteur , ainsi que des missions formatrices à ce monde surprenant qui s'offre à lui . Il va devoir user de ses pouvoirs et son intelligence pour se sortir des situations délicates auxquelles il sera confronté . C'est assez réussi , l'histoire est cohérente et bien amenée , le dessin est envoutant avec son aquarelle en couleurs directes . De grands aplats et ombrages puissants donnent une atmosphère inquiétante . C'est à déconseiller aux moins de 12 ans assurément . Benjamin Bachelier qui vient de finir Le clan des Otori , passe du Japon à l'Angleterre campagnarde , de son trait épais si particulier . Il nous offre de très belles planches de décors ou paysages , mais peine un peu sur les plans rapprochés ou gros plans de personnages , qui semblent "brouillons" . Cela reste une aventure à découvrir , et à lire l'hiver au coin du feu , à l'abri des recoins sombres 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-epouvanteur-tome-1-l-apprenti-epouvanteur/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Je ne connaissais pas cette oeuvre littéraire de Joseph Delaney parue en 2004 au Royaume-Uni , puis dans toute l'Europe étant donné le succès rencontré . Un moyen-âge inquiétant dans une Angleterre rurale au parfum de "Hurlevents" . Thomas Ward est le septième fils du septième fils , ce qui lui confère un don particulier : la capacité de discerner des créatures magiques au sein même de notre monde . Il est d'emblée soumis à l'apprentissage de son nouveau maître lui même "épouvanteur " depuis longtemps . Parti à l'âge de 13 ans, sa nouvelle vie se dévoile sous nos yeux avec des quêtes initiatiques imposées par son tuteur , ainsi que des missions formatrices à ce monde surprenant qui s'offre à lui . Il va devoir user de ses pouvoirs et son intelligence pour se sortir des situations délicates auxquelles il sera confronté . C'est assez réussi , l'histoire est cohérente et bien amenée , le dessin est envoutant avec son aquarelle en couleurs directes . De grands aplats et ombrages puissants donnent une atmosphère inquiétante . C'est à déconseiller aux moins de 12 ans assurément . Benjamin Bachelier qui vient de finir Le clan des Otori , passe du Japon à l'Angleterre campagnarde , de son trait épais si particulier . Il nous offre de très belles planches de décors ou paysages , mais peine un peu sur les plans rapprochés ou gros plans de personnages , qui semblent "brouillons" . Cela reste une aventure à découvrir , et à lire l'hiver au coin du feu , à l'abri des recoins sombres 😉
  21. Oui ,aussi vite vue , aussi vite oublié , mais sympa .
  22. Titre de l'album : On aurait aimé savoir Scenariste de l'album : Baharet Akrami Dessinateur de l'album : Baharet Akrami Coloriste : Baharet Akrami Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Septembre 2021, le procès des attentats du 13 novembre 2015 débute à Paris. Bahareh, qui était au Carillon ce soir-là, décide de se constituer partie civile et de suivre le procès au jour le jour. De cette expérience judiciaire très médiatisée, elle en ressort des petites chroniques quotidiennes dessinées, où elle fait se croiser humour et esprit critique. Chaque jour, elle retrace les faits, nous raconte les témoignages, ne se gêne pas pour contrer les propos des accusés et met en valeur le travail des avocats, tous partis confondus. À chaque billet, elle ajoute sa touche personnelle en mêlant ironie et compassion, anecdotes lourdes de sens et références de pop culture. De fait, elle ouvre au public les portes d'un procès hors norme et rend ainsi accessible un sujet lourd et complexe. Critique : Baharet Akrami , dit Babou , était au Carillon lors des attentats meurtriers du 13 novembre 2015 . Probablement poussée par sa vocation d'exercer le métier et d'avocat , ainsi que son statut de témoin , elle s'est constituée partie civil afin d'assister au procès . Elle délivre un journal quotidien en lien avec les témoignages et autres plaidoiries des nombreux avocats présents . Les différents intervenants se suivent dans un défilé de déclarations avec les ajouts de Babou de scénettes humoristiques décrivant le récit ou empreints de son avis personnel . Elle mélange les émotions sur un ton "djeun" en usant du verlan et de nombreuses références à la culture pop . On apprend même des détails sur sa vie personnelle , à savoir composer vie de famille et temps passé au tribunal , toujours avec beaucoup d'humour . Vous découvrirez donc le déroulé de ce procès hors norme avec les nombreuses ramifications liant les accusés . Certains passages sont moins intéressants que d'autres et il n'est pas toujours simple de suivre le fil car il y a un grande quantité de noms à retenir . C'est donc une découverte pour les néophytes du fil narratif d'un procès avec un ton décomplexé voulu par l'auteure . La préface est signée par le juge ayant présidé à la cour , ce qui ajoute de la sincérité aux faits , car si Babou cherche à rendre accessible et décomplexé le récit , le fond n'en reste pas moins un drame ayant profondément marqué la France . A découvrir . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-aurait-aime-savoir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Kevin Nivek

    On aurait aimé savoir

    Baharet Akrami , dit Babou , était au Carillon lors des attentats meurtriers du 13 novembre 2015 . Probablement poussée par sa vocation d'exercer le métier et d'avocat , ainsi que son statut de témoin , elle s'est constituée partie civil afin d'assister au procès . Elle délivre un journal quotidien en lien avec les témoignages et autres plaidoiries des nombreux avocats présents . Les différents intervenants se suivent dans un défilé de déclarations avec les ajouts de Babou de scénettes humoristiques décrivant le récit ou empreints de son avis personnel . Elle mélange les émotions sur un ton "djeun" en usant du verlan et de nombreuses références à la culture pop . On apprend même des détails sur sa vie personnelle , à savoir composer vie de famille et temps passé au tribunal , toujours avec beaucoup d'humour . Vous découvrirez donc le déroulé de ce procès hors norme avec les nombreuses ramifications liant les accusés . Certains passages sont moins intéressants que d'autres et il n'est pas toujours simple de suivre le fil car il y a un grande quantité de noms à retenir . C'est donc une découverte pour les néophytes du fil narratif d'un procès avec un ton décomplexé voulu par l'auteure . La préface est signée par le juge ayant présidé à la cour , ce qui ajoute de la sincérité aux faits , car si Babou cherche à rendre accessible et décomplexé le récit , le fond n'en reste pas moins un drame ayant profondément marqué la France . A découvrir .
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