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  • Harleen


    poseidon2
    • Scenariste: Stjepan Šejic Dessinateur: Stjepan Šejic Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Après des études mouvementées qui ont entamé sa confiance en elle, la jeune psychologue Harleen Quinzel pense enfin avoir décroché le poste de ses rêves en étant embauchée à l'Asile d'Arkham afin d'apporter son soutien et son expertise aux plus grands criminels de Gotham. Mais il est un être au sein de cet asile qui va à la fois faire chavirer son esprit et son coeur : le Joker ! Petit à petit, Harleen va se laisser séduire puis sombrer dans un abîme de folie y laissant à tout jamais son innocence et ses illusions perdues. Contenu vo : Harleen #1-3.

      Autres informations: C'est qu'on l'aime comme ca la petite Harleen
      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Indéfinit Prix: -- Nb de pages: --
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    Somptueux.... c'est le premier mot qui vient quand on voit la couverture. Somptueux graphiquement mais aussi au niveau de sa conception. Cette image reflette à elle seule toute la dictotomie du personnage d'Harleen Quinzel : Une intelligence au service de la folie.

    Avec une couverture tellement belle on se dit que l'interieur sera forcement moins bon, comme souvent dans l'univers du Comic. 
    Et bien non. Non et non.  Stjepan Šejic nous livre un véritable récital. Graphiquement c'est une tuerie du début à la fin...

    Et donc au final "c'est juste un beau recueil d'illustration ? "me demanderont les lecteurs saoulés par l'omniprésence-présence de ce personnage "secondaire" du monde DC. Et bien... meme pas.  Stjepan Šejic nous livre la première vrai histoire d'Haley Quinn depuis... fiouuu depuis un baille. Ici il n'est pas question d'une Harley Quinn gentille/méchante un peu bébête et sexy qui inondes les sorties et les écrans. 

     

    Non la on parle de la jeune femme psychologue fraichement diplomée qui pense sincerement pouvoir aider les criminels à revenir dans le droit chemin.  Stjepan Šejic nous livre une vrai auto psychanalyse du personnage. Via une voie off, le personnage d'Harleen décrypte sa lente descente aux enfers. Descente guidée par le maitre des lieux : Monsieur J.

    Entre manipulation du joker, véritable amour et relation interdite,  Stjepan Šejic nous livre un récit complet et complexe sur un personnage qui gagne une densité impressionnante au point d'être vraiment l'objet de toutes les attentions. 

    Bref  Stjepan Šejic  a prit son temps mais nous a livré un album superbe qui, à L'instar du Luthor de Azzarello, met en avant un personnages méchant tout en le traitant de facon sérieuse et réfléchit. Et sur un personnage publique et délurée commme Harley Quinn, ca fait un bien fou 🙂

     

    Merci monsieur  Stjepan Šejic 

     

    PS: Attention tout de même, les lecteurs de comics qui espère des combats, des colants partout et un sauvetage de Gotham, vous risquez d'etre déçu. 

    Modifié par poseidon2

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    Commentaires recommandés



    Il y a 5 heures, poseidon2 a dit :

    Si mon libraire me le conseil

    Tu te fournis chez qui d'ailleurs ? Je sens qu'on ne fréquente pas les mêmes librairies sinon j'aurais déjà dû t'y croiser 😉

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    Alors moi je vais chez BDfugue au niveau des halles saintes claires. En fait il y a 20 ans de ca j'avais été tres mal recu chez Momie folie donc j'avais di plus jamais et les gens de chez bdfugue sont très sympa.

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    Il y a 13 heures, poseidon2 a dit :

     Reviens !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! j'ai pas été si méchant que ca ? 

    Ben, je suis là. Et il n'y a pas de problèmes. C'est juste que je n'avais rien à dire 🙂

    Pour revenir sur le sujet, disons que je suis comme Kevin : je n'achète pas mes BD d'après les couv parce que je ne les achète pas au pif en les voyant chez mon libraire sans m'être renseigné au préalable sur des sites du Net (ou sur le fofo) en regardant des planches, m'être renseigné sur l'histoire, le genre, etc...
    Ou alors, si je découvre des BD qui pourraient me plaire a priori directement chez mon libraire, je n'achète pas tout de suite : je me renseigne avant sur le Net.
    C'est très très rare que j'achète un album comme ça, sans rien en savoir. Et d'ailleurs, les rares fois où je l'ai fait, je l'ai regretté... disons 2 fois sur 3.
    Evidemment, je ne pourrais pas ouvrir tous les albums à la librairie (en plus, en cette période de Covid, ce ne serait pas une bonne idée ^^)


     

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    Pareil que Pos’. 
     

    Une couv’ ratée me rebute vraiment. 
     

    de la même façon qu’un dessin pas à mon goût.

     

    a l’inverse j’achète parfois des bd aux histoires finalement décevantes pour leurs graphismes somptueux. Que je revends alors parfois.

     

    mais je ne prends pas le temps de me documenter sur telle ou telle bd sur le net avant de passer chez mon libraire et d’acheter. Exception faite de vos 5 étoiles ou chroniques dithyrambiques ici... Par contre je feuillette toutes les bd qui pourraient m’intéresser sur la base de leurs couvertures.

    Ces derniers temps j’ai acheté en ligne juste sur vos conseils. Avec des résultats parfois mitigés. Notamment des couv’/graphisme qui m’auraient rebuté en temps normal.

     

    ceci étant je n’aurais jamais acheté Locke and Key a l’époque si je n’avais pas suivi l’excellent conseil de mon libraire

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    il y a 2 minutes, The_PoP a dit :

    de la même façon qu’un dessin pas à mon goût.

    C'est marrant car moi une couverture qui donne envie, peu importe son graphisme, me ferait passer un dessin "inhabituel"..... 

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    Il y a 12 heures, The_PoP a dit :

    a l’inverse j’achète parfois des bd aux histoires finalement décevantes pour leurs graphismes somptueux. Que je revends alors parfois.

    C'est ce que je faisais... il y a 25 ans. A l'époque, le dessin m'intéressait plus que le scénario. Mais, avec le temps, j'ai fini par comprendre la sensation de vide que je ressentais... à la "lecture" ^^ Même Guillaume Sorel - un de mes dessinateurs préférés pourtant - je n'achète plus ses albums depuis longtemps.
    Quand j'ai feuilleté Bluebells Wood, par exemple, je me suis évidemment dit "que c'est beau" (dès la première planche)
    Mais je me suis aussi dit "bon, apparemment, y a rien à lire" 🙄
    D'ailleurs, un détail révélateur : le seul album que j'ai accepté d'acheter de lui, c'était Alice au pays des Merveilles.
    Qui n'est pas un album de BD mais le roman de Caroll... illustré par Sorel.

    Exemple de BD que j'achetais quand j'étais ado parce que la couv (et les planches.... à l'aérographe siouvplaît !) était trop belle : 

    Couv_7780.jpg.354446f3b1120814f5d3ca9709c4717f.jpg

    Mais niveau scénario... non seulement c'était d'une banalité sans nom mais en plus, je ne l'ai jamais vraiment compris 😉

    Par contre, il y a effectivement des couv qui donnent envie de gerber (quand bien même ce serait génial ^^).
    Regardez un peu celle de cette nouveauté 🤢 :

    98_P1.jpg.86e29cd903d011738d7f8727daa9e965.jpg


    Finalement, l'idéal pour moi c'est encore des BD comme B&M

    Couv_170145.jpg.1c0311e54ce4837e1b88702cf98c5d8c.jpg

    et ce pour 3 raisons
    1. elles ne sont ni belles ni moches
    2. elles sont exactement semblables à ce qu'il y a à l'intérieur
    3. niveau lecture, on en a pour son argent

    Il y a 12 heures, Karlrozen a dit :

    Et là, je teste "The Magic Order". Pour le coup, le petit bandeau Netflix sur la couv' avait tendance à me rebuter ! 

    J'ai bien aimé The Magic Order... mais surtout à la seconde lecture. Et le bandeau Netflix... on s'en fout, non ? Tu le jette et puis c'est tout.
    Ils font pareil avec les romans quand c'est un auteur connu ou qu'un roman a reçu un prix. 

     

    Modifié par Phileas
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    Il y a 3 heures, Phileas a dit :

    Et le bandeau Netflix... on s'en fout, non ? Tu le jette et puis c'est tout

    In-fine oui. 

    Mais quand on parle de "qu'est-ce qui nous influence (ou pas) sur une couverture" , pour moi la BD estampillée Netflix, c'est plutôt un repoussoir qu'un gage de qualité (le fameux "vu à la télé"). Pour te rejoindre, oui, je m'en fout de savoir qu'il y a ou qu'il y aura une série TV Netflix car c'est une BD que j'achète. 

    Mais vu comme je n'ai pas accroché à l'adaptation Netflix de Locke and Key (exemple mais parlant pour le sujet qui nous concerne), afficher Netflix sur une BD /Comic n'est pas un label de qualité. J'ai même envie de dire que c'est l'effet inverse. 

    D'où ma remarque sur ce "détail" marketing mais qui sur certaines personnes, dont je fais partie, produit l'exact opposé de l'impact attendu. 

    Modifié par Karlrozen
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    Il y a 3 heures, Phileas a dit :

    Ils font pareil avec les romans quand c'est un auteur connu ou qu'un roman a reçu un prix. 

    Çà va un peu plus loin dans le cas présent car on parle d'un label Netflix (dixit le 4ème de couverture) avec un beau logo sur la tranche. 

    Mais oui, à la fin, on s'en fout. 

    Modifié par Karlrozen
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    Il y a 5 heures, Karlrozen a dit :

    pour moi la BD estampillée Netflix, c'est plutôt un repoussoir qu'un gage de qualité (le fameux "vu à la télé")

    Je ne crois pas que c'est pensé comme un gage de qualité mais juste comme de la pub.

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    Le 17/07/2020 à 23:21, Karlrozen a dit :

    Mais vu comme je n'ai pas accroché à l'adaptation Netflix de Locke and Key (exemple mais parlant pour le sujet qui nous concerne), afficher Netflix sur une BD /Comic n'est pas un label de qualité. J'ai même envie de dire que c'est l'effet inverse

    Moi je n’ai pas vu la série mais tout pareil ce genre de réclame me repousse. Un peux comme si la BD avait besoin de ca pour plaire....

     

    Le 18/07/2020 à 05:09, Phileas a dit :

    Je ne crois pas que c'est pensé comme un gage de qualité mais juste comme de la pub.

    Je me demande...; en effet NetFlix est reputée comme faisant partie des meilleurs éditeur de série aux yeux du grand public non ?

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    Il y a 5 heures, poseidon2 a dit :

    Moi je n’ai pas vu la série mais tout pareil ce genre de réclame me repousse. Un peux comme si la BD avait besoin de ca pour plaire....

    Je comprends ta réaction mais c'est peut-être aussi celle du bédéphile que tu es.
    Mais, comme tu l'as dit, Netflix est avant tout une plateforme de séries TV.  Pour eux, une BD, ça doit être plutôt vu comme un produit dérivé (même si la BD est publiée avant). Ca peut expliquer ce genre de pub... qui s'adresse avant tout aux abonnés de Netflix et notamment à ceux qui ne lisent pas de BD comme nous. Alors que s'ils n'insistaient pas en faisant ce genre de pub, les abonnés de Netflix non lecteurs de BD pourraient passer à côté. 
    En bref : ce genre de bandeau publicitaire vise avant tout le public de Netflix, pas les bédéphiles.
     

    Modifié par Phileas
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    Bon vous m'aviez convaincu alors j'ai profité de mes vacances pour le lire. Je vous confirme que c'est très bien fait, bien pensé, bien amené. 

    Mais c'est pas pour moi. Trop de psychologie de sociopathes/psychopathes & co là dedans, trop de plongée dans la démence. Ce n'est juste pas mon style de lecture. A noter également que le style manga du Joker m'a un chouïa déplut, mais ça c'est aussi une question de goût. Et j'ai regretté que les scènes "torrides" entre Harley et le Joker ne soient pas traitées de manière plus crue vu le propos tellement adulte du reste (et le talent du dessinateur)

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      Mais qu’est-ce qu’une gal ?? Gal ou gyaru est une mode vestimentaire japonaise utilisée par les jeunes filles qui consiste (dans les grandes lignes) à avoir le teint bronzé, les cheveux décolorés en blond, des minijupes, un maquillage et des accessoires tape-à-l’œil ? Cette culture née dans les années 70 avait pour objectif de rejeter les standards de beauté imposée aux femmes.

      En plus de la comédie romantique qui est agréable à lire et fort sympathique, le manga permet de vous faire découvrir la région d’Hokkaido avec des notes explicatives de l’auteur entre deux chapitres et permet aussi de montrer qu’il ne faut pas se fier aux apparences car aujourd’hui les gals sont plutôt considérées comme des filles vulgaires, superficielles et peu intelligentes.
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      Note :
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      Pour accomplir les dernières volontés de leur grand-père, Tsugumi accepte de reprendre la librairie d’occasion. Elle s’installe donc avec ses deux sœurs dans le bâtiment où il y a aussi un logement. Il y a l’ainée, Ichika dont le salaire permet, pour le moment, de faire vivre la fratrie et Minoru, la cadette encore au lycée. Seulement la librairie n’attire pas que des clients et certains aimeraient bien pouvoir mettre la main sur les trésors cachés du grand-père.

      Nous qui lisons beaucoup de livres, avoir un manga autour d’un bouquiniste est un plaisir et à vrai-dire j’avais une certaine attente qui n’a pas été complétement comblée. Comme Tsugumi reprends la librairie et qu’elle commence à apprendre le métier, on ne ressent pas la passion du chineur, l’amour du livre est présent mais pour le moment on n’est pas encore rentré dans la vie de la boutique.

      Après, la narration souffre de quelques longueurs, la fin du tome promet quelques rebondissements et actions qui seront les bienvenues. Le graphisme est minutieux et le cadrage est très carré, cela manque un peu de peps. Il faudra donc attendre le second tome pour voir si le récit va prendre son envolée.
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