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  1. alx23

    Horseback-1861

    Le scénariste David Hasteda a fait ses preuves sur plusieurs histoires courtes de Doggybags mais aussi des histoires plus longues sur les Doggybags présente et l'excellent Doggybags, Mapple squares. Aujourd'hui, l'auteur revient avec westen pour changer de registre mais toujours avec une touche de fantastique. En effet, Hasteda imagine une uchronie pour s'attaquer à l'histoire américaine. Le récit se focalise sur un ancien chasseur de prime qui décide d'ouvrir une société de convoyage pour ses vieux jours. Il monte une équipe avec des proches dont sa fille. Il faut quelques temps pour se mettre dans l'histoire qui semble complexe au premier abords avec le côté historique. Progressivement on peut profiter de l'ambiance et de l'intrigue qui prend son temps pour installer une bonne atmosphère. La partie graphique est réalisée par Nikho, un nouveau dessinateur dans le monde de la bande dessinée. Son style convient bien au label 619, avec un trait anguleux et nerveux. Quelques cases pourront paraître brouillon mais l'ensemble est de qualité. Les amateurs de western trouveront leur compte avec ce titre qui revisite le genre à travers 150 pages. En bonus, un poster sera offert aux premiers acheteurs.
  2. alx23

    Horseback-1861

    Titre de l'album : Horseback-1861 Scenariste de l'album : David Hasteda Dessinateur de l'album : Nikho Coloriste : Nikho Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : 1861. Le spectre d’une guerre civile s’éloigne enfin dans cette Amérique qui vient de réélire le président Richard Clarks peu de temps après l’assassinat d’Abraham Lincoln, son plus farouche opposant... Redford J. Randall, chasseur de primes à la retraite, y dirige maintenant une société de convoyage basée à Hill Haven dans le Kansas : la Randall Delivery ! Après avoir accepté une mission pour le compte du gouvernement, Randall, son équipe et la mystérieuse cargaison deviennent la cible de tous les ruffians. De l’est vers l’ouest, en passant par les territoires indiens, le périple s’annonce mouvementé et le destin de la Randall Delivery semble plus que jamais lié à celui des États Unifiés d’Amérique. Critique : Le scénariste David Hasteda a fait ses preuves sur plusieurs histoires courtes de Doggybags mais aussi des histoires plus longues sur les Doggybags présente et l'excellent Doggybags, Mapple squares. Aujourd'hui, l'auteur revient avec westen pour changer de registre mais toujours avec une touche de fantastique. En effet, Hasteda imagine une uchronie pour s'attaquer à l'histoire américaine. Le récit se focalise sur un ancien chasseur de prime qui décide d'ouvrir une société de convoyage pour ses vieux jours. Il monte une équipe avec des proches dont sa fille. Il faut quelques temps pour se mettre dans l'histoire qui semble complexe au premier abords avec le côté historique. Progressivement on peut profiter de l'ambiance et de l'intrigue qui prend son temps pour installer une bonne atmosphère. La partie graphique est réalisée par Nikho, un nouveau dessinateur dans le monde de la bande dessinée. Son style convient bien au label 619, avec un trait anguleux et nerveux. Quelques cases pourront paraître brouillon mais l'ensemble est de qualité. Les amateurs de western trouveront leur compte avec ce titre qui revisite le genre à travers 150 pages. En bonus, un poster sera offert aux premiers acheteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/horseback-1861/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Ellis Island t1

    C'est bien ce genre de travail historique. C'est bien car cela permet de mettre des guillemets autour de certaines parties de l'histoire oubliées ou "effacées». Et c'est un peu le cas d'Ellis Island que tout le monde considère comme la porte d'entrée à l’univers magiques des états unis du début du XXieme siècle. Mais en lisant cet Ellis Island, on se rend compte que cette porte d'entrée n'était ouverte qu'a un certains nombres de gens, en particulier ceux qui étaient en bonne santé mais surtout... riches. Pour les autres, seule la débrouille permettait d'éviter de prendre le bateau dans l'autre sens. Porté par de superbes dessins et une sublime mise en couleur de la part de Miras, cet Ellis Island se trouve être aussi informatif sur le véritable Ellis Island que prenant par l'aspect mafia/débrouille mis en avant par Philippe Charlot. En effet en plus de l'aspect immigration, l'aspect "régulation de la population" de la part des différentes mafias rajoutent un coté thriller à cet album qui n'est pas déplaisant. Ellis Island est donc une BD classique et efficace sur un thème intéressant.
  4. poseidon2

    Ellis Island t1

    Titre de l'album : Ellis Island t1 Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Tu y débarques un Italien, un Allemand, un Irlandais, un Juif, un Russe et il en sort un Américain...! ». Ellis Island est la porte d'entrée pour le rêve américain. Tonio y débarque en 1907, plein d'illusions. C'est en portant assistance à Guiseppe, un compagnon de voyage, qu'il est refoulé à cause de son handicap. Tonio se retrouve à la merci de Vitto, un avocat mafieux lui faisant miroiter un dossier d'appel qui pourrait autoriser son entrée sur le continent. Pour paiement, il servirait de rabatteur auprès des arrivants, proies faciles et désemparées. Le jeune homme, tenu par les attentes pleines d'espoirs des gens de son village et l'amour qu'il porte à Nadia, se résigne à accepter l'offre, malgré les réticences de Guiseppe... Critique : C'est bien ce genre de travail historique. C'est bien car cela permet de mettre des guillemets autour de certaines parties de l'histoire oubliées ou "effacées». Et c'est un peu le cas d'Ellis Island que tout le monde considère comme la porte d'entrée à l’univers magiques des états unis du début du XXieme siècle. Mais en lisant cet Ellis Island, on se rend compte que cette porte d'entrée n'était ouverte qu'a un certains nombres de gens, en particulier ceux qui étaient en bonne santé mais surtout... riches. Pour les autres, seule la débrouille permettait d'éviter de prendre le bateau dans l'autre sens. Porté par de superbes dessins et une sublime mise en couleur de la part de Miras, cet Ellis Island se trouve être aussi informatif sur le véritable Ellis Island que prenant par l'aspect mafia/débrouille mis en avant par Philippe Charlot. En effet en plus de l'aspect immigration, l'aspect "régulation de la population" de la part des différentes mafias rajoutent un coté thriller à cet album qui n'est pas déplaisant. Ellis Island est donc une BD classique et efficace sur un thème intéressant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ellis-island-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Spirite t1

    Avant de commencer cette BD cochait déjà toutes les cases pour moi : Spiritisme/magie + Steampunk + graphisme dynamique. Tout ce qui me botte en ce moment. Fallait-il encore que la lecture soit concluante. Et bien elle l'est ! Mara réussi à conjuguer spiritisme, clin d'œil aux chasseurs de fantômes les plus connus du monde et aussi.... Aventure. De l'aventure avec un grand A. Car c'est ça qui m'a quasiment plus plu dans cette histoire, là où je m’attendais à aimer le coté spiritisme. En effet cette histoire est menée tambour battant comme pourrait l'être un dessin animé. Sans aucun temps mort on enchaîne les avancée de l'histoire et les disconvenus pour nos chasseurs de fantômes. Mais plus que de simples problèmes, chaque écueil nous révèle des informations qui agrandissent le mystère de ce qu'il s'est passé à Tunguska. Que serait un bon scénario sans un dessin adapté ? Pas grand-chose dans un média comme la BD. Et bien là le graphisme de Mara colle parfaitement à l'histoire. Mieux elle donne une dimension XXL à l'aspect Steampunk. Les engins de pistages de fantômes, les armures à esprit, les montgolfières partout... tout ce qu'on aime quand on aime le steampunk ! Bref un excellent premier tome pour une excellente histoire qui aurait été parfaite avec des personnages principaux un poil moins classiques.
  6. poseidon2

    Spirite t1

    Titre de l'album : Spirite t1 Scenariste de l'album : Mara Dessinateur de l'album : Mara Coloriste : Mara Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : La chasse aux fantômes est un sport dangereux, surtout quand on ne sait pas qui est le chasseur et qui est le chassé.Dans le New York des années 1930, Ian Davenport, timide jeune chercheur en spiritologie qui traque mais surtout étudie les fantômes, voit son mentor et ami Boris Voynich se faire assassiner sous ses yeux dans des circonstances étranges. Il se retrouve alors propulsé dans une sombre histoire de meurtres inexpliqués qui semblent ne cibler que ses confrères spiritologues. Seul, désespéré, rejeté par la police qui ne le prend pas au sérieux de par son métier peu crédible, il décide de chercher de l'aide auprès des journalistes d'une rubrique paranormal d'un grand journal New York. Là, il y rencontre Nell Lovelace, une jeune femme sceptique au caractère bien trempé, qui accepte à contrecoeur de l'aider. Ensemble, ils vont tenter de percer le secret de cette affaire de meurtres, qui semble liée à la terrible explosion d'origine mystérieuse de Tunguska en 1908, contrée perdue de la Sibérie profonde Critique : Avant de commencer cette BD cochait déjà toutes les cases pour moi : Spiritisme/magie + Steampunk + graphisme dynamique. Tout ce qui me botte en ce moment. Fallait-il encore que la lecture soit concluante. Et bien elle l'est ! Mara réussi à conjuguer spiritisme, clin d'œil aux chasseurs de fantômes les plus connus du monde et aussi.... Aventure. De l'aventure avec un grand A. Car c'est ça qui m'a quasiment plus plu dans cette histoire, là où je m’attendais à aimer le coté spiritisme. En effet cette histoire est menée tambour battant comme pourrait l'être un dessin animé. Sans aucun temps mort on enchaîne les avancée de l'histoire et les disconvenus pour nos chasseurs de fantômes. Mais plus que de simples problèmes, chaque écueil nous révèle des informations qui agrandissent le mystère de ce qu'il s'est passé à Tunguska. Que serait un bon scénario sans un dessin adapté ? Pas grand-chose dans un média comme la BD. Et bien là le graphisme de Mara colle parfaitement à l'histoire. Mieux elle donne une dimension XXL à l'aspect Steampunk. Les engins de pistages de fantômes, les armures à esprit, les montgolfières partout... tout ce qu'on aime quand on aime le steampunk ! Bref un excellent premier tome pour une excellente histoire qui aurait été parfaite avec des personnages principaux un poil moins classiques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirite-tome-01-tunguska?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Spirou chez les soviets

    Alors soyons bien clairs d'entrée : certains n'aimeront pas. Ceux qui cherchent des Spirou aventureux comme on a pu en avoir dans la série peuvent passer leurs chemin directement. Ceux qui n'ont pas lu beaucoup de BD franco-belge des années 70-80 aussi car ils rateront une bonne partie des références. Car ce Spirou chez les soviets est un hommage humoristique à Tintin et à la BD franco-belge des années 70 -80, justement. Déjà point de décalage temporel. On revient dans cet album à un Spirou vivant en pleine guerre froide. On retrouve surtout des Spirou et Fantasio complètement inclut dans le monde Dupuis avec des visites à la rédac, des croisements de Gaston et consort dans les couloirs etc.... Ensuite on enchaîne les blagues et les clichés sur les Russes mais aussi les critiques du capitalisme avec un Truman au sommet de sa forme. On rigole bien dans ce Spirou. On rigole à l'ancienne en se moquant des extrémistes de tout bord. Le seul point un peu moins bien réussi, de mon point de vu, est la fin que je trouve un peu trop rapide.... il aurait peut-être été plus dans le thème d'avoir un fin plus osée 🙂 Reste que cet album est un excellent Spirou qui ravira les lecteurs de BD franco-belge de la fin du XX ieme siècle.
  8. Titre de l'album : Spirou chez les soviets Scenariste de l'album : Fred Neidhardt Dessinateur de l'album : Fabrice Tarrin Coloriste : Fabrice Tarrin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ? Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de "Spirou", distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007. De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporelle ! Critique : Alors soyons bien clairs d'entrée : certains n'aimeront pas. Ceux qui cherchent des Spirou aventureux comme on a pu en avoir dans la série peuvent passer leurs chemin directement. Ceux qui n'ont pas lu beaucoup de BD franco-belge des années 70-80 aussi car ils rateront une bonne partie des références. Car ce Spirou chez les soviets est un hommage humoristique à Tintin et à la BD franco-belge des années 70 -80, justement. Déjà point de décalage temporel. On revient dans cet album à un Spirou vivant en pleine guerre froide. On retrouve surtout des Spirou et Fantasio complètement inclut dans le monde Dupuis avec des visites à la rédac, des croisements de Gaston et consort dans les couloirs etc.... Ensuite on enchaîne les blagues et les clichés sur les Russes mais aussi les critiques du capitalisme avec un Truman au sommet de sa forme. On rigole bien dans ce Spirou. On rigole à l'ancienne en se moquant des extrémistes de tout bord. Le seul point un peu moins bien réussi, de mon point de vu, est la fin que je trouve un peu trop rapide.... il aurait peut-être été plus dans le thème d'avoir un fin plus osée 🙂 Reste que cet album est un excellent Spirou qui ravira les lecteurs de BD franco-belge de la fin du XX ieme siècle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-spirou-de-tarrin-et-neidhardt-spirou-chez-les-soviets?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Hop la première critique d'un album demandé par un membre : Il a été dur à trouver celui-là, n'étant plus commercialisé par l'éditeur..... Mais bon c'est trouvé ! Et lu. Et bien je dois dire merci à Kevin car ce fut une vraie bonne lecture. Lecture que j'avais ratée lors de sa sortie en 2015. Cet album nous raconte l'histoire de 3 jeunes filles et de leurs relations à leur mère. Relations conflictuelles qui poussent nos trois filles sur trois chemins différents mais des chemins qui se percutent pour n'en former qu'un seul : un chemin initiatique. L'intelligence de Marion Laurent est de nous livrer 3 histoires vraiment différentes, pour trois personnages radicalement opposés, qui pointent toutes dans la même direction. Le chassé-croisé incessant des 3 personnages dans les histoires des uns et des autres est très sympa car induit un aspect "destinées" à l'histoire. Sans trop appesantir sur le pourquoi des parents, Marion Laurent se concentre sur le sentiment de mal-être des jeunes filles et leurs obligations de faire des choix pour grandir. On regrettera juste un peu le manque de détail graphique qui fait que l'on a tendance à confondre certains personnages là où les interconnexion entre eux forment les petits détails qui font de cette BD quelque chose de différent.
  10. Titre de l'album : Rattrapage : Comment naissent les araignées Scenariste de l'album : Marion Laurent Dessinateur de l'album : Marion Laurent Coloriste : Marion Laurent Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Alice, jeune blonde fraîche et séduisante se cherche dans une ville banale de l’Amérique des années 90. Elle cherche l’amour, elle cherche un sens à sa vie. Isadora, la clocharde, alcoolique… qui se cache derrière cette façade, y avait-il une femme avant l’épave ? Billie, est l’amie d’Alice. Elle ne va plus au cours de danse. Billie est noire. Billie est amoureuse d’un blanc. Barack Obama n’est pas encore président. Dwight aurait bien pu s’appeler Kurt. Artiste dans l’âme, il dessine. Il aime dessiner Alice… Critique : Hop la première critique d'un album demandé par un membre : Il a été dur à trouver celui-là, n'étant plus commercialisé par l'éditeur..... Mais bon c'est trouvé ! Et lu. Et bien je dois dire merci à Kevin car ce fut une vraie bonne lecture. Lecture que j'avais ratée lors de sa sortie en 2015. Cet album nous raconte l'histoire de 3 jeunes filles et de leurs relations à leur mère. Relations conflictuelles qui poussent nos trois filles sur trois chemins différents mais des chemins qui se percutent pour n'en former qu'un seul : un chemin initiatique. L'intelligence de Marion Laurent est de nous livrer 3 histoires vraiment différentes, pour trois personnages radicalement opposés, qui pointent toutes dans la même direction. Le chassé-croisé incessant des 3 personnages dans les histoires des uns et des autres est très sympa car induit un aspect "destinées" à l'histoire. Sans trop appesantir sur le pourquoi des parents, Marion Laurent se concentre sur le sentiment de mal-être des jeunes filles et leurs obligations de faire des choix pour grandir. On regrettera juste un peu le manque de détail graphique qui fait que l'on a tendance à confondre certains personnages là où les interconnexion entre eux forment les petits détails qui font de cette BD quelque chose de différent. Autres infos : Rattrapage Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comment-naissent-les-araignees?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Detox T2/2

    Excellente surprise que ce tome 2 de Detox ! Sincerement. En effet j'avais peur d'une suite trop convenue. Jim avait la possibilité de nous faire une suite en mode : notre héros devient zen, change sa vie et part élever des chèvres dans le Larsac. Et pour notre plus grand bonheur, non. Jim s'ancre (comme souvent je dois le reconnaitre) dans la realité pour nous livrer une suite et fin d'histoire très sympa. Très sympa car le caractère de Matthias reste le même malgré le stage. Mais tout en restant le même il se trouve forcé de faire un point, un bilan sur ce qu'il veut et comment il le veut. Et ce qui est bien c'est que ce bilan ne montre pas forcement un retour à la terre. Il nous montre juste, pour la pluspart des participants, qu'ils peuvent continuer leur vie....avec un autre regard sur celle ci. une vraie belle morale qui ne stimgatise par les gens qui aiment leurs travails ou ceux qui aiment vivre à 100 à l'heure. Une réussite monsieur Jim !
  12. poseidon2

    Detox T2/2

    Titre de l'album : Detox T2/2 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Antonin Gallo Coloriste : Antonin Gallo Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Il y a-t-il une vie sans la 4G ? Matthias d'Ogremont est un Parisien ultra-connecté, ultra stressé... Sur un coup de tête, il décide de tracer la route et de partir en stage DÉTOX. Ce bourreau de travail se retrouve alors en terrain hostile... en pleine nature... Perte de repères, résistance, colère, abandon... Si on s'arrête, est-ce que le monde s'arrête ? DÉTOX est le récit passionnant d'un homme au bord du burn-out, qui va tenter un décrassage forcé. C'est la nécessité de ralentir la course, de s'accorder une pause, une respiration... Mais si d'un claquement de doigts on se prive de toutes nos urgences artificielles, que reste-t-il à vivre ? Quelles peurs se réveillent ? Et quel sera le chemin vers l'acceptation ? Pendant dix jours : pas d'ordinateur. Pas de téléphone. La nature jusqu'à perte de vue. Courage. Critique : Excellente surprise que ce tome 2 de Detox ! Sincerement. En effet j'avais peur d'une suite trop convenue. Jim avait la possibilité de nous faire une suite en mode : notre héros devient zen, change sa vie et part élever des chèvres dans le Larsac. Et pour notre plus grand bonheur, non. Jim s'ancre (comme souvent je dois le reconnaitre) dans la realité pour nous livrer une suite et fin d'histoire très sympa. Très sympa car le caractère de Matthias reste le même malgré le stage. Mais tout en restant le même il se trouve forcé de faire un point, un bilan sur ce qu'il veut et comment il le veut. Et ce qui est bien c'est que ce bilan ne montre pas forcement un retour à la terre. Il nous montre juste, pour la pluspart des participants, qu'ils peuvent continuer leur vie....avec un autre regard sur celle ci. une vraie belle morale qui ne stimgatise par les gens qui aiment leurs travails ou ceux qui aiment vivre à 100 à l'heure. Une réussite monsieur Jim ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/detox-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Doggybags tome 16

    La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination.
  14. alx23

    Doggybags tome 16

    Titre de l'album : Doggybags tome 16 Scenariste de l'album : El Puerto, Mud & Run Dessinateur de l'album : Tomeus, Tristan Evin & Ké Clero Coloriste : Tomeus, Tristan Evin & Ké Clero Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Rotten Heart : El Puerto (scénario) / Tomeus (dessin) Seinfeld, Cavalera et McManus, mercenaires chez Black Tower, une société militaire privée, savent mieux que quiconque que chaque conflit recèle autant d'emmerdements que d'opportunités. Alors quand se présente l'occasion de braquer le trésor d'un seigneur de guerre, les trois hommes ne se posent pas de questions. Mais comme ils le savent aussi, en Afrique comme ailleurs, les apparences sont souvent trompeuses. Tool : Tristan Evin (dessin) / Mud (scénario) / RUN (dialogues) /Florent Maudoux (dialogues) Une semaine après le 11 septembre 2001, les jumeaux Joel et Michael Stovall, vingt-quatre ans, se lancent dans une course poursuite avec les autorités à travers le Colorado, qui va durer près de vingt-quatre heures. Leurs meilleures complices dans cette fuite en avant meurtrière : les armes à feu qu'ils chérissent depuis leurs années lycée. Inspiré d'une histoire vraie. Real Sociopath! : RUN (scénario) / Ké Clero (dessin) La vie de Mark Winger bascule le jour où il surprend un intrus dans sa maison en train de tuer sa femme à coups de marteau. Cette histoire, inspirée d'un fait réel, démontre avec horreur la sauvagerie froide dont peut faire preuve un authentique sociopathe, véritable prédateur dans nos sociétés. Critique : La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doggybags-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Doggybags tome 16

    La saison 2 de Doggybags se poursuit avec un nouvel épisode dont le thème sera les américains et les armes à feu. La première histoire sera la seule de cet album avec un côté fantastique horreur qui est un peu délaissé depuis le dernier tome. En effet, les auteurs trouvent leur inspiration dans les faits réels pour les retranscrire en bande dessinée comme les deux dernières histoires du numéro 15 et 16 de Doggybags. Sur Rotten Heart, El Puerto a déjà participé à l'écriture de plusieurs récits de Doggybags et maitrise les thèmes de la série. Tomeus réalise sa première bande dessinée avec un style proche des comics indépendants. Sur Tool, Mud est accompagné de deux scénaristes confirmés pour l'histoire et les dialogues. Les auteurs relatent un fait réel pour ensuite imaginer ce qui aurait pu se passer. Les armes sont personnalisées et dotées de réflexions dans ce récit afin de leur donner encore plus d'importance. La partie graphique de Tristan Evin est intéressante avec des couleurs très sombres mais rouge électrique pour les armes à feu. La dernière histoire Real Sociopath! se base sur un fait réel aux Etats-Unis adapté par Run, la tournure est bien pensé. Les planches de Ké Clero sont excellentes pour dépeindre ce thriller. Une fois de plus, Doggybags permet à de nouveaux auteurs de signer des histoires courtes intéressantes avec des styles graphiques originaux très prononcés. Il serait dommage de se priver de cette lecture surtout avec le petit prix par rapport à la pagination.
  16. Les frères Maffre poursuivent leur série sur le croque-mort Elijah Stern qui va se dérouler dans un nouveau décor, à la Nouvelle-Orléans. Il est amusant de noter le comportement très attentionné du héros par rapport à son métier au contraire d'un autre croque-mort héros dans la série Undertaker. Le héros possède également une grande connaissance littéraire comme on peut encore le découvrir dans cet épisode, d'ailleurs le personnage féminin est surpris et lui fera une réflexion. L'histoire va mener notre héros en dehors du cimetière où il se retrouve enquêteur dans le milieu vaudou ou les charlatans sont nombreux. Je me suis intéressé à cette série grâce aux dessins de Julien Maffre comme j'avais beaucoup apprécié son travail sur la cour des miracles. On constate que Julien Maffre gère à merveilles le genre western avec un personnage charismatique. Après quatre tomes sur Stern on peut conclure que la série à trouver son public. La série Stern redonne une nouvelle vision du western en s'éloignant des codes du genre.
  17. Titre de l'album : Stern tome 4 - Tout n'est qu'illusion Scenariste de l'album : Frédéric Maffre Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Changement de décor pour Elijah Stern : après le climat âpre de la petite ville de Morrison, le voici qui débarque en plein bayou, à La Nouvelle-Orléans, où il se fait embaucher comme croque-mort : on n'échappe pas à son destin ! Même dans le haut-lieu du vaudou, les morts ont besoin d'être enterrés. Au cours d'un enterrement, il fait la connaissance de Valentine Robitaille, héritière d'une riche famille locale, fascinée par les arts occultes. Le père de cette dernière, inquiet des relations qu'entretient sa fille avec Victor Salem, un étrange prestidigitateur, demande à Stern d'enquêter. Critique : Les frères Maffre poursuivent leur série sur le croque-mort Elijah Stern qui va se dérouler dans un nouveau décor, à la Nouvelle-Orléans. Il est amusant de noter le comportement très attentionné du héros par rapport à son métier au contraire d'un autre croque-mort héros dans la série Undertaker. Le héros possède également une grande connaissance littéraire comme on peut encore le découvrir dans cet épisode, d'ailleurs le personnage féminin est surpris et lui fera une réflexion. L'histoire va mener notre héros en dehors du cimetière où il se retrouve enquêteur dans le milieu vaudou ou les charlatans sont nombreux. Je me suis intéressé à cette série grâce aux dessins de Julien Maffre comme j'avais beaucoup apprécié son travail sur la cour des miracles. On constate que Julien Maffre gère à merveilles le genre western avec un personnage charismatique. Après quatre tomes sur Stern on peut conclure que la série à trouver son public. La série Stern redonne une nouvelle vision du western en s'éloignant des codes du genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stern-tome-4-tout-n-est-qu-illusion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Mes cop's t12

    Plus ça va, plus ma fille grandit (12 maintenant) et plus j’apprécie les petits moments de détentes que sont les lectures de les cop's Oui oui vous avez bien lu. Moi qui ai tendance à décrier ce genre d'humour de grande surface, j'avoue que là je suis bien obligé de reconnaître... qu'il y a un fond de vérité dans les relations présentées entre jeunes filles. Et c'est ça qui est rigolo. Se rendre compte que ma fille est décrite sur la moitié des pages. Apres ce qui est bien foutu sur ce tome 12 c'est qu’ils jouent sur l'actualité avec l'arrivée d'une réfugiée Syrienne dans leur groupe de Cop's. Sans trop abusé du bon sentiment et sans perdre le coté décalé des jeunes copines, nos auteurs introduisent un questionnement d'adulte entre les lignes. Bref un album que je ne suis surpris à lire attentivement et à rigoler assez souvent..... Ce n'était pas le cas avant... comme quoi tout le monde évolue
  19. poseidon2

    Mes cop's t12

    Titre de l'album : Mes cop's t12 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Philippe Fenech Coloriste : Camille BRICOD, Annelise SAUVÊTRE Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Copine marrante, râleuse ou fofolle... Quelle Cop's êtes-vous ?! Les parents de Mélanie ont rejoint une association qui leur permet d'accueillir une famille de migrants en attendant qu'un logement leur soit proposé. Voici comme Mawra, jeune adolescente syrienne, surdouée, nostalgique de son pays natal et curieuse de découvrir son pays d'accueil, intègre la bande des Cop's. Si Mawra a beaucoup à apprendre de ses jeunes copines, l'inverse sera encore plus vrai ! Prêt à assister au coup d'envoi de cette Cop' du monde ? Une BD qui dépote, où l'ennui n'a pas sa place, comme un hommage aussi fin qu'hilarant aux jeunes femmes d'aujourd'hui. Une série indispensable pour les filles et celles qui veulent les connaître. Critique : Plus ça va, plus ma fille grandit (12 maintenant) et plus j’apprécie les petits moments de détentes que sont les lectures de les cop's Oui oui vous avez bien lu. Moi qui ai tendance à décrier ce genre d'humour de grande surface, j'avoue que là je suis bien obligé de reconnaître... qu'il y a un fond de vérité dans les relations présentées entre jeunes filles. Et c'est ça qui est rigolo. Se rendre compte que ma fille est décrite sur la moitié des pages. Apres ce qui est bien foutu sur ce tome 12 c'est qu’ils jouent sur l'actualité avec l'arrivée d'une réfugiée Syrienne dans leur groupe de Cop's. Sans trop abusé du bon sentiment et sans perdre le coté décalé des jeunes copines, nos auteurs introduisent un questionnement d'adulte entre les lignes. Bref un album que je ne suis surpris à lire attentivement et à rigoler assez souvent..... Ce n'était pas le cas avant... comme quoi tout le monde évolue Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cop-s-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Mercy t1

    Avant-propos : j'ai volontairement rayé le résumé de l'éditeur car il parle de chose... que l'on devrait voir dans le tome 2 ! Donc dont on ne sait rien du tout sur ce tome d'introduction. Méfiez-vous ! Bon on ne va pas se mentir, j'ai acheté cet album en grande partie pour les dessins et la coloration de l'auteure qui a écrit Contro Natura. Comic italien qui m'avait extrêmement plu ! Et sur ce côté je n'ai pas été déçu les dessins sont sublimes et la mise en couleur vive va très bien avec le style. Mais cet album m'a surpris en nous proposant un scénario plein de promesses. Quelles promesses !!!!!! Fiouuuu. Les premiers tomes aussi ambitieux sont de plus en plus rares. Mais s'ils sont rares c'est en partie parce qu'il faut répondre aux attentes derrière. C'est ce qui nuancera ma note. Ce tome nous propose énormément de choses. Entre les bebete bizarre à la Chutulu rose, les indiens étranges, les beautés mystérieuses et les humains aux passifs troubles.... il y a de quoi raconter ! Mais il faudra que cela soit bien raconté. Et le bon pont de la série c'est que l'on aura la réponse... dès le 10 Octobre 🙂
  21. poseidon2

    Mercy t1

    Titre de l'album : Mercy t1 Scenariste de l'album : Mirka Andolfo Dessinateur de l'album : Mirka Andolfo Coloriste : Mirka Andolfo Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Jusqu'à quel point peut-on changer par amour ?Alaska, fin du XIXe siècle. Hellaine, une femme d'apparence noble et aux origines mystérieuses, débarque dans la petite ville de Woodsburg non loin de l'épicentre de la ruée vers l'or du Klondike, Dawson City. Elle cherche à acheter la concession d'une mine à l'abandon. Car ce que tout le monde ignore, c'est que sous les décombres se cache un lac souterrain donnant accès à une autre dimension peuplée d'êtres cauchemardesques. Hellaine est en réalité l'un de ces êtres. Et manifestement, elle a un plan. Un plan qui va être bouleversé par l'apparition de Rory, une jeune orpheline amérindienne pour qui Hellaine va se prendre d'affection après l'avoir délivré des griffes de son agresseur...Créée par Mirka Andolfo (Contro Natura), Mercy est l'histoire d'une sorte de Dracula au féminin qui trouvera la rédemption grâce à l'amour inconditionnel d'une fille adoptive qu'elle va rencontrer par accident. Une fable romantique résolument classique mais moderne, où le Grand Nord devient le théâtre d'un fantastique horrifique proche de Entretien avec un vampire. Critique : Avant-propos : j'ai volontairement rayé le résumé de l'éditeur car il parle de chose... que l'on devrait voir dans le tome 2 ! Donc dont on ne sait rien du tout sur ce tome d'introduction. Méfiez-vous ! Bon on ne va pas se mentir, j'ai acheté cet album en grande partie pour les dessins et la coloration de l'auteure qui a écrit Contro Natura. Comic italien qui m'avait extrêmement plu ! Et sur ce côté je n'ai pas été déçu les dessins sont sublimes et la mise en couleur vive va très bien avec le style. Mais cet album m'a surpris en nous proposant un scénario plein de promesses. Quelles promesses !!!!!! Fiouuuu. Les premiers tomes aussi ambitieux sont de plus en plus rares. Mais s'ils sont rares c'est en partie parce qu'il faut répondre aux attentes derrière. C'est ce qui nuancera ma note. Ce tome nous propose énormément de choses. Entre les bebete bizarre à la Chutulu rose, les indiens étranges, les beautés mystérieuses et les humains aux passifs troubles.... il y a de quoi raconter ! Mais il faudra que cela soit bien raconté. Et le bon pont de la série c'est que l'on aura la réponse... dès le 10 Octobre 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mercy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Americana

    J'ai ouvert cet album car je n'avais jamais entendu parler de ce PCT. Pour un coureur à tendance trailer ça la foutait mal. J'ai donc voulu en savoir plus. Et la première douche froide : cela concerne un gars pas entraîné pour deux sous. Le genre de gars qui, quand tu cours, se plaint tout le temps parce qu'il a choisi un truc sans réfléchir et qu'il a pris un truc trop dur pour lui. Sincèrement les premières pages j'ai eu pitié... En plus cette adoration d'un pays comme les états unis m'a toujours étonné. Entre racisme ambiant, élection de Trump et foutage de gueule écologique, plus ça va plus le pays me repousse. Alors j'ai eu du mal au début et puis... et puis au final l'obstination de notre "héros" eu raison de la mienne. Son abnégation à continuer mixé avec la sympathie des différents marcheurs qu'ils rencontrent ainsi que la variété des espaces traversés m'ont fait plonger ! Et j'ai ensuite gober ce parcours initiatique. J'ai retrouvé ce qui m'avait plus précédemment dans ce pays : il y a de sublimes paysage et une nature magnifique derrière ses habitants. On se retrouve de plus en plus dans la quête de sens de notre héros et on se met à rêver ce voyage impossible. Et une fois qu'on prit dedans impossible de s’arrêter malgré la routine du quotidien de marcheur. Et tout moqueur que j'ai pu être au début, j'ai fini ce gros volume avec un énorme respect pour Monsieur Luke Healy.
  23. poseidon2

    Americana

    Titre de l'album : Americana Scenariste de l'album : Luke Healy Dessinateur de l'album : Luke Healy Coloriste : Luke Healy Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un Irlandais bercé pendant toute sa jeunesse du rêve américain, se voit pour la énième fois expulsé des USA pour non renouvellement de sa carte de séjour. Il va s'imposer, en guise d'exorcisme, le Pacific Crest Trail, un trail de 4 240 km qui coure de la frontière mexicaine à la frontière canadienne, du désert à la glace en traversant 25 parc nationaux. La manière la plus radicale de se confronter à soi et à l'Amérique loin de tous les fantasmes et les rêves d'enfance. Une sorte d'Into the Wild "secure" , mais qui n'en égratigne pas moins tous les paradoxes et les zones d'ombre de la société américaine contemporaine avant l'élection de Trump. Critique : J'ai ouvert cet album car je n'avais jamais entendu parler de ce PCT. Pour un coureur à tendance trailer ça la foutait mal. J'ai donc voulu en savoir plus. Et la première douche froide : cela concerne un gars pas entraîné pour deux sous. Le genre de gars qui, quand tu cours, se plaint tout le temps parce qu'il a choisi un truc sans réfléchir et qu'il a pris un truc trop dur pour lui. Sincèrement les premières pages j'ai eu pitié... En plus cette adoration d'un pays comme les états unis m'a toujours étonné. Entre racisme ambiant, élection de Trump et foutage de gueule écologique, plus ça va plus le pays me repousse. Alors j'ai eu du mal au début et puis... et puis au final l'obstination de notre "héros" eu raison de la mienne. Son abnégation à continuer mixé avec la sympathie des différents marcheurs qu'ils rencontrent ainsi que la variété des espaces traversés m'ont fait plonger ! Et j'ai ensuite gober ce parcours initiatique. J'ai retrouvé ce qui m'avait plus précédemment dans ce pays : il y a de sublimes paysage et une nature magnifique derrière ses habitants. On se retrouve de plus en plus dans la quête de sens de notre héros et on se met à rêver ce voyage impossible. Et une fois qu'on prit dedans impossible de s’arrêter malgré la routine du quotidien de marcheur. Et tout moqueur que j'ai pu être au début, j'ai fini ce gros volume avec un énorme respect pour Monsieur Luke Healy. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/americana?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Manon des sources t1

    Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose.
  25. Titre de l'album : Manon des sources t1 Scenariste de l'album : Serge Scotto Dessinateur de l'album : Eric Stoffel Coloriste : Christelle Galland Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Grand Angle adapte l'oeuvre de Marcel Pagnol en BD. Dix ans après la mort de Jean de Florette, Ugolin a récupéré à moindre frais le domaine des Romarins. Il y a installé une florissante exploitation d'oeillets. D'autant qu'il a débouché la source volontairement camouflée et refait couler l'eau qui avait tant manqué au pauvre bossu. Pressé par Le Papet de se marier, Ugolin pense à la belle jeune fille qu'il a aperçue dans les collines. Mais l'objet de son amour n'est autre que Manon, la fille de Jean de Florette, avide de vengeance. Critique : Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose. Autres infos : Pagnol un jour, Pagnol toujours Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcel-pagnol-en-bd-manon-des-sources-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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