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Titre de l'album : Modigliani Scenariste de l'album : Ernesto Anderle Dessinateur de l'album : Ernesto Anderle Coloriste : Ernesto Anderle Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Jeanne, fille unique d'Amedeo Modigliani, cherche à comprendre quel homme était son père, disparu alors qu'elle n'était qu'une enfant. Peintre de génie, artiste maudit, rival et ami de Picasso, Amedeo Modigliani fut applaudi et censuré. Au fil du témoignage de son vieil ami, Maurice Utrillo, s'esquisse petit à petit pour Jeanne le portrait de ce père, fou d'amour pour l'art, pour la vie, et pour sa mère, Jeanne Hébuterne... Critique : Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/modigliani/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement.
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Titre de l'album : Artips - Histoire de l'art en BD Scenariste de l'album : Céka Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Quinze anecdotes incroyables de l'Histoire de l'Art restituées en BD pour découvrir la grande Histoire de l'Art (Monet, Warhol, Vinci...) Un partenariat détonnant avec Artips, pour éduquer à l'Art par la BD. Chaque chapitre est complété par des pages documentaires sur l'Histoire de l'Art. Critique : Les éditions Petitàpetit signent en partenariat avec le média culturel Artips ce formidable recueil d'histoires sur les plus grands artistes de notre histoire . Ainsi , au fil de ces 96 pages que vous ne verrez pas passer , défilent sous vos yeux Vinci , Le bernin , Vermeer , Chardin , Vigée Le Brun , Géricault , Ingres , Cézanne , le facteur Cheval , Eiffel , Gauguin , Monet , Dali , Klein et Warhol . Dans un ordre chronologique ces géants de l'art se succèdent avec pour chacun quelques pages BD sur un des moments forts de leur vie créative , puis des double-pages d'images d'archives , articles de presse et autres photographies . C'est une véritable mine d'information dans laquelle vous viendrez combler un éventuel déficit de culture générale 😉 . J'ai pour ma part découvert ( entre autres) un pan de la vie de Vigée Le Brun , une formidable portraitiste contemporaine de Louis VXI et amie de Marie-Antoinette , ayant du fuir la France lors de la révolution . Le collectif de dessinateurs assure des planches de qualité avec une influence du style graphique de l'artiste en question . Par exemple , Thierry Chavant propose une bichromie aux teintes de bleu pour exposer un morceau de la vie de Klein . Vincent Dutreuil , en charge de Monet , vous en mettra plein les yeux dans un style réaliste aux couleurs pastels avec une minutie du détail saisissante . Une réussite totale , emplie d'anecdotes que vous aurez envie de partager 🙂 La culture comme la confiture , oui et à partager au plus grand nombre , pour percer le mystère du travail de Vermeer , ou comment est née de l'imagination de Dali la fameuse Montre molle 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/artips-histoire-de-l-art-en-bd/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Caravage, l'ombre du peintre Scenariste de l'album : Ernesto Anderle , collectif Dessinateur de l'album : Ernesto Anderle Coloriste : Ernesto Anderle Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Michelangelo Merisi, dit Caravage venait de nulle part mais a toujours suivi le chemin qui lui a été offert, celui de l'Art. Guidé par son talent lumineux et ses tempêtes intérieures chaotiques, Caravage maîtrisait à la perfection la technique du clair-obscur au point d'en devenir le maître incontesté. Son oeuvre naturaliste, brutale et sublime influencera les peintres qui lui succéderont ainsi que les arts postérieurs. Dans ce Docu-BD, Ernesto Anderle propose une relecture à la fois audacieuse, onirique et pertinente de l'histoire turbulente du peintre, relevée par de superbes pages documentaires écrites par Chiara Stigliani, conservatrice et restauratrice de Milan, Stéphane Loire, conservateur général du Musée de Louvre, Sophie Laroche conservatrice au Musée des Beaux Arts de Nancy et Diederik Bakhuÿs conservateur du Musée des Beaux Arts de Rouen. Critique : Pas simple de passer après le diptyque incroyable de Manara sur le Caravage ! A la différence du dessinateur maître italien , Ernesto Anderle et un collectif de conservateurs de musées , ne livrent pas une biographie chronologique de l'artiste . Ils le décrivent à plusieurs moments de sa vie dans des situations marquantes et inspirantes pour ses oeuvres . On le sait , sa vie a été jalonnée de drames et de rixes , il avait l'art de trouver les ennuis . Mais de ces crises existentielles mêlées aux histoires rocambolesques dans lesquelles il se retrouvait , a pu germer un art inimité et source d'inspiration pour bon nombre d'artistes peintres . L'omniprésence du clergé et les demandes de tableaux effectuées lui ont permis de mélanger son histoire personnelle et les actes fondateurs du christianisme pour les incorporer dans des toiles d'une incroyable puissance . L'esprit Docu-BD se retrouve au grès des double-pages qui enrichissent l'histoire avec documentaires et photos de tableaux . Mais le plus indéniable étant les explications liées à une oeuvre choisie par les conservateurs de musée . La page de gauche exposant l'oeuvre et celle de droite expliquant les nombreux symboles représentés ainsi que la genèse du tableau . Une véritable mine d'informations qui vous fera découvrir l'art pictural sous un autre angle . Vous aurez presque l'impression d'être au musée avec la visite guidée 😉 ; la technique du clair-obscur n'aura plus aucun secret pour vous . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caravage-l-ombre-du-peintre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Pas simple de passer après le diptyque incroyable de Manara sur le Caravage ! A la différence du dessinateur maître italien , Ernesto Anderle et un collectif de conservateurs de musées , ne livrent pas une biographie chronologique de l'artiste . Ils le décrivent à plusieurs moments de sa vie dans des situations marquantes et inspirantes pour ses oeuvres . On le sait , sa vie a été jalonnée de drames et de rixes , il avait l'art de trouver les ennuis . Mais de ces crises existentielles mêlées aux histoires rocambolesques dans lesquelles il se retrouvait , a pu germer un art inimité et source d'inspiration pour bon nombre d'artistes peintres . L'omniprésence du clergé et les demandes de tableaux effectuées lui ont permis de mélanger son histoire personnelle et les actes fondateurs du christianisme pour les incorporer dans des toiles d'une incroyable puissance . L'esprit Docu-BD se retrouve au grès des double-pages qui enrichissent l'histoire avec documentaires et photos de tableaux . Mais le plus indéniable étant les explications liées à une oeuvre choisie par les conservateurs de musée . La page de gauche exposant l'oeuvre et celle de droite expliquant les nombreux symboles représentés ainsi que la genèse du tableau . Une véritable mine d'informations qui vous fera découvrir l'art pictural sous un autre angle . Vous aurez presque l'impression d'être au musée avec la visite guidée 😉 ; la technique du clair-obscur n'aura plus aucun secret pour vous .
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Les éditions Petitàpetit signent en partenariat avec le média culturel Artips ce formidable recueil d'histoires sur les plus grands artistes de notre histoire . Ainsi , au fil de ces 96 pages que vous ne verrez pas passer , défilent sous vos yeux Vinci , Le bernin , Vermeer , Chardin , Vigée Le Brun , Géricault , Ingres , Cézanne , le facteur Cheval , Eiffel , Gauguin , Monet , Dali , Klein et Warhol . Dans un ordre chronologique ces géants de l'art se succèdent avec pour chacun quelques pages BD sur un des moments forts de leur vie créative , puis des double-pages d'images d'archives , articles de presse et autres photographies . C'est une véritable mine d'information dans laquelle vous viendrez combler un éventuel déficit de culture générale 😉 . J'ai pour ma part découvert ( entre autres) un pan de la vie de Vigée Le Brun , une formidable portraitiste contemporaine de Louis VXI et amie de Marie-Antoinette , ayant du fuir la France lors de la révolution . Le collectif de dessinateurs assure des planches de qualité avec une influence du style graphique de l'artiste en question . Par exemple , Thierry Chavant propose une bichromie aux teintes de bleu pour exposer un morceau de la vie de Klein . Vincent Dutreuil , en charge de Monet , vous en mettra plein les yeux dans un style réaliste aux couleurs pastels avec une minutie du détail saisissante . Une réussite totale , emplie d'anecdotes que vous aurez envie de partager 🙂 La culture comme la confiture , oui et à partager au plus grand nombre , pour percer le mystère du travail de Vermeer , ou comment est née de l'imagination de Dali la fameuse Montre molle 😉
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Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉
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Titre de l'album : Kokoschka - Portrait d'un expressionniste Scenariste de l'album : Max Vento Dessinateur de l'album : Max Vento Coloriste : Max Vento Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Vienne, 1912. La capitale vit au rythme de l'art et de la culture. Pourtant, les oeuvres d'Oskar Kokoschka, peintre subversif, perturbent et bousculent la bourgeoisie. Le jeune homme possède un talent unique, mais il est extrême, en émotion comme en art. À l'occasion d'une commande, il rencontre Alma Mahler, une riche veuve, impérieuse et fascinante. Les premiers mois de leur amour sont ceux d'un bonheur éphémère. Attirée par son talent, Alma voudrait faire de lui un artiste reconnu, son chef-d'oeuvre à elle. La passion emporte Oskar comme une tempête imprévue, où l'art et la folie se mélangent. Critique : Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kokoschka-portrait-d-un-amour-expressionniste/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La collection RamDam de Jungle adopte un ton plus adulte avec cet opus se déroulant dans le froid canadien . En effet l'éditeur "jeunesse" se permet des sorties d'un autre genre et nous propose un polar teinté de trafic d'art , d'une violence assumée mais pas trop 😉 L'humour "Tarantinien" vient se mêler aux situations cocasses que vivent les protagonistes . Plutôt un mix des frères Cohen et Tarantino en fait , les paysages enneigés rappellent Fargo de même que la naïveté des truands ! Jade sort donc de prison et se retrouve aux prises avec la famille Williams sur un plan de toiles de maîtres volés . Son père étant un faussaire réputé , elle va tenter de doubler cette famille aux accès de violence non contenus et s'enfuir de ce désert blanc et froid . Vous vous doutez bien que rien ne se passera comme prévu 😉 Le scénariste ne se contente pas d'écrire un polar , il ajoute des relations familiales compliquées mêlées aux ambitions propres de chacun . C'est fait avec du talent et les rebondissements sont nombreux . Il est aidé dans cette entreprise du dessinateur Paul Bona ayant déjà travaillé pour les éditions Steinkis . Il propose des planches aux couleurs chaudes rappelant un peu le style de Peeters sur Saint Elme . Des visages ronds , des cases détaillées ainsi qu'un mouvement perpétué par des onomatopées . Un one-shot rafraîchissant à découvrir !
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Titre de l'album : Trompe-l'oeil Scenariste de l'album : Damien Martinière Dessinateur de l'album : Paul Bona Coloriste : Paul Bona Editeur de l'album : 404 Graphics Note : Résumé de l'album : Petite escroc, Jade sort tout juste de prison. Loin d'avoir retenu la leçon, elle est bien décidée à revivre le frisson du bon coup et à se refaire au plus vite. Par Fiona, son ancienne codétenue, elle se retrouve liée au Clan Williams sur une affaire de tableaux volés. Jade espère tirer son épingle du jeu grâce à son père, un faussaire repenti, qu'elle compte bien embarquer dans l'affaire. Mais il se peut que rien ne se passe comme prévu. Et entre les histoires de famille et les arnaqueurs arnaqués, il faudra sans doute se méfier des ambitions trop grandes. Critique : La collection RamDam de Jungle adopte un ton plus adulte avec cet opus se déroulant dans le froid canadien . En effet l'éditeur "jeunesse" se permet des sorties d'un autre genre et nous propose un polar teinté de trafic d'art , d'une violence assumée mais pas trop 😉 L'humour "Tarantinien" vient se mêler aux situations cocasses que vivent les protagonistes . Plutôt un mix des frères Cohen et Tarantino en fait , les paysages enneigés rappellent Fargo de même que la naïveté des truands ! Jade sort donc de prison et se retrouve aux prises avec la famille Williams sur un plan de toiles de maîtres volés . Son père étant un faussaire réputé , elle va tenter de doubler cette famille aux accès de violence non contenus et s'enfuir de ce désert blanc et froid . Vous vous doutez bien que rien ne se passera comme prévu 😉 Le scénariste ne se contente pas d'écrire un polar , il ajoute des relations familiales compliquées mêlées aux ambitions propres de chacun . C'est fait avec du talent et les rebondissements sont nombreux . Il est aidé dans cette entreprise du dessinateur Paul Bona ayant déjà travaillé pour les éditions Steinkis . Il propose des planches aux couleurs chaudes rappelant un peu le style de Peeters sur Saint Elme . Des visages ronds , des cases détaillées ainsi qu'un mouvement perpétué par des onomatopées . Un one-shot rafraîchissant à découvrir ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/trompe-l-oeil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le navire écarlate Scenariste de l'album : Claire Grimond , Léo Verrier Dessinateur de l'album : Léo Verrier Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Malo aimerait savoir peindre et dessiner aussi bien que sa grand-mère Zita, une célébre artiste. Être un dessinateur en herbe, ce n'est pas toujours évident, surtout quand on a peur de mal faire. Alors que Malo et Zita embarquent sur le Navire écarlate, un magnifique bateau habité par des pirates-artistes, ils découvrent un inquiétant secret... Armé de ses pinceaux et de toute son imagination, Malo s'apprête à vivre une incroyable aventure... Critique : Impossible pour moi de ne pas penser aux univers de Roald Dahl à la lecture de ce Navire écarlate ! Un vaisseau flottant dans les airs avec à sa tête un capitaine aux lourds secrets , une exposition de tableaux de la grand-mère de Malo qui va prendre une tournure surprenante , des personnages virevoltants de toiles en toiles de maîtres , bref , un imaginaire infini au service de l'Art . Car oui, derrière cette aventure se cache une profonde déclaration d'amour envers l'art pictural et ses couleurs . Une histoire mâtinée d'enquête policière avec des personnages truculents et un dessin tout en rondeur aux couleurs éclatantes . Le duo d'auteurs va même jusqu'à donner des noms de couleurs aux protagonistes ! Ils encouragent la création artistique à travers cet enfant Malo , en manque de confiance , vivant dans l'ombre du succès de son aînée . Le dessin et l'imaginaire vont l'aider à se sortir de périlleuses situations et en même temps lui apporter cette assurance qui vous fait grandir . Oh il sera aidé par une amie aux pouvoirs épatants , mais elle ne fera que cultiver un talent qu'il avait déjà en lui . Croire en soi , garder l'esprit créatif , peut-être ainsi verrez-vous dans les nuages de drôles de navires 😉 Il est à souligner aussi la qualité d'édition du livre avec une couverture sublime . A partir de 7 ans et sans limite d'âge ensuite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-navire-ecarlate/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Impossible pour moi de ne pas penser aux univers de Roald Dahl à la lecture de ce Navire écarlate ! Un vaisseau flottant dans les airs avec à sa tête un capitaine aux lourds secrets , une exposition de tableaux de la grand-mère de Malo qui va prendre une tournure surprenante , des personnages virevoltants de toiles en toiles de maîtres , bref , un imaginaire infini au service de l'Art . Car oui, derrière cette aventure se cache une profonde déclaration d'amour envers l'art pictural et ses couleurs . Une histoire mâtinée d'enquête policière avec des personnages truculents et un dessin tout en rondeur aux couleurs éclatantes . Le duo d'auteurs va même jusqu'à donner des noms de couleurs aux protagonistes ! Ils encouragent la création artistique à travers cet enfant Malo , en manque de confiance , vivant dans l'ombre du succès de son aînée . Le dessin et l'imaginaire vont l'aider à se sortir de périlleuses situations et en même temps lui apporter cette assurance qui vous fait grandir . Oh il sera aidé par une amie aux pouvoirs épatants , mais elle ne fera que cultiver un talent qu'il avait déjà en lui . Croire en soi , garder l'esprit créatif , peut-être ainsi verrez-vous dans les nuages de drôles de navires 😉 Il est à souligner aussi la qualité d'édition du livre avec une couverture sublime . A partir de 7 ans et sans limite d'âge ensuite !
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Titre de l'album : Oken - Combats et rêveries d'un poète taïwanais Scenariste de l'album : Shih-Hung Wu Dessinateur de l'album : Shih-Hung Wu Coloriste : Shih-Hung Wu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La jeunesse d'Oken a bien failli s'achever dans les flammes de l'Histoire. Contraints de fuir Taiwan pour fuir les bombes américaines, le jeune garçon et sa famille trouvent refuge dans les montagnes. Mais contre la mélancolie, Oken possède une arme à nulle autre pareille : la poésie. Celle-là même qui lui permet de percer la beauté du monde, et de comprendre que la vie est telle une araignée d'eau : fragile, mais tellement élégante et fascinante. Critique : Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons. Autres infos : D'après Yang Mu Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oken-combats-et-reveries-d-un-poete-taiwanais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons.
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Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres.
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Titre de l'album : Le boiseleur - Tome 2 - L'esprit d'Atelier Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Gaëlle Hersent Coloriste : Gaëlle Hersent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le talent d'Illian, jeune sculpteur, franchit les frontières de Solidor et suscite l'intérêt jusqu'à Bélizonde, seule cité dirigée par des artistes. Un couple de grands maîtres sculpteurs, Tullio et Zenia, parvient à convaincre le jeune d'homme d'intégrer leur prestigieux atelier. Leur souhait ? Le faire concourir à un grand événement qui leur permettrait de sauver leur atelier, leur savoir-faire... Critique : Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres. Autres infos : Fin du diptyque Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-boiseleur-tome-2-l-esprit-d-atelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : L'espace d'un instant Scenariste de l'album : Niki Smith Dessinateur de l'album : Niki Smith Coloriste : Niki Smith Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir sauvé sa professeure d'art d'un assaillant armé à l'école, Manuel Soto doit faire face au Syndrome Post Traumatique. Pour lutter contre son anxiété, il utilise l'appareil photo de son téléphone portable pour trouver les points d'ancrage qui lui permettent de garder les pieds sur terre. Ses journées sont monotones et solitaires, jusqu'à ce que dans le cadre d'un projet scolaire, il fasse équipe avec ses camarades de classe, Sebastian et Caysha. À leur contact, le jeune collégien qui découvre la campagne, s'ouvre à la beauté de la nature et finit par y trouver le réconfort dont il a besoin... Un album délicat et généreux dans lequel l'autrice dépeint avec finesse les sentiments adolescents dans cette vie isolée que leur impose la ruralité. Critique : Ce roman graphique est étonnant car s'il est centré sur le traumatisme vécu par un adolescent et sa façon de rebondir derrière, il raconte pourtant en creux beaucoup beaucoup d'autres choses, qui se révèlent finalement pour moi plus intéressantes. NOn pas que cet aspect soit mal traité, mais plutôt que le sujet ayant déjà été abordé, surtout en roman graphique, le côté adolescence dans la campagne américaine m'a beaucoup plus intrigué. L'auteure confirme s'être fortement inspirée de sa propre enfance pour nous livrer ce chouette récit, et il faut reconnaitre que j'ai effectivement eu le sentiment diffus que l'histoire qui nous était racontée ici ne parlait pas des adolescents actuels mais plutôt d'une adolescence vécue il y a déjà quelques années. Entre nos générations donc. Quelques éléments dans la conclusion de l'histoire m'ont paru un peu décalés, mais c'est je crois avant tout une question de sensibilité personnelle car cela ne manque pas de cohérence. Le dessin de Niki Smith est tout en douceur pour ses personnages, et si à titre de comparaison futile je préfère par exemple celui de Cyril Pomes sur Moon, il n'en reste pas moins agréable à lire et chaleureux. L'espace d'un instant est un beau roman graphique qui sait prendre le temps qu'il faut pour dérouler son histoire et mettre en place son ambiance douce. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-espace-d-un-instant?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce roman graphique est étonnant car s'il est centré sur le traumatisme vécu par un adolescent et sa façon de rebondir derrière, il raconte pourtant en creux beaucoup beaucoup d'autres choses, qui se révèlent finalement pour moi plus intéressantes. NOn pas que cet aspect soit mal traité, mais plutôt que le sujet ayant déjà été abordé, surtout en roman graphique, le côté adolescence dans la campagne américaine m'a beaucoup plus intrigué. L'auteure confirme s'être fortement inspirée de sa propre enfance pour nous livrer ce chouette récit, et il faut reconnaitre que j'ai effectivement eu le sentiment diffus que l'histoire qui nous était racontée ici ne parlait pas des adolescents actuels mais plutôt d'une adolescence vécue il y a déjà quelques années. Entre nos générations donc. Quelques éléments dans la conclusion de l'histoire m'ont paru un peu décalés, mais c'est je crois avant tout une question de sensibilité personnelle car cela ne manque pas de cohérence. Le dessin de Niki Smith est tout en douceur pour ses personnages, et si à titre de comparaison futile je préfère par exemple celui de Cyril Pomes sur Moon, il n'en reste pas moins agréable à lire et chaleureux. L'espace d'un instant est un beau roman graphique qui sait prendre le temps qu'il faut pour dérouler son histoire et mettre en place son ambiance douce.
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- roman graphique
- tranche de vie
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Titre de l'album : Empire Falls Building Scenariste de l'album : Jean-Christophe Deveney Dessinateur de l'album : Tommy Redolfi Coloriste : Tommy Redolfi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Edgard Whitman, jeune architecte prometteur, est engagé par le richissime homme d'affaires Kosmo Vassilian pour achever la construction de l'Empire Falls Building, son célèbre et monumental hôtel new-yorkais, pourtant flambant neuf. L'architecte est alors loin d'imaginer que cette entreprise va le conduire au-delà de ce qu'il pensait réalisable, au-delà de ses propres limites... Critique : Décidément la collection Noctambule de chez Soleil n'en finit plus de m'épater. Après un Dernier souffle exaltant et original, cet Empire Falls Building vient tout simplement prétendre au titre de la BD la plus originale, osée, et créative de l'année. Je ne vous spoile pas, mais l'idée des calques est vraiment une réussite, dont le seul bémol est leur sous exploitation, on ne voulait plus. Pour le reste entre le dessin terriblement touchant et émotionnel de Tommy Redolfi et l'histoire toute en poésie, en finesse, en ouvertures et en atmosphère de Jean-Christophe Deveney, cet Empire Falls Building est un Ovni que certains aimeront lire et découvrir tandis que d'autres ne dépasseront pas la dixième page... Impossible de rester indifférent je pense. Si en plus vous êtes fans d'architecture, alors je serais plus clair : vous devriez la lire. Je fustige régulièrement les éditions soleil pour leur manque de créativité mais il faut bien reconnaitre qu'ils font un très solide boulot sur leur gamme Noctambule. J'espère simplement que cette gamme trouvera son public. Autres infos : A découvrir Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/empire-falls-building?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Décidément la collection Noctambule de chez Soleil n'en finit plus de m'épater. Après un Dernier souffle exaltant et original, cet Empire Falls Building vient tout simplement prétendre au titre de la BD la plus originale, osée, et créative de l'année. Je ne vous spoile pas, mais l'idée des calques est vraiment une réussite, dont le seul bémol est leur sous exploitation, on ne voulait plus. Pour le reste entre le dessin terriblement touchant et émotionnel de Tommy Redolfi et l'histoire toute en poésie, en finesse, en ouvertures et en atmosphère de Jean-Christophe Deveney, cet Empire Falls Building est un Ovni que certains aimeront lire et découvrir tandis que d'autres ne dépasseront pas la dixième page... Impossible de rester indifférent je pense. Si en plus vous êtes fans d'architecture, alors je serais plus clair : vous devriez la lire. Je fustige régulièrement les éditions soleil pour leur manque de créativité mais il faut bien reconnaitre qu'ils font un très solide boulot sur leur gamme Noctambule. J'espère simplement que cette gamme trouvera son public.
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