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Il te prend pour un tebê ma parole ! Te laisse pas faire chef !! Explique lui la profondeur des liens humains que Léo distille dans ses œuvres ! Oui monsieur Thomas, je dis bien œuvre ! 😂2 points
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Something is killing the children tome 8 : grosse déception pour ce nouveau tome qui est juste inutile, les chapitres s'enchainent où Erica tue des monstres les uns après les autres. On n'avance pas dans l'histoire.2 points
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Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.1 point
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Titre de l'album : La force de vivre Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Laurent Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dès leur rencontre, une amitié forte va naître entre Cyril et Laurent. De celles qui font grandir et changer pour le mieux. L'un, extraverti et solaire, est l'opposé de l'autre, timide et sombre. Le lien qui les unit est pourtant indicible et inexplicable. Laurent Astier raconte comment ce lien d'amitié perdure malgré la disparition de son ami emporté par la maladie. Critique : Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-force-de-vivre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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Et un grand merci à eux de s'être prêtés au jeu !1 point
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Je viens de le finir et je ne sais quoi en penser ! Bien, mais un dessin irrégulier parfois, c'est marrant il me fait penser à ma première lecture (et unique pour l'instant) de Descender !1 point
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Cette machine de guerre !! ils vont inonder les étals lol !! T'es pas en retard déjà @Nickad ? ^^1 point
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C'est parti : @VladNirky la fin de mardock scramble prévue en juillet 2026 @poseidon2 wandance 6 et 7 pour août 2026, 8 et 9 en novembre 2026 le problème ce n'est pas de trouver les derniers tomes, il y en a un certain nombre qui sont sortis sans que les libraires les aient. Du coup, s'ils vous manque des tomes intermédiaires (ce qui est mon cas), je peux regarder à l aJapan, j'ai peur que ceux qui ne sont pas sur le planning qui suit soient difficiles à trouver bien qu'ils annoncent des réimpressions1 point
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Ah je crois que je peux le dire … aujourd’hui j’ai été retourner une bd car je l’avais déjà acheté (et pas lu) car elle était présenté comme une nouveauté la semaine dernière … heureusement ils reprennent. et c’est pas la 1ere fois cette année, il y a quelques mois pareil…. et avant d’acheter cyborg T2, du coup je Check maintenant la date d’impression et je ressors du magasin (car y’a pas de réseau au rayon bd) avec BDGest si je l’ai acheté… et j’ai bien le T1, feu vert. T1 que je n’ai pas lu … Et ce soir du coup je me mets à chercher le T1 et la bd rendue … et j’ai mis 40 min à les trouver ca devient grave 😞1 point
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Noeve grafx revient donc : réédition de 200 tomes de séries et arrivée à la Japan expo de 60 nouveaux tomes : suite de séries ou nouveautés. Ils ont sortis un planning de parution jusqu'en décembre 2026 : un planningg très chargé puiqqu'il peut y avoir jusqu'à 30 sorties par mois !! Vu leur passif, il faut voir s'ils s'y tiennent.1 point
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Moi je crois plutôt a l’effet : « bon y a pas de vaisseau spatiaux la…. Hum…. Pas d’extra terrestre non plus…. Bon….. et on n’est pas dans le futur ? Mais pourquoi j’ai ouvert ça moi » 🙂 ma femme hier en train de commencer La force de vivre : « pfff c’est bavard je sais pas trop si je vais aimer, j’accroche pas trop »…. Dix pages plus loin elle pouvait plus décrocher 😄 avec l’œil qui commence à s’humidifier…1 point
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Titre de l'album : Les cosmonautes Scenariste de l'album : Nicolas Bary, Nina Phillips Dessinateur de l'album : Etienne Péran Coloriste : Etienne Péran Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Bastien, Alphonse et Iris grandissent dans une petite ville de province, là où les rêves semblent trop grands pour le ciel. Bastien est sous le charme d'Iris, mais celle-ci est plus captivée par Alphonse et sa passion pour l'espace. Pour se rapprocher d'eux, Bastien accepte de les aider dans un projet un peu fou : construire une fusée pour partir à la conquête des astres. Très vite, Bastien découvre qu'Alphonse est atteint d'une maladie évolutive et que ce voyage qu'ils préparent est une course contre la montre. Ensemble, les enfants vont défier les lois de la gravité... Et celles de la vie. Une ode vivante et poétique à l'amitié, à la créativité et à la force de résilience. Critique : Attention, petite pépite chez Jungle avec ce formidable one-shot sentant bon l'animation et la madeleine de Proust ! Qui n'a pas rêvé un jour dans son enfance d'aller dans l'espace, d'égaler Gagarine et Amstrong, voire Thomas Pesquet pour les plus jeunes d'entre nous ?? La préface d'Arnaud Prost, astronaute réserviste est une ode à ces rêves qu'il appartient à chacun de concrétiser. "Osez" dit-il et ce sera le leitmotiv de nos trois héros Bastien, Iris et Alphonse dans cette aventure feel-good. Trois élèves brillant dans un triangle amoureux (parait-il 😉 ) et un rêve fou, celui de construire une fusée. Alphonse est l'instigateur principal de ce projet, iris le suit rapidement entrainant dans son sillage Bastien qui n'a d'yeux que pour elle. Lorsqu' Alphonse commence à rater les cours et leurs réunions dédiées à ce projet, Iris et Bastien s'activent envers et contre tous pour mener à bien cette quête des étoiles. Stand by me, les goonies, ET, on pense à ces films où amitié et aventures ne sont pas de vains mots. Les auteurs ajoutent un petit plus avec la maladie, seul véritable obstacle aux rêves les plus fous ! Mais cela se fait sans pathos ni larmoiement, plutôt une symbiose entre les trois amis avec un élan permanent de positivisme et ce malgré les nombreux obstacles jugulant leur avancée. Le dessin aide grandement à "kiffer" le récit littéralement, le trait numérique de Etienne Péran est tout simplement sublime, on se croirait dans une production Pixar ! L'émotion se dégage des visages d'autant que l'histoire est prenante à souhait ! Arriveront-ils à décoller et voler vers d'autres horizons ? Même la fin peut vous tirer une larme douce amère, prenante et terriblement résiliente. Un récit bien construit, des personnages attachants, une fin réussie, qu'attendez-vous pour vous jeter sur ce formidable "Les cosmonautes" ?? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-cosmonautes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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Oui. Ça passera crème, surtout avec une histoire au moins aussi originale que Léo j’espère 😀 plus sérieusement j’avais pris tout ceux de l’année dernière, j’en ai lu 3 avant de me planter dans le 4e tellement c’est pas un truc pour moi (c’est tellement sans intérêt surtout, on dirait un projet d’étudiant de 2e année) - non je ne dirais pas lequel c’est. mais c’est vraiment un chouette format, et j’adore les urban à ce format là aussi en fait 🤔 OMG c’est des formats mangas en fait 😱1 point
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Nan mais je reconnais que je suis un peu dur avec Le boucher sur le dessin, mais pour @VladNirkyet son amour de Leo ça va passer crème 🙂1 point
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Titre de l'album : Absolute Batman tome 1 - Le zoo Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Gabriel Walta | Nick Dragotta Coloriste : Gabriel Walta | Nick Dragotta Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Bruce Wayne ne part de rien. Il n'est pas le descendant d'un riche empire de Gotham City, il est le fils d'un professeur d'école publique qui, enfant, a vécu l'horreur inimaginable d'une fusillade, changeant à jamais la trajectoire de sa vie. Sans ressources illimitées pour le financer, sans manoir ni majordome pour s'occuper de lui, Bruce est devenu un Batman d'un genre tout à fait différent, à la fois cérébral et ultra musclé, vivant dans les quartiers les plus difficiles et les plus défavorisés de Gotham, loin de la haute société. Et alors que le gang de Black Mask sème la terreur dans la ville, il n'hésitera pas à déchainer un torrent de violence contre ses adversaires pour que le message soit clair : il y a un nouveau Batman en ville. Contenu vo : Absolute Batman #1-6. Critique : Dernier volume (de la premiere salve) à tomber entre mes mains parmi les reboot "Absolute" des univers de DC. Et on finit par mon chouchou : Monsieur batou avec rien de moins monsieur Snyder aux manettes. Pour être très honnête, ce qui marque en premier ce sont les superbes dessins de Nick Dragotta. Qu'est-ce que c'est beau… Que ce soit les scènes de combat, les choix des couleurs ou la mise en page, c'est super beau et bien adapté au Batman très dark que nous a contacté Snyder. Car Snyder nous livre un Batman "défavorisé", copain d'orphelinat avec des méchants de la version originale, sans véritable ressources autres que son investissement et ses entrainements qui en ont fait une bette physique. Ce Batman est plus sombre, plus à même de faire TRES mal, tant qu'il ne tue pas. On retrouve, encore une fois dans cette collection Absolute, tous les protagonistes de la filière principale dans des rôles radicalement différents. Les nouveaux venus auront la chance de découvrir Batman dans un nouvel univers avec une nouvelle histoire et les anciens pour se divertir à chercher les concordances. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-batman-tome-1-le-zoo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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Oui ce sont des beaux livres 🙂 Mais moins haut que des BDs. On a tous des étagères plus petites 😉1 point
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En plus comme j’aime pas le dessin de Le Boucher en petit format ça doit mieux passer 🙂 par contre le Moby Dick mérite un format plus grand je pense1 point
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Le Moby Dick de Chabouté est somptueux ! Tu peux foncer aussi sur les deux Le Boucher 😉1 point
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Ah si la : https://www.glenat.com/bd/collections/glenat-bd-poches et la https://www.glenat.com/bd/collections/vents-douest-bd-poches1 point
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Titre de l'album : Renaissance Royale tome 1 Scenariste de l'album : Gunjo Kazuki Dessinateur de l'album : Gunjo Kazuki Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Comment réhabiliter un prince banni ! Le prince héritier Kuruhi, du royaume de Gahama, est l'incarnation même du prince indigne, arrogant et imbu de lui-même. Après une série d'actes répréhensibles, il est banni de la famille royale et devient un simple roturier. Épuisé et couvert de boue, l'ex-prince trouve refuge dans une auberge tenue par Emma, une jeune fille passionnée par tout ce qui touche au palais royal ! Mais pour Emma, c'est un choc de voir son idole surgir devant elle, totalement métamorphosée... Critique : Emma est une jeune aubergiste éprise de lecture et surtout de vilains, elle fond pour les mauvais princes qui finissent par récolter ce qu’ils méritent. Mais elle ne s’attendait pas à retrouver devant sa porte le prince héritier de son royaume qui vient de se faire bannir lamentablement de sa famille, de son statut et de son château ! Elle décide alors de l’aider afin qu’il puisse retrouver toute sa prestance. J’adore le concept de la série ! Pour une fois, on ne va pas suivre la fiancée éconduite qui va prendre sa revanche, ni le second prince qui va évincer son tyran de frère. Non, ici, on va suivre le prétentieux et imbuvable prince héritier qui se prend un retour de bâton dès le début. Car l’objectif est là : que se passe-t-il pour les vilains une fois que justice est rendue ? Que deviennent-ils ? (Enfin, pour ceux qui ne sont pas exécutés). Du temps où Kuruhi était le 1er prince, il pensait que tout lui était dû et que sa position était assurée. Il avait également un côté stupide et abject au point qu’il a lancé de vilaines rumeurs sur sa fiancée pensant ainsi mettre sa maitresse sur le trône. Pour une fois, le roi n’était pas dupe et a monté un plan pour piéger son fils et voir s’il était irrécupérable ou non. C’est un point important à garder en tête car lorsqu’il devient un travailleur dans l’auberge d’Emma, on comprend bien que l’environnement dans lequel il a vécu et la première cause de son attitude pédante. C’est peut-être un peu facile dans le scénario car le méchant est plus un imbécile ignorant qu’un véritable méchant qui a le mal dans le sang. Mais je vous rassure, la fin de ce premier tome annonce d’autres intrigues intéressantes at aussi son lot de distractions et d’humour. Un très bon début de série, très plaisant à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/renaissance-royale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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C’est des histoires indépendantes jour J. Si c’est une rééditions, c’est que ça plaît et donc ils ont regroupé les 2 albums pour une histoire complète. Ça me choque pas1 point
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Titre de l'album : La terre verte Scenariste de l'album : Alain Ayroles Dessinateur de l'album : Hervé Tanquerelle Coloriste : Merlet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Aux derniers temps du Moyen Age, les ultimes descendants des Vikings tentent désespérément de survivre sur les rivages glacés du Groenland. Un homme au lourd passé, en quête d'une seconde chance, débarque parmi eux. Leur apportera-t-il le salut ou précipitera-t-il l'effondrement de la « Terre verte » ? Critique : Sur les conseils avisés de Kevin, qui s'est pourtant bien gardé d'en faire la chronique, j'ai investi dans "La terre verte". je dis investis, car un album à 35€, on commence à y réfléchir à deux fois avant de franchir le pas. Sauf que là, on a un pavé de 256 pages, dense, beau, et que sur la couverture il est indiqué que M. Ayroles en a écris le scénario. Alors je ne sais pas pour vous, mais moi M. Ayroles, je trouve que ce qu'il écrit arrive toujours à réussir l'exploit d'être intelligent ET romanesque. Une bonne raison donc de lui faire confiance. Si le dessin de Hervé Tanquerelle est remarquable a plus d'un titre, et qu'il attirera beaucoup de monde, je vous avoue que ce n'est pas mon style préféré, mais c'est vraiment une histoire de goûts et de couleur, et peut être aussi de son amour pour les gueules bien marquées. Il n'empêche que je m'incline face à la qualité du travail, des découpages, des ambiances, et à la réussite totale des personnages. C'est très bien, et si ce n'est pas vraiment votre style au départ, vous aurez oublié comme moi dès la 10ème page que vous aviez des réticences ou des pudeurs de gazelle. Le scénario d'Alain Ayroles est une nouvelle fois une merveille de finesse, d'analyse de l'homme, tout en conservant pourtant à chaque page, un sens de la narration et du drame à toute épreuve. Impossible de ne pas succomber pour ma part, c'est vraiment excellent, et cela ne ressemble pas à grand chose que vous ayez déjà lu. Bref, faites comme moi foncez rattraper votre retard, car c'est une bd que définitivement on aura bien du mal à oublier ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-terre-verte/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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Non mieux. Plus fin. Beaucoup plus subtil. Laurent Astier rend hommage à son meilleur ami décédé il y a une dizaine d’années.1 point
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Pour le moment le tome 3 de tête de chien je dirais mais il faut que j’y réfléchisse un petit peu @VladNirky: ça mérite d’aller au bout…1 point
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Allez grâce à kevin je m’y suis collé. Les 5 tomes à la suite et…. même constat que sur conquêtes, elfes, nains, inquisiteurs, androïdes, iss sniper and co : les one shorts en série dessinant en creux un univers c’est plutôt bien… mais ça finit vite par lasser si un cycle avec de plus grand enjeux ne se dessine pas et sans une forme de récurrence des personnages. c’est ce qu’ils ont mis en place pour relancer l’univers des terres d’arran et c’est bien vu. la le concept me semble plus foireux, car 1/ ils font mourir beaucoup de personnages. 2/ le contexte de la conquête de l’Ouest ne se prête pas à de grands affrontements épiques de puissances militaires. 3/ 3 persos principaux sur une seule bd c’est trop, il y en a trop des sous exploités. dernier reproche également : et pas des moindres. je trouve que l’abus de la voix off du personnage/narrateur ralentit considérablement la bd, diminue la fluidité de lecture et rend le tout trop bavard sans apporter grand chose… et c’est un point commun fort à toutes ces séries. bon j’ai l’air de raler mais sinon côté positif : c’est assez fun a lire, c’est beau, mention spéciale sur le dernier tome, la convergence de ces deux univers incongrus est quand même très sympa. Après tout pourquoi les univers de fantasy resteraient ils bloque au moyen âge ? mention spéciale aux petits bouts de steampunk disséminés un peu partout.1 point
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Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur !1 point
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Titre de l'album : L'or du spectre Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérôme Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Nouveau-Mexique, 1970. Chuck sort de taule, retrouve Kat, sa partenaire, qui l'a gentiment attendu. Ensemble, ils vont récupérer le magot que Chuck a planqué dans une bourgade abandonnée au milieu de nulle part, et à eux la grande vie ! Mais rien ne se passe comme prévu. Beaucoup trop de gens s'intéressent à cet argent, sans parler du spectre d'un vieux cow-boy à la gâchette facile qui hante la ville fantôme... Un polar sans concession par le duo qui vous a donné LE SERPENT ET LE COYOTE. Critique : Alors d'abord rétablissons les choses, ce n'est plus vraiment un duo mais plutôt un trio tant les couleurs de Jérôme Maffre font partie de l'univers de Philippe Xavier et son compère Matz, aussi bien sur Le Serpent et le coyote que sur leur série Tango. Bon si je cite la série Tango, et le one shot Le serpent et le Coyote c'est que L'or du spectre est exactement dans la même veine. Mi polar, mi western, des personnages charismatiques, de l'argent, des femmes et des flingues, le tout mélangé dans de chouettes décors. Voilà les ingrédients que ces trois compères nous offrent sur leurs dernières collaboration et sur cet opus. Il peut se lire indépendamment du Serpent et du coyote, mais entre nous, pour mieux l'apprécier, autant l'avoir lu avant. Surtout que si vous aimez l'un vous aimerez probablement l'autre. L'inverse étant tout aussi vrai. C'est le point fort et la faiblesse de cet opus, qui ne prend finalement pas trop de risques, et qui reproduit une recette qui a trouvé largement son public. Moi j'en suis, et cela me va très bien, mais on est obligé de reconnaitre que la recette semble parfois bien familière cette fois-ci. Pour les habitués, on notera pourtant que Matz nous a concocté un scénario à rebondissements, sans vraiment de héros, et accordant au passage un très bel hommage à La mine de l'Allemand perdu. Vous me connaissez, c'est le genre d'hommage dont je ne peux que me délecter tant cet album a été marquant. Ajoutons en plus un découpage par chapitre, façon Tarantino au cinéma qui rajoute un petit peu de piquant à la lecture. Philippe Xavier et Jérôme Maffre eux, répètent la maestria à laquelle on s'habitue presque désormais, dans la pure tradition franco belge, et dans l'héritage direct du Serpent et du Coyote, voir même de Tango. On sent que l'affaire est rodée, les ambiances réussies au gré du découpage en chapitres, et les personnages parfaitement réalisés. Allez messieurs, merci pour ce nouveau tour de piste, et j'ai un, vœu pieu, peut-être un poil plus d'originalité et/ou de prise de risque sur les prochains tomes (Tango ?) ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-du-spectre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement1 point
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Oui, très posée, très fluide, expressive et qui crée une atmosphère avec peu de dialogues.1 point
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C'est très vrai. Ce pourquoi j'aime bien les mangas francais qui apporte des scenario radicalement differents. ca aussi c'est vrai 🙂 Mmmhhh alors la par contre niveau serie qui ne se renouvelle pas on est quand meme pas mal aussi hein 🙂1 point
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Ouaip quand c'est trop explicite... ca bloc. Des fois je fait expres de faire des fautes sur FB. On est trop woke à mettre des trucs LGBT aussi....1 point
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Il y a un peu de East of West dans ce The New World. Et comme East of West je n'ai eu aucune envie de le lire ni de l'ouvrir au début. Puis comme dans East of West on se fait happer, et on finit ce comics alors même que l'on aurait aimé en avoir encore un peu. Cette comparaison n'est pas innocente et HiGraphics a vraiment le talent d'aller nous chercher des ovnis. Certes The New World n'atteindra pas le niveau de cette glorieuse inspiration, mais on ne boudera pas notre plaisir pour autant. Place à une Amérique une fois encore décadente ayant sombré dans un totalitarisme faisant la part belle au spectacle... On y suit un couple de héros, guère sympathiques de prime abord pour un rush endiablé. Difficile de dire pourquoi cela fonctionne mais entre l'univers graphique déjanté, flashy, coloré, et normalement pas à mon goût, et les personnages excentriques, je n'étais pas la cible. Sauf que le charme opère et que la magie prend. Je me suis régalé. Et je ne sais pas encore à qui je vais pouvoir recommander cette lecture tant elle est particulière 🙂 Mais pour les amateurs de comics différents, vous pouvez y aller : entre Punk Rock Jesus et East of West, The New World ne laissera pas indifférent.1 point
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m'étonnes pas, je n'avais déjà pas réussi à mettre le tome 1 sur threads...1 point
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