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  1. alx23

    Solo - Chemins tracés tome 2

    Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés.
  2. Titre de l'album : Solo - Chemins tracés tome 2 Scenariste de l'album : Óscar Martín Dessinateur de l'album : Alvaro Iglesias Coloriste : Alvaro Iglesias Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Fortuna connaît désormais la quête qui lui incombe. Repartie à la découverte du monde avec sa fille, elle continue à consigner ses aventures dans le livre des chemins. Alors que de grands dangers la menacent, le mystérieux Siro fait son apparition. L'héroïne doit-elle faire confiance à ce combattant qui semble la connaître et la suivre depuis longtemps ? Critique : Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-chemins-traces-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Little monster t1

    Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible.
  4. Titre de l'album : Little monster t1 Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Dustin Nguyen Coloriste : Dustin Nguyen Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ils sont les derniers « enfants » en vie de notre planète... Ou, devrions-nous dire, les derniers jeunes vampires. D'aussi loin qu'ils s'en souviennent, ils ont vécu une vie d'éternel émerveillement parmi les ruines de l'humanité. Mais des événements d'une brutalité sans précédent viennent bientôt fracturer le groupe, les mettant sur la voie d'une découverte qui brisera leur innocence à jamais. Critique : Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/little-monsters-tome-1-248118?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps.
  6. Titre de l'album : Marjorie Finnegan - Criminelle temporelle Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Goran Sudzuka Coloriste : Miroslav Mrva Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Marjorie se balade à travers les époques pour dérober tout ce qui lui fait envie et en profite pour faire tourner en bourrique le monde entier, en particulier sa soeur, chargée de la mettre sous les verrous. Tout ce que Marjorie veut faire, c'est parcourir le Temps et voler tous les objets précieux qu'elle peut. Mais son parcours de voleuse, du Big Bang au 95e Reich, ne passe pas inaperçu. Elle attire l'attention du marshall adjoint, un enquêteur acharné de la police temporelle mais aussi de son ex, un sale type. Ce dernier et son partenaire encore plus pourri ont l'intention d'utiliser sa technologie temporelle pour changer l'histoire à leur propre avantage. Le seul allié de Marjorie ? Un gars appelé Tim. Et c'est juste une tête... Critique : Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marjorie-finnegan-criminelle-temporelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Les sept lames

    Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres.
  8. alx23

    Les sept lames

    Titre de l'album : Les sept lames Scenariste de l'album : Evan Daugherty Dessinateur de l'album : Federico Dallocchio & Ricardo Latina Coloriste : Valentina Bianconi Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : D'Artagnan est entraîné dans un conflit avec le cardinal de Richelieu, dont la quête impitoyable du pouvoir l'a conduit vers le surnaturel. Pour sauver le monde, d'Artagnan devra s'allier à sept héros de cape et d'épée emblématiques tels que Don Juan ou Cyrano de Bergerac. Les SEPT LAMES devront surmonter une foule de différences et travailler ensemble pour déjouer les plans diaboliques de Richelieu. Critique : Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sept-lames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Seven toi Eternity t4 (fin) : les sources de Zhal Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Jerome Opeña Coloriste : Jerome Opeña Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Véritable salut ou énième manipulation, les sources légendaires de Zhal promises par le Roi Fange à Adam Osidis ont soudainement rebattu les cartes d'un jeu qui semblait pourtant gagné pour le peuple Mosak et le royaume de Zhal. Aussi, Adam fait désormais cavalier seul au côté du Maître des Murmures, chargé du lourd fardeau d'avoir préféré la vie de son pire ennemi à celles de nombreux innocents. L'honneur de la famille Osidis est mis à rude épreuve et l'heure d'affronter son destin est venu pour chacun. Critique : Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seven-to-eternity-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé.
  11. Brubaker et Phillips tiennent un bon rythme sur cette série polar, avec des enquêtes souvent tordues pour justement surprendre les lecteurs. Brubaker est maitre dans l'art d'écrire des polars depuis longtemps avec ses nombreuses séries dans le genre. Pour ce quatrième tome, le héros principal de l'histoire sera absent une bonne partie de l'histoire pour laisser sa place à son assistante Anna. Cette dernière prend en charge une affaire au demeurant facile sur une maison hantée de Los Angeles. Cet épisode transitoire dans la série, permet aux auteurs d'approfondir l'histoire d'Anna en nous révélant des anecdotes de son enfance et sur mère qui réapparait après une cure aux alcooliques anonymes. La partie graphique de Sean Phillips et une merveille, l'auteur gère bien les décors d'époque. Les couleurs de Jacob Phillips assurent un rendu final remarquable. Recless est déjà une grande série avec quatre excellents albums, le prochain tome reviendra sur Ethan et pourquoi il était absent durant tout cet épisode pour régler une autre affaire en dehors de LA.
  12. Titre de l'album : Reckless tome 4 - Ce fantôme en toi Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hiver 1989. Ethan est absent, si bien qu'Anna est seule pour prendre ce job. Lorsqu'une reine du cinéma lui demande de prouver que le manoir qu'elle est en train de rénover n'est pas hanté, Anna tombe sur un mystère vieux de plusieurs décennies qui implique l'une des scènes de crime les plus terrifiantes d'Hollywood... Un endroit qui renferme de nombreux secrets indicibles, dont certains pourraient s'avérer mortels... Critique : Brubaker et Phillips tiennent un bon rythme sur cette série polar, avec des enquêtes souvent tordues pour justement surprendre les lecteurs. Brubaker est maitre dans l'art d'écrire des polars depuis longtemps avec ses nombreuses séries dans le genre. Pour ce quatrième tome, le héros principal de l'histoire sera absent une bonne partie de l'histoire pour laisser sa place à son assistante Anna. Cette dernière prend en charge une affaire au demeurant facile sur une maison hantée de Los Angeles. Cet épisode transitoire dans la série, permet aux auteurs d'approfondir l'histoire d'Anna en nous révélant des anecdotes de son enfance et sur mère qui réapparait après une cure aux alcooliques anonymes. La partie graphique de Sean Phillips et une merveille, l'auteur gère bien les décors d'époque. Les couleurs de Jacob Phillips assurent un rendu final remarquable. Recless est déjà une grande série avec quatre excellents albums, le prochain tome reviendra sur Ethan et pourquoi il était absent durant tout cet épisode pour régler une autre affaire en dehors de LA. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reckless-ce-fantome-en-toi/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Les philanthropes aux poches percées est un roman autobiographique d'une partie de la vie de Robert Tressel, alors qu'il est de retour en Angleterre. Il écrit ce roman pour dénoncer les abus du travail et la pauvreté des travailleurs. Scarlet et Sophie Rickard se chargent de cette adaptation d'une œuvre forte de la littérature prolétarienne. Ce petit pavé de plus de 350 pages revient sur le parcours de plusieurs travailleurs peintres dans le bâtiment. Les employés souffrent de pauvreté et enchainent les heures de travail sans voir de solution venir du gouvernement. Quelques personnes ressortent de ce groupe d'employés et on les suit également dans leur foyer avec leur femme et enfants. Les idées politiques fusent dans tous les sens parmi ces hommes vivant dans la peur de perdre leur emploi du jour au lendemain sans de véritables sources de reproches et sans que les employeurs aient besoin de se justifier. La parie graphique convient très bien à l'œuvre pour mettre en image cette épisode assez dure et froide. Ce roman graphique prend de temps de détaillés et mettre en place les situations pour les différents travailleurs avec leur crainte tout en voyant une évolution de la façon de pensée.
  14. Titre de l'album : Les philanthropes aux poches percées Scenariste de l'album : Scarlet & Sophie Rickard Dessinateur de l'album : Scarlet & Sophie Rickard Coloriste : Scarlet & Sophie Rickard Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les philanthropes, c'est le nom que se donnent les ouvriers, peintres en bâtiments de la ville anglaise de Mugsborough dans les sombres années de l'après-guerre de 1919. Philanthropes car ils s'usent le corps et l'âme pour enrichir leurs patrons. L'un d'entre eux, Owen, va tenter de leur faire prendre conscience qu'il existe des solutions de résistance à cette oppression. Critique : Les philanthropes aux poches percées est un roman autobiographique d'une partie de la vie de Robert Tressel, alors qu'il est de retour en Angleterre. Il écrit ce roman pour dénoncer les abus du travail et la pauvreté des travailleurs. Scarlet et Sophie Rickard se chargent de cette adaptation d'une œuvre forte de la littérature prolétarienne. Ce petit pavé de plus de 350 pages revient sur le parcours de plusieurs travailleurs peintres dans le bâtiment. Les employés souffrent de pauvreté et enchainent les heures de travail sans voir de solution venir du gouvernement. Quelques personnes ressortent de ce groupe d'employés et on les suit également dans leur foyer avec leur femme et enfants. Les idées politiques fusent dans tous les sens parmi ces hommes vivant dans la peur de perdre leur emploi du jour au lendemain sans de véritables sources de reproches et sans que les employeurs aient besoin de se justifier. La parie graphique convient très bien à l'œuvre pour mettre en image cette épisode assez dure et froide. Ce roman graphique prend de temps de détaillés et mettre en place les situations pour les différents travailleurs avec leur crainte tout en voyant une évolution de la façon de pensée. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-philanthropes-aux-poches-percees/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : The nice house on the lake t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Álvaro Martínez Coloriste : Álvaro Martínez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Tous les conviés connaissent Walter - enfin, ils le connaissent un peu, en tout cas. Certains l'ont rencontré dans leur enfance, d'autres l'ont rencontré quelques mois auparavant. Et Walter a toujours été un peu... absent. Mais après une année difficile, personne n'allait refuser l'invitation de ce dernier dans une maison de campagne située à l'orée d'un bois et avec vue sur lac. C'est beau, c'est opulent, c'est privé – de quoi supporter les petites combines et les surnoms bizarres donnés par Walter. Mais ces vacances de luxe revêtent très vite des airs de prison dorée. Critique : Voici l'une des lectures comics de l'année à n'en pas douter. Une lecture en deux tomes, mais dont le deuxième arrive dès le mois de mars ! Quelle claque nous met James Tyrion IV dans ce premier tome. Il réussit à mixer avec brio the thème du huis clos avec l'aspect horrifique d'une fin du monde arrivant sans crier gare. Imaginez un peu : un pote vous convie à un weekend retrouvaille entre amis dans une maison éloignée. Et une fois arrivée, vous vous rendez compte que vous êtes les seuls survivants de l'espèce humaine... Comment réagiriez-vous ? vis-à-vis des autres ? vis-à-vis du monde ? et vis-à-vis de celui qui vous a invité ici ???? Un premier tome génial, sublimement illustré, et une histoire qui promet de rester dans les annales des huis clos en bande dessinée ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-nice-house-on-the-lake?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    The nice house on the lake t1

    Voici l'une des lectures comics de l'année à n'en pas douter. Une lecture en deux tomes, mais dont le deuxième arrive dès le mois de mars ! Quelle claque nous met James Tyrion IV dans ce premier tome. Il réussit à mixer avec brio the thème du huis clos avec l'aspect horrifique d'une fin du monde arrivant sans crier gare. Imaginez un peu : un pote vous convie à un weekend retrouvaille entre amis dans une maison éloignée. Et une fois arrivée, vous vous rendez compte que vous êtes les seuls survivants de l'espèce humaine... Comment réagiriez-vous ? vis-à-vis des autres ? vis-à-vis du monde ? et vis-à-vis de celui qui vous a invité ici ???? Un premier tome génial, sublimement illustré, et une histoire qui promet de rester dans les annales des huis clos en bande dessinée !
  17. Début décembre 2022, nous avons eu la chance de rencontrer Dustin lors du Paris-Manga & Sci-Fi show. Bien que le temps de l'entretien était très court, il a répondu à deux de nos questions Bonjour Dustin, enchantée de faire votre connaissance, nos lecteurs ont deux questions à vous poser concernant Ascender & Descender Comment avez-vous rencontré Jeff Lemire ? Jeff et moi, on travaillait chez Vertigo. Je l’ai rencontré à un comic-con, nous participions ensemble à un panel (une table-ronde). Nous sommes donc sur scène et c'est la première fois que je rencontre Jeff. A l’époque, je travaillais à DC comics et j’avais un contrat d'exclusivité pendant 14 ans. Jeff était aussi sous contrat avec DC, nous avons tous les deux fini nos contrats en même temps. J’avais envie de faire un livre et par coïncidence, Jeff m’a demandé « hé, as-tu envie de travailler sur quelque chose ? » Je lui ai dit oui. C'était très facile. « Qu'est-ce que tu veux faire? » Faisons un livre sur les robots et les enfants. Ça s’est déroulé très simplement. Concernant Descender, il y a eu un changement sur la fin de l’histoire, pourquoi ? Nous voulions que cela reste amusant. La première histoire de Descender était comme la science-fiction avec laquelle nous avons grandi : donc beaucoup de robots, beaucoup d'espace et de mécanique. Et puis Jeff m’a demandé si je voulais continuer sur cette lancée et ce que je voulais vraiment faire. Je pouvais dessiner des monstres et des dragons. Donc c'est ce que nous avons fait, juste pour nous amuser. La plupart du temps, nous avons créé l’histoire d’Ascender et Descender pour nous-mêmes, pour le plaisir, pour écrire et dessiner. Et j’aime vraiment ça, dessiner des dragons et des monstres, c’est très amusant. Merci à Dustin Nguyen d’avoir acceptée cette courte interview, d’avoir posé pour la photo et d’avoir laissé un message vidéo pour les lecteurs de 1001BD Retrouvez Dustin Nguyen et Jeff Lemire pour leur nouveau livre "Little Monsters" à paraître le 7 avril 2023 Dustin Nguyen dec 2022.mp4
  18. On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy.
  19. Titre de l'album : Hellboy tome 17 - Les os des géants Scenariste de l'album : Christopher Golden & Mike Mignola Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy contre les Géants du Givre ! Lorsqu'une découverte surprenante est faite en Suède, le B.P.R.D. envoie Hellboy et Abe Sapien pour enquêter. S'ensuit une aventure pleine de légendes nordiques, de créatures mythiques et émaillée d'une menace qui pourrait détruire non seulement la Terre, mais aussi les Neuf Royaumes de la mythologie nordique ! Critique : On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-17-les-os-des-geants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Clear

    Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner.
  21. alx23

    Clear

    Titre de l'album : Clear Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francis Manapul Coloriste : Francis Manapul Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Il est devenu possible d'adapter la réalité à nos propres préférences (modes steampunk, porno, médieval, etc.), tandis que le monde reste statique. Merveilleux, non ? Pas vraiment... SAM DUNE, un ancien flic devenu détective privé, enquête sur un suicide. Dune vit en mode CLEAR, sans aucun filtre. Il voit le monde tel qu'il est vraiment. La victime est son ex-femme, et elle n'avait rien de suicidaire... Critique : Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clear/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉
  23. Titre de l'album : Batman - One bad day - Le sphynx Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerards Coloriste : Mitch Gerads Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un homme vient d'être tué en plein jour. Et son cadavre porte la marque du Sphinx. Mais les raisons du crime ne semblent pas être claires... En revanche, le modus operandi du criminel implique comme toujours de nombreuses énigmes pour retracer sa piste. Et les règles du jeu sont strictes. Batman devra mettre tout son talent de détective au service de ce nouveau jeu de piste pour comprendre les véritables motivations du meurtrier. Critique : Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-sphinx/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Shredder in hell

    C'est probablement l'un des tomes les plus réussis et aboutis graphiquement de Mateus Santolouco sans trop de débat je pense. Ses planches sont belles, originales, les couleurs sont au diapason, c'est dynamique et nerveux tout en restant lisible. Si je ne suis pas l'un de ses adorateurs, il faut savoir tirer son chapeau, sur ce tome, il a clairement franchi un sacré cap. Je suis moins convaincu par sa narration, parfois pas assez lisible et compréhensible pour moi, mais il faut bien comprendre que ce tome ne s'adresse qu'aux fans des tortues ninja et du run imaginé par Eastman et Waltz et publié en france par Hi Comics. En effet les références y sont nombreuses, et la mythologie complète créée et dévoilée au fil des tomes va ici être interrogée, prise à partie et au coeur des enjeux de ce tome. Rajoutez à cela que lire celui-ci va vous donner des informations importantes pour appréhender le tome final du run principal, parue dans le même laps de temps et vous obtenez un must have pour ceux qui ont lus et pris chacun des tomes des Tortues. Comme il s'agit d'une des grosses ventes chez Hi Comics, on sait que vous êtes nombreux à avoir apprécié ce Run dantesque de si grande envergure. Pour les autres clairement, en dehors de la qualité graphique de ce tome dont je vous ai parlé plus haut, passez votre chemin car je pense que le tout sera trop onirique et trop référencé pour vous. Personnellement je me suis un peu perdu dans cette aventure onirique, sachant qu'en plus, je n'ai que peu de sympathie et d'intérêt pour les comics centrés sur les super vilains à la base. Dommage mais cela explique en partie ma note, malgré les dessins remarquables de Mateus Santolouco.
  25. The_PoP

    Shredder in hell

    Titre de l'album : Shredder in hell Scenariste de l'album : Mateus Santolouco Dessinateur de l'album : Mateus Santolouco Coloriste : Mateus Santolouco & Marcelo Costa & Davi Calil Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Mateus Santolouco au sommet de son art ! Rien n'arrête Oroku Saki, pas même la mort... Ainsi commence son voyage vers l'au-delà. Et cette nouvelle aventure est bien loin d'une Divine Comédie ! Que restera-t-il de l'âme de Shredder après avoir affronté les horreurs de l'Enfer ? S'enfonçant dans les ténèbres, l'ennemi juré des Tortues sera-t-il capable de repousser l'assaut de forces démoniaques ? Critique : C'est probablement l'un des tomes les plus réussis et aboutis graphiquement de Mateus Santolouco sans trop de débat je pense. Ses planches sont belles, originales, les couleurs sont au diapason, c'est dynamique et nerveux tout en restant lisible. Si je ne suis pas l'un de ses adorateurs, il faut savoir tirer son chapeau, sur ce tome, il a clairement franchi un sacré cap. Je suis moins convaincu par sa narration, parfois pas assez lisible et compréhensible pour moi, mais il faut bien comprendre que ce tome ne s'adresse qu'aux fans des tortues ninja et du run imaginé par Eastman et Waltz et publié en france par Hi Comics. En effet les références y sont nombreuses, et la mythologie complète créée et dévoilée au fil des tomes va ici être interrogée, prise à partie et au coeur des enjeux de ce tome. Rajoutez à cela que lire celui-ci va vous donner des informations importantes pour appréhender le tome final du run principal, parue dans le même laps de temps et vous obtenez un must have pour ceux qui ont lus et pris chacun des tomes des Tortues. Comme il s'agit d'une des grosses ventes chez Hi Comics, on sait que vous êtes nombreux à avoir apprécié ce Run dantesque de si grande envergure. Pour les autres clairement, en dehors de la qualité graphique de ce tome dont je vous ai parlé plus haut, passez votre chemin car je pense que le tout sera trop onirique et trop référencé pour vous. Personnellement je me suis un peu perdu dans cette aventure onirique, sachant qu'en plus, je n'ai que peu de sympathie et d'intérêt pour les comics centrés sur les super vilains à la base. Dommage mais cela explique en partie ma note, malgré les dessins remarquables de Mateus Santolouco. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shredder-in-hell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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