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  1. On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy.
  2. Titre de l'album : Hellboy tome 17 - Les os des géants Scenariste de l'album : Christopher Golden & Mike Mignola Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy contre les Géants du Givre ! Lorsqu'une découverte surprenante est faite en Suède, le B.P.R.D. envoie Hellboy et Abe Sapien pour enquêter. S'ensuit une aventure pleine de légendes nordiques, de créatures mythiques et émaillée d'une menace qui pourrait détruire non seulement la Terre, mais aussi les Neuf Royaumes de la mythologie nordique ! Critique : On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-17-les-os-des-geants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Clear

    Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner.
  4. alx23

    Clear

    Titre de l'album : Clear Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francis Manapul Coloriste : Francis Manapul Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Il est devenu possible d'adapter la réalité à nos propres préférences (modes steampunk, porno, médieval, etc.), tandis que le monde reste statique. Merveilleux, non ? Pas vraiment... SAM DUNE, un ancien flic devenu détective privé, enquête sur un suicide. Dune vit en mode CLEAR, sans aucun filtre. Il voit le monde tel qu'il est vraiment. La victime est son ex-femme, et elle n'avait rien de suicidaire... Critique : Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clear/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉
  6. Titre de l'album : Batman - One bad day - Le sphynx Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerards Coloriste : Mitch Gerads Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un homme vient d'être tué en plein jour. Et son cadavre porte la marque du Sphinx. Mais les raisons du crime ne semblent pas être claires... En revanche, le modus operandi du criminel implique comme toujours de nombreuses énigmes pour retracer sa piste. Et les règles du jeu sont strictes. Batman devra mettre tout son talent de détective au service de ce nouveau jeu de piste pour comprendre les véritables motivations du meurtrier. Critique : Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-sphinx/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Shredder in hell

    C'est probablement l'un des tomes les plus réussis et aboutis graphiquement de Mateus Santolouco sans trop de débat je pense. Ses planches sont belles, originales, les couleurs sont au diapason, c'est dynamique et nerveux tout en restant lisible. Si je ne suis pas l'un de ses adorateurs, il faut savoir tirer son chapeau, sur ce tome, il a clairement franchi un sacré cap. Je suis moins convaincu par sa narration, parfois pas assez lisible et compréhensible pour moi, mais il faut bien comprendre que ce tome ne s'adresse qu'aux fans des tortues ninja et du run imaginé par Eastman et Waltz et publié en france par Hi Comics. En effet les références y sont nombreuses, et la mythologie complète créée et dévoilée au fil des tomes va ici être interrogée, prise à partie et au coeur des enjeux de ce tome. Rajoutez à cela que lire celui-ci va vous donner des informations importantes pour appréhender le tome final du run principal, parue dans le même laps de temps et vous obtenez un must have pour ceux qui ont lus et pris chacun des tomes des Tortues. Comme il s'agit d'une des grosses ventes chez Hi Comics, on sait que vous êtes nombreux à avoir apprécié ce Run dantesque de si grande envergure. Pour les autres clairement, en dehors de la qualité graphique de ce tome dont je vous ai parlé plus haut, passez votre chemin car je pense que le tout sera trop onirique et trop référencé pour vous. Personnellement je me suis un peu perdu dans cette aventure onirique, sachant qu'en plus, je n'ai que peu de sympathie et d'intérêt pour les comics centrés sur les super vilains à la base. Dommage mais cela explique en partie ma note, malgré les dessins remarquables de Mateus Santolouco.
  8. The_PoP

    Shredder in hell

    Titre de l'album : Shredder in hell Scenariste de l'album : Mateus Santolouco Dessinateur de l'album : Mateus Santolouco Coloriste : Mateus Santolouco & Marcelo Costa & Davi Calil Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Mateus Santolouco au sommet de son art ! Rien n'arrête Oroku Saki, pas même la mort... Ainsi commence son voyage vers l'au-delà. Et cette nouvelle aventure est bien loin d'une Divine Comédie ! Que restera-t-il de l'âme de Shredder après avoir affronté les horreurs de l'Enfer ? S'enfonçant dans les ténèbres, l'ennemi juré des Tortues sera-t-il capable de repousser l'assaut de forces démoniaques ? Critique : C'est probablement l'un des tomes les plus réussis et aboutis graphiquement de Mateus Santolouco sans trop de débat je pense. Ses planches sont belles, originales, les couleurs sont au diapason, c'est dynamique et nerveux tout en restant lisible. Si je ne suis pas l'un de ses adorateurs, il faut savoir tirer son chapeau, sur ce tome, il a clairement franchi un sacré cap. Je suis moins convaincu par sa narration, parfois pas assez lisible et compréhensible pour moi, mais il faut bien comprendre que ce tome ne s'adresse qu'aux fans des tortues ninja et du run imaginé par Eastman et Waltz et publié en france par Hi Comics. En effet les références y sont nombreuses, et la mythologie complète créée et dévoilée au fil des tomes va ici être interrogée, prise à partie et au coeur des enjeux de ce tome. Rajoutez à cela que lire celui-ci va vous donner des informations importantes pour appréhender le tome final du run principal, parue dans le même laps de temps et vous obtenez un must have pour ceux qui ont lus et pris chacun des tomes des Tortues. Comme il s'agit d'une des grosses ventes chez Hi Comics, on sait que vous êtes nombreux à avoir apprécié ce Run dantesque de si grande envergure. Pour les autres clairement, en dehors de la qualité graphique de ce tome dont je vous ai parlé plus haut, passez votre chemin car je pense que le tout sera trop onirique et trop référencé pour vous. Personnellement je me suis un peu perdu dans cette aventure onirique, sachant qu'en plus, je n'ai que peu de sympathie et d'intérêt pour les comics centrés sur les super vilains à la base. Dommage mais cela explique en partie ma note, malgré les dessins remarquables de Mateus Santolouco. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shredder-in-hell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Batman : Flashpoint Beyond

    Ahhhh enfin 🙂 Enfin un album pour ceux qui suivent. Non pas que je n'aime pas la tendance aux mises en avant des one shot. Surtout qu'ils sont globalement bons. Non c'est plus que lorsque l'on suit une série complète, avoir un album un peu compliqué qui a des racines dans les 10 dernières années et que l'on comprend ces racines... Et bien on découvre la "puissance" des comics de super héros. Je sais bien que c'est dommage pour ceux qui ne suivent pas. Mais il y a les one shots pour ca. Et ici on est dans le one shot pour fans. On retrouve avec plaisir le monde de flashpoint... oui oui cela du flashpoint de 2011 avec Thomas Wayne en tant de batman cruel et violent. Cet univers alternatif ou superman avait été enchainé par les Américains à son arrivée sur la terre, ou les amazones et les Atlantes se faisaient la guerre pour régner sur l'Europe et ou Flash n'a jamais existé. inventé par Geoff Johns qui avait été le déclencheur de Flashpoint, revient ici sur les personnages qu'il a créés pour nous offrir une nouvelle conclusion qui ouvre des portes pour un univers changeant radicalement de l'univers Infinite en cours. Une vraie réussite qui ravira les fans.
  10. Titre de l'album : Batman : Flashpoint Beyond Scenariste de l'album : Geoff Johns / Tim Sheridan / Jeremy Adams Dessinateur de l'album : Eduardo Risso / Mikel Janín / Xermánico Coloriste : Eduardo Risso / Mikel Janín / Xermánico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : LE MONDE DE FLASHPOINT, À l'ORIGINE DU GRAND BOULEVERSEMENT DE 2011, EST DE RETOUR ! Après avoir tout sacrifié pour aider Flash à remodeler l'univers et sauver la vie de Bruce Wayne, Thomas Wayne se réveille dans un monde qu'il croyait disparu. Contraint d'enfiler à nouveau le masque de Batman, il arpente les rues de Gotham à la recherche de réponses. Une quête qui pourrait bien l'envoyer aux quatre coins du monde ; notamment en Europe. Critique : Ahhhh enfin 🙂 Enfin un album pour ceux qui suivent. Non pas que je n'aime pas la tendance aux mises en avant des one shot. Surtout qu'ils sont globalement bons. Non c'est plus que lorsque l'on suit une série complète, avoir un album un peu compliqué qui a des racines dans les 10 dernières années et que l'on comprend ces racines... Et bien on découvre la "puissance" des comics de super héros. Je sais bien que c'est dommage pour ceux qui ne suivent pas. Mais il y a les one shots pour ca. Et ici on est dans le one shot pour fans. On retrouve avec plaisir le monde de flashpoint... oui oui cela du flashpoint de 2011 avec Thomas Wayne en tant de batman cruel et violent. Cet univers alternatif ou superman avait été enchainé par les Américains à son arrivée sur la terre, ou les amazones et les Atlantes se faisaient la guerre pour régner sur l'Europe et ou Flash n'a jamais existé. inventé par Geoff Johns qui avait été le déclencheur de Flashpoint, revient ici sur les personnages qu'il a créés pour nous offrir une nouvelle conclusion qui ouvre des portes pour un univers changeant radicalement de l'univers Infinite en cours. Une vraie réussite qui ravira les fans. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flashpoint-beyond?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : The Last Ronin - Teenage Mutant Ninja Turtles Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Peter Laird & Tom Waltz Dessinateur de l'album : Esau & Isaac Escorza Coloriste : Luis Antonio Delgado Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Qui est le dernier Ronin ? Le clan Hamato n'est plus et les Foot règnent sur un New York post-apocalyptique ravagé par les guerres civiles... mais le dernier survivant de la fratrie des Tortues rôde dans l'ombre. Hantée par les fantômes des tragédies passées, la mystérieuse Tortue se lance dans une mission désespérée pour venger l'honneur de sa famille disparue. Par les cocréateurs légendaires Kevin Eastman et Peter Laird, accompagnés de Tom Waltz, scénariste de la série principale, découvrez l'histoire finale des Tortues Ninja ! Un best-seller du New York Times Critique : Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome. Autres infos : Cowabunga ! Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-last-ronin-tortues-ninja?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome.
  13. poseidon2

    Suicide squad : Blaze

    Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année
  14. Titre de l'album : Suicide squad : Blaze Scenariste de l'album : Simon Spurrier Dessinateur de l'album : Aaron Campbell Coloriste : Aaron Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionner pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d'une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d'incroyables pouvoirs... étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l'équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer... ? Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3. Critique : Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-blaze?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Catwoman Lonely city

    Hasard du calendrier ou volonté d'Urban ? Allez savoir, mais après Rogues et le dernier round des méchants de Flash, voici venir Catwoman Lonely City et le dernier round ... de ceux de Batman. Enfin pas complètement mais c'est tout comme. Dans un monde sans Batman ou Double face fait régner l'ordre à grand coup de matraque, le retour de Selina Kyle met un énorme coup dans la fourmilière ! Cliff Chiang gère excellemment bien son récit sur ce Catwoman Lonely city. On suit l'aventure de Selina et l'impact de la mort de Batman avant même de savoir pourquoi (et comment) il est mort. Ces informations sont disséminées logiquement et intelligemment au cours de la lecture. Ce qui est particulièrement réussi par Cliff Chiang, c'est le vieillissement des personnages. Il n'y a pas que leur aspect physique qui a changé, mais aussi les mentalités qui ont évolué au fil dès l'age. Un ensemble savoureux pour une Selina Kyle aux articulations douloureuses qui nous livrent une belle ode aux personnages secondaires de Batman.
  16. Titre de l'album : Catwoman Lonely city Scenariste de l'album : Cliff Chiang Dessinateur de l'album : Cliff Chiang Coloriste : Cliff Chiang Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a dix ans, le massacre connu sous le nom de Nuit du Fou coûta la vie à Batman, à Nightwing, au commissaire Gordon ainsi qu'au Joker... et a envoyé Catwoman derrière les barreaux. Une décennie plus tard, Gotham a changé et remisé l'héroïsme et autres phénomènes de foire au rayon des souvenirs encombrants. La nouvelle Gotham est plus propre, plus sûre... et désormais placée sous l'oeil vigilant du maire Harvey Dent et de ses Batcops. C'est dans cette nouvelle ville que Selina Kyle revient, marquée, avec en tête un dernier gros coup : les secrets enfouis de la Batcave et une ultime promesse faite à Bruce Wayne ! Contenu vo : Catwoman Lonely City #1-4. Critique : Hasard du calendrier ou volonté d'Urban ? Allez savoir, mais après Rogues et le dernier round des méchants de Flash, voici venir Catwoman Lonely City et le dernier round ... de ceux de Batman. Enfin pas complètement mais c'est tout comme. Dans un monde sans Batman ou Double face fait régner l'ordre à grand coup de matraque, le retour de Selina Kyle met un énorme coup dans la fourmilière ! Cliff Chiang gère excellemment bien son récit sur ce Catwoman Lonely city. On suit l'aventure de Selina et l'impact de la mort de Batman avant même de savoir pourquoi (et comment) il est mort. Ces informations sont disséminées logiquement et intelligemment au cours de la lecture. Ce qui est particulièrement réussi par Cliff Chiang, c'est le vieillissement des personnages. Il n'y a pas que leur aspect physique qui a changé, mais aussi les mentalités qui ont évolué au fil dès l'age. Un ensemble savoureux pour une Selina Kyle aux articulations douloureuses qui nous livrent une belle ode aux personnages secondaires de Batman. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catwoman-lonely-city?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Batman Catwoman

    Titre de l'album : Batman Catwoman Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : John Paul Leon / Liam Sharp / Clay Mann Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Batman et Catwoman se sont rencontrés, sont tombés amoureux et ont eu une vie heureuse. À la mort de Batman, Catwoman règle les derniers comptes d'une vie passée à évoluer entre les ombres. Son compagnon disparu, elle a désormais toute latitude pour rendre visite, une dernière fois, à une vieille connaissance à l'humour douteux... Contenu vo : #1-12 + Special + Annual #2 + Detective Comics #1027 + 80th Anniversary. Critique : Je commence cette critique par une petite clarification : ce run de Tom king, qui clôt son intervention sur le couple Batman/ Catwoman, a été assez mal reçu (ça se voit sur les notes sur BDfugue) lors de sa sortie parce qu'il est assez complexe et était donc, semble-t-il, difficilement compréhensible en sortie mensuelle. Si je comprends l'argument (et pense que j'aurais pensé pareil), on a ici l'intégralité du run et celui-ci se trouve être bien très cohérent. Compliqué, mais cohérent. Et surtout très émouvant. Car Tom King nous parle ici de la vie du couple Batman/Catwoman après leur mariage... jusqu'à la mort de Batman. Plus précisément, l'histoire principale parle de la relation de Cat avec le Joker, de son évolution dans le temps et de l'impact de son mari dans cette relation. Relation qui change après la mort de ce dernier… An partant de cette mort, Tom king nous livre trois histoires croisées entre le Joker et Catwoman. Trois histoires dans trois temporalités différentes et avec trois Catwmoan différentes. Ce que ce recueil fait de bien, c'est qu'en plus de cette histoire centrée sur Catwoman, il inclut deux aussi deux histoires courtes nous contant les années de vie commune entre Bat et Cat. De leur mariage à la mort de Bat, passant par la naissance de leur fille et nous montrant nos héros dans un contexte parental assez émouvant, les rendant presque humains. Tom King voulait finir cette histoire d'amour et on sentait qu'il n'avait pas pu aller au bout dans Rebirth comme si on l'en avait empêché. Il se permet donc de le faire dans cette histoire hors continuité, et ce, pour le plus grand plaisir des fans du couple Bat/Cat.. qui a quand même plus de gueule de Bat/fille de Ras Al'Ghul. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-catwoman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Batman Catwoman

    Je commence cette critique par une petite clarification : ce run de Tom king, qui clôt son intervention sur le couple Batman/ Catwoman, a été assez mal reçu (ça se voit sur les notes sur BDfugue) lors de sa sortie parce qu'il est assez complexe et était donc, semble-t-il, difficilement compréhensible en sortie mensuelle. Si je comprends l'argument (et pense que j'aurais pensé pareil), on a ici l'intégralité du run et celui-ci se trouve être bien très cohérent. Compliqué, mais cohérent. Et surtout très émouvant. Car Tom King nous parle ici de la vie du couple Batman/Catwoman après leur mariage... jusqu'à la mort de Batman. Plus précisément, l'histoire principale parle de la relation de Cat avec le Joker, de son évolution dans le temps et de l'impact de son mari dans cette relation. Relation qui change après la mort de ce dernier… An partant de cette mort, Tom king nous livre trois histoires croisées entre le Joker et Catwoman. Trois histoires dans trois temporalités différentes et avec trois Catwmoan différentes. Ce que ce recueil fait de bien, c'est qu'en plus de cette histoire centrée sur Catwoman, il inclut deux aussi deux histoires courtes nous contant les années de vie commune entre Bat et Cat. De leur mariage à la mort de Bat, passant par la naissance de leur fille et nous montrant nos héros dans un contexte parental assez émouvant, les rendant presque humains. Tom King voulait finir cette histoire d'amour et on sentait qu'il n'avait pas pu aller au bout dans Rebirth comme si on l'en avait empêché. Il se permet donc de le faire dans cette histoire hors continuité, et ce, pour le plus grand plaisir des fans du couple Bat/Cat.. qui a quand même plus de gueule de Bat/fille de Ras Al'Ghul.
  19. poseidon2

    Newburn t1

    Titre de l'album : Newburn t1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Jacobs Phillips Coloriste : Jacobs Phillips Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Loyal seulement envers lui-même, Easton Newburn est un détective privé indépendant travaillant pour toutes les familles du crime de New-York, afin de prévenir et d'empêcher tout conflit interne. Naviguant dans cette zone grise entre les forces de l'ordre et celles du chaos, Newburn traque aussi bien les meurtriers Critique : Vous avez 10 euro de côté et vous vous dites : et si j'allais voir le dernier Marvel ? Et bien la réponse est simple ! c'est NON ! avec 10 euro, on achète Newburn et puis c'est tout ! Fin de la critique... Bon ok si vous insistez je vais vous dire pourquoi ! Parce que Newburn c'est excellent. C'est un Polar magistralement bien mené dans un univers à la John Wick mais avec une ambiance de privé comme à la grande époque des romans noirs. C'est bien écrit, c'est dense et bien plus surprenant qu'on ne peut l'imaginer. Vous voyez bien que vos 10 seront bien investis ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/newburn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Newburn t1

    Vous avez 10 euro de côté et vous vous dites : et si j'allais voir le dernier Marvel ? Et bien la réponse est simple ! c'est NON ! avec 10 euro, on achète Newburn et puis c'est tout ! Fin de la critique... Bon ok si vous insistez je vais vous dire pourquoi ! Parce que Newburn c'est excellent. C'est un Polar magistralement bien mené dans un univers à la John Wick mais avec une ambiance de privé comme à la grande époque des romans noirs. C'est bien écrit, c'est dense et bien plus surprenant qu'on ne peut l'imaginer. Vous voyez bien que vos 10 seront bien investis !
  21. alx23

    Avatar - Le champ céleste tome 1

    Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu.
  22. Titre de l'album : Avatar - Le champ céleste tome 1 Scenariste de l'album : Sherri L. Smith Dessinateur de l'album : Guilherme Balbi Coloriste : Michael Atiyeh, Wes Dzioba Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cela fait presque une décennie que les humains ont été forcés de quitter Pandora. Mais ils sont de retour avec une armada de vaisseaux lourdement armés ! Après des années de paix, Jake Sully s'est installé avec Neytiri et a fondé une famille. Pour lui, les enjeux sont donc encore plus importants que la dernière fois où il est entré en guerre contre la puissance corporative de la RDA. Critique : Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avatar-le-champ-celeste-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. jusqu’à
    Les éditions Panini lance une collection à petit prix (6.99 € le comics en format souple) Deux objectifs dans cette collection : le premier c'est de proposer des histoires inédites à un prix abordable le deuxième c'est de permettre aux nouveaux lecteurs de comics de se familiariser avec des histoires indépendantes qui ne nécessitent pas forcément de connaissance dans le domaine en espérant bien sûr attirer un nouveau lectorat La première vague de cette nouvelle collection sortira le 8 Mars 2023, à l'occasion de la journée de la femme (je ne m'appesantirai pas sur le sujet LA journée de la femme, on pourrait en parler longtemps... 😒) et mettra à l'honneur 6 super héroïnes. Les livres sortiront aussi dans une version coffret incluant 6 ex-libris exclusifs. La seconde série devrait sortir au mois de Mai et concernera Star Wars.
  24. The_PoP

    King of spies

    Ah ah ah celui là, je l'avais repéré et puis dans la multitude de sorties de l'automne je suis passé finalement à côté. Seulement un comics alléchant finit toujours pas rentrer dans notre bibliothèque qu'on l'ai raté initialement ou non. Je viens donc de lire King of Spies et je me suis régalé. Entendons nous tout de suite, King of Spies est jouissif et corrosif et il m'a fait tout de suite penser à du Sean Murphy ce qui est plutôt flatteur pour moi. Ce one shot est ultra condensé, ultra dense, ultra dynamique. Aucun temps morts, aucune pause, et peu de compromis. Le dessin de Matteo Scalera est parfait, dynamique, nerveux, expressif et clair. Et si en plus vous avez été bercé aux James Bond, pffff, ce one-shot est fait pour vous. Par contre attention, ça ne va pas être juste un hommage, ce serait trop simple. James Bond... heu Roland King il va ramasser, et ça va pas être beau à voir.
  25. The_PoP

    King of spies

    Titre de l'album : King of spies Scenariste de l'album : Mark Millar Dessinateur de l'album : Matteo Scalera Coloriste : Giovanna Niro Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Le plus grand agent secret du monde n'a plus que six mois à vivre. Va-t-il accepter de mourir tranquillement dans un lit d'hôpital, ou préfèrera-t-il se racheter de toute une vie de mauvaises décisions ? Après quarante ans à protéger un système inique, celui qui n'a plus rien à perdre change de camp. Une nouvelle série imaginée par Mark Millar, c'est toujours un événement ! Millar fait cette fois équipe avec Matteo Scalera (Deadpool, Batman) pour une approche bien particulière du mythe 007. Comme d'habitude, un hit en puissance ! Critique : Ah ah ah celui là, je l'avais repéré et puis dans la multitude de sorties de l'automne je suis passé finalement à côté. Seulement un comics alléchant finit toujours pas rentrer dans notre bibliothèque qu'on l'ai raté initialement ou non. Je viens donc de lire King of Spies et je me suis régalé. Entendons nous tout de suite, King of Spies est jouissif et corrosif et il m'a fait tout de suite penser à du Sean Murphy ce qui est plutôt flatteur pour moi. Ce one shot est ultra condensé, ultra dense, ultra dynamique. Aucun temps morts, aucune pause, et peu de compromis. Le dessin de Matteo Scalera est parfait, dynamique, nerveux, expressif et clair. Et si en plus vous avez été bercé aux James Bond, pffff, ce one-shot est fait pour vous. Par contre attention, ça ne va pas être juste un hommage, ce serait trop simple. James Bond... heu Roland King il va ramasser, et ça va pas être beau à voir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/king-of-spies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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