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  1. alx23

    L'été des quatre rois

    Hervé Loiselet se charge de l'adaptation en bande dessinée du roman historique à succès l'été des quatre rois de Camille Pascal. Ce titre se déroule sur six jours précisément entre le 25 juillet et le 1 août 1830, qui représente les derniers moments sur l'abdication forcée de Charles X, du trône de France. Ce titre plaira avant tout aux lecteurs appréciant l'histoire car les journées retranscrites proposent beaucoup d'événement, de confrontations. Ce sont en effet ce que l'on appelle dans l'histoire de France, les trois glorieuses ou la deuxième révolution de France. C'est une période très agitée, la page de garde la BD, n’affiche pas moins de vingt-quatre personnages principaux, des figures historiques, des hommes d'état et autre hommes politiques. Je vous préviens il faut s'accrocher pour suivre l'histoire et être concentré. La partie graphique est de qualité pour retranscrire ces faits historiques, d'ailleurs la couverture est bien trouvée avec ce trône vacant. Vous l'aurez compris, l'été des quatre rois comblera les attentes des lecteurs férus d'histoire ou aux lecteurs voulant en apprendre davantage sur cette période moins connue de l’histoire de France.
  2. Titre de l'album : L'été des quatre rois Scenariste de l'album : Hervé Loiselet Dessinateur de l'album : Antonin Dubuisson Coloriste : Antonin Dubuisson Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Juillet 1830. En quelques jours, quatre rois se succèdent sur le trône. L'Ancien Régime s'accroche au pouvoir quand le peuple de Paris se soulève sous une chaleur caniculaire. Bourgeois et élus, tergiversent : qui, de la vieille garde incarnée par Talleyrand ou des jeunes ambitions incarnées par Thiers, saura trouver une issue à trois jours d'émeutes sévèrement réprimées ? Juillet 1830. L'Ancien Régime s'accroche au pouvoir et tente un retour à l'absolutisme. Le peuple de Paris se soulève, guidé par la Liberté, sous une chaleur caniculaire. Les nouvelles élites, bourgeois et élus, tergiversent. Qui, de la vieille garde incarnée par Talleyrand, de tous les combats depuis des décennies, ou des jeunes ambitions incarnées par Adolphe Thiers, saura trouver une issue à trois glorieuses journées d'émeutes très sévèrement réprimées ? En quelques heures quatre rois, comme quatre hypothèses, se succèdent : changement d'époque. Critique : Hervé Loiselet se charge de l'adaptation en bande dessinée du roman historique à succès l'été des quatre rois de Camille Pascal. Ce titre se déroule sur six jours précisément entre le 25 juillet et le 1 août 1830, qui représente les derniers moments sur l'abdication forcée de Charles X, du trône de France. Ce titre plaira avant tout aux lecteurs appréciant l'histoire car les journées retranscrites proposent beaucoup d'événement, de confrontations. Ce sont en effet ce que l'on appelle dans l'histoire de France, les trois glorieuses ou la deuxième révolution de France. C'est une période très agitée, la page de garde la BD, n’affiche pas moins de vingt-quatre personnages principaux, des figures historiques, des hommes d'état et autre hommes politiques. Je vous préviens il faut s'accrocher pour suivre l'histoire et être concentré. La partie graphique est de qualité pour retranscrire ces faits historiques, d'ailleurs la couverture est bien trouvée avec ce trône vacant. Vous l'aurez compris, l'été des quatre rois comblera les attentes des lecteurs férus d'histoire ou aux lecteurs voulant en apprendre davantage sur cette période moins connue de l’histoire de France. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ete-des-quatre-rois/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore !
  4. Titre de l'album : Le Paris des merveilles tome 2 - Les enchantements d'Ambremer Scenariste de l'album : Étienne Willem d'apres Pierre Pevel Dessinateur de l'album : Étienne Willem Coloriste : Étienne Willem Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Nous sommes en 1909, dans le Paris des Merveilles. Tout en enquêtant sur un trafic d'objets enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage et gentleman, a levé une partie du voile sur un secret d'État impliquant l'OutreMonde et la sinistre Reine Noire. En danger de mort, il lui faut tirer cette affaire au clair, aidé pour le meilleur et pour le pire par une vieille connaissance, Isabel de Saint-Gil, fée renégate, espionne et cambrioleuse de haut vol. Critique : Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-paris-des-merveilles-tome-2-les-enchantements-d-ambremer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nouveau best of pour le Ptit Spirou avec non pas les gags les plus drôles, mais bien les histoires les plus savoureuses. On reste dans des histoires rigolotes bien sûr mais on est ici dans des longues histoires de plusieurs pages. Du blues du professeur Megot au tri des doudous par le petit Spirou, cet album nous livre 9 histoires toutes plus savoureuses les unes que les autres. Aussi intelligentes qu'humaines, elles nous livrent une lecture de soirée réussie qui ravira les premiers lecteurs du petit spirou comme votre serviteur.
  6. Titre de l'album : Les plus chouettes histoires du Petit Spirou tome 1 - Tu racontes n'importe quoi ! Scenariste de l'album : Jean-Richard Geurts Dessinateur de l'album : Jean-Richard Geurts Coloriste : Jean-Richard Geurts Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Cet album de 64 pages reprend neuf histoires courtes du Petit Spirou qui permettent de redécouvrir toute l'émotion et l'intelligence de cette série mythique du catalogue Dupuis. À travers des récits doux-amers où l'humour est plus discret et la sensibilité à fleur de peau, les auteurs nous racontent toutes les difficultés de l'enfance d'un gamin naïf qui cherche à comprendre le monde des adultes. Critique : Nouveau best of pour le Ptit Spirou avec non pas les gags les plus drôles, mais bien les histoires les plus savoureuses. On reste dans des histoires rigolotes bien sûr mais on est ici dans des longues histoires de plusieurs pages. Du blues du professeur Megot au tri des doudous par le petit Spirou, cet album nous livre 9 histoires toutes plus savoureuses les unes que les autres. Aussi intelligentes qu'humaines, elles nous livrent une lecture de soirée réussie qui ravira les premiers lecteurs du petit spirou comme votre serviteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-plus-chouettes-histoires-du-petit-spirou-tome-1-tu-racontes-n-importe-quoi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Uluru

    J'ai souvent du mal avec les bd d'aventures d'animaux. mais j'aime bien le travail de Christian Paty au dessin, et Crisse est un très bon conteur d'histoires. J'ai un chien, et j'ai aimé l'Australie alors forcément je suis peut être pas trop objectif. Mais globalement je n'étais pas trop enthousiaste à l'idée de lire ce one shot. Sauf que c'est bien. Genre vraiment, une bd d'aventure sympa, avec une belle part de mysticisme, une ode à la nature et à l'Australie. Pas grand chose de plus, mais finalement c'est déjà bien. Les dessins de Christian Paty sont toujours aussi réussis avec son trait très particulier et des choix de colorisations qui ici apportent un plus et rendent très bien les ambiances et la nature sauvage australienne. Ce n'est pas la bd de l'année, mais si vous aimez l'Australie, les grands espace, un peu de mysticisme et les animaux, alors vous passerez un chouette moment de lecture !
  8. The_PoP

    Uluru

    Titre de l'album : Uluru Scenariste de l'album : Crisse Dessinateur de l'album : Christian Paty Coloriste : Christian Paty Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Océan Indien, novembre 1879. Le Mary Gold qui transporte des migrants et aussi quelques familles de nobles anglais, est pris dans une énorme tempête. Le petit Lord Harry est paniqué, surtout pour ses chiens (un mâle et une femelle avec leurs deux petits) . Afin de les protéger, il les enferme dans un tonneau. Quelques jours plus tard, échoués sur une plage d'Australie, les chiens n'auront qu'une idée : retrouver leur maître. Critique : J'ai souvent du mal avec les bd d'aventures d'animaux. mais j'aime bien le travail de Christian Paty au dessin, et Crisse est un très bon conteur d'histoires. J'ai un chien, et j'ai aimé l'Australie alors forcément je suis peut être pas trop objectif. Mais globalement je n'étais pas trop enthousiaste à l'idée de lire ce one shot. Sauf que c'est bien. Genre vraiment, une bd d'aventure sympa, avec une belle part de mysticisme, une ode à la nature et à l'Australie. Pas grand chose de plus, mais finalement c'est déjà bien. Les dessins de Christian Paty sont toujours aussi réussis avec son trait très particulier et des choix de colorisations qui ici apportent un plus et rendent très bien les ambiances et la nature sauvage australienne. Ce n'est pas la bd de l'année, mais si vous aimez l'Australie, les grands espace, un peu de mysticisme et les animaux, alors vous passerez un chouette moment de lecture ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/uluru?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Qu'il est difficile de parler de Blacksad en restant juste. Cette série est devenue à juste titre une icône, une référence. Mais comme toute série, on se doit d'en juger chaque épisode à sa juste valeur, sans pour autant faire abstraction de l'ensemble. Ce tome de Blacksad est-il génial ? Peut être pas, car pour moi, il reste moins marquant probablement que les 3 premiers. Mais il reste excellent voir peut être même mieux que cela. Graphiquement on tutoie toujours l'extraordinaire avec des planches riches, une ambiance toujours réussie et des personnages toujours plus expressifs. Les couleurs sont au diapason, c'est fin et une bonne partie des planches pourraient s'afficher chez vous. Rien de nouveau donc pour les amateurs de la série, mais il faut quand même tirer son chapeau au maître qu'est Juanjo Guarnido pour son travail. C'est bien un blacksad. L'histoire elle, pour la première fois en diptyque sur cette série, se voulait donc forcément plus ambitieuse. Hors c'est une enquête finalement assez banale, dont les enjeux dépassent vite Blacksad pour se jouer autour de lui. On est peu surpris, et le déroulé se révèle assez classique. Par contre l'intrigue reste riche, les personnages secondaires réellement influents et des indices disséminés au fil des pages pour le lecteur avertit. Et surtout, surtout on retrouve ce New York si magnifiquement représenté avec son ambiance. On s'y croit. La ville devient un acteur de l'intrigue, et on sent que notre John est revenu aux sources. Ces 2 tomes tiennent finalement plus du roman fleuve que de l'enquête en coup de griffe de notre chat noir préféré mais cela reste très très bien notamment pour sa capacité à nous rendre vivants et plus vrais que nature une galerie de personnages secondaires comme principaux. Et c'est aussi ça la magie de Blacksad, nous raconter des histoires de vies et de personnages, parfois en deux apparitions et 2 lignes de dialogues, tout en nous laissant l'impression de tout connaître d'eux et de les côtoyer depuis notre naissance. Bref, ce Blacksad est-il le meilleur de la série ? Je ne le crois pas. Est-il une superbe bd pour autant, venant fort bien conclure ce diptyque et relancer la série ? Sans aucun doutes. Ne vous privez pas de ce plaisir.
  10. Titre de l'album : Blacksad - Tome 7 - Alors tout tombe (seconde partie) Scenariste de l'album : Juan Díaz Canalès Dessinateur de l'album : Juanjo Guarnido Coloriste : Juanjo Guarnido Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En enquêtant sur Solomon, le maître bâtisseur de New York à l'origine de l'immense pont en construction, Blacksad découvre que l'empire du faucon est bâti sur un monceau de cadavres dont Iris Allen, la directrice de théâtre, n'est pas la première victime. Piégé par Solomon, Weekly est alors accusé du meurtre. Une véritable course contre la montre débute pour Blacksad afin de réunir les preuves innocentant son ami et permettant de faire tomber l'architecte tout en renouant avec son amour, Alma, dont le rôle dans cette affaire sera déterminant. Suite et fin du diptyque réalisé de mains de maîtres par Juanjo Guarnido et Juan Diaz Canales ! Critique : Qu'il est difficile de parler de Blacksad en restant juste. Cette série est devenue à juste titre une icône, une référence. Mais comme toute série, on se doit d'en juger chaque épisode à sa juste valeur, sans pour autant faire abstraction de l'ensemble. Ce tome de Blacksad est-il génial ? Peut être pas, car pour moi, il reste moins marquant probablement que les 3 premiers. Mais il reste excellent voir peut être même mieux que cela. Graphiquement on tutoie toujours l'extraordinaire avec des planches riches, une ambiance toujours réussie et des personnages toujours plus expressifs. Les couleurs sont au diapason, c'est fin et une bonne partie des planches pourraient s'afficher chez vous. Rien de nouveau donc pour les amateurs de la série, mais il faut quand même tirer son chapeau au maître qu'est Juanjo Guarnido pour son travail. C'est bien un blacksad. L'histoire elle, pour la première fois en diptyque sur cette série, se voulait donc forcément plus ambitieuse. Hors c'est une enquête finalement assez banale, dont les enjeux dépassent vite Blacksad pour se jouer autour de lui. On est peu surpris, et le déroulé se révèle assez classique. Par contre l'intrigue reste riche, les personnages secondaires réellement influents et des indices disséminés au fil des pages pour le lecteur avertit. Et surtout, surtout on retrouve ce New York si magnifiquement représenté avec son ambiance. On s'y croit. La ville devient un acteur de l'intrigue, et on sent que notre John est revenu aux sources. Ces 2 tomes tiennent finalement plus du roman fleuve que de l'enquête en coup de griffe de notre chat noir préféré mais cela reste très très bien notamment pour sa capacité à nous rendre vivants et plus vrais que nature une galerie de personnages secondaires comme principaux. Et c'est aussi ça la magie de Blacksad, nous raconter des histoires de vies et de personnages, parfois en deux apparitions et 2 lignes de dialogues, tout en nous laissant l'impression de tout connaître d'eux et de les côtoyer depuis notre naissance. Bref, ce Blacksad est-il le meilleur de la série ? Je ne le crois pas. Est-il une superbe bd pour autant, venant fort bien conclure ce diptyque et relancer la série ? Sans aucun doutes. Ne vous privez pas de ce plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blacksad-tome-7-alors-tout-tombe-partie-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Hiver, à l'opéra

    Après l'automne en baie de somme, l'une des très belles surprises de l'année dernière, voici nos deux auteurs qui reviennent pour une "suite" qui se trouve être un album "dans le même univers" plus qu'une suite et... c'est presque dommage. Parce que cette histoire ne dégage pas le même charme que le premier tome. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais le charme n'a pas pris. Je n'ai pas retrouvé la mélancolie du premier tome. L'enquête est moins prenante avec une coupable trop vite révélée et des crimes un peu trop mis en scène. La partie avec le double jeu de notre enquêteur est peut-être de trop et n'a pas permis de bien prendre son temps comme ce fut le cas sur le premier. Graphiquement le dessin est par contre toujours très bon avec des planches superbes. Une lecture dont j'attendais peu être un peu trop
  12. Titre de l'album : Hiver, à l'opéra Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Alexis Chabert Coloriste : Alexis Chabert Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Amaury Broyan est sur le point d'affronter les fantômes de son propre passé. Décembre1896 : dans un Opéra Garnier comble, le Tout-Paris découvre avec horreur le colonel Tréveaux, chargé de la sécurité du président Faure, pendu tel le Christ en croix et aspergeant de son sang le public. Présent sur les lieux du crime, l'inspecteur Broyan, révoqué de la police après l'affaire de la Baie de Somme, se lance à la poursuite du tueur. Mais il va bientôt se retrouver au coeur d'une enquête abyssale dont il ne sortira pas indemne, entre meurtres en série, sociétés secrètes, spiritisme et complot politique. Critique : Après l'automne en baie de somme, l'une des très belles surprises de l'année dernière, voici nos deux auteurs qui reviennent pour une "suite" qui se trouve être un album "dans le même univers" plus qu'une suite et... c'est presque dommage. Parce que cette histoire ne dégage pas le même charme que le premier tome. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais le charme n'a pas pris. Je n'ai pas retrouvé la mélancolie du premier tome. L'enquête est moins prenante avec une coupable trop vite révélée et des crimes un peu trop mis en scène. La partie avec le double jeu de notre enquêteur est peut-être de trop et n'a pas permis de bien prendre son temps comme ce fut le cas sur le premier. Graphiquement le dessin est par contre toujours très bon avec des planches superbes. Une lecture dont j'attendais peu être un peu trop Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hiver-a-l-opera?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Undertaker - Tome 7 - Mister prairie Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Ralph Meyer Coloriste : Caroline Delabie & Ralph Meyer Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Jonas Crow a reçu une lettre signée « R. Prairie ». « R », comme Rose... Persuadé que celle avec laquelle il a vécu tant d'aventures souhaite le revoir et partage ses sentiments, il se présente à son domicile d'Eaden, une petite ville du Texas. Malheureusement, ce n'est pas elle qui est l'auteure de la missive mais un rival, lui aussi amoureux de Rose, et avec lequel Jonas aura fort à faire. Il s'engage néanmoins à s'occuper de deux enterrements : un prêtre mort mystérieusement et un enfant à naître que sa mère, pourtant très pieuse, ne souhaite pas garder. Si le premier ne devrait pas poser de problème, le second risque d'être plus compliqué. En effet, la célèbre « Sister Oz », représentante fanatique de la Ligue pour la suppression du vice, est arrivée en ville. Soufflant sur les braises de la colère et de la rancoeur née de la défaite face aux « Yankees », elle soulève la population afin d'empêcher l'avortement... Dans ce septième volet de la saga d'Undertaker, le croque-mort le plus célèbre de la bande dessinée est confronté à un extrémisme religieux d'un autre temps... Mais qui n'a jamais semblé aussi actuel. Critique : Bon, bon, bon... Que dire de plus qui n'ai pas déjà été dit sur cette série... C'est un must pour tout fan de bd franco-belge ou de Western. Tout simplement. Ce tome 7 ne déroge pas à la règle puisque j'y ai même retrouvé l'intensité du diptyque sur l'Ogre de SutterCamp. Le tome 5 et le tome 6 s'étaient révélés peut être un brin moins éclatant, mais Dorison n'est pas l'un des plus grands scénaristes de la BD actuelle franco-belge pour rien. Nul doute que comme le dit si bien le résumé de l'éditeur, les problématiques abordées dans ce tome 7 vous sembleront cruellement actuelles. Le climax de fin d'album va rendre l'attente du prochain tome une nouvelle fois insupportable. J'ajouterais que l'excellence du dessin de Ralph Meyer, étincelant dans sa sobriété, ses ambiances et ses personnages se confirme d'albums en albums. Certes ce n'est peut être pas le coup de crayon le plus spectaculaire de nos auteurs préférés, mais tout y est. On est captivés du début à la fin par la filmographie de ses planches et leur fluidité. On est dans les meilleurs Blueberry, avec probablement un scénario de plus haute volée. Seul bémol pour ma part, parce qu'il faut bien rester aussi objectif que possible, je trouve que la couverture n'est pas ce qu'à fait Meyer de mieux sur cet album, les planches intérieures m'ont davantage séduit. Avec ce départ de nouveau cycle infernal, Undertaker confirme bien qu'il est l'une des séries majeures de ses 10 dernières années. Au panthéon de la BD franco-belge, tout simplement. Ne passez pas à côté car au delà de s'adresser et de flatter son public d'amateurs de Western, c'est avant tout une grande BD, à mettre dans toutes les mains. Signe parfois des grands auteurs, notre croque mort préféré n'a finalement eu qu'un petit rôle à jouer jusqu'ici, tout en étant un pivot central de toute l'affaire. Ici ce ne sont pas les coups de feu qui vont vous scotcher mais cette ambiance magnifiquement oppressante au fil des pages quand on approche la réalité des folies humaines. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undertaker-tome-7-mister-prairie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Bon, bon, bon... Que dire de plus qui n'ai pas déjà été dit sur cette série... C'est un must pour tout fan de bd franco-belge ou de Western. Tout simplement. Ce tome 7 ne déroge pas à la règle puisque j'y ai même retrouvé l'intensité du diptyque sur l'Ogre de SutterCamp. Le tome 5 et le tome 6 s'étaient révélés peut être un brin moins éclatant, mais Dorison n'est pas l'un des plus grands scénaristes de la BD actuelle franco-belge pour rien. Nul doute que comme le dit si bien le résumé de l'éditeur, les problématiques abordées dans ce tome 7 vous sembleront cruellement actuelles. Le climax de fin d'album va rendre l'attente du prochain tome une nouvelle fois insupportable. J'ajouterais que l'excellence du dessin de Ralph Meyer, étincelant dans sa sobriété, ses ambiances et ses personnages se confirme d'albums en albums. Certes ce n'est peut être pas le coup de crayon le plus spectaculaire de nos auteurs préférés, mais tout y est. On est captivés du début à la fin par la filmographie de ses planches et leur fluidité. On est dans les meilleurs Blueberry, avec probablement un scénario de plus haute volée. Seul bémol pour ma part, parce qu'il faut bien rester aussi objectif que possible, je trouve que la couverture n'est pas ce qu'à fait Meyer de mieux sur cet album, les planches intérieures m'ont davantage séduit. Avec ce départ de nouveau cycle infernal, Undertaker confirme bien qu'il est l'une des séries majeures de ses 10 dernières années. Au panthéon de la BD franco-belge, tout simplement. Ne passez pas à côté car au delà de s'adresser et de flatter son public d'amateurs de Western, c'est avant tout une grande BD, à mettre dans toutes les mains. Signe parfois des grands auteurs, notre croque mort préféré n'a finalement eu qu'un petit rôle à jouer jusqu'ici, tout en étant un pivot central de toute l'affaire. Ici ce ne sont pas les coups de feu qui vont vous scotcher mais cette ambiance magnifiquement oppressante au fil des pages quand on approche la réalité des folies humaines.
  15. Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes.
  16. Titre de l'album : Sangre - Tome 4 - Donnadion le Béat Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani & Gloria Vezzaro Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Après plusieurs semaines d'enquête dans la cité de Thériasme, Sangre trouve un marin qui la guide jusqu'à un archipel perdu au coeur de la mangrove, un repaire d'esclaves évadés. Donnadion y vit en ermite, prêchant la non-violence. Mais comment imaginer ce terrible écumeur en saint homme, héros d'une libération pacifique des esclaves ? La vengeance aurait-elle un sens face à un homme en pleine rédemption ? Critique : Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-4-donnadion-le-beat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque.
  18. Titre de l'album : Le serpent et la lance tome 3 - Cinq-fleurs Scenariste de l'album : Hub Dessinateur de l'album : Hub Coloriste : Li Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le conseiller du souverain informe son fils sur son lit de mort qu'il doit se tenir prêt à reprendre cette fonction honorifique. Mais cette lourde charge ne souffre pas de passer au second plan. Or, ce fils recherche sa fille disparue, Deux-Fleurs, et plus de quarante momies ont été retrouvées aux quatre coins du royaume. Le tueur de jeunes filles court toujours... Critique : On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-serpent-et-la-lance-acte-3-cinq-fleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : In memoriam tome 2 - Adam Scenariste de l'album : Mathieu Salvia Dessinateur de l'album : Stéphane Robert Coloriste : Stéphane Robert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Adam, l'ancien sorcier engagé par Joseph pour retrouver sa filleule, est en mauvaise posture depuis son affrontement avec la Mafia des Chats. Tandis que de leurs côtés, Manon et Shi sont pris au piège dans la laverie en flammes, privés de l'artefact de téléportation qui a décidé de rendre l'âme au plus mauvais moment... L'enquête se resserre autour de la mystérieuse Line. Pourquoi Calvin et Carl, les deux seuls sorciers qui semblent encore posséder leurs pouvoirs, cherchent-ils à lui mettre la main dessus ? Quel est le lien entre ces deux tueurs, Mila et Line ? Se pourrait-il que cette dernière ait une connexion avec la Grande Déchirure, cette explosion ayant ravagé Paris, comme ses dessins d'enfant semblent le suggérer ? Si chacun semble animé par ses propres intérêts, tous les chemins convergent définitivement vers Line et son Chat titanesque. Retrouvez nos héros dans le tome 2 d'In Memoriam, consacré à Adam et à son passé trouble, et levez encore un peu plus le voile sur le mystère qui semble lier Line, Calvin, Carl, Mia et la Grande Déchirure. Critique : À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-memoriam-tome-2-adam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    In memoriam tome 2 - Adam

    À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite !
  21. Titre de l'album : Murdervale , tome 1 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Et si un voyage dans l'horreur pouvait ressouder un couple ? Victor et Sara traversent une période difficile et sur les conseils de leur psy, décident de partir quelques jours ensemble. Sans véritable destination en tête, ils prennent la route. En chemin, ils entendent parler d'un village si perdu qu'il ne figure même pas sur la carte : Murdervale. Ils décident de s'y rendre et d'y prendre une chambre d'hôtel. Mais durant la nuit, Victor a des hallucinations. Est-ce son traitement ou la malédiction dont cette vieille femme leur a parlé ? En voulant fuir l'enfer du quotidien, Victor et Sara semblent être tombés dans un enfer bien pire. Bien plus que sauver leur couple, ils vont devoir sauver leur vie ! Critique : Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-1-le-vol-du-corbeau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    Murdervale , tome 1

    Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉
  23. Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉
  24. Titre de l'album : Nevermoor tome 1 - Les défis de Morrigane Crow Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Le premier tome de l'adaptation en bande dessinée des romans de Jessica Townsend ! Morrigane Crow est une enfant maudite. Au soir du Merveillon, elle mourra. En attendant, tous les maux du monde sont attribués à la pauvre jeune fille. Et comble de l'horreur, avec près d'un an d'avance, les cloches du Merveillon se mettent à sonner ! Morrigane doit se préparer à sa mort imminente ! À moins que Jupiter, son mystérieux et excentrique mécène, ne vienne l'arracher à une mort certaine pour l'entrainer dans le monde magique de Nevermoor... Critique : Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nevermoor-tome-1-les-defis-de-morrigane-crow/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Kevin Nivek

    Le grand bug tome 1

    Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide .
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