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  1. The_PoP

    Alt-Life - Tome 2

    Allez hop d'abord un petit rappel de la chronique du premier tome de cet Ovni de la BD actuelle : Alt-Life est à appréhender comme un ouvrage de philosophie et non comme une BD d'aventure de Science Fiction. Les réflexions sur notre humanité sont développées tout au long des pages, encore plus que dans le premier tome. Alors autant vous garder un temps très calme pour le découvrir. Ceci étant je trouve que le format BD se prête très bien à l'exercice, laissant la place aux réflexions. Par contre graphiquement, ce n'est clairement pas ce que j'apprécie habituellement, le style n'est pas pour moi. Mais vous l'aurez compris, ce n'est pas là l'objectif de cet album.
  2. The_PoP

    Alt-Life - Tome 2

    Titre de l'album : Alt-Life - Tome 2 Scenariste de l'album : Thomas Cadène Dessinateur de l'album : Joseph Falzon Coloriste : Marie Galopin Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'expérience de Josiane et René l'a prouvé, les humains peuvent vivre dans un environnement totalement virtuel. Les corps sont peu à peu abandonnés, et des millions de consciences viennent peupler ce nouveau monde désincarné et sans limites. Entre-temps, René tente son expérience la plus extrême : il crée du néant un petit univers dont il devient le dieu vivant. Il pensait en maîtriser tous les aspects. Mais le jour où il y emmène Josiane pour lui montrer fièrement sa création, les événements prennent une tournure inquiétante… Critique : Allez hop d'abord un petit rappel de la chronique du premier tome de cet Ovni de la BD actuelle : Alt-Life est à appréhender comme un ouvrage de philosophie et non comme une BD d'aventure de Science Fiction. Les réflexions sur notre humanité sont développées tout au long des pages, encore plus que dans le premier tome. Alors autant vous garder un temps très calme pour le découvrir. Ceci étant je trouve que le format BD se prête très bien à l'exercice, laissant la place aux réflexions. Par contre graphiquement, ce n'est clairement pas ce que j'apprécie habituellement, le style n'est pas pour moi. Mais vous l'aurez compris, ce n'est pas là l'objectif de cet album. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alt-life-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    L'homme sans sourire

    Très dure de ne pas parler de la fin de cette BD. Car si cette BD est vraiment très bien, elle prend une mesure complètement différentes avec l’explication des dernières pages. Mais restons sur la première partie. Une première partie qui n'est pas sans rappeler les bonnes BD des années 90/00 : la nefs des fous ou les BD de ce genre. Des BDs qui sont aussi loufoques que compliquées. Celle-ci est écrite en vers et nous parle de rien de moins que d'une population ayant interdiction de sourire parce que le rire n'est réservé qu'au plus haut niveau de la société. Et le peuple se laisse faire... jusqu'à ce que.... bon ok. J'arrête. Car le scénario de cette BD est quasiment sans queue ni tête. Elle comprend un narrateur que les protagonistes peuvent entendre, des gens qui font tout pour ne surtout pas sourire mais aussi un roi Joyeux qui est déprimé et un oncle en exile qui mène la révolte. Bref un gros mélange de n'importe quoi. Mais du n'importe quoi bien trouvé. Des vers qui marchent, des personnages attachants ou tout simplement une histoire étonnante. Un scénario attachant mais sans queue ni tête qui prend un sens et une vraie puissance dans les deux dernières pages. Deux pages qui nous donnent envie relire la BD..... Edit : si certains veulent discuter de la fin... on passe apres la critique
  4. Titre de l'album : L'homme sans sourire Scenariste de l'album : Stephane Louis Dessinateur de l'album : Stephane Hirlemann Coloriste : Stephane Hirlemann Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une fable sombre et oppressante à la manière d'un conte pour grands enfants. Mr Hubert 31-36 est un " Homme sans sourire " . Dans son royaume, toute forme de joie est interdite pour les gens du " bas peuple " . Un jour, il rencontre par le plus grand des hasards la fille du roi, Mr Joyeux. Perdue et hilare, la princesse n'a pas conscience des risques qui la guettent ici-bas. Transi de peur, Mr Hubert doit à tout prix faire taire cette joyeuse écervelée, qui les met tous les deux en danger. Sauver ou être sauvé, tel est son entêtant dilemme, et il ne prête pas à rire ! Critique : Très dure de ne pas parler de la fin de cette BD. Car si cette BD est vraiment très bien, elle prend une mesure complètement différentes avec l’explication des dernières pages. Mais restons sur la première partie. Une première partie qui n'est pas sans rappeler les bonnes BD des années 90/00 : la nefs des fous ou les BD de ce genre. Des BDs qui sont aussi loufoques que compliquées. Celle-ci est écrite en vers et nous parle de rien de moins que d'une population ayant interdiction de sourire parce que le rire n'est réservé qu'au plus haut niveau de la société. Et le peuple se laisse faire... jusqu'à ce que.... bon ok. J'arrête. Car le scénario de cette BD est quasiment sans queue ni tête. Elle comprend un narrateur que les protagonistes peuvent entendre, des gens qui font tout pour ne surtout pas sourire mais aussi un roi Joyeux qui est déprimé et un oncle en exile qui mène la révolte. Bref un gros mélange de n'importe quoi. Mais du n'importe quoi bien trouvé. Des vers qui marchent, des personnages attachants ou tout simplement une histoire étonnante. Un scénario attachant mais sans queue ni tête qui prend un sens et une vraie puissance dans les deux dernières pages. Deux pages qui nous donnent envie relire la BD..... Edit : si certains veulent discuter de la fin... on passe apres la critique Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-sans-sourire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : V-Girls - Tome 2 - L'oeil du diable Scenariste de l'album : Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jovan Ukropina Coloriste : Hugo Sebastian Facio Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Désormais, les V Girls sont trois : Hedy Lamarr et son élémentaire de l'eau, Lucy, et son élémentaire de l'air, et Frances Farmer et son élémentaire du feu. Reste à trouver la quatrième. Elle viendra de l'est, des plateaux de tournage d'Alexandre Nevski, et se nomme Valentina Ivashova. Elle y interprète le premier rôle féminin. Sergueï Eisenstein, le metteur en scène, la fait discrètement sortir d'URSS. Critique : Pour rappel le lien vers la première chronique : Voici déjà le second tome de V Girls donc après un premier tome sorti à l'été 2019. Uchronie fantastique basée sur la montée du nazisme et les fameuses loges occultes du IIIe Reich mélangée avec la naissance du Cinéma, V-Girls se déroule dans les années 30, principalement aux Etats Unis, et nous fait défiler une galerie de personnages iconiques du cinéma dans des implications diverses de l'intrigue fantastiques. Le propos est clairement original, et je peine encore à tout bien saisir pour être franc, mais cela va très très vite, et si je regrette comme souvent que les personnages ne soient pas plus détaillés, l'ensemble du récit est suffisamment intriguant pour donner envie de lire la suite. Le découpage des cases est classique et très lisible. Graphiquement par contre c'est assez inégal je trouve. Si la colorisation est globalement bien réussie, le niveau de détail des cases et des visages est assez irrégulier. Certaines planches sont très réussies quand d'autres semblent avoir manqué de temps. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/v-girls-l-oeil-du-diable-tome-2-l-armee-cauchemardesque?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Fable toscane et autres récits

    Fable toscane et autres récits est le dernier album publié en français de Sergio Toppi aux éditions Mosquito. Ce recueil regroupe cinq histoire avec la principale et la plus longue intitulée Fable Toscane. Les quatre autres récits sont des histoires très courtes. Toppi a choisi son Italie natale pour décor de ses cinq histoires, sur des diverses périodes. Sur les quatre histoires courtes, on retrouve le trait de l'auteur qui dessine un bloc de dessins au milieu d'une planche pour raconter l'action. Le rendu est assez bluffant comme souvent avec Toppi. Pour Fable Toscane, Toppi reste plus classique si l'on peut dire avec lui, en présentant des planches avec des cases, typique d'une bande dessinée traditionnelle. Les dessins sont en noir et blanc magnifique. Les histoires oscillent entre fantastiques ou réalistes. Les éditions Mosquito font un travail fabuleux pour nous permettre de lire toutes les histoires de Toppi déjà parues ou inédites depuis maintenant plusieurs années. On perd un peu en exotisme avec Fable Toscane comme le décor est l'Italie. Pour finir, un autre album de Toppi est déjà en prévision pour le mois de juillet, La légende de Conair Mór, roi d’Irlande.
  7. Titre de l'album : Fable toscane et autres récits Scenariste de l'album : Sergio Toppi Dessinateur de l'album : Sergio Toppi Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Le manteau de Saint Martin : 1258, des soudards massacrent de villages et dressent des bûchers pour combattre une hérésie naissante. Deux enfants s'enfuient dans la forêt, poursuivis par des spadassins. Ils pensent trouver le salut dans une chapelle isolée dédiée à Saint Martin. Ivres de sang, les soldats sont sur leurs talons... Fable Toscane : Dans un village toscan, au XIXème siècle, on est bien loin des changement politiques qui secouent l'Italie. Maître Domenico, le vieux menuisier du village fait la classe aux enfants. C'est un brave homme tranquille, qui paye ses taxes et accepte les œufs en paiement de son travail. Epuisé par une promenade, il s'endort sous un arbre. A son réveil, il trouve que bien des choses ont changé au village. Les gens ne le reconnaissent pas, le grand Duc de Florence a été renversé, la monnaie n'est plus la même... Tout cela va lui causer biens des ennuis. Critique : Fable toscane et autres récits est le dernier album publié en français de Sergio Toppi aux éditions Mosquito. Ce recueil regroupe cinq histoire avec la principale et la plus longue intitulée Fable Toscane. Les quatre autres récits sont des histoires très courtes. Toppi a choisi son Italie natale pour décor de ses cinq histoires, sur des diverses périodes. Sur les quatre histoires courtes, on retrouve le trait de l'auteur qui dessine un bloc de dessins au milieu d'une planche pour raconter l'action. Le rendu est assez bluffant comme souvent avec Toppi. Pour Fable Toscane, Toppi reste plus classique si l'on peut dire avec lui, en présentant des planches avec des cases, typique d'une bande dessinée traditionnelle. Les dessins sont en noir et blanc magnifique. Les histoires oscillent entre fantastiques ou réalistes. Les éditions Mosquito font un travail fabuleux pour nous permettre de lire toutes les histoires de Toppi déjà parues ou inédites depuis maintenant plusieurs années. On perd un peu en exotisme avec Fable Toscane comme le décor est l'Italie. Pour finir, un autre album de Toppi est déjà en prévision pour le mois de juillet, La légende de Conair Mór, roi d’Irlande. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fable-toscane-et-autres-recits?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Série : Il faut flinguer ramirez Scenario : Nicolas Petrimaux Dessin : Nicolas Petrimaux Genre : Quand Usual suspect rencontre Tarantino Edition : Glenat Acheter sur BDfugue Résumé :Muet comme une tombe. Silencieux comme la mort. Falcon City, Arizona. Jacques Ramirez travaille à la Robotop, une entreprise d'électroménager et l'un des fleurons industriels du coin. Employé modèle, il bosse vite, bien, et sait surtout se faire discret. Pour cause : il est muet. Mais un jour, deux Mexicains appartenant à un dangereux cartel pensent reconnaître en lui l'homme qui aurait trahi leur organisation par le passé. Derrière le réparateur d'aspirateurs sans histoires se cacherait une véritable légende : Ramirez, le meilleur tueur à gages de tous les temps. Depuis 8 ans, il s'était mis au vert, attendant son heure. Maintenant, il est temps que Ramirez renoue avec sa véritable nature... Pour marquer son entrée au catalogue Glénat, Nicolas Pétrimaux livre un hommage réjouissant au film noir et à la série B américaine des années 1970. Un récit brutal et sans temps mort servi par une ligne à la puissance cinématographique, convoquant autant Friedkin que Tarantino ou Rodriguez. Imaginer Usual suspect qui serait réalisé par Tarantino.... vous visualisez ? Et bien maintenant ouvrez les yeux et mettez vous à feuilleter "il faut flinguer Ramirez". ET vous y serez ! Vous en prendrez plein les yeux avec des sublimes planches et un découpage dynamique rempli de scène d'action comme dans Pulp Fiction. Ça flingue, ça explose, ça sort de bâtiments en flamme et ça envoie des répliques de folies qui ferait pâlir d’envie Travolta. Coté scénario, vous allez vous demander durant tout le tome qui est le Kaiser dans cette histoire ! Nicolas Petrimaux nous mène en bateau durant tout ce tome sans jamais nous donner le fax temps attendu ! Bref vous l'aurez compris vous avec entre les mains la BD la plus vitaminées et la plus rafraîchissante de ce début d'année ! Et si vous ne l'avez pas encore... courrez chez votre libraire !!! Ma Note:
  9. poseidon2

    Les soeurs Fox t2

    Franchement il est difficile de trouver un dessin plus adapté à une histoire que celui de Gregory Charlet sur les sœurs fox. On l'avait déjà vu dans le premier tome mais c'est encore plus visible sur ce tome 2. En effet les encrages et les tons sombres illustres à merveilles aussi bien l'aspect "médium" que l'aspect chute de la famille Fox. La gestion des couleurs est vraiment superbe avec un choix intelligent de trancher quand on revient au présent avec un changement radical de couleur. Et l'histoire n'est pas en reste. On se passionne pour l'histoire de cette famille complètement dépassé et étouffée par ce qu'elles ont provoqué. En mettant sur le devant de la scène le spiritisme via de fausses astuces, elles n'imaginaient pas à quel point les gens avaient besoin de croire. Un besoin de croire qui fait apparaître plein de concurrent mais surtout qui n'offre plus de retour possible en arrière pour des filles qui n'ont plus forcément envie de vivre cette vie. La chute d'une famille qui illustre bien l'adage qui dit que quand on joue avec le feu, il faut accepter de se brûler.... Un super diptyque aussi graphiquement que scenaristiquement avec une fin particulièrement bien trouvée.
  10. Titre de l'album : Les soeurs Fox t2 Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Gregory Charlet Coloriste : Gregory Charlet Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Six ans après avoir berné tout le monde avec leur histoire d'esprit frappeur, les soeurs Fox comptent deux millions d'adeptes à travers le monde. Sous la houlette de la soeur ainée, elles développent leurs talents... Mais Maggie Fox est tiraillée entre son « don » et sa soif de vérité. Quand l'homme qu'elle a épousé meurt brutalement, elle sombre dans l'alcool et la dépression. Pour soulager sa conscience, elle accepte de révéler la supercherie de ses séances spirites lors d'une représentation publique. Mais cet aveu hâte sa fin. Le mouvement spirite, devenu si populaire, n'a que faire d'une demi-folle, jalouse et alcoolique. Critique : Franchement il est difficile de trouver un dessin plus adapté à une histoire que celui de Gregory Charlet sur les sœurs fox. On l'avait déjà vu dans le premier tome mais c'est encore plus visible sur ce tome 2. En effet les encrages et les tons sombres illustres à merveilles aussi bien l'aspect "médium" que l'aspect chute de la famille Fox. La gestion des couleurs est vraiment superbe avec un choix intelligent de trancher quand on revient au présent avec un changement radical de couleur. Et l'histoire n'est pas en reste. On se passionne pour l'histoire de cette famille complètement dépassé et étouffée par ce qu'elles ont provoqué. En mettant sur le devant de la scène le spiritisme via de fausses astuces, elles n'imaginaient pas à quel point les gens avaient besoin de croire. Un besoin de croire qui fait apparaître plein de concurrent mais surtout qui n'offre plus de retour possible en arrière pour des filles qui n'ont plus forcément envie de vivre cette vie. La chute d'une famille qui illustre bien l'adage qui dit que quand on joue avec le feu, il faut accepter de se brûler.... Un super diptyque aussi graphiquement que scenaristiquement avec une fin particulièrement bien trouvée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-fox-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Les cinq de cambridge - intégrale

    Les éditions Casterman proposent une intégrale de la trilogie des cinq de Cambridge, une série historique sur des espions. On retrouve durant la lecture de cette intégrale quelques informations qui font suite à un diptyque des mêmes auteurs, Les Cosaques d'Hitler. Les auteurs poursuivent donc leur récit historique avant et durant l'entre-deux guerres qui se poursuivra jusqu'à la guerre froide avec les trois tomes. Valérie Lemaire se charge du scénario pour retranscrire la réalité à travers cette fresque historique parfois complexe avec le rôle des agents doubles ou du contre-espionnage. Cinq anciens étudiants et amis de l'université de Cambridge sont recrutés pour l'union soviétique pour rapporter des infirmations, tout en changeant leurs idéaux pour passer inaperçu. En parallèle, Valérie Lemaire met en avant la vie privée des cinq étudiants pour alléger le scénario et assurer une romance au milieu de cette intrigue politique. Deux personnages ressortent parmi les deux dont Guy Burgess par son caractère très provocateur et Kim Philby un idéaliste. Les dessins d'Olivier Neuray sont dans un style classiques avec des cases très déraillées pour les décors. Il est intéressant de pouvoir lire les albums à la suite grâce à cette intégrale pour se concentrer sur les divers stratégies mises en places par les cinq.
  12. Titre de l'album : Les cinq de cambridge - intégrale Scenariste de l'album : Valérie Lemaire Dessinateur de l'album : Olivier Neuray Coloriste : Olivier Neuray Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : L'histoire vraie du plus incroyable réseau d'espions du XXe siècle ! Alors que la crise de 1929 a plongé les classes populaires anglaises dans une misère noire et que le fascisme émerge partout en Europe, dans les amphithéâtres de Cambridge, la majorité des étudiants reste indifférente, assurée d'appartenir à une caste immuable d'élus. Mais les certitudes se lézardent pour certains, et au doute succèdent le dégoût puis la conviction que le Vieux Continent se compromet. Seule l'Union soviétique semble avoir quitté la rive à temps... De cette prise de conscience naît le plus incroyable réseau d'espions du XXe siècle, qui, dans l'ombre, infléchira radicalement, pendant plus de 30 ans, le cours de l'Histoire : Les Cinq de Cambridge ! Critique : Les éditions Casterman proposent une intégrale de la trilogie des cinq de Cambridge, une série historique sur des espions. On retrouve durant la lecture de cette intégrale quelques informations qui font suite à un diptyque des mêmes auteurs, Les Cosaques d'Hitler. Les auteurs poursuivent donc leur récit historique avant et durant l'entre-deux guerres qui se poursuivra jusqu'à la guerre froide avec les trois tomes. Valérie Lemaire se charge du scénario pour retranscrire la réalité à travers cette fresque historique parfois complexe avec le rôle des agents doubles ou du contre-espionnage. Cinq anciens étudiants et amis de l'université de Cambridge sont recrutés pour l'union soviétique pour rapporter des infirmations, tout en changeant leurs idéaux pour passer inaperçu. En parallèle, Valérie Lemaire met en avant la vie privée des cinq étudiants pour alléger le scénario et assurer une romance au milieu de cette intrigue politique. Deux personnages ressortent parmi les deux dont Guy Burgess par son caractère très provocateur et Kim Philby un idéaliste. Les dessins d'Olivier Neuray sont dans un style classiques avec des cases très déraillées pour les décors. Il est intéressant de pouvoir lire les albums à la suite grâce à cette intégrale pour se concentrer sur les divers stratégies mises en places par les cinq. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-cinq-de-cambridge-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. L'étrange transposition du mélange entre Le magicien d'oz et Alice au pays des merveilles à la fin de la guerre de sécession prend un tournant étonnant dans ce deuxième tome. Étonnant mais vraiment plaisant. Apres avoir traité l'aspect historique de la fin de la guerre de sécession et les massacres et pillages "autorisés" par ceux qui écrivent l'histoire, Damien Marie nous fait, dans ce tome 2, franchir la porte pour entrer dans le pays d'Alice au pays des merveilles. Et comme dans Alice au pays des merveilles la surprise n'est pas forcement celle voulu. Entre ambiance de course poursuite et vaudou, Damien Marie nous offre un scenario fantastique intéressant et surprenant, qui décevra juste un peu les amateurs du coté historique du premier tome. Mais le gros intérêt de ce voyage dans le Bayou, c'est que cela permet à Fabrice Meddour de nous montrer l'étendue de son talent. Les aquarelles sont superbe et le changement de ton lui permet de nous montrer une autre facette de son dessin. Un vrai travail d'artiste au milieu d'une flopée de dessins fait à la tablette graphique, il faut le souligner et l'encourager ! Vous l'aurez compris ce "Apres l'enfer" est un très bon diptyque qui à toute sa place dans la collection Grand Angle. PS: on vous réserve une surprise sur celui ci 🙂
  14. Titre de l'album : Apres l'enfer t2 : le bayou d'oz Scenariste de l'album : Damien Marie Dessinateur de l'album : Fabrice Meddour Coloriste : Fabrice Meddour Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Pour Alice et Dorothy, l'âpre réalité du Sud vaincu est un conte noir à mille lieux d'Oz et du pays des Merveilles... ». La Guerre de Sécession terminée, trois confédérés démobilisés reviennent sur leurs terres exsangues. De leur rencontre avec Alice et Dorothy va naître l'espoir de se reconstruire autour d'un même but : retrouver le trésor du Sud spolié par ces mystérieux 12 soudards à la traîne des troupes de Sherman et menés par La Reine et le Chapelier. Le petit groupe s'enfonce dans le Bayou d'Oz où la frontière entre la vie et la mort se délit. Critique : L'étrange transposition du mélange entre Le magicien d'oz et Alice au pays des merveilles à la fin de la guerre de sécession prend un tournant étonnant dans ce deuxième tome. Étonnant mais vraiment plaisant. Apres avoir traité l'aspect historique de la fin de la guerre de sécession et les massacres et pillages "autorisés" par ceux qui écrivent l'histoire, Damien Marie nous fait, dans ce tome 2, franchir la porte pour entrer dans le pays d'Alice au pays des merveilles. Et comme dans Alice au pays des merveilles la surprise n'est pas forcement celle voulu. Entre ambiance de course poursuite et vaudou, Damien Marie nous offre un scenario fantastique intéressant et surprenant, qui décevra juste un peu les amateurs du coté historique du premier tome. Mais le gros intérêt de ce voyage dans le Bayou, c'est que cela permet à Fabrice Meddour de nous montrer l'étendue de son talent. Les aquarelles sont superbe et le changement de ton lui permet de nous montrer une autre facette de son dessin. Un vrai travail d'artiste au milieu d'une flopée de dessins fait à la tablette graphique, il faut le souligner et l'encourager ! Vous l'aurez compris ce "Apres l'enfer" est un très bon diptyque qui à toute sa place dans la collection Grand Angle. PS: on vous réserve une surprise sur celui ci 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apres-l-enfer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Terra Prohibita

    Que c'est dommage quand même. Je comprends la problématique éditoriale de prévoir de série ambitieuse mais cela reste dommage d'imaginer un univers aussi vaste et aussi intéressant pour n'y consacrer.... que 2 tomes C'est ce qui est le plus dommage pour moi. Car ce choix est impactant sur ce diptyque. En effet la présentation de l'univers complet, de l'historique et des différents intervenants prennent du temps et sont nécessaires. Pour que le lecteur comprenne bien, nos auteurs ont été obligés de condenser la première partie pour que l'on ait bien les bonnes informations. Et cela rend la lecture assez peu digeste malheureusement. On saute d'une scène à l'autre, d'un personnage à l'autre avec des cases très serrées qui contiennent toutes des informations importantes. L'aventure ne commence vraiment qu'au milieu du tome 1. Et si elle est bien sympa, elle nous montre bien qu'elle repose sur un "bestiaire végétale" très varié qui.... nécessiterait du temps pour être bien détaille et expliqué. On sent bien que, sur ces deux tomes, nous n'aurons malheureusement que le temps de survoler ce monde qui semble super intéressant. Et c'est ce qui est dommage. On aurait préféré une série en 4 tomes qui nous permettent de vraiment explorer cet univers. Il ne reste plus qu'à espérer que cette série marche suffisamment bien pour avoir une suite dans le même univers. Même si cela ne changera rien à ce premier diptyque.
  16. poseidon2

    Terra Prohibita

    Titre de l'album : Terra Prohibita Scenariste de l'album : Denis-Pierre Filippi Dessinateur de l'album : Patrick Laumond Coloriste : Patrick Laumond Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une jungle luxuriante. Un monde interdit.Début du XXe siècle. Victime d'une mystérieuse contamination biologique ayant fait dégénérer sa végétation de manière débridée et incontrôlable, l'Angleterre a été abandonnée par ses habitants. L'île, contaminée par d'innombrables espèces mutantes extrêmement dangereuses, a été désertée et mise en quarantaine : déclarée « Terra Prohibita ». Mais de nombreux chercheurs voient malgré tout dans le développement de cette faune et de cette flore une nouvelle source de richesses insoupçonnée. Au coeur des ténèbres de ces territoires interdits, une troupe bigarrée de personnages que tout oppose va tenter de poursuivre un seul et même but : lever le voile sur les mystères qui entourent l'origine de la contamination que les autorités s'évertuent à vouloir garder secrète. Chacun pour des motivations bien différentes...Des cités flottantes au raffinement exubérant où la pègre règne en secret à l'incroyable jungle anglaise dont la beauté hostile doit autant à Annihilation qu'à Avatar, plongez au coeur d'un « steampunk végétal » aussi troublant que fascinant. Un récit en deux tomes. Critique : Que c'est dommage quand même. Je comprends la problématique éditoriale de prévoir de série ambitieuse mais cela reste dommage d'imaginer un univers aussi vaste et aussi intéressant pour n'y consacrer.... que 2 tomes C'est ce qui est le plus dommage pour moi. Car ce choix est impactant sur ce diptyque. En effet la présentation de l'univers complet, de l'historique et des différents intervenants prennent du temps et sont nécessaires. Pour que le lecteur comprenne bien, nos auteurs ont été obligés de condenser la première partie pour que l'on ait bien les bonnes informations. Et cela rend la lecture assez peu digeste malheureusement. On saute d'une scène à l'autre, d'un personnage à l'autre avec des cases très serrées qui contiennent toutes des informations importantes. L'aventure ne commence vraiment qu'au milieu du tome 1. Et si elle est bien sympa, elle nous montre bien qu'elle repose sur un "bestiaire végétale" très varié qui.... nécessiterait du temps pour être bien détaille et expliqué. On sent bien que, sur ces deux tomes, nous n'aurons malheureusement que le temps de survoler ce monde qui semble super intéressant. Et c'est ce qui est dommage. On aurait préféré une série en 4 tomes qui nous permettent de vraiment explorer cet univers. Il ne reste plus qu'à espérer que cette série marche suffisamment bien pour avoir une suite dans le même univers. Même si cela ne changera rien à ce premier diptyque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terra-prohibita-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Julie Petit-Clou a maintenant 35 ans et va vivre sa 3eme exposition universelle. A cause de son talent de voyante, elle se retrouve au cœur d’une aventure sanguinolente. Toujours sur fond historique où les auteurs nous proposent les nouvelles inventions et les conditions de vie de l’époque, l’intrigue est plutôt bien tenue et fait progresser notre héroïne. Concernant le côté historique, le livre est bien documenté mais n’est pas destiné à faire débat ni à s’appesantir sur les conditions du petit peuple, souvent déplorables. Par contre, les auteurs mettent en avant une « fausse » science qu’est la phrénologie, science qui a servi en son temps à cataloguer les peuples selon la forme de leur crane ! Même si on retrouve Julie et sa famille, il s’agit bien d’une histoire complète, vivante et dynamique, qui peut être lue indépendamment des autres tomes.
  18. Titre de l'album : La fille de l'exposition universelle - Paris 1878 Scenariste de l'album : MANINI Jack Dessinateur de l'album : WILLEM Etienne Coloriste : Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le criminel du siècle s'évade et hante l'Exposition universelle de 1878... La première bougie électrique s'allume et son ombre apparaît ! Avec lui, la visite de la tête de la statue de la Liberté prend des allures de train fantôme !Face au tout nouveau palais du Trocadéro, dans sa roulotte de voyance, Julie Petit-Clou a peur. Elle a vu la silhouette du criminel en songe et sait que chaque nouveau client pourrait être « le tueur étalon » comme l'appellent les phrénologues, ces scientifiques qui étudient les bosses du crâne. Critique : Julie Petit-Clou a maintenant 35 ans et va vivre sa 3eme exposition universelle. A cause de son talent de voyante, elle se retrouve au cœur d’une aventure sanguinolente. Toujours sur fond historique où les auteurs nous proposent les nouvelles inventions et les conditions de vie de l’époque, l’intrigue est plutôt bien tenue et fait progresser notre héroïne. Concernant le côté historique, le livre est bien documenté mais n’est pas destiné à faire débat ni à s’appesantir sur les conditions du petit peuple, souvent déplorables. Par contre, les auteurs mettent en avant une « fausse » science qu’est la phrénologie, science qui a servi en son temps à cataloguer les peuples selon la forme de leur crane ! Même si on retrouve Julie et sa famille, il s’agit bien d’une histoire complète, vivante et dynamique, qui peut être lue indépendamment des autres tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fille-de-l-exposition-universelle-tome-3-paris?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Avec la série Indochine, Jean-Pierre Pécau s'inspire librement de la vie d'Armand Baverel, un pilote de chasse durant la guerre d'Indochine. On ne compte plus les nombreuses séries réalistes ou dans le cadre d'uchronie sur la guerre scénarisées par Jean-Pierre Pécau. On suit donc cet aviateur aux différentes casquettes puisqu'il joue dans un groupe de musique, il participe à la contrebande, il vient en aide à des amis de la légion. Toutes ces actions sont réalisées sans se soucier de sa hiérarchie qui lui donne raison en cas de réussite de mission non autorisée. Pour mettre en image cette série, on retrouve Maza un spécialiste également des bandes dessinées d'aviation de guerre avec la série Wunderwaffen, ou Luftballons et USA ÜBER ALLES qui sont dans la même collection. Les scènes de combat aériens sont réussies et s'alternent avec les scènes au bar dans Indochine. Les amateurs de série de guerre devraient trouver leur compte avec Indochine.
  20. Titre de l'album : Indochine Tome 2 : Que le diable t'emporte Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Maza Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au "pays au-delà de l'eau" comme était surnommé l'Indochine à l'époque, Armand partagea sa vie entre les missions de guerre, la musique et les trafics en tout genre avec ses amis corses et les ex-SS engagés dans la Légion. Sa vie fut le théâtre d'évènements parfois invérifiables comme sa participation à l'orchestre du dernier roi du Cambodge, mais bien souvent véritablement héroïques. Critique : Avec la série Indochine, Jean-Pierre Pécau s'inspire librement de la vie d'Armand Baverel, un pilote de chasse durant la guerre d'Indochine. On ne compte plus les nombreuses séries réalistes ou dans le cadre d'uchronie sur la guerre scénarisées par Jean-Pierre Pécau. On suit donc cet aviateur aux différentes casquettes puisqu'il joue dans un groupe de musique, il participe à la contrebande, il vient en aide à des amis de la légion. Toutes ces actions sont réalisées sans se soucier de sa hiérarchie qui lui donne raison en cas de réussite de mission non autorisée. Pour mettre en image cette série, on retrouve Maza un spécialiste également des bandes dessinées d'aviation de guerre avec la série Wunderwaffen, ou Luftballons et USA ÜBER ALLES qui sont dans la même collection. Les scènes de combat aériens sont réussies et s'alternent avec les scènes au bar dans Indochine. Les amateurs de série de guerre devraient trouver leur compte avec Indochine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/indochine-tome-2-que-le-diable-t-emporte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Les lames d'Ashura

    Baptiste Pagani réalise intégralement Les lames d'Ashura un one shot fantastique. Les lecteurs de la série DoggyBags ont déjà pu découvrir son style deux histoires courtes. Mais aussi avec sa participation à Midnight tales 3 ou sa première bande dessinée The Golden Path aux éditions Ankama. Son dessin ne laisse pas indifférent avec un trait en ondulation, qui donne du dynamisme aux dessins. Cette technique déforme les personnages ou leur donne une morphologie étrange. De plus, un cahier graphique termine l’album avec des esquisses et illustrations. L'histoire se déroule en Inde avec le développement d'un réseau ferroviaire qui permet les échanges et le commerce entre les populations. Un clan de guerrières appelé les Lames d’Ashura prépare des attaques sur les trains pour en voler les richesses. Dans ce clan des dangereuses guerrières vit un homme qui consacre son temps à la danse. Ashura la chef du clan organise son dernier coup avant de laisser sa place. Deux femmes veulent lui succéder pour prendre le pouvoir avec des visions différentes. Les tensions montent et l’intrigue prend place avec ce conflit d’intérêt. Les Lames d’Ashura est une histoire d'aventure et d'action, divisée en trois grandes parties.
  22. alx23

    Les lames d'Ashura

    Titre de l'album : Les lames d'Ashura Scenariste de l'album : Baptiste Pagani Dessinateur de l'album : Baptiste Pagani Coloriste : Baptiste Pagani Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Les « Lames D'Ashura » est une bande de pirates motorisés s'attaquant aux trains qui sillonnent les vastes steppes de Kalandra. Shota, Ikari et Osman -seul homme de ce groupe de braqueuses- obéissent aux ordres d'Ashura, la charismatique leader et véritable mère de substitution pour ces âmes perdues. Mais lorsque celle-ci meurt lors d'un de ces abordages, ils se retrouvent à nouveau orphelins. Ainsi le poids de l'héritage, de la transmission, de l'avenir de cette bande de pirates des terres se retrouve maintenant sur leurs épaules, pour le meilleur ou pour le pire. Critique : Baptiste Pagani réalise intégralement Les lames d'Ashura un one shot fantastique. Les lecteurs de la série DoggyBags ont déjà pu découvrir son style deux histoires courtes. Mais aussi avec sa participation à Midnight tales 3 ou sa première bande dessinée The Golden Path aux éditions Ankama. Son dessin ne laisse pas indifférent avec un trait en ondulation, qui donne du dynamisme aux dessins. Cette technique déforme les personnages ou leur donne une morphologie étrange. De plus, un cahier graphique termine l’album avec des esquisses et illustrations. L'histoire se déroule en Inde avec le développement d'un réseau ferroviaire qui permet les échanges et le commerce entre les populations. Un clan de guerrières appelé les Lames d’Ashura prépare des attaques sur les trains pour en voler les richesses. Dans ce clan des dangereuses guerrières vit un homme qui consacre son temps à la danse. Ashura la chef du clan organise son dernier coup avant de laisser sa place. Deux femmes veulent lui succéder pour prendre le pouvoir avec des visions différentes. Les tensions montent et l’intrigue prend place avec ce conflit d’intérêt. Les Lames d’Ashura est une histoire d'aventure et d'action, divisée en trois grandes parties. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-lames-d-ashura?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    La guerre des Lulus t7

    Alors on va être très transparent : je n'avais jamais entendu parler de cette série ! Alors quand ce tome 7 m'est tombé entre les mains j'ai vraiment hésité à ne serait-ce que l'ouvrir. Mais le résumé m'a intrigué.... et je dois bien avouer que, rien que ce tome 7 tout seul, c'était une super lecture. Mais vraiment. Ça m’a vraiment donné envie de lire les autres et surtout de les faire lire à mes enfants (enfin les grands). Le traitement de la guerre via les yeux des enfants est super bien pensé. Enfin sur ce tome ci la sortie de la guerre. Le pragmatisme des enfants en comparaison des questions plus existentielles des adultes est assez saisissant. Mais parait tellement vrai. Pour les lecteurs de la série ce tome 7 marque un retour à la vie après la guerre et la difficile reconstruction. Il marque pour nos lulus la difficile vie de sans abris dans un monde qui n'a pas le temps de s'occuper d'orphelin. Les dessins sont très soignés et réussissent à garder le coté sérieux de la guerre tout en ayant aussi un coté enfantin qui permettra à un jeune publique de s’identifier à nos héros. Une superbe découverte pour moi que je vous encourage à lire. Et dans tous les cas un super tome 7 pour ceux qui ont déjà eu la bonne idée de suivre les aventures des Lulus.
  24. Titre de l'album : La guerre des Lulus t7 Scenariste de l'album : Hautiere Dessinateur de l'album : Hardoc Coloriste : Hardoc Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Lucas, Lucien, Luigi et Ludwig sont quatre des pensionnaires de l’orphelinat de l’abbaye de Valencourt en Picardie. Tout le monde les surnomme les Lulus. En cet été 1914, lorsque l’instituteur est appelé comme tant d’autres sous les drapeaux, personne n’imagine que c’est pour très longtemps. Et les Lulus ne se figurent évidemment pas une seconde que la guerre va déferler sur le monde finalement rassurant qu’ils connaissent. Bientôt, le fracas de l’artillerie résonne dans le ciel d’été. Il faut partir, vite. Mais lorsque la troupe évacue l’abbaye manu militari,les Lulus, qui ont une fois de plus fait le mur, manquent à l’appel. Sans l’avoir voulu, ils se retrouvent soudain à l’arrière des lignes allemandes. Critique : Alors on va être très transparent : je n'avais jamais entendu parler de cette série ! Alors quand ce tome 7 m'est tombé entre les mains j'ai vraiment hésité à ne serait-ce que l'ouvrir. Mais le résumé m'a intrigué.... et je dois bien avouer que, rien que ce tome 7 tout seul, c'était une super lecture. Mais vraiment. Ça m’a vraiment donné envie de lire les autres et surtout de les faire lire à mes enfants (enfin les grands). Le traitement de la guerre via les yeux des enfants est super bien pensé. Enfin sur ce tome ci la sortie de la guerre. Le pragmatisme des enfants en comparaison des questions plus existentielles des adultes est assez saisissant. Mais parait tellement vrai. Pour les lecteurs de la série ce tome 7 marque un retour à la vie après la guerre et la difficile reconstruction. Il marque pour nos lulus la difficile vie de sans abris dans un monde qui n'a pas le temps de s'occuper d'orphelin. Les dessins sont très soignés et réussissent à garder le coté sérieux de la guerre tout en ayant aussi un coté enfantin qui permettra à un jeune publique de s’identifier à nos héros. Une superbe découverte pour moi que je vous encourage à lire. Et dans tous les cas un super tome 7 pour ceux qui ont déjà eu la bonne idée de suivre les aventures des Lulus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-apres-guerre-des-lulus-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Ce qui reste de nous

    Ce genre d'ouvrage devrait vraiment être "ma came". Roman graphique, histoire d'amour et SF. Mais la... Je dois avouer que j'ai été perdu. Les réflexions de Rosemary Valero-O'connell dépassent un peu mon maximum de philosophie introspective. On sent de quoi veut parler notre auteur mais je n'ai pas réussi à m'identifier. Graphiquement très sympa avec un dessin tout en rondeur (découvert pour ma part dans Mes ruptures avec Laura Dean ) et un choix très judicieux d'utilisation de seulement deux couleurs, je me suis plus laissé porter par le graphisme que par ces trois histoires. J'ai un peu l'impression d'avoir laissé passer quelque chose mais j'ai eu beau m'attarder sur les planches, je ne suis pas rentré dedans. Ajoutez à cela une belle éditions de Dargaud mais aussi très fragile (les coins blanchisse dès qu'on les met dans le sac), et vous aurez malheureusement un album qui n'a pas répondu à mes attentes. Mais peut être en attendais-je trop ?
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