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  1. alx23

    Wild Bill Hickok

    Après l'album consacré à Jesse James, on retrouve le scénariste Dobbs tout seul cette fois pour relater l'histoire de Wild Bill Hickok, une autre légende de l'ouest sauvage. Cet album commence quand Hickok perd son étoile de shérif suite à un malheureux accident. L'homme est déjà connu pour être une fine gâchette dans tout le pays et de nombreuses histoires reprennent ses faits d'armes en participant à sa légende. Le cowboy reprend sa vie de débauche entre alcool, femmes et duel au pistolet. Il participe également au spectacle de Buffalo Bill avec Texas Jack, deux autres légendes de cette époque et croise la route de Calamity Jane. Avec la troupe du spectacle, ils rejouent des moments forts de leur vie avec des batailles contre les indiens. Dobbs assure un récit prenant en se basant sur les cinq dernières années de la vie de Hickok. Les dessins d'Ennio Bufi sont magnifiques pour dépeindre l'ouest sauvage américain et ces duels comme on peut le découvrir sur la couverture. Les scènes d'action sont dynamiques avec une construction des planches nerveuses pour maintenir le rythme. L'album se termine sur une petite biographie de Hickok par Farid Ameur un historien spécialisé dans l'histoire contemporaine des Etats-Unis et de la guerre civile. Ses textes sont accompagnés de photos et de gravures. J'ai préféré la lecture de ce deuxième tome de la véritable histoire du Far west qui annonce une grande série à venir.
  2. alx23

    Wild Bill Hickok

    Titre de l'album : Wild Bill Hickok Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Ennio Bufi Coloriste : Greg Lofé Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : On l'appelait Wild Bill. De son vrai nom James Butler Hickok, il était considéré comme le meilleur tireur de l'Ouest. Sans plan ni fortune, ce dandy au style flamboyant suscitait une admiration mêlée d'effroi, semblant ne s'intéresser qu'aux femmes, au poker et au whisky. Un caractère bien trempé et une habileté à manier les armes à feu qui lui vaut de représenter la loi dans les territoires sauvages du Kansas. Un soir d'octobre 1871, sa vie bascule. Lors d'une intervention, il tue par erreur son adjoint et ami. Le vague à l'âme, Hickok rend son étoile de marshal et erre dans les Plaines. Sans conviction, il accepte de paraître lors de spectacles populaires à la gloire de l'Ouest. Aux côtés de Buffalo Bill et de Texas Jack, il rejoue ses propres aventures, réelles ou fantasmées, devant un public avide de sensationnalisme. Mais le coeur n'y est pas. Lassé par ces mascarades, en quête d'authenticité, il reprend la route des Grandes Plaines et se rend à Deadwood, dans le territoire du Dakota. Il a rendez-vous avec le destin. Critique : Après l'album consacré à Jesse James, on retrouve le scénariste Dobbs tout seul cette fois pour relater l'histoire de Wild Bill Hickok, une autre légende de l'ouest sauvage. Cet album commence quand Hickok perd son étoile de shérif suite à un malheureux accident. L'homme est déjà connu pour être une fine gâchette dans tout le pays et de nombreuses histoires reprennent ses faits d'armes en participant à sa légende. Le cowboy reprend sa vie de débauche entre alcool, femmes et duel au pistolet. Il participe également au spectacle de Buffalo Bill avec Texas Jack, deux autres légendes de cette époque et croise la route de Calamity Jane. Avec la troupe du spectacle, ils rejouent des moments forts de leur vie avec des batailles contre les indiens. Dobbs assure un récit prenant en se basant sur les cinq dernières années de la vie de Hickok. Les dessins d'Ennio Bufi sont magnifiques pour dépeindre l'ouest sauvage américain et ces duels comme on peut le découvrir sur la couverture. Les scènes d'action sont dynamiques avec une construction des planches nerveuses pour maintenir le rythme. L'album se termine sur une petite biographie de Hickok par Farid Ameur un historien spécialisé dans l'histoire contemporaine des Etats-Unis et de la guerre civile. Ses textes sont accompagnés de photos et de gravures. J'ai préféré la lecture de ce deuxième tome de la véritable histoire du Far west qui annonce une grande série à venir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-bill-hickok-228671?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Jesse James

    Titre de l'album : Jesse James Scenariste de l'album : Chris Regnault & Dobbs Dessinateur de l'album : Chris Regnault Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Le bandit bien-aimé.Missouri, 1863. En pleine guerre de Sécession, la ferme des James est saccagée par une patrouille nordiste. Leur brutalité marque au fer rouge le jeune Jesse, qui n'aspire plus qu'à se venger! Fervent partisan de la cause du Sud, il rejoint les Bushwackers de «Bloody Bill» Anderson dans leur guérilla meurtrière, apprenant à piller, voler et tuer sous couvert d'une morale viciée par le traumatisme de la guerre civile. Au rétablissement de la paix, la rancoeur, le sentiment d'injustice et l'humiliation de la défaite le précipitent dans une carrière criminelle. Dans une surenchère de la violence, les quinze années qui suivent voient s'enchaîner les braquages de banques, les attaques de trains et de diligences, les règlements de comptes et les chevauchées sauvages... Jesse, son frère Frank et leur gang sont devenus les ennemis publics numéro un d'un pays qui peine à panser ses blessures, une partie de l'opinion sudiste voyant en lui un héros populaire, une sorte de justicier au grand coeur s'en prenant aux nantis pour venger l'honneur des vaincus.Christophe Regnault et Dobbs reprennent habilement les codes classiques du genre pour nous offrir un western dense et violent servi par une mise en scène puissante à l'atmosphère crépusculaire. Accompagné par l'historien Farid Ameur, spécialiste de la conquête de l'Ouest américain, ils nous entraînent, dans un fracas de sabots, sur les pas d'une figure légendaire qui n'a pas fini de fasciner les esprits. Critique : Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James. Autres infos : Avec la participation du conseiller historique Farid Ameur Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jesse-james-228640?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Jesse James

    Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James.
  5. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel.
  6. Titre de l'album : Yakari - Tome 42 - La colère de Thathanka Scenariste de l'album : Xavier Giacometti Dessinateur de l'album : Derib Coloriste : Rebekah Paulovitch Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un peu trop désireux de prouver sa valeur à ses amis, Graine-de-Bison a pris des risques inconsidérés, et fait une très mauvaise chute. Pour sauver son esprit, Yakari décide de demander de l'aide à l'animal-totem de son ami. Le seul problème, c'est qu'il s'agit de Thathanka, le terrible bison ! Et, tout comme Graine-de-Bison, il est impétueux et têtu. Yakari parviendra-t-il à convaincre le fougueux animal de pardonner ses défauts à ce jeune papoose qui lui ressemble un peu trop…? Critique : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakari-tome-42-la-colere-de-thathanka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre 3 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jeremiah Johnson, le tueur de Crows, continue d'exercer sa féroce vengeance contre une tribu de Flathead qui l'avait fait prisonnier. Puis, pendant la guerre civile, il s'engage au sein des armées de l'Union et revient bien vite dans ses montagnes sauvages. Mais l'épopée tire à sa fin, il tue le vingtième Crow et se rend compte à cette occasion de la noblesse des tribus indiennes. Critique : Décidément les parutions chez Soleil se font toujours à un rythme effréné puisque nous voilà déjà rendus sur le tome 3 de Jeremiah Johnson. Et je vous avoue que j'ai encore du mal à m'attacher réellement à cette série pourtant objectivement plutôt réussie. La faute je pense à plusieurs points qui me sont propres. En premier lieu, cela fait désormais 2 tomes qu'on empile beaucoup de massacres je trouve, et finalement cela rejaillit pas mal sur notre vision du personnage central. L'histoire commence à devenir même franchement malaisante par moment. Ok c'est l'Ouest et c'était très probablement très rude comme milieu, mais là le personnage se déshumanise progressivement et comme il ne partait pas avec un capital sympathie si élevé, et bien je crois qu'à la fin, le lecteur se désintéresse de son sort. et se désolidarise de cette histoire de vengeance devenue absurde. Le second point qui vient pour moi renforcer cette impression tient au trait de Jack Jadson, dont je trouve les visages assez peu expressifs et très statiques. C'est encore une impression personnelle, et il faut bien reconnaître que globalement les planches de ce Jeremiah Johnson sont encore une fois de belle facture avec des décors et des scènes d'actions bien travaillées. Mais la représentation des visages des personnages vient pour moi renforcer le manque d'empathie que l'on peut ressentir pour eux en les déshumanisant. Au final, et je reconnais que je suis relativement dur avec ce Jeremiah Johnson, on se retrouve avec un western âpre, terrible, représentant probablement au plus près la réalité des guerres indiennes. Cela reste une lecture intéressante, mais qui ne marque pas forcément le lecteur autant qu'elle aurait pu avec cette histoire pourtant hors du commun. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre 3

    Décidément les parutions chez Soleil se font toujours à un rythme effréné puisque nous voilà déjà rendus sur le tome 3 de Jeremiah Johnson. Et je vous avoue que j'ai encore du mal à m'attacher réellement à cette série pourtant objectivement plutôt réussie. La faute je pense à plusieurs points qui me sont propres. En premier lieu, cela fait désormais 2 tomes qu'on empile beaucoup de massacres je trouve, et finalement cela rejaillit pas mal sur notre vision du personnage central. L'histoire commence à devenir même franchement malaisante par moment. Ok c'est l'Ouest et c'était très probablement très rude comme milieu, mais là le personnage se déshumanise progressivement et comme il ne partait pas avec un capital sympathie si élevé, et bien je crois qu'à la fin, le lecteur se désintéresse de son sort. et se désolidarise de cette histoire de vengeance devenue absurde. Le second point qui vient pour moi renforcer cette impression tient au trait de Jack Jadson, dont je trouve les visages assez peu expressifs et très statiques. C'est encore une impression personnelle, et il faut bien reconnaître que globalement les planches de ce Jeremiah Johnson sont encore une fois de belle facture avec des décors et des scènes d'actions bien travaillées. Mais la représentation des visages des personnages vient pour moi renforcer le manque d'empathie que l'on peut ressentir pour eux en les déshumanisant. Au final, et je reconnais que je suis relativement dur avec ce Jeremiah Johnson, on se retrouve avec un western âpre, terrible, représentant probablement au plus près la réalité des guerres indiennes. Cela reste une lecture intéressante, mais qui ne marque pas forcément le lecteur autant qu'elle aurait pu avec cette histoire pourtant hors du commun.
  9. Titre de l'album : West Legends - Tome 6 - Butch Cassidy & The Wild Bunch Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Suro Coloriste : Hamilton Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le Wild Bunch de Cassidy terrorise la région depuis trop longtemps. Un avis de recherche avec une forte récompense de 3 500 $ a été posé sur la tête du malfrat, mort ou vif, ce qui attire bon nombre de chasseurs de primes. Ce soir-là dans un relais, deux d'entre eux semblent être tombés sur une partie de la bande. Cassidy vit-il ses dernières heures ? Critique : La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-legends-tome-6-butch-cassidy-the-wild-bunch?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous.
  11. poseidon2

    Ladies with guns t1

    En voilà un tome qui a tout pour plaire : Un thème de retour en grâce, des filles aux forts caractères, des flingues et un dessin au top de ce que propose les nouveaux talents actuels. Pour continuer sur Anlor, il est dans la continuité du très beau Camp Poutine et d'a coucher dehors, deux parutions grand angle. Le dessin est expressif. La coloration dynamique ce qui colle parfaitement aux caractères bien trempés de nos héroïnes. Coté scenario Olivier Bocquet joue la carte du divertissement avec un album axé sur les petits coups du sort qui changent des vies. Si cela rend les aventures de nos ladies assez dantesque et marrante, on perd quand même en dramaturgie. On enchaine les mésaventures sans avoir forcement le temps de bien s'approprier les personnages donc je trouve qu'on perd un peu en immersion. Cela fait de cette BD un super divertissement mais pour lequel j'espère que le prochain tome ne rajoutera pas de perso et nous laissera mieux nous inclure, nous le lecteur, dans le groupe.
  12. Titre de l'album : Ladies with guns t1 Scenariste de l'album : Olivier Bocquet Dessinateur de l'album : Anlor Coloriste : Anlor Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : L'Ouest sauvage n'est pas tendre avec les femmes... Une esclave en fuite, une indienne isolée de sa tribu massacrée, une veuve bourgeoise, une fille de joie et une irlandaise d'une soixantaine d'années réunies par la force des choses. Des hommes qui veulent les maintenir en cage. Des femmes qui décident d'en découdre, et ça va faire mal. Ladies with guns est l'histoire de la rencontre improbable entre des femmes hors du commun refusant d'être des victimes. Un western iconoclaste et jubilatoire où rien ne vous sera épargné. Critique : En voilà un tome qui a tout pour plaire : Un thème de retour en grâce, des filles aux forts caractères, des flingues et un dessin au top de ce que propose les nouveaux talents actuels. Pour continuer sur Anlor, il est dans la continuité du très beau Camp Poutine et d'a coucher dehors, deux parutions grand angle. Le dessin est expressif. La coloration dynamique ce qui colle parfaitement aux caractères bien trempés de nos héroïnes. Coté scenario Olivier Bocquet joue la carte du divertissement avec un album axé sur les petits coups du sort qui changent des vies. Si cela rend les aventures de nos ladies assez dantesque et marrante, on perd quand même en dramaturgie. On enchaine les mésaventures sans avoir forcement le temps de bien s'approprier les personnages donc je trouve qu'on perd un peu en immersion. Cela fait de cette BD un super divertissement mais pour lequel j'espère que le prochain tome ne rajoutera pas de perso et nous laissera mieux nous inclure, nous le lecteur, dans le groupe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ladies-with-guns-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Rocking chair

    Titre de l'album : Rocking chair Scenariste de l'album : Jean-Philippe Peyraud Dessinateur de l'album : Alain Kokor Coloriste : Alain Kokor Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Venus d'Europe avec leurs familles, les deux adolescents Kees et Daatje voient leurs proches massacrés par les guides qui les accompagnaient à travers l'ouest sauvage. Les deux orphelins survivants n'ont plus pour eux qu'un chariot de la caravane, quelques vivres et un rocking chair, qu'ils vont devoir abandonner en route avant que leurs chemins se séparent. Le fauteuil va alors passer de main en main:trappeur, indien, cowboy naïf, prostituée, commerçant douteux, et même un ours... Autant de destins meurtris. Et un fauteuil de plus en plus brisé. Pourtant, il finira par revenir à Kees. En le récupérant, les souvenirs remontent à la surface et Kees va éprouver le besoin de retrouver Daatje, malgré toutes ces années passées.Un western atypique qui fait d'un rocking chair le symbole de la conquête de l'ouest! Et contrairement à ce que son titre laisse entendre, il est loin d'être de tout repos.Pour leur premier livre en commun, Jean-Philippe Peyraud et Kokor prennent le pari audacieux de transposer dans un western tout le charme de leurs récits contemporains! Critique : Je ne sais pas qui a eu l'idée en premier, mais ici on suit l'histoire d'un Rocking chair qui passe de main en main à la grande époque de l'ouest sauvage. Et cette montre... ah non oui c'est ça le truc. On n’est pas très lin du scénario de Go West Young ! A la temporalité près. Et c'est cette temporalité qui fait tout. Ici on ne bouge pas d'un siècle à l'autre. On suit la vie de notre chaise au jour le jour et sur une durée courte. Un suivi sur 14 ans. 14 années ou notre Rocking chair passe par toutes les mains et tous les états. Comme dans l'ouvre de Tiburce Oger, on passe par des indiens, les gangsters, les joueurs de saloon. Mais là où la BD de Tiburce Oger est remarquable par son changement d'ambiance et d'atmosphère par changement de dessinateur, celle-ci est tout autant remarquable pour.... l'inverse. En effet on suit avec émotions le destin de notre rocking chair. On réussit à s'émouvoir des différences de traitements qui lui sont accordés. Le temps qui passe pour notre chaise et les silences qui vont avec sont autant de temps qui nous permette de bien apprécier le travail de Alain Kokor mais aussi la poésie et la brutalité qui se dégage de cette époque. Amis fans de BD, n'y voyez pas un doublon de Go West Young man, ça serait bien trop réducteur pour une bd qui est finale bien différente en terme de ressentie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rocking-chair?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Rocking chair

    Je ne sais pas qui a eu l'idée en premier, mais ici on suit l'histoire d'un Rocking chair qui passe de main en main à la grande époque de l'ouest sauvage. Et cette montre... ah non oui c'est ça le truc. On n’est pas très lin du scénario de Go West Young ! A la temporalité près. Et c'est cette temporalité qui fait tout. Ici on ne bouge pas d'un siècle à l'autre. On suit la vie de notre chaise au jour le jour et sur une durée courte. Un suivi sur 14 ans. 14 années ou notre Rocking chair passe par toutes les mains et tous les états. Comme dans l'ouvre de Tiburce Oger, on passe par des indiens, les gangsters, les joueurs de saloon. Mais là où la BD de Tiburce Oger est remarquable par son changement d'ambiance et d'atmosphère par changement de dessinateur, celle-ci est tout autant remarquable pour.... l'inverse. En effet on suit avec émotions le destin de notre rocking chair. On réussit à s'émouvoir des différences de traitements qui lui sont accordés. Le temps qui passe pour notre chaise et les silences qui vont avec sont autant de temps qui nous permette de bien apprécier le travail de Alain Kokor mais aussi la poésie et la brutalité qui se dégage de cette époque. Amis fans de BD, n'y voyez pas un doublon de Go West Young man, ça serait bien trop réducteur pour une bd qui est finale bien différente en terme de ressentie.
  15. Les tomes de Duke se suivent à une cadence folle et ne se ressemblent pas. Une fois que j'ai dit et acté que le dessin d'Hermann a perdu pour moi pas mal de sa superbe sur ces dernières années, je ne vais pas revenir à chaque fois dessus. Oublions donc la signature et regardons cette série de Western pour ce qu'elle est. Le scénario est en train de monter en puissance, même si cela a pris pour moi un peu trop de temps, on rentre dans les dénouements intéressants qui donnent envie de lire la suite et de tourner les pages, ce qui est plutôt très bon signe, là ou j'avais pu pointer une certaine faiblesse sur les premiers tomes. Côté dessin, on a toujours cette irrégularité qui me gène un peu entre certaines planches (visages ou paysages) superbes et d'autres beaucoup plus quelconques avec parfois même certains visages ou détails qui attirent l'oeil de manière peu agréable. Globalement Duke est une série de Western plus que très correct, mais qui ne peut prétendre au panthéon des oeuvres majeures ou mémorables pour moi en BD. Notamment parce que Monsieur Hermann en a déjà placé quelques unes à lui à l'époque et là sans discussions possibles.
  16. Titre de l'album : Duke - Tome 6 - Au delà de la piste Scenariste de l'album : Yves H. Dessinateur de l'album : Hermann Coloriste : Hermann Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les cadavres continuent de s'accumuler dans le sillage de Duke, et des cent mille dollars qu'il doit maintenant apporter à King s'il veut sauver Peg. Pour cela, il doit traverser un désert presque aussi impitoyable que ses divers poursuivants : les renégats de l'armée qui veulent s'emparer du magot ; Oakley, qui a juré de venger son fils ; Manolito, son « ange gardien » en service commandé des enfers. Duke survivra-t-il pour tenir ses promesses ? Il en va du salut de son âme damnée... Critique : Les tomes de Duke se suivent à une cadence folle et ne se ressemblent pas. Une fois que j'ai dit et acté que le dessin d'Hermann a perdu pour moi pas mal de sa superbe sur ces dernières années, je ne vais pas revenir à chaque fois dessus. Oublions donc la signature et regardons cette série de Western pour ce qu'elle est. Le scénario est en train de monter en puissance, même si cela a pris pour moi un peu trop de temps, on rentre dans les dénouements intéressants qui donnent envie de lire la suite et de tourner les pages, ce qui est plutôt très bon signe, là ou j'avais pu pointer une certaine faiblesse sur les premiers tomes. Côté dessin, on a toujours cette irrégularité qui me gène un peu entre certaines planches (visages ou paysages) superbes et d'autres beaucoup plus quelconques avec parfois même certains visages ou détails qui attirent l'oeil de manière peu agréable. Globalement Duke est une série de Western plus que très correct, mais qui ne peut prétendre au panthéon des oeuvres majeures ou mémorables pour moi en BD. Notamment parce que Monsieur Hermann en a déjà placé quelques unes à lui à l'époque et là sans discussions possibles. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duke-tome-6-au-dela-de-la-piste?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Durango - Tome 18 - L’otage

    Enfonçons tout de suite une porte ouverte. Le dessin d'Iko est très loin de celui de Swolfs sur les 13 premiers tomes de la série. Mais sincèrement cela reste honorable et même si dans le Western, on trouve mieux ces dernières années, il n'est peut être pas inutile de redonner une chance à cette série, que quelques tomes quelconques m'avaient fait délaisser. Car oui le dessin d'Iko n'est pas moins appréciable que celui de Girod et il nous livre malgré tout un western dont les plans et les personnages restent bien travaillés. Sur le scénario lui même, l'album démarre par un hommage de Swolfs à Ennio Morricone et effectivement la suite va osciller entre les inévitables inspirations chères à Swolfs : qu'on se le dise il y a plus qu'un air du Bon, la Brute et le Truand dans cet album, et si quelques scènes m'ont aussi rappelé le Blueberry de Chihuaha Pearl, l'ensemble reste un hommage maitrisé au Western de l'âge d'or d'Hollywood, époque Western Spaghetti en transition avec Clint Eastwood. Bref, assez étonnamment puisque j'avais décroché de la série, et qu'une lecture au format pdf me rebute plus surement qu'autre chose, et bien j'ai passé un bon moment de lecture. Reste que j'attends comme beaucoup le retour de Swolfs aux crayons.
  18. Titre de l'album : Durango - Tome 18 - L’otage Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Iko Coloriste : Stéphane Paitreau Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Durango sauve deux américains poursuivis par des pistoléros mexicains, maîtresse et conseiller financier d'un homme fortuné, John Glazer qui gère ses investissements au Mexique depuis son hacienda de Tucson. Le fils de Glazer est retenu prisonnier par les guérilleros qui exigent une rançon pour sa libération. Glazer charge Durango de ramener son fils à Tucson. Critique : Enfonçons tout de suite une porte ouverte. Le dessin d'Iko est très loin de celui de Swolfs sur les 13 premiers tomes de la série. Mais sincèrement cela reste honorable et même si dans le Western, on trouve mieux ces dernières années, il n'est peut être pas inutile de redonner une chance à cette série, que quelques tomes quelconques m'avaient fait délaisser. Car oui le dessin d'Iko n'est pas moins appréciable que celui de Girod et il nous livre malgré tout un western dont les plans et les personnages restent bien travaillés. Sur le scénario lui même, l'album démarre par un hommage de Swolfs à Ennio Morricone et effectivement la suite va osciller entre les inévitables inspirations chères à Swolfs : qu'on se le dise il y a plus qu'un air du Bon, la Brute et le Truand dans cet album, et si quelques scènes m'ont aussi rappelé le Blueberry de Chihuaha Pearl, l'ensemble reste un hommage maitrisé au Western de l'âge d'or d'Hollywood, époque Western Spaghetti en transition avec Clint Eastwood. Bref, assez étonnamment puisque j'avais décroché de la série, et qu'une lecture au format pdf me rebute plus surement qu'autre chose, et bien j'ai passé un bon moment de lecture. Reste que j'attends comme beaucoup le retour de Swolfs aux crayons. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/durango-tome-18-l-otage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : La Venin - Tome 4 - Ciel d'Ether Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : New York 1900, Emily est danseuse de cabaret, elle est même la meneuse de revue dont la beauté subjugue bien des hommes et en particulier Stanley Whitman, architecte de renommée de la ville. Cet homme, elle le connaît déjà, elle l'a identifié sur une photo comme étant l'un des agresseurs désignés de sa mère et s'apprête à lui régler son sort comme aux autres. Mais rien ne se passe comme prévu... Critique : Allez hop mea culpa. Je vous avoue que La venin n'était pas une série que je suivais avec un grand intérêt. Le premier tome assez prometteur avait laissé place à deux tomes qui avaient finis par ne plus susciter une grosse attente. Alors même qu'il s'agit d'un Western. Je pense que je suis simplement assez "insensible" au trait par ailleurs de grande qualité de Laurent Astier. C'est difficile d'expliquer pourquoi, mais probablement car je trouve son trait un peu lisse pour le Western. Et là Bim, sans prévenir La venin prend de l'ampleur avec son scénario, s'éloignant de la gentillette vengeance trop classique esquissée dans les premiers tomes. On gagne en profondeur, on s'éloigne du genre du Western, et la BD gagne d'un coup en intérêt. Quand je dis sans prévenir c'est une façon de parler... Cette série m'avait endormi, car tous les ingrédients ont bien été avancés sous mon nez au fur et à mesure. Bref, si vous souhaitez une belle série d'aventure/western/policier fraîche et qui gagne gentiment en complexité au fil des tomes, ce La Venin est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venin-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    La Venin - Tome 4 - Ciel d'Ether

    Allez hop mea culpa. Je vous avoue que La venin n'était pas une série que je suivais avec un grand intérêt. Le premier tome assez prometteur avait laissé place à deux tomes qui avaient finis par ne plus susciter une grosse attente. Alors même qu'il s'agit d'un Western. Je pense que je suis simplement assez "insensible" au trait par ailleurs de grande qualité de Laurent Astier. C'est difficile d'expliquer pourquoi, mais probablement car je trouve son trait un peu lisse pour le Western. Et là Bim, sans prévenir La venin prend de l'ampleur avec son scénario, s'éloignant de la gentillette vengeance trop classique esquissée dans les premiers tomes. On gagne en profondeur, on s'éloigne du genre du Western, et la BD gagne d'un coup en intérêt. Quand je dis sans prévenir c'est une façon de parler... Cette série m'avait endormi, car tous les ingrédients ont bien été avancés sous mon nez au fur et à mesure. Bref, si vous souhaitez une belle série d'aventure/western/policier fraîche et qui gagne gentiment en complexité au fil des tomes, ce La Venin est fait pour vous.
  21. ce Wild Bill Hickok est le 5ème one shot dédié aux grands personnages du Western édité aux éditions soleil sous le nom West Legends. Et c'est peu dire que j'ai été dubitatif sur les débuts de cette série, les premiers tomes ne m'ayant guère emballés par leurs traitements graphiques ou leurs personnages. J'avais donc un peu décroché après le second. Force est de constater que ce tome 5 est plus conséquent que les précédents que j'avais pu lire. Le scénario y est ici implacable et simple. Les motivations des personnages sont tout aussi évidentes et logiques. Et le semi huis clos présenté dans la grande nature sauvage ne manque pas de charme. Rajoutez à ça un personnage principal aussi imbuvable que sa légende et vous obtenez un cocktail sympathique et inattendu pour un bon fan de Western. Seul bémol, le traitement graphique gagnerait à être plus poussé je pense si la série veut franhcir un cap, certains visages semblent toujours aussi figés et rigides.
  22. Titre de l'album : West Legends - Wild Bill Hickok Forty Bastards Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Laci Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le train de Wild Bill Hickok déraille quelques heures après son départ. Isolés, les survivants ignorent que la plus grande menace n'est ni les Indiens ni les loups ni le froid, mais la cavalerie des États-Unis, avec à sa tête le pire des fils de putes que l'ouest ait connu, bien décidé à reprendre ce que Hickok lui a volé, quitte à tuer tous ceux qui se mettront en travers de son chemin. Critique : ce Wild Bill Hickok est le 5ème one shot dédié aux grands personnages du Western édité aux éditions soleil sous le nom West Legends. Et c'est peu dire que j'ai été dubitatif sur les débuts de cette série, les premiers tomes ne m'ayant guère emballés par leurs traitements graphiques ou leurs personnages. J'avais donc un peu décroché après le second. Force est de constater que ce tome 5 est plus conséquent que les précédents que j'avais pu lire. Le scénario y est ici implacable et simple. Les motivations des personnages sont tout aussi évidentes et logiques. Et le semi huis clos présenté dans la grande nature sauvage ne manque pas de charme. Rajoutez à ça un personnage principal aussi imbuvable que sa légende et vous obtenez un cocktail sympathique et inattendu pour un bon fan de Western. Seul bémol, le traitement graphique gagnerait à être plus poussé je pense si la série veut franhcir un cap, certains visages semblent toujours aussi figés et rigides. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-legends-tome-5-wild-bill-hickok-forty-bastards?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : The Undertaker t6 : Salvaje Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Ralph Meyer Coloriste : Caroline Delabie Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans L'Indien blanc, Sid Beauchamp était chargé par Joséphine Barclay de retrouver la dépouille de son fils, Caleb, réduit en esclavage par les Apaches et enterré au coeur des terres interdites d'Arizona. Pour mener à bien cette mission, il a fait appel à Jonas Crow, son ami de jeunesse devenu croque-mort. Ce qu'il ne lui a pas dit, c'est qu'il a lui-même empoisonné Caleb. Et que celui-ci, marié à une Indienne nommée Salvaje, avait embrassé la cause du peuple Apache sous le nom de guerre d'Indien Blanc. De retour avec le cadavre de Caleb, Salvaje et Chato, l'enfant né de leur union, Beauchamp savoure son triomphe. Il va enfin pouvoir épouser Joséphine, la femme la plus riche de Tucson. À condition que Jonas Crow s'en tienne à la version officielle et ne révèle à personne que Sid est responsable de la mort du jeune homme. Mais Salvaje, avec l'aide de Jonas, est bien décidée à venger la mémoire de l'Indien Blanc... Ce sixième tome de la série, servi par la maestria graphique de Ralph Meyer, associé pour les couleurs au talent de Caroline Delabie, et l'imagination puissante de Xavier Dorison, confirme la place d'Undertaker au sommet du western en bande dessinée. Critique : Enfin un macaron collé sur une BD qui ne ment pas. En effet sur celui ci il est écrit : la plus grande série de Western depuis Blueberry. Et je dois avouer que je suis d'accord. Alors certes il faudra demander son avis à @The_PoP qui est l'expert chez nous mais, franchement, ce tome 6 quel claque. Que claque graphique déjà. Surement le plus belle ensemble que j'ai lu depuis très longtemps. Les dessins de Ralph Meyer sont sublimes mais ils sont, je trouve, magnifiés par la coloration de Caroline Delabie. La gestion de ce tome super sombre est magnifique et on se voit transporter dans l'histoire des les premières pages. Et le scénario n'est pas en reste. Si j'avais trouvé le tome précèdent un peu moins prenant, ce n'est absolument pas le cas de ce tome deux. La fin est d'un dramatisme rare en BD. Et entre la clôture de l'histoire en court, le passé de Jonas et sa réflexion sur ses erreurs avec Rose, on a pleins de bonnes idées qui fond avancées notre diptyque mais surtout le personnage du Undertaker qui se dévoile un peu plus encore. Le prochain tome promet d'être excellent avec des retrouvailles avec Rose électriques. Bref ce Undertaker est une merveille autant visuellement qu'en terme d'histoire. Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undertaker-tome-6-salvaje?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    The Undertaker t6 : Salvaje

    Enfin un macaron collé sur une BD qui ne ment pas. En effet sur celui ci il est écrit : la plus grande série de Western depuis Blueberry. Et je dois avouer que je suis d'accord. Alors certes il faudra demander son avis à @The_PoP qui est l'expert chez nous mais, franchement, ce tome 6 quel claque. Que claque graphique déjà. Surement le plus belle ensemble que j'ai lu depuis très longtemps. Les dessins de Ralph Meyer sont sublimes mais ils sont, je trouve, magnifiés par la coloration de Caroline Delabie. La gestion de ce tome super sombre est magnifique et on se voit transporter dans l'histoire des les premières pages. Et le scénario n'est pas en reste. Si j'avais trouvé le tome précèdent un peu moins prenant, ce n'est absolument pas le cas de ce tome deux. La fin est d'un dramatisme rare en BD. Et entre la clôture de l'histoire en court, le passé de Jonas et sa réflexion sur ses erreurs avec Rose, on a pleins de bonnes idées qui fond avancées notre diptyque mais surtout le personnage du Undertaker qui se dévoile un peu plus encore. Le prochain tome promet d'être excellent avec des retrouvailles avec Rose électriques. Bref ce Undertaker est une merveille autant visuellement qu'en terme d'histoire. Encore !
  25. The_PoP

    Duke

    Bon après avoir pas mal critiqué le travail réalisé par Messieurs Hermann senior et Hermann fils sur cette série Duke, il est temps pour moi de dire tout le bien que je pense de ce tome 5. Tout d'abord graphiquement, je trouve qu'il y a eu un vrai progrès depuis le tome 4. Je retrouve l'espace de cet album ce que j'ai tant apprécié sur le début de la série Comanche, un graphisme percutant, des visages taillés à la serpe, de l'humain poisseux, et un Ouest toujours plus sauvage. Je ne saurais vous expliquer en détail la raison de cette renaissance, mais j'ai finalement pris beaucoup de plaisir à lire ce tome 5, après 4 premiers tomes que j'avais trouvé inégaux et globalement décevants. Les planches sont globalement belles pour peu que vous aimiez le travail de M. Hermann Senior, et l'histoire prend vraiment de l'ampleur, le dénouement approche, il sera évidemment brutal et sans pitié, et je ne crois pas qu'il faudra y attendre le moindre espoir. Ce Duke devient enfin le Western qu'il aurait du être depuis le début et me fait un peu passer la pilule d'avoir pris la place des rednecks du 666. Bravo donc aux auteurs d'avoir su relever le niveau et de ne pas s'être endormis sur leurs lauriers, je ne suis pas sûr que cet album convaincra tout le monde de se laisser tenter, mais pour ceux qui n'ont pas lâché la série nul doute que ce sera une excellente raison d'attendre un tome 6 final qui s'annonce dantesque.
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