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  1. Dernière heure
  2. Salut ! Un jour, il y a quelques années ou plus, j’ai lu une histoire en plusieurs opus qui m’avait beaucoup plu et que j’aimerai retrouver, mais je ne me souviens plus ni du titre, ni de l’auteur. Il me semble que le héros est un grand mec dégingandé qui évolue dans un monde post moderne bien déjanté. Je me souviens qu’il rencontre sur le chemin de ses aventures une fille qui est capitaine et propriétaire d’un « voilier » à propulsion nucléaire. Voilà. C’est tout ce que me souvenirs me restituent ! Est-ce que ça dit quelque chose à quelqu’un ? J’ai cherché sans succès sur le net. Merci. Marc.
  3. Aujourd’hui
  4. poseidon2

    Akane Banashi tomes 1 à 3

    Super spectacle de Rakugo de Cyril Copini lors de la tournée Ki-oon avec les sketch du manga. J'en ai profité pour faire une petite interview sur le pouce. A venir demain !
  5. The_PoP

    Batman : The Long Halloween

    Ben bizarrement je le sens pas. On verra.
  6. The_PoP

    Prochaines sorties...

    Ben c’est Serpieri il me semble…
  7. Titre de l'album : Un dernier été au cimetière Scenariste de l'album : SantaMatita Dessinateur de l'album : SantaMatita Coloriste : SantaMatita Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : La réponse des personnages de cet ouvrage est vraiment particulière, puisqu'ils choisissent de passer leurs congés au cimetière. Une occupation qui pourrait sembler macabre, mais qui est finalement un moyen d'apprécier pleinement la vie. Chaque été, tel un camping improbable, le cimetière se peuple d'une foule variée et hétéroclite. Chacun passe ses vacances dans les cryptes et les tombeaux familiaux, créant ainsi une communauté insolite et partageant joies et chagrins. Mais cette année, une annonce vient bouleverser les vacanciers : le cimetière doit fermer ses portes... Critique : Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-dernier-ete-au-cimetiere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
  9. Hier
  10. Titre de l'album : Akane Banashi tomes 1 à 3 Scenariste de l'album : SUENAGA Yuki Dessinateur de l'album : MOUE Takamasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : La nouvelle étoile du manga entre en scène ! Pour la jeune Akane, son père Toru est doté d'un incroyable pouvoir : assis seul sur scène, il est capable de donner vie à une multitude de personnages différents, armé uniquement d'un éventail et d'un carré de tissu ! Toru pratique le rakugo, une forme de spectacle humoristique populaire née il y a des centaines d'années, mais toujours vivante. Malgré les moqueries de son entourage, il rêve d'accéder au rang de maître. La pression est d'autant plus forte qu'il ne veut pas décevoir sa femme, soutien de toujours, ni surtout sa fille Akane... Elle l'admire au point de l'imiter, répétant les scènes de rakugo en cachette ! Le jour de l'examen de passage vers le grade ultime, la barre est placée haut : ce n'est rien de moins que le célèbre Issho Arakawa, maître incontesté de la discipline, qui joue le rôle de juré. Toru donne une performance remarquable, la salle se tord de rire ! Et pourtant, Issho le déclare indigne du titre... Pire, il le bannit à vie du monde du rakugo, ainsi que tous les autres candidats, sans aucune explication ! La carrière d'artiste de Toru est brisée, sans que personne n'en comprenne la raison... mais Akane reprend le flambeau, bien décidée à réaliser son rêve et à découvrir la vérité derrière ce scandale ! Critique : Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière. Parlons un peu du rakugo : Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur ! Les éditions Ki-oon ont fait les choses en grand pour lancer cette nouvelle série en octobre (désolée du retard !!) en faisant une soirée spéciale avec une retransmission de l’interview des auteurs et une représentation de rakugo. Vous pourrez retrouver sur certaines dates du Ki-oon tour 2024 des représentations de rakugo alors renseignez-vous ! Tout ça pour dire que j’ai vu une représentation de rakugo avant de lire le livre. Du coup, cette lecture m’a sans doute parue plus vivante car j’imaginais très bien Akane en face de moi en train de raconter son histoire. Ce titre marche particulièrement bien au Japon, il est soutenu par des auteurs célèbres comme Eiichiro Oda ou Hideaki Anno. En ce qui nous concerne, on ressent quand même bien toute la complexité de l’apprentissage et surtout la difficulté à captiver son auditoire. Au niveau du scénario, il n’y a pas grand-chose à redire, peut-être quelques longueurs notamment lors des représentations car le rakugo est un spectacle vivant et forcément, ça rend moins bien par écrit. Akane Banashi est un titre sympathique entre apprentissage culturel et pur divertissement. Il est bien réalisé et met en valeur le rakugo. Alors si vous avez l’occasion d’en voir, allez-y, vous apprécierez encore mieux le manga ensuite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/akane-banashi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Akane Banashi tomes 1 à 3

    Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière. Parlons un peu du rakugo : Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur ! Les éditions Ki-oon ont fait les choses en grand pour lancer cette nouvelle série en octobre (désolée du retard !!) en faisant une soirée spéciale avec une retransmission de l’interview des auteurs et une représentation de rakugo. Vous pourrez retrouver sur certaines dates du Ki-oon tour 2024 des représentations de rakugo alors renseignez-vous ! Tout ça pour dire que j’ai vu une représentation de rakugo avant de lire le livre. Du coup, cette lecture m’a sans doute parue plus vivante car j’imaginais très bien Akane en face de moi en train de raconter son histoire. Ce titre marche particulièrement bien au Japon, il est soutenu par des auteurs célèbres comme Eiichiro Oda ou Hideaki Anno. En ce qui nous concerne, on ressent quand même bien toute la complexité de l’apprentissage et surtout la difficulté à captiver son auditoire. Au niveau du scénario, il n’y a pas grand-chose à redire, peut-être quelques longueurs notamment lors des représentations car le rakugo est un spectacle vivant et forcément, ça rend moins bien par écrit. Akane Banashi est un titre sympathique entre apprentissage culturel et pur divertissement. Il est bien réalisé et met en valeur le rakugo. Alors si vous avez l’occasion d’en voir, allez-y, vous apprécierez encore mieux le manga ensuite !
  12. Alors ça c'est une bonne nouvelle et un achat sans réflexion , automatique , genre , prenez mon oseille ^^ https://www.comicsblog.fr/48149-Batman__The_Last_Halloween__Jeph_Loeb_enfin_de_retour_chez_DC_Comics_pour_la_suite_de_Long_Halloween
  13. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Siii , Druuna , bien entendu , un patient me les avait prêtés ^^ Pas fou le scénar mais le dessin !!!!!
  14. The_PoP

    Prochaines sorties...

    J’aime lire et feuilleter les serpieri en bibliothèque. Je n’ai jamais eu l’envie de les avoir chez moi. difficile à mieux expliquer. cela reste du très bon hein. Le dessin est top niveau. tu n’as jamais lu druuna ?
  15. Titre de l'album : Oradour sur Glane, 10 juin 1944 Scenariste de l'album : Philippe Tomblaine Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Mathilde d'Alençon Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Oradour-sur-Glane, 10 juin 1944. Ce petit village de la Haute Vienne, situé à 20 kilomètres de Limoges, a connu l'une des journées les plus noires de l'Histoire de la Seconde Guerre Mondiale lorsqu'elle a vu arriver les blindés de la Division Das Reich. Les nazis sont entrés dans le village et ont exécutés sans distinction toutes les personnes qu'ils y ont trouvés. Retrouvez dans ce récit l'un de plus emblématiques crimes de guerre du 20e siècle, à travers ses différents protagonistes, enrichi de passionnantes pages documentaires qui vous permettront d'en apprendre plus sur cet événement dont la mémoire se doit d'être entretenue. Critique : A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant : 123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir, l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants . Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oradour-sur-glane-10-juin-1944/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant : 123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir, l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants . Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
  17. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Donc tu recommandes à moitié ces intégrales , qui risquent de manquer de "liant" du fait que l'on ne suit pas une galerie de personnages tout du long .
  18. Vrai , mais une des BD de l'année , on verra , en tout cas pour moi ,et vous savez comme je suis bon public hein 😉
  19. The_PoP

    L'imprimerie du diable

    C’est pas un peu tôt pour donner déjà ce titre ? Tu prends un risque là…
  20. The_PoP

    Le dernier debout

    Bah oui, on aurait pu ne pas acheter ! tsssss 🙂 c’est pas beau ca Pos’ 🙂
  21. The_PoP

    Prochaines sorties...

    Oui c’est quand même un monstre du western, j’aurais dit plutôt époque blueberry. il s’intéresse pas mal aux indiens de mémoire dans son approche du western. toujours adoré son dessin, mais ses scénarios / héros ne sont pas si marquants, la faute probablement au format souvent de one shot. de la même époque tu as aussi la série mac coy de palacios, autre monstre sacre du western. Un style, plus crayonné et souvent en n/b a ces débuts, il demarre sur la guerre de secession mais cote sudiste il me semble avec son personnage de mac coy, puis il le suit dans la conquete de l’ouest. Les scénarios sont un peu plus memorables car tu as plus de temps vu que tu suis un héros les deux sont des très grands a qui il n’a pas manqué grand chose pour rejoindre la sainte trinité des seigneurs du western que sont pour moi Giraud, Hermann et que je complète tout a fait personnellement par Swolfs pour son Durango.
  22. La dernière semaine
  23. nan , t'occupes , c'est parfait , la BD de l'année , c'est tout ce que t'as à savoir 😉
  24. The_PoP

    L'imprimerie du diable

    je trouve encore les visages un peu lisses non ?
  25. Titre de l'album : La concubine rebelle tome 1 Scenariste de l'album : EBIRA Hiromi Dessinateur de l'album : EBIRA Hiromi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Afin d'assurer la paix sur ses steppes natales, Sarannah doit quitter son clan pour épouser l'empereur du Pays radieux et rejoindre le palais intérieur, au cœur de la cité impériale. Hélas, venant d'une contrée étrangère, la jeune femme a du mal à se faire accepter par les autres concubines... Heureusement, grâce à sa perspicacité et à sa détermination, elle pourrait bien réussir à déjouer les pires manigances et à se rendre indispensable au sein de la demeure royale ! Critique : L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats. Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-concubine-rebelle-chroniques-du-pays-radieux-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. Nickad

    La concubine rebelle tome 1

    L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats. Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
  27. Titre de l'album : Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1 Scenariste de l'album : ANGRAM Dessinateur de l'album : ANGRAM Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Jun-woo est un gentil professeur d'université d'âge moyen qui vit avec sa fille aînée, Je-kyung. Un jour, lorsque son roman préféré est soudainement annulé, il écrit impulsivement une lettre de fan à l'auteur, qui souffre du syndrome de la page blanche, et lui demande de le rencontrer pour l'aider à écrire. Les deux se rencontrent et, au cours de leur conversation, Jun-woo se souvient accidentellement d'un livre et du nom d'un ancien auteur, et Jun-woo révèle involontairement son secret... Critique : J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début. Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié. L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent. Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir. Autres infos : Collection Kfactory Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-professeur-qui-lisait-des-histoires-d-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  28. J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début. Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié. L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent. Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
  29. Titre de l'album : Elle n'est rien qu'à moi tome 1 Scenariste de l'album : AMAZATO Sugar Dessinateur de l'album : AMAZATO Sugar Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Alors que Nachi Shinohara est un des élèves les plus cool de la classe, Yûri Takizawa préfère rester seule dans son coin. Et pourtant, une histoire d'amour naît entre eux ! Après s'être échangés quelques mots presque par hasard, nos deux lycéens entament une relation en secret... Désormais, il a envie qu'elle ne soit rien qu'à lui ! Leur histoire d'amour lycéenne oscille entre douceur et stimulations sensuelles ! Critique : Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle. Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ? Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elle-n-est-rien-qu-a-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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  • Dernières Critiques

    • Un dernier été au cimetière
      Note :
      Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes !

      SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
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    • Oradour sur Glane, 10 juin 1944
      Note :
      A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant :  123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir,  l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants .

      Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
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    • Akane Banashi tomes 1 à 3
      Note :
      Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière.

      Parlons un peu du rakugo :

      Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur !
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    • La concubine rebelle tome 1
      Note :
      L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats.

      Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
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    • Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1
      Note :
      J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début.

      Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié.

      L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent.

      Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
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