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  • Yellow cab


    alx23
    • Scenariste: Christophe Chabouté Dessinateur: Christophe Chabouté Editeur: Glenat Note :
      Résumé:

      Après avoir réalisé des films et des séries pendant 20 ans, Benoit Cohen sent qu’il a besoin de prendre un nouveau départ. En 2014, il déménage pour New-York et décide de devenir chauffeur de taxi pour les besoins de l’écriture d’un scénario. En plongeant au cœur de la ville, en se nourrissant de la richesse de la métropole, il espère retrouver l’inspiration. Dans une école du Queens, il apprend les ficelles du métier, fait la rencontre de ses futurs collègues, migrants de tous pays à la recherche du « rêve américain », et affronte le labyrinthe administratif qui mène à la licence de taxi driver. Au volant de l’emblématique yellow cab, il arpente les rues de Big Apple, observe les visages de milliers de passagers et emmagasine les histoires. 

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Tranche de vie Prix: -- Nb de pages: --
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    Benoit Cohen le réalisateur et écrivain décide de s'inscrire pour devenir chauffeur de taxi à New-York afin de trouver l'inspiration pour son prochain film. Cohen n'a finalement pas fait de film sur son héroïne devenue chauffeur de taxi mais il a écrit un roman qui remporta un certain succès sur son expérience. Chabouté gère l'adaptation de ce roman en roman graphique avec sa maitrise du noir et blanc. L'histoire reprend donc cette tentative de devenir chauffeur avec finalement pour héroïne, la ville de New-York. On suit les journées de travail du chauffeur en explorant la ville, en rencontrant des personnes lambda ou en suivant des tranches de vies qui se résument à une course de taxi. Chabouté utilise souvent des planches muettes dans ces BD mais normal comme son dessin suffit à donner une ambiance ou raconter une histoire ou comprendre une situation. Le personnage donne souvent des références à des films comme Taxi driver ou d'autres.
    J’avais beaucoup aimé New-York et Yellow cab m'a permis de revisiter cette ville.
     

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    Commentaires recommandés

    C’est effectivement très très bien et loin des clichés taxi de New York auxquels je m’attendais ^^ (moi aussi je dépile)

    ca pourrait être un « chronique de … » de Guy Delisle 

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    • Horizons obliques
      Note :
      Pfff j'ai eu vraiment de mal à me lancer dans cette critique. En effet Horizon Oblique fait partie de ces albums pour lesquels je ferme le livre en me disant que j'avais raté quelques chose. pas visuellement, car j'ai trouvé le niveau affiché tout bonnement incroyable. C'est sublime et les doubles planches sont magnifiques.

      Mais c'est plus niveau histoire que je reste circonspect : l'histoire est globalement compliquée et notre auteur laisse trop de place à l'interprétation pour moi. Plus la lecture avançait plus j'avais de question et plus la fin arrivait plus je sentais je coup de twist dimensionnel en mode "comprendra qui veut".

      Et bien je ne me suis pas trompé. Je suis arrivé à la fin en ayant à peine compris le début… les dernières phrases sont tellement  pleines d'hypothèses et de perspectives  que j'ai été plus embouteillé qu'autre chose.

      Et c'est dommage, car la frange de lecteurs "rationnels" comme moi seront perdus alors que l'objet tant que le dessin les attireront.

      Méfiez-vous donc amis rationnels, ce livre sera tentant, mais vous risquez de vous y perdre.

      Reste que pour une première bd c'est quand même pas mal
      • 0 réponse
    • Les Antres tome 2 - Quéa
      Note :
      Le premier tome les Antres démarrait une aventure fantastique des plus originale avec un univers très travaillé par Éric Puybaret. Aujourd'hui, on retrouve la suite avec ce personnage léger comme une plume dans le monde des mort, souhaitant s'enfuir pour retrouver dans le monde des vivants. Pour se faire, il est obligeait de posséder un instrument de musique et avec l'aide de Quéa il pourrait s'en sortir. Cette suite devrait ravir les plus jeunes lecteurs avec de nombreuses révélations sur la vie du personnage principal avant de mourir. Il rencontre plusieurs personnages haut en couleur et d'autres comme les géants veulent le rattraper. La partie graphique apporte beaucoup à l'ambiance du récit avec des couleurs très douces et claires. On voyage dans un monde onirique et le troisième tome devrait nous réserver encore beaucoup de surprise comme le laisse supposer la fin.

      Les jeunes lecteurs seront comblés avec cette série et les adultes pourront être surpris par la qualité de l'intrigue et la partie graphique.
       
      • 0 réponse
    • Un dernier été au cimetière
      Note :
      Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes !

      SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
      • 0 réponse
    • Oradour sur Glane, 10 juin 1944
      Note :
      A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant :  123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir,  l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants .

      Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
      • 0 réponse

    • Akane Banashi tomes 1 à 3
      Note :
      Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière.

      Parlons un peu du rakugo :

      Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur !
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