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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Boaf , j’ai pas décelé de message abondant de gauche chez Bablet ! Juste des jambes énormes dans son dessin 😅. Ton pitch me fait penser un peu au manga Planetes qui sort en intégrales et dont je n’ai lu que le 1 , les autres étant dans la pile … J’avais repéré Frontier, je verrais ok 😉. Humanisme ne veut pas forcément dire de gauche hein 😂 , j’ai en mémoire un « vous n’avez pas le monopole du cœur » qui tranche avec des « sans dents » 😜
  2. Tu as raison c’est tout un talent , mais là l’univers est plus riche , et surtout plus onirique et magique . C’est moins évident que la Horde pour s’immerger . J’ai vraiment eu du mal parfois .
  3. Dans le tome 2 et c'était bien nul comparé à Opena !! J'ai fini le tome 4 d'une traite . C'est foncièrement original , c'est clair , mais il y a un truc , ce "je ne sais quoi" qui me gêne ! Je relirai , plus tard , pour savoir . La plongée dans ce monde nouveau est quand même assez difficile , voire pénible parfois , est-ce ce motif ?
  4. On est parti sur de la grande saga là ?? Qui est cet éditeur ? Il appartient à un plus gros ?
  5. J’ai jamais vu le film , et cette sortie me tentait justement !
  6. Du haut de mes 44 ans , je dois bien avouer ne pas réaliser pleinement les répercussions de ce mouvement "beat" initié par Allen Ginsberg et ses trois compères : Jack Kerouac , William S. Burroughs et Lean Cassady . Cela remonte aux années 50 et va perdurer voire influencer les autres courants à venir jusqu'au début des années 90 , du XXème siècle "of course" 😉 . Cette génération de poètes , romanciers américains va bouleverser l'ordre établi et insuffler un certain art de vivre libertaire , tel le fameux "peace and love" . Avec notre recul , l'on peut trouver dommageable que cette tempête d'idées fraîches n'ait pas profité à la gente féminine et à la population afro-américaine . Mais Rome ne s'est pas fait en un jour ! Dans ce pavé de 240 pages , Etienne Appert utilise comme terreau les témoignages et autres enregistrements qu'a effectué le journaliste Gilles Farcet , en 1988 lors d'une semaine de visite dans les locaux new-yorkais du mouvement chapeauté par Allen Ginsberg lui-même . 7 jours riches en émotions pour le reporter qui vont agir telle une psychothérapie avec les diverses rencontres qu'il va faire . Le poète Ginsberg en premier lieu , à la fois disponible et dépassé par la ferveur du mouvement et le travail nécessaire à la poursuite de cet idéal . Mais aussi , le fameux "clochard céleste" , Hank , que Gilles Farcet verra tous les jours aux jeunes lueurs matinales dans un café du coin . Ces échanges vont déconstruire son mode de pensée et initier un travail d'introspection assez explosif . Etienne Appert peut s'en donner à coeur joie dans son dessin et offrir des doubles pages totalement psychédéliques avec des couleurs "sous acides" , époque oblige 😉 . Liberté de pensée , liberté sexuelle , mais aussi , liberté de consommer tous types de drogues , le LSD en pointe de mire . Il est parfois difficile de comprendre les nombreux messages codés et/cachés par l'auteur dans ses planches , mais son trait pop convient à merveille au propos , idem pour la coloration qui est remarquable . Ce n'est pas une lecture facile , les dialogues demandent parfois une relecture pour comprendre (ou tenter de) ces théories et autres visions du monde . Il semble nécessaire de relire cet album , mais un peu de temps après la première lecture , pour mieux digérer son riche contenu . J'aurais presque envie de découvrir le livre de Kerouac : Sur la route , oeuvre culte de la littérature américaine 😉
  7. Titre de l'album : Au crépuscule de la beat generation - Le dernier clochard céleste Scenariste de l'album : Etienne Appert , Gilles Farcet Dessinateur de l'album : Etienne Appert Coloriste : Etienne Appert Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Au cours des années 1950, une nouvelle génération d'auteurs et d'artistes ébranle l'Amérique avec son style percutant et contestataire. Ils prennent le nom de Beat Generation, nom signifiant à la fois « génération battue », « génération de la pulsation» et « génération en quête de béatitude ». Parmi eux Jack Kerouac, William S. Burroughs, Neal Cassady... En 1988, le journaliste français Gilles Farcet se rend à New York auprès d'Allen Ginsberg - l'un des plus célèbres poètes américains du 20e siècle, conscience morale de l'Amérique et pilier central du mouvement - pour observer, après trois décennies de culture Beat, vers quelle maturité « la route » chère à Kerouac a conduit ses auteurs. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'un véritable « clochard céleste » déboule au cours de ses entretiens : poète sauvage, incarnation pure de l'esprit Beat, génie marginal dont les paroles, fusant par giclées épaisses, expriment sans filtre le souffle de la grande pulsation, et entraînent Gilles dans un voyage intérieur « sur la route » de l'initiation psychédélique. Sur la base des témoignages de Gilles Farcet, Étienne Appert nous (re)plonge dans l'histoire et l'héritage de ce mouvement qui a nourri la plupart des contre-cultures du XXe siècle (beatniks, hippies, punk, écologistes...) et changé la face de l'Amérique. Critique : Du haut de mes 44 ans , je dois bien avouer ne pas réaliser pleinement les répercussions de ce mouvement "beat" initié par Allen Ginsberg et ses trois compères : Jack Kerouac , William S. Burroughs et Lean Cassady . Cela remonte aux années 50 et va perdurer voire influencer les autres courants à venir jusqu'au début des années 90 , du XXème siècle "of course" 😉 . Cette génération de poètes , romanciers américains va bouleverser l'ordre établi et insuffler un certain art de vivre libertaire , tel le fameux "peace and love" . Avec notre recul , l'on peut trouver dommageable que cette tempête d'idées fraîches n'ait pas profité à la gente féminine et à la population afro-américaine . Mais Rome ne s'est pas fait en un jour ! Dans ce pavé de 240 pages , Etienne Appert utilise comme terreau les témoignages et autres enregistrements qu'a effectué le journaliste Gilles Farcet , en 1988 lors d'une semaine de visite dans les locaux new-yorkais du mouvement chapeauté par Allen Ginsberg lui-même . 7 jours riches en émotions pour le reporter qui vont agir telle une psychothérapie avec les diverses rencontres qu'il va faire . Le poète Ginsberg en premier lieu , à la fois disponible et dépassé par la ferveur du mouvement et le travail nécessaire à la poursuite de cet idéal . Mais aussi , le fameux "clochard céleste" , Hank , que Gilles Farcet verra tous les jours aux jeunes lueurs matinales dans un café du coin . Ces échanges vont déconstruire son mode de pensée et initier un travail d'introspection assez explosif . Etienne Appert peut s'en donner à coeur joie dans son dessin et offrir des doubles pages totalement psychédéliques avec des couleurs "sous acides" , époque oblige 😉 . Liberté de pensée , liberté sexuelle , mais aussi , liberté de consommer tous types de drogues , le LSD en pointe de mire . Il est parfois difficile de comprendre les nombreux messages codés et/cachés par l'auteur dans ses planches , mais son trait pop convient à merveille au propos , idem pour la coloration qui est remarquable . Ce n'est pas une lecture facile , les dialogues demandent parfois une relecture pour comprendre (ou tenter de) ces théories et autres visions du monde . Il semble nécessaire de relire cet album , mais un peu de temps après la première lecture , pour mieux digérer son riche contenu . J'aurais presque envie de découvrir le livre de Kerouac : Sur la route , oeuvre culte de la littérature américaine 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-crepuscule-de-la-beat-generation-le-dernier-clochard-celeste/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je sais plus quelle plate -forme de streaming a eu les droits pour les adapter en série tv , mais c'est prévu .
  9. Commencé le tome 1 , faut s'accrocher au début , je capte rien !! Un nouvel univers riche et foisonnant ! Dessin comme d'hab de Opena au top .Il me donne envie de relire le run de Hickman et lui de Marvel 🙂
  10. Ah , des suites sont prévues alors !
  11. Tu le reliras je t'assure , j'ai déjà envie de le relire ! Incroyable tout ce qu'il y a dedans !
  12. Ah ouais , clairement t'assures grave ! Itw en anglais facile 😉 !! Une star chez 1001bd 🙂
  13. Mise à part ce wokisme exacerbé , c'est excellent , oui 😉 J'ai un bémol personnel sur le dessin parfois un peu brouillon , c'est tout .
  14. Titre de l'album : MBS : l'enfant terrible d'Arabie saoudite Scenariste de l'album : Antoine Vitkine Dessinateur de l'album : Christophe Girard Coloriste : Christophe Girard Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Entre séduction et répression, le portrait sans concession de MBS, prince héritier d'Arabie Saoudite, l'un des futurs dirigeants les plus influents du XXIe siècle. Fils du roi d'Arabie saoudite, Mohammed Ben Salmane, dit MBS, est devenu à trente-deux ans l'homme fort d'un pays qui possède les premières réserves pétrolières du monde et les principaux lieux saints de l'Islam. Allié indocile de l'Occident, deuxième client de l'industrie d'armement de la France, ce prince ambitieux joue un rôle clef au Moyen-Orient et tente de peser sur le conflit en Ukraine. Depuis son arrivée au pouvoir, il affiche un bilan aussi détonant que contradictoire. Dans un pays longtemps obscurantiste, il a impulsé des réformes sociétales inédites, comme la possibilité pour les femmes de conduire ou la mise au pas de la police religieuse. Il a lancé de pharamineux projets économiques mais aussi embastillé des dizaines d'hommes d'affaires saoudiens. Il a autorisé des concerts mixtes et traqué des opposantes féministes. Il veut peser dans la géopolitique internationale et a kidnappé un premier ministre en exercice. Il livre une impitoyable guerre au Yémen, mène tambour battant une opération de relations publiques mondiale et a commandité l'assassinat du journaliste, Jamal Khassoggi. Cet homme-là se trouve être notre allié au Moyen-Orient. Pétrole, lutte anti-terroriste, paix israélo-arabe, nous avons besoin de lui mais sa fiabilité est sujette à caution. Si son pays apparait comme un pôle de stabilité´, son impulsivité´ menace, dans le même temps, la paix. Entre realpolitik et fidélité´ aux valeurs démocratiques, le Prince oblige l'Occident à des choix difficiles. Qui est-il et que peut-il vraiment ? Critique : Vous connaissez l'excellente revue XXI proposant des reportages poussés ? J'ai eu l'impression d'en lire un avec cet excellentissime MBS ! Où comment pousser l'investigation au sommet , sur un sujet qui n'en est pas moins compliqué , car dissimulé ! On est saisit d'emblée par les difficultés éprouvées par le scénariste qui n'en est pas à son galop d'essai : Poutine, Bachar , Kadhafi , Magda Goebbels , entre autres sont passés sous sa plume , et ils ne sont pas les plus simples à interviewer ! Après un travail de recherche important et perpétuel , car le sujet est étroitement lié à l'actualité , il délivre une biographie de Mohammed Ben Salmane, dit MBS , devenu la tête de proue de l'Arabie Saoudite . Après une brève présentation du personnage adulte sur son yacht, il présente sa jeunesse dans cette gigantesque famille où les princes sont légions (polygamie oblige) , au sein d'une cour royale où les femmes sont cachées , où les profs particuliers doivent avaler des couleuvres face aux richissimes héritiers qui ne travaillent absolument pas leurs cours , bref j'en passe et vous laisse découvrir 😉 . Il inscrit ensuite l'évolution de MBS dans une chronologie liée aux événements touchant le monde , car ce pays possédant les plus grandes réserves pétrolières au monde , reste en contact avec les grandes puissances économiques . Obama puis Trump , Sarkozy , Hollande , Macron , passent et l'on découvre ce monde des affaires où un grand nombre de contrats sont établis sous des contraintes économiques . L'Arabie investit partout , mais non sans réclamer de contreparties , avec une principale et qui prédomine chez MBS : le besoin de reconnaissance ! En atteste son "caprice" lorsqu'il achète une toile (présumée) de DaVinci un peu moins de 500 millions et désire l'exposer dans la même salle que la Joconde ... Dans cette cour royale où les coups bas sont rois , on va découvrir tout ce cheminement fait de tueries , trahisons , décisions soudaines et brutales aux lourdes conséquences , pour accéder au pouvoir suprême . Il est nécessaire d'avoir un support pour exposer ce reportage aux allures de film d'espionnage . Christophe Girard illustre tout ceci avec un dessin réaliste et précis . Je lui reprocherais juste les visages des "têtes connues présidentielles" qui manquent légèrement de ressemblance . Un docu-bd excellent , qui va vous apprendre une multitude d'informations sur ce pays et son expansion . Mais surtout , vous découvrirez qui est MBS , car il sera assurément un personnage important du XXI ème siècle . Ce livre se paye même le luxe d'avoir un potentiel relecture important , tellement il est fourni . SAISISSANT ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mbs-l-enfant-terrible-d-arabie-saoudite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Vous connaissez l'excellente revue XXI proposant des reportages poussés ? J'ai eu l'impression d'en lire un avec cet excellentissime MBS ! Où comment pousser l'investigation au sommet , sur un sujet qui n'en est pas moins compliqué , car dissimulé ! On est saisit d'emblée par les difficultés éprouvées par le scénariste qui n'en est pas à son galop d'essai : Poutine, Bachar , Kadhafi , Magda Goebbels , entre autres sont passés sous sa plume , et ils ne sont pas les plus simples à interviewer ! Après un travail de recherche important et perpétuel , car le sujet est étroitement lié à l'actualité , il délivre une biographie de Mohammed Ben Salmane, dit MBS , devenu la tête de proue de l'Arabie Saoudite . Après une brève présentation du personnage adulte sur son yacht, il présente sa jeunesse dans cette gigantesque famille où les princes sont légions (polygamie oblige) , au sein d'une cour royale où les femmes sont cachées , où les profs particuliers doivent avaler des couleuvres face aux richissimes héritiers qui ne travaillent absolument pas leurs cours , bref j'en passe et vous laisse découvrir 😉 . Il inscrit ensuite l'évolution de MBS dans une chronologie liée aux événements touchant le monde , car ce pays possédant les plus grandes réserves pétrolières au monde , reste en contact avec les grandes puissances économiques . Obama puis Trump , Sarkozy , Hollande , Macron , passent et l'on découvre ce monde des affaires où un grand nombre de contrats sont établis sous des contraintes économiques . L'Arabie investit partout , mais non sans réclamer de contreparties , avec une principale et qui prédomine chez MBS : le besoin de reconnaissance ! En atteste son "caprice" lorsqu'il achète une toile (présumée) de DaVinci un peu moins de 500 millions et désire l'exposer dans la même salle que la Joconde ... Dans cette cour royale où les coups bas sont rois , on va découvrir tout ce cheminement fait de tueries , trahisons , décisions soudaines et brutales aux lourdes conséquences , pour accéder au pouvoir suprême . Il est nécessaire d'avoir un support pour exposer ce reportage aux allures de film d'espionnage . Christophe Girard illustre tout ceci avec un dessin réaliste et précis . Je lui reprocherais juste les visages des "têtes connues présidentielles" qui manquent légèrement de ressemblance . Un docu-bd excellent , qui va vous apprendre une multitude d'informations sur ce pays et son expansion . Mais surtout , vous découvrirez qui est MBS , car il sera assurément un personnage important du XXI ème siècle . Ce livre se paye même le luxe d'avoir un potentiel relecture important , tellement il est fourni . SAISISSANT !
  16. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    La suite vaut le coup oui : Et le one -shot sur Rorschach est excellent , même encore mieux , un polar avec maître King aux manettes :
  17. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Pour avoir tout lu , je te conseille (malheureusement) de te passer d'eux ! Tu peux tout à fait lire les gros titres : HOXPOX , Xofswords , Hellfire gala et Inferno pour terminer . Les (trop) nombreux titres parus entre , n'apportent pas grand chose in fine 😞 Watchmen , c'est énorme oui , j'ai zappé par moment les passages avec le gamin qui lit la bd de pirates , ça me barbait . Tu sais qu'il y a une suite plus ou moins , avec l'apport de DC 😉
  18. On ne peut plus d'accord !
  19. Vrai lol , même si certains crossover Marvel se veulent "lisables" sans avoir tout lu 🙂 Je viens de le terminer et , je suis un peu circonspect . Ils ont mis pas mal de monde connu dans les tomes précédents , mais ça manque parfois d'un petit signal permettant de situer le personnage déjà vu . Et j'attendais plus de héros iconiques comme Lanawyn , mais je pense que ça va pas tarder dans les suites . J'aurais mis 4/5 comme toi , voire même 3,5/5 . Je suis fan de l'univers mais j'en ai lu des meilleurs . Je pense qu'il ne faut pas se laisser griser par l'aspect crossover . On verra la suite donc !
  20. Il y a un léger parfum de Sweeth tooth le comics adapté en série tv de Jeff Lemire , dans cette aventure fantastique bretonne . 5 jeunes gens se voient du jour au lendemain transformés littéralement . Chacun devient un animal mais garde l'aspect bipède et surtout , se découvre des sens exacerbés qui tiennent à la nature même de la bête . Ils possèdent aussi des talents de magie , mais je n'en dis pas plus pour mieux vous laisser découvrir 😉 . En utilisant le thème de l'adolescence , les auteurs ancrent le récit dans une période de la vie pleine de bouleversements . Ils dépeignent le quotidien de lycéens avec leurs relations amicales et familiales et ajoutent un brin d'écologie en fond scénaristique . Le trait surprenant de Laurent Richard alterne les cases "photographiques" avec des ombrages puissants , puis d'autres avec une touche plus cartoon , en atteste la couverture et nos héros au premier plan . On peut y déceler une volonté d'insérer une part de magie assez "infantile" au sein d'un cadre plus mature et réel . C'est très réussi , et le format en couverture souple associé à un découpage classique semble parfait pour le lectorat visé . J'ajoute qu'il s'agit d'un one-shot , mais qu'avec un succès en librairie , les auteurs peuvent tout à fait réaliser une suite . La fin étant assez ouverte à d'autres aventures de nos héros "animaliers" . Même si je ne suis pas la cible d'une telle lecture , je pense qu'elle peut viser juste chez les ados . Une petite pointe d'écologie ne fait de mal à personne en ces temps troublés 🙂 .
  21. Titre de l'album : Les ambassadeurs - la révélation Scenariste de l'album : Benoit Broyart Dessinateur de l'album : Laurent Richard Coloriste : Laurent Richard Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Et si vous aviez le pouvoir de faire le lien entre la nature et les hommes, pourriez-vous sauver le monde ? Quelque part en Bretagne, le quotidien de Malika, Valentine, Hugo, Tom et Alex est bouleversé un matin, peu après le passage d'une tempête. Ils vont subir une transformation physique étrange et pour eux, la vie ne sera plus jamais comme avant... Une mission de taille leur a été confiée, ils seront désormais les ambassadeurs de la nature. Quelles seront les réactions de leur entourage ? Réussiront-ils à faire évoluer les mentalités ? Critique : Il y a un léger parfum de Sweeth tooth le comics adapté en série tv de Jeff Lemire , dans cette aventure fantastique bretonne . 5 jeunes gens se voient du jour au lendemain transformés littéralement . Chacun devient un animal mais garde l'aspect bipède et surtout , se découvre des sens exacerbés qui tiennent à la nature même de la bête . Ils possèdent aussi des talents de magie , mais je n'en dis pas plus pour mieux vous laisser découvrir 😉 . En utilisant le thème de l'adolescence , les auteurs ancrent le récit dans une période de la vie pleine de bouleversements . Ils dépeignent le quotidien de lycéens avec leurs relations amicales et familiales et ajoutent un brin d'écologie en fond scénaristique . Le trait surprenant de Laurent Richard alterne les cases "photographiques" avec des ombrages puissants , puis d'autres avec une touche plus cartoon , en atteste la couverture et nos héros au premier plan . On peut y déceler une volonté d'insérer une part de magie assez "infantile" au sein d'un cadre plus mature et réel . C'est très réussi , et le format en couverture souple associé à un découpage classique semble parfait pour le lectorat visé . J'ajoute qu'il s'agit d'un one-shot , mais qu'avec un succès en librairie , les auteurs peuvent tout à fait réaliser une suite . La fin étant assez ouverte à d'autres aventures de nos héros "animaliers" . Même si je ne suis pas la cible d'une telle lecture , je pense qu'elle peut viser juste chez les ados . Une petite pointe d'écologie ne fait de mal à personne en ces temps troublés 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ambassadeurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. https://www.comicsblog.fr/45595-DC_repousse_le_Pingouin_de_Tom_King_au_mois_daoet_2023_Rafael_De_LaTorre_annoncee_aux_dessins
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