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  • Gunmen of the west - tirage de luxe


    Kevin Nivek
    • Scenariste: Tiburce Oger Dessinateur: Collectif Editeur: Grand Angle Note :
      Résumé:

      Le parcours sauvage et violent des gunfighters de la conquête de l'Ouest. Un western qui sent la poudre et la boue. En douze histoires, Gunmen of the West retrace les destins authentiques et méconnus de hors la loi de l'Ouest américain de 1780 à 1920. Aventuriers, tueurs en série, filles de saloon, esclaves en fuite et amérindiens « hostiles » forment cette mosaïque sans pitié, bien souvent éloignée du mythe hollywoodien.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 29,90 Nb de pages: 120
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    Tiburce Oger poursuit son exploration de l'ouest sauvage américain avec ce nouvel écueil de nouvelles au doux bruit des Smith et Wesson . Après la vie d'une montre , le point de vue des indiens , il délivre ici une histoire contée par un marchand d'armes se retrouvant à la merci d'un braqueur . Ce commerçant aux faux airs de John Goodman en connait un rayon sur les armes et va tenter de déjouer les plans du jeune brigand en lui racontant des anecdotes liées à chacune des armes proposées dans son magasin . Anecdotes au fort goût de meurtres , vengeances et trahisons dans une Californie plus sauvage que jamais .Tiburce Oger use de véritables histoires ou légendes et donne à chacun des talentueux dessinateurs la mission de nous émerveiller avec leurs traits si différents . On passe de Vatine , Hérenguel , Meynet , Rossi , Toulhoat , Gastine , Blasco-Martinez , bref , des habitués des précédents opus , mais pas que ! Chacun apporte une pierre à un édifice sentant bon la poudre . Je réalise cette chronique à la lecture du tirage de luxe en noir et blanc , mais il existe en couleurs , comme vous pouvez le constater dans les planches ci-jointes . 

    Et je dois bien avouer avoir éprouvé de la déception à la fin de ma lecture . Certes l'emballage est beau , il n'y a rien à dire sur la qualité graphique , le talent est là ! Mais l'histoire ne m'a que peu transporté , au regard du premier tome voire du second , on sent un Tiburce Oger en manque de souffle ici . Ses nouvelles sont vite lues et vite oubliées pour la plupart 😞 . Lui qui habituellement sait si bien raconter les histoires , il serait bien qu'il retrouve de sa splendeur pour un éventuel tome suivant , car j'ai dans l'idée que cela manque de femmes fortes à la conquête de l'ouest 😉 .

    Gunmen 2.jpg

    Gunmen-of-the-West-bd-extrait-1.jpg

    gunmen1.jpg

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Moi je ne dirais pas que la série s'essouffle. On s'est juste habitué, la madeleine étant sympa et fraiche en un coup mais là... Je dirais que le format histoires courtes ne permet pas de rentrer au pantheon des bd. Tout simplement.

    ça fait des one shots western sympas à parcourir mais il manque le souffle. Et j'inclus le premier dans le lot. 

     

    Quand à Indians, on avait déjà pointé la limite du truc, surtout avec Hoka Hey ensuite, et Golden West maintenant.

    Modifié par The_PoP
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    Alors je l'avais lu chez quelqu'un... mais je viens de sauter dessus pour faire un cadeau a mon frangin

    Herenguel aux dessins c'est top et, de mémoire, c'est une histoire de fantastique sur fond de guerre de sécession. Et autant les westerns genre cowboy / indiens tout ca tout ca c'est par trop ma came autant la guerre de sécession j'aime bien 🙂

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    • Dans l'indifférence générale
      Note :
      Voilà un sacré coup de coeur pour cet "essai" graphique au dessin somptueux et innovant dans son découpage, ainsi que le propos si fort et lourd de conséquences. Je lui souhaite la même réussite dans les bacs des libraires que Le monde sans fin de Jancovici et Blain (Dargaud). Dans un genre moins scientifique mais avec des phrases "coup de poing" et surtout une symbiose des cases dessinées ingénieuse et parlante, Roberto Grossi frise le génie pour imprimer notre rétine de messages. On se rend bien compte que nos petits gestes écologiques ne suffisent plus, il devient impératif d'imprimer une direction responsable aux élites gouvernantes. Nous faisons partie des pays les plus riches et nous polluons sans vergogne avec des chiffres de production de CO2 inimaginables. Sur la même ligne que Jancovici, Roberto Grossi "accuse" le capitalisme et sa surproduction, on pense ainsi à la "décroissance" souhaitée par l'ingénieur français. Il démontre chiffres à l'appui l'accentuation majeure de nos rejets de gaz à effet de serre depuis la révolution industrielle anglaise avec la machine à vapeur de Watt notamment. Un peu plus de 200 ans durant lesquels les progrès scientifiques ont été les plus importants mais aussi les plus néfastes pour la planète bleue. L'auteur utilise subtilement en fil directif de l'histoire un homme dans l'océan, seul, avec en face un requin fonçant gueule béante vers lui ! La catastrophe est imminente, que peut-il faire ? Nous en sommes là avec Taylor Swift prenant son jet privé comme l'on prendrait son scooter pour aller chercher du pain. Il raconte aussi ses souvenirs d'enfance en voyage à Chamonix et sa Mer de glace, glacier en constant retrait depuis des années. J'ai vu aussi le glacier lors de ma jeunesse et j'y retourne régulièrement avec le Montenvers, on ajoute toujours plus de marches pour descendre arpenter la glace... Jusqu'où allons nous descendre ? A lire et à faire lire à tous vos proches. 
      • 0 réponse
    • Kabuki
      Note :
      Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
      • 0 réponse
    • Partitions irlandaises tome 3 (fin) - Le refrain
      Note :
      Voici le dernier tome de cette trilogie de Kris et Bailly sur l'histoire conflictuel de l'Irlande du Nord et le conflit entre catholique et Protestant.

      Ce tome trois, que l'on a attendu longtemps, conclu de bien belle façon cette histoire de famille et qui nous montre qu'il est tous sauf aisé de se défaire de l'historique familial.

      Entre suspens, échange de coup de feux et révélations sur le passé de chacun, on a un troisième tome sans temps mort pour une trilogie engagée qui nous raconte l'histoire d'un petit bout de terre qui cherche à se défaire des histoires du passé pour se focaliser sur l'avenir.

      Note : dû au temps espacé ( tous les deux ans) de parutions des albums, je conseille une relecture de l'intégrale pour bien apprécier ce troisième tome.
      • 0 réponse
    • Coups de coeur
      Note :
      Dans cette autobiographie, l'autrice Tcheque Jislová nous livre une véritable psychanalyse sur sa relation à... l'amour. Rien de moins que ca. Une grande question qui travaille tout le monde mais qui est encore plus prégnant chez Štěpánka vu... ce que l'on apprend sur son passé.

      Je ne vous révèlerais pas cette surprise mais vous encourage à découvrir cette BD qui réussit, sur un très gros volume de pages, à nous accrocher de bout en bout. Le graphisme dynamique et un choix de nuance de rouge très intelligent. Štěpánka joue avec les pages et les limites de la BD pour nous livrer un ensemble réussi qui réussi, malgré le sujet déjà vu et revu, à ne pas nous ennuyer et à nous faire réfléchir sur notre définition à l'amour et au sexe opposé.

      Petite cerise sur un gâteau déjà beau, Štěpánka nous livre quelques pages de psychologie infantile intéressante et documentée.
      • 0 réponse

    • Beast king and medicinal herb tome 2
      Note :
      Le tome 1 de The beast king and medicinal herb était une des bonnes surprises de ce début d'année avec un point de vue rafraîchissant sur les monstres des donjons.

      C'est donc un peu tristement que j'ai découvert que ce tome deux rentrait deja "dans le rang". Non pas qu'il ne soit mauvais. On découvre des nouveaux monstres dans un nouveau donjon et notre héroïne avance dans sa compréhension de Galion.

      Mais on est déjà dans l'aventure qui part pour être super linéaire avec à chaque épisode son donjon et chaque donjon son monstre à soigner. C'est dommage car le premier avait bien utilisé le copain "différence de point de vue" entre monstres et humains tout comme la fait que c'est le gagnant qui écrit l'histoire.

      J'aurais préféré retrouver cela plutôt que de découvrir un super gros monstres qui vole avec ses poils....

      J'espère que le tome trois me surprendra en tout cas !

       
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