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  • Lore Olympus t1


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    • Scenariste: Rachel Smythe Dessinateur: Rachel Smythe Coloriste: Rachel Smythe Editeur: Hugo bd Note :
      Résumé:

      Une réécriture contemporaine de l'une des histoires les plus connues de la mythologie grecque : l'histoire d'amour surprenante entre Perséphone et Hadès ! Perséphone, jeune déesse du printemps, est nouvelle au Mont Olympe. Sa mère, Déméter, l'a élevée exprès dans le royaume des mortels, pour la protéger des tentations. Mais après que Perséphone lui a promis de s'entraîner comme vierge sacrée, elle est autorisée à aller à l'université et à vivre dans le monde glamour et trépidant des dieux. Lorsque sa colocataire, Artémis, l'emmène à une fête, sa vie entière change : elle y rencontre Hadès et l'étincelle est immédiate avec le souverain charmant mais incompris des Enfers. Tout s'accélère alors, Perséphone doit maintenant naviguer entre les jeux stratégiques et les relations déroutantes qui régissent l'Olympe, tout en trouvant sa place et en affirmant son pouvoir. L'interprétation ingénieuse de ce conte intemporel est destinée à devenir un classique moderne ! Le chapitre bonus inédit jamais lu en ligne fera de cette édition un livre collector à se procurer absolument !

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Romance Prix: -- Nb de pages: --
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    Si jamais vous avez moins de 30 ans et que vous lisez cette critique, le titre vous parle peut être un peu mais pas complètement. C'est normal car cette nouvelle parution (manga ? comics ? bd ? allez savoir) est issue d'un webtoon qui avait été traduit "Tradition Olympus". Si vous avez plus de 30 ans et des enfants de plus de 12 ans, allez les voir ils vous diront ce qu'est un webtoon et à quel point ce Lore Olympus est trop bien, enfin c'est ce que ma fille m'a dit.

    C'est clairement ce qui m'a poussé à lire ce Lore Olympus car si la couverture est superbe, il faut être honnête sur le dessin : graphiquement c'est très pauvre au début. Le trait est hésitant et les case toutes vides. L'ensemble graphique est rehaussé par un jeu de couleurs très malin car permettant de différencier les dieux, la ou les dessins n'auraient pas suffi.

    Et oui comme tout webtoon l'auteur bredouillait son dessin au début. Ma fille m'a promis qu'après ça s'améliorait beaucoup ! 

    Mais au final j'ai bien fait de me lancer dans cette romance de dieux. Tout d'abord parce que les personnages et les pouvoirs des dieux grecques semblent maitrisés par l'auteur. Cela permet au lecteur d'entrer plus vite dans l'histoire. Ensuite la romance entre Perséphone et Hadès est... belle et très humaine. Rachel Smythe réussi assez braillement à nous présenter une histoire d'amour véritable au milieu de dieux qui ont l'habitude d'avoir ce qu'ils veulent quand ils veulent.

    Cela fait de ce premier tome un très bon début d'histoire d'amour, avec ses pièges, ses coups du sort, le tout dans une très belle édition de la part des éditions Hugo.

    De quoi se lancer dans cette histoire et rattraper les 5 Millions de personnes qui l'ont déjà lue.

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    • Horizons obliques
      Note :
      Pfff j'ai eu vraiment de mal à me lancer dans cette critique. En effet Horizon Oblique fait partie de ces albums pour lesquels je ferme le livre en me disant que j'avais raté quelques chose. pas visuellement, car j'ai trouvé le niveau affiché tout bonnement incroyable. C'est sublime et les doubles planches sont magnifiques.

      Mais c'est plus niveau histoire que je reste circonspect : l'histoire est globalement compliquée et notre auteur laisse trop de place à l'interprétation pour moi. Plus la lecture avançait plus j'avais de question et plus la fin arrivait plus je sentais je coup de twist dimensionnel en mode "comprendra qui veut".

      Et bien je ne me suis pas trompé. Je suis arrivé à la fin en ayant à peine compris le début… les dernières phrases sont tellement  pleines d'hypothèses et de perspectives  que j'ai été plus embouteillé qu'autre chose.

      Et c'est dommage, car la frange de lecteurs "rationnels" comme moi seront perdus alors que l'objet tant que le dessin les attireront.

      Méfiez-vous donc amis rationnels, ce livre sera tentant, mais vous risquez de vous y perdre.

      Reste que pour une première bd c'est quand même pas mal
      • 0 réponse
    • Les Antres tome 2 - Quéa
      Note :
      Le premier tome les Antres démarrait une aventure fantastique des plus originale avec un univers très travaillé par Éric Puybaret. Aujourd'hui, on retrouve la suite avec ce personnage léger comme une plume dans le monde des mort, souhaitant s'enfuir pour retrouver dans le monde des vivants. Pour se faire, il est obligeait de posséder un instrument de musique et avec l'aide de Quéa il pourrait s'en sortir. Cette suite devrait ravir les plus jeunes lecteurs avec de nombreuses révélations sur la vie du personnage principal avant de mourir. Il rencontre plusieurs personnages haut en couleur et d'autres comme les géants veulent le rattraper. La partie graphique apporte beaucoup à l'ambiance du récit avec des couleurs très douces et claires. On voyage dans un monde onirique et le troisième tome devrait nous réserver encore beaucoup de surprise comme le laisse supposer la fin.

      Les jeunes lecteurs seront comblés avec cette série et les adultes pourront être surpris par la qualité de l'intrigue et la partie graphique.
       
      • 0 réponse
    • Un dernier été au cimetière
      Note :
      Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes !

      SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
      • 0 réponse
    • Oradour sur Glane, 10 juin 1944
      Note :
      A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant :  123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir,  l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants .

      Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
      • 0 réponse

    • Akane Banashi tomes 1 à 3
      Note :
      Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière.

      Parlons un peu du rakugo :

      Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur !
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