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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 14/01/2023 dans toutes les zones

  1. Savage shores était vraiment bon. Plus abouti même à mon sens. Et graphiquement plus classique. celui-ci est quand même très très particulier, et pas donné. Grosse prise de risque de l’éditeur. Ceci étant dit : « Blue In Green est l'un des livres les plus beaux et les plus touchants de l'année.» Jeff Lemire
    1 point
  2. C’est pas vraiment de Ledroit, simplement une tribune qu’il relaye. Je la trouve clairement de mauvaise foi. Notamment sur la partie Disney. J’ai passé mon enfance dans les Picsou et cela n’a rien à voir avec les oeuvres de Vives qui sont discutées. ceci dit jamais inutile de rappeler les ravages de la censure. dommage de fournir une argumentation aussi pauvre. Et en partie erronée puisque évidemment la justice ne s’est pas encore prononcée mais qu’à minima ses propos sur Emma tombe sous le coup de la loi. Perso je le redis je trouve indigne et malsain qu’Angouleme ai choisit parmi la myriade d’auteur a mettre en avant l’un de ceux que peu de parents informés de ses déclarations laisseraient seul en présence de leur gosse. Mais je réagis là comme un papa d’une petite d’un an. pour le reste je reste attaché à la liberté artistique et si Anais Nin n’est pas visée par des plaintes je ne vois pas bien en quoi l’oeivre de Vives devrait l’être. pour continuer d’être honnête voici le communiqué que je trouve assez juste de Vives lui même : Je condamne la pédocriminalité, ainsi que son apologie et sa banalisation. Je condamne la culture du viol et les violences faites aux femmes. Je tiens à exprimer ma solidarité sincère envers les victimes d’inceste et de tout autre abus sexuels. En aucun cas, mes livres ne doivent être lus sous le prisme de la complaisance envers ces crimes.Mon œuvre est variée. Pour celles et ceux qui ne m’auraient jamais lu, la plupart de mes livres évoque la naissance du sentiment amoureux et du désir. C’est le sujet qui m’inspire le plus. Mes quatre livres dits « pornographiques » sont vendus en librairie sous blister, avec un avertissement et une interdiction aux moins de 18 ans. Ils s’inscrivent dans un genre burlesque humoristique. Ce ton provocateur, il m’est arrivé de le reprendre parfois, de manière maladroite, dans mes interviews. On dit parfois de moi que je suis sans filtre, mais à aucun moment je n’ai voulu blesser des victimes de crimes et abus sexuels. Et je tiens évidemment, si mes propos ont pu heurter ces personnes, à leur présenter mes plus sincères excuses.Ma présence sur les réseaux sociaux était souvent puérile. Il m’arrivait de m’en servir comme d’un défouloir. Je regrette sincèrement certains de mes propos, et plus particulièrement ceux à l’encontre de la dessinatrice Emma posté sur mon mur Facebook envers laquelle je tiens à m’excuser. C’était gratuitement violent, irrespectueux et surtout indigne. J’ai quitté Facebook et Twitter quelques temps après.Plus récemment, l’un de mes posts sur Instagram a suscité des réactions que je ne souhaitais pas. J’en ai pris la responsabilité en le supprimant et en présentant mes excuses.Cette exposition à Angoulême n’abordait pas ces sujets polémiques, qui ne définissent en rien l’intégralité de mon œuvre. Tout y avait été pensé et pesé en tenant compte des contraintes d’une manifestation comme le festival international de la bande dessinée.Aujourd'hui je me rends compte qu'au-delà de mes œuvres, ce sont surtout mes propos qui ont choqué, j'aurai désormais la plus grande attention lorsque je m'exprimerai en public ou dans les médias. je garde un doute sur sa sincérité, ses excuses arrivant 5 ans après les propos en question. Mais je suis globalement d’accord avec ce qu’il écrit et avec le fait que son expo ai été déprogrammée. Une fois encore Angoulême c’est un festival qui n’appartient pas qu’a ses organisateurs et qui reçoit notamment d’importantes subventions publiques. Qu’une galerie privée choisisse d’exposer vives ne me pose pas de problème à ce jour.
    1 point
  3. Le combat ordinaire est peut être la bd qui m’a le plus marqué ces 20 dernières années. Une des plus complète en termes d’émotions allant du rire à la tristesse. bref.
    1 point
  4. Et pour donner une vision plus complète, je vous pose ici la vision opposée partagée par Ledroit : Tribune libre d’Yves Frémion, parue dans ActuaBD, 13/1/2023 « L’affaire Bastien Vivès a réveillé de vieux démons. Il s’est trouvé plus de 500 femmes et hommes, se revendiquant pour la plupart créatrices et créateurs de BD, pour exiger l’annulation d’une exposition sans que personne ne l’ait vue, par un manifeste confus où se mêlaient arguments critiques recevables, indignation féministe contre des propos anciens, revanches personnelles, jalousie d’artistes ignorés – et surtout délire parano-puritain. Dans ce méli-mélo, des créateurs s’engagent POUR la censure, ce qu’on n’avait plus vu en Occident depuis l’hystérie du psychiatre fou Fréderic Wertham et le Comics code de 1954. En effet, dans leur texte, ces imagicides(1) dérapent en demandant au festival d’Angoulême de rédiger et d’appliquer une charte d’engagement, "afin que les futures sélections et programmations du festival soient réalisées dans le respect du droit des personnes minorisées ainsi que dans l’égalité de leurs représentations." En un mot, un nouveau « Comics code », comme celui dont les dégâts sur la BD US durant 40 ans ont été dévastateurs, et malgré son abolition pèsent encore sur la création outre-Atlantique. Sous prétexte de défendre des minorités opprimées qui ne leur ont rien demandé ou le combat féministe qui méritait mieux, les signataires expriment leur alignement sur les plus bruyants puritains étatsuniens que quatre ans de trumpisme ont sorti de leur marginalisation. Rappelons ici que malgré son insolence et son sens de la provocation (qu’on a évidemment le droit de ne pas apprécier et de lui retourner de façon identique), Bastien Vivès n’a dans l’état de nos informations commis aucun délit, n’a brutalisé personne, n’a violé aucune femme, ni sodomisé aucun enfant, ni même incité qui que ce soit à le faire, il a juste dessiné des histoires dont les fantasmes sont pour tout dire assez banals. Que diraient nos Talibans de la BD si leurs propres fantasmes étaient exhibés devant tout le monde ? Qui serait alors le plus monstrueux ? Au moins, Vivès se met à nu dans ses albums, ce qui depuis Jean-Jacques Rousseau constitue une part importante de la création littéraire et artistique. La BD autobiographique est même devenue un genre qui a donné aussi bien Fabrice Neaud que la vague Girly. Au-delà, dans tout puritanisme suinte la phobie non seulement du sexe mais celle du corps lui-même, qui hante depuis des centaines d’années tous les censeurs de l’univers: "Il faut détourner l’esprit des images corporelles" paniquait déjà au IVe ou Ve siècle un certain Augustin dont l’Église a fait un "saint". C’est bien ce dont il s’agit ici, dans cette vision asexuée de l’enfance qui ravirait les militants de la Manif pour tous, et cette terreur de sexes trop visibles à leurs yeux effarés. Les signataires voudraient dicter désormais aux artistes le contenu de leurs œuvres, les contraindre à dessiner, imaginer, penser, selon des normes définies par 500 personnes qui s’autoproclament défenseurs de victimes... de papier. Eh oh, Staline est mort, il y a 70 ans ! Les artistes officiels, ça n’existe encore que dans les plus dures dictatures. Paniqués par de simples images, on rêve ! Cette kouachisation des esprits a tellement envahi la population depuis janvier 2015, que même ceux qui vont en être victimes s’en font désormais les défenseurs. Nous sommes là en plein "syndrome de Stockholm" où les (futures) victimes réclament leur flagellation. Parce qu’il se pourrait bien qu’avec le durcissement idéologique qui saisit le monde, nos gentils signataires soient à leur tour, plus vite qu’ils ne l’imaginent, victimes d’une censure, d’une contrainte indésirable, d’une violence intellectuelle comme celle qu’ils prônent ici. Qui aura envie de les défendre alors ? Toute cette tragédie ‒ car c’en est une, moins pour Vivès que son talent sauve, que pour le mental de 500 personnes emportées par leur manque de réflexion ‒ sombre dans le ridicule et restera dans l’histoire de la culture comme les honteux précédents de Dame Anastasie. Leur pseudo-analyse des albums de Vivès est toute aussi fantasmée que leur contenu. Alors amusons-nous quelques minutes: imaginons un instant l’application stricte de leur projet de "charte". Dénonçons alors l‘ignoble œuvre de ce Yankee nommé Walt Disney. Depuis les années 1940, il inonde les revues pour la jeunesse du monde entier avec ses histoires de Donald. Qu’y voit-on ? Un humain animalisé en canard, vêtu humainement, mais dont tout le bas du corps est à poil, bien qu’à plumes, exposé au regard de nos innocents bambins, le cul en l’air, ainsi qu’une humaine animalisée en cane et dévêtue de semble façon. Pire: il y aussi dans ces histoires les trois jeunes neveux de Donald, des enfants animalisés, eux aussi le cul nu; ils vaquent à longueur d’épisodes devant le héros qui n’est, tenez-vous bien, même pas leur père mais un oncle, espèce parentale qu’on sait fortement encline à la pédophilie familiale. Or, les personnages de Disney ne sont pas plus caricaturaux que ceux de Bastien Vivès. Ils sont eux aussi une incitation à la pédopornographie sur ces enfants et à un viol sur cette femme ainsi exposée au rut du héros ‒ dont elle porte de surcroît le même patronyme (Duck), ce qui pourrait ajouter l’inceste à l’abomination. Les publications Disney doivent d’urgence être bannies des kiosques, des festivals, des écoles et des bibliothèques. Démolissons les statues de Disney à Anaheim et à Disneyland ! Brûlons les kiosques à journaux qui diffusent le Journal de Mickey et Picsou magazine ! À l’exemple du célèbre peintre Il Braghettone qui rhabilla les personnages du pornographe Michelangelo, re-gouachons ces personnages dans les albums déjà parus ! Et pour conclure, pour que ceux qui n’ont pas compris qu’"on ne combat pas les images avec des non-images"(2) et qu’ils sachent ce que ça fait d’être ostracisés, prenons une mesure simple: cessons immédiatement et définitivement à la fois de les lire et d’acheter leurs albums. Je le fais dès maintenant et garde la liste de ces justiciers et justicières sur moi. » Yves Fremion personnellement entre les deux points de vue et les réactions, je sais vers quoi je penche. Ce qui ne cesse de me surprendre est l’absence de nuances des gens et la nécessité d’adopter des points de vue tranchés et sur de grands principes. Personnellement faire annuler la mise en avant de M Vives sur la base de ses déclarations me semble nécessaire. Et instaurer une censure ne me semble pas pertinent. Dur de lire des points de vue défendant ces deux options.
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  5. Dans les autres recueils, je trouve que c'est sympathique d'avoir de temps en temps une histoire de Soïchi car on sort de cette atmosphère pesante. Tout un recueil est un peu trop mais j'avoue que le point fort est vraiment d'avoir la chronologie des histoires, ça permet de comprendre les liens entre les nouvelles !!
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  6. 1 point
  7. C’est pour lutter contre l’idée que les BD c’est pour les petits nenfants. ils ont juste oublier l’essentiel. Les albums qui se vendent et où qui plaisent à la majorité.
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  8. Bon... Petit tour à la librairie,et... gros craquage absolument pas prévu 😆 Vous pensez qu'il faut que je me fasse soigner?^^
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