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  1. Titre de l'album : Le chateau des etoiles T5 Scenariste de l'album : Alex Alice Dessinateur de l'album : Alex Alice Editeur de l'album : Rue de sevres Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Planète Mars, 1873 : Séraphin et ses amis escortent la Princesse et son peuple à travers les hauts plateaux. La colonne de martiaux fuit l'invasion prussienne, et espère trouver refuge au-delà des terres interdites du pôle de Mars. Mais les phénomènes étranges se multiplient, et les aigles de guerre de Bismarck menacent... Poussés au bord du désespoir, leur salut viendra-t-il des reliques d'une antique civilisations martienne, ou d'une alliance plus pragmatique avec le tout nouvel empire interplanétaire de Napoléon III ? Critique : Bon allez c'est ma journée et ma tournée : La journée des minimisations de succès attendus et critiques. Apres Chris Kyle, c'est partit pour le tome 5 du château de étoiles. Bon Ok on va être claire des le debut : l'album est bon. On en attend pas moins d'Alex Alice. Il est bon et il est beau. Mais quand on à lu le reste de la production du monsieur, ce premier tome de cycle ressemble trop à une introduction... du spin off sur Venus. Alors je ne dis pas hein.Ce spin off sur Venus s'annonce excellent mais notre histoire marsienne n'avance pas beaucoup. En fait il se passe beaucoup de chose de facon très condensé au début et puis hop... place à la presentation du spin off. Je fais confiance à Alex Alice pour nous faire un super tome 6 mais étant dans ma journée "critique", je critique 🙂 Rue de Sevres est en train de nous planifier un univers autour de l'Ether et je pense sincerement que tous les fans de Jules Verne comme moi s'en réjouiront. En esperant que la série principale ne se perde pas au profit des spin off sur les autres planètes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chateau-des-etoiles-tome-5-de-mars-a-paris?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    L'homme qui tua Chris Kyle

    Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂
  3. Titre de l'album : L'homme qui tua Chris Kyle Scenariste de l'album : Fabien Nury Dessinateur de l'album : Bruno Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Chris Kyle est un héros. Ancien sniper chez les Navy Seals durant la deuxième guerre d'Irak, il a tué plus de 160 « cibles ». Au faîte de sa gloire (Clint Eastwood a même acheté les droits de son autobiographie, bestseller aux États-Unis, pour en faire un film ? ce sera "American Sniper"), Chris Kyle dédie sa vie à aider ses anciens camarades de combats marqués aussi bien physiquement que mentalement par la guerre. Eddie Ray Routh est l'un d'entre eux. Le 2 février 2013, l'inconnu EDDIE RAY ROUTH abat la Légende Chris Kyle. Ce livre raconte l'histoire raconte le crime ? et ses conséquences. Critique : Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-tua-chris-kyle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Au bonheur des dames

    Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet !
  5. Titre de l'album : Au bonheur des dames Scenariste de l'album : Agnès Maupré d'apres Emile Zola Dessinateur de l'album : Agnès Maupré Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : Venue de sa lointaine Normandie, Denise arrive à Paris avec ses deux frères sans un sou en poche... D’abord aidée par l’oncle Baudu, un commerçant méfiant, elle va franchir la porte du Bonheur des Dames, un immense magasin de nouveautés qui fait se déplacer tout ce que Paris compte d’élégantes… Engagée comme vendeuse, Denise découvre autour d’elle les rivalités avec les autres vendeuses, devenant vite la victime d’un système aliénant où il faut sans cesse se battre pour vendre et où les amitiés sont rares. Mais la jeune femme va faire la connaissance d’Octave Mouret, le directeur du Bonheur des Dames, un homme de conquête qui ne songe qu’à l’expansion de son magasin, à défaut de trouver l’amour. À moins que la rencontre avec Denise ne vienne bouleverser ses croyances ? Critique : Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-bonheur-des-dames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Une nuit a rome t4

    A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens.
  7. Titre de l'album : Une nuit a rome t4 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 4 Résumé de l'album : « Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ». Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ? Critique : A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens. Autres infos : On ne pouvait pas le laisser tranquille ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-nuit-a-rome-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    La Clef de Sid'

    Le scénario de Guillaume Tenaud nous propose un récit prenant et dramatique sur la fin de la vie. En effet, le héros n'a plus de rêve mais continue de revivre ses souvenirs de sa vie passée en compagnie de sa femme. Une aide à domicile va lui redonner la joie de vivre juste en écoutant ce vieil horloger à la retraite, qui conserve malgré tout une bonne répartie. La narration est parfaitement fluide et accroche le lecteur qui souhaite poursuivre cette tranche de vie souvent émouvante. Les planches de noir et noir de Frédéric Claverie sont efficaces avec des dégradés de gris pour donner de la profondeur au trait. Le trait réaliste de l'auteur convient bien au registre et les planches sont très travaillées dans les détails. Le thème général de la vieillesse est traité avec justesse dans ce récit, entre la perte des proches ou la difficulté à gérer sa condition physique fragile. La Clef de Sid' est une agréable surprise et très bonne lecture.
  9. alx23

    La Clef de Sid'

    Titre de l'album : La Clef de Sid' Scenariste de l'album : Guillaume Tenaud Dessinateur de l'album : Frédéric Claverie Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand un vieil horloger prisonnier du passé fait la connaissance d'une jeune aide à domicile qui a tout l'avenir devant elle, le rythme des heures, des minutes et des secondes ne va plus jamais s'écouler de la même manière... Hippolyte Beautrelet, horloger à la retraite, vit seul dans sa maison depuis que son épouse est décédée. Son aide à domicile tombe malade. Une jeune femme la remplace pour quelques temps. Elle va devoir amadouer ce vieux ronchon, devenu obsédé par le temps. Le vieil homme n'a pas toujours toute sa tête et son fils le pousse à aller en maison de retraite et à vendre sa maison. Mais depuis que Sidonie vient l'aider tous les jours, Hippolyte reprend goût à la vie... Critique : Le scénario de Guillaume Tenaud nous propose un récit prenant et dramatique sur la fin de la vie. En effet, le héros n'a plus de rêve mais continue de revivre ses souvenirs de sa vie passée en compagnie de sa femme. Une aide à domicile va lui redonner la joie de vivre juste en écoutant ce vieil horloger à la retraite, qui conserve malgré tout une bonne répartie. La narration est parfaitement fluide et accroche le lecteur qui souhaite poursuivre cette tranche de vie souvent émouvante. Les planches de noir et noir de Frédéric Claverie sont efficaces avec des dégradés de gris pour donner de la profondeur au trait. Le trait réaliste de l'auteur convient bien au registre et les planches sont très travaillées dans les détails. Le thème général de la vieillesse est traité avec justesse dans ce récit, entre la perte des proches ou la difficulté à gérer sa condition physique fragile. La Clef de Sid' est une agréable surprise et très bonne lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-clef-de-sid?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Knock out !

    Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie.
  11. poseidon2

    Knock out !

    Titre de l'album : Knock out ! Scenariste de l'album : Kleist Dessinateur de l'album : Kleist Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand la haine engendre la mort, quelle place pour le pardon ? Une ville, la nuit. Un homme est passé à tabac dans une ruelle par un groupe hurlant des insultes homophobes. Abandonné en sang dans le caniveau, il est abordé par une mystérieuse silhouette encapuchonnée, qui recueille sa confession. Né en 1938 dans une île des Caraïbes, Emile Griffith émigre aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, où, devenu modiste, il confectionne des chapeaux pour femme. Jusqu’au jour où son patron repère son impressionnante musculature, due à une jeunesse passée à trimer dans des exploitations agricoles, et le présente à un entraîneur de boxe. Doué, Emile va rapidement grimper les échelons, mais avec le succès viennent la jalousie et les injures contre ce boxeur qui préfère les hommes... Le tragique destin du premier champion du monde de boxe homosexuel. Critique : Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/knock-out-179908?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Hispaniola

    L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin.
  13. alx23

    Hispaniola

    Titre de l'album : Hispaniola Scenariste de l'album : Vianello Dessinateur de l'album : Vianello Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 2.5 Résumé de l'album : Espagne 1938. Un déserteur, officier de la Légion étrangère, tente de sortir du sanglant guêpier de la guerre civile espagnole. Le capitaine Lacombe se la coule douce à Alger, avec la femme de son colonel. Mais il se fait pincer et ça dégénère salement. Le voici obligé de quitter l'Algérie clandestinement pour Marseille. La traversée de la Méditerranée vire au cauchemar quand son bateau croise un navire italien à destination de l'Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Déserteur ou pas, le voici accusé d'espionnage et débarqué directement dans les geôles franquistes, dans l'attente d'un jugement expéditif. Heureusement pour lui, il n'y a pas que les troupes du Caudillo à avoir la gâchette facile. Un commando de républicains prend la prison d'assaut, et le voici embarqué dans la guerre civile. Les brigades internationales lui ouvrent leurs bras, au moment où les soviétiques commencent à éliminer les anarchistes et les non-staliniens... Critique : L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=Vianello?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Alter t1 : ceux qui partent

    Enfin ! Enfin une nouvelle BD de science-fiction qui prend son temps. Un bon gros premier tome de 100 pages sur une histoire de SF pas forcément très compliquée mais bien pensée. Ça fait du bien ! Les dernières parutions (Conquêtes et autres) m’avaient déçu par la légèreté du scenario et de l’utilisation du thème. Le thème SF est trop souvent juste la pour montrer des images de vaisseaux spatiaux et/ou des extra-terrestre et rien d’autre. Dans Alter on a un, « petit scope » de science-fiction mais creusé et très bien raconté. Sur une base sensiblement identique à beaucoup d’autre avec une mission de sauvetage envoyée dans l’espace, ALTER sort du lot parce que nos auteurs prennent bien le temps nécessaire à nous expliquer le background mais surtout ils prennent le temps de nous faire découvrir, en même temps que nos héros, le pourquoi de cette planète et ce qu’elle cache. Graphiquement le travail de LAVAL N.G. est vraiment tres sympa. Les visages dure et le parti pris graphique très mature change des albums de SF estampillé « ados ». Niveau narration le choix de la voix off est bon car on ne sait pas, jusqu’à tard dans l’album qui est le narrateur. Ca ajoute un coté intriguant à une histoire qui l’est déjà pas mal.
  15. Titre de l'album : Alter t1 : ceux qui partent Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Laval NG Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : 2082. Une planète inconnue, un climat glaciaire, une atmosphère viable, mais un environnement hostile. Alors que deux de ses hommes viennent de disparaitre, victimes d’êtres monstrueux à l’aspect vaguement humain, le commandant Sylan Kassidy ne peut que se rendre à l’évidence : l’Hybris ne peut pas repartir. Assailli par les créatures qui trouvent le moyen de pénétrer dans le vaisseau minier, faisant une victime supplémentaire, l’équipage est obligé de s’enfuir à bord d’une navette de secours. Depuis le début de leur mésaventure, les hommes et les femmes de la mission Orus restent en contact radio avec la terre. Leur interlocuteur privilégié ? Le président des États-Unis, Ashton Saint-John, qui voit d’ailleurs dans l’épopée du commandant Kassidy une formidable opportunité pour l’humanité, sur Terre. Car celle-ci se meurt, victime de la folie des hommes qui n’ont eu de cesse de s’entretuer depuis des décennies, depuis 2070, lorsque le président Lyndon Cooper, opposé à l’alliance sino-russe, a fait le choix de la guerre bactériologique et chimique, de la guerre nucléaire. Le choix de l’holocauste. Proche d’une aventure classique de science-fiction qui pose le progrès scientifique comme toile de fond, l’univers de Alter est clairement revendiqué et assumé, puisque le récit se tourne résolument vers l’anticipation et la dystopie : le lecteur est projeté dans un futur proche, balisé d’éléments facilement identifiables qui dévoilent les conséquences désastreuses d’un conflit planétaire. Critique : Enfin ! Enfin une nouvelle BD de science-fiction qui prend son temps. Un bon gros premier tome de 100 pages sur une histoire de SF pas forcément très compliquée mais bien pensée. Ça fait du bien ! Les dernières parutions (Conquêtes et autres) m’avaient déçu par la légèreté du scenario et de l’utilisation du thème. Le thème SF est trop souvent juste la pour montrer des images de vaisseaux spatiaux et/ou des extra-terrestre et rien d’autre. Dans Alter on a un, « petit scope » de science-fiction mais creusé et très bien raconté. Sur une base sensiblement identique à beaucoup d’autre avec une mission de sauvetage envoyée dans l’espace, ALTER sort du lot parce que nos auteurs prennent bien le temps nécessaire à nous expliquer le background mais surtout ils prennent le temps de nous faire découvrir, en même temps que nos héros, le pourquoi de cette planète et ce qu’elle cache. Graphiquement le travail de LAVAL N.G. est vraiment tres sympa. Les visages dure et le parti pris graphique très mature change des albums de SF estampillé « ados ». Niveau narration le choix de la voix off est bon car on ne sait pas, jusqu’à tard dans l’album qui est le narrateur. Ca ajoute un coté intriguant à une histoire qui l’est déjà pas mal. Autres infos : De la vraie SF comme j'aime :) Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alter-tome-1-ceux-qui-partent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux.
  17. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux. (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
  18. Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J
  19. Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
  20. Série : Les naufragés de la méduse Scenario : Bordas Dessin : Deveney my 2 cents Une excellente double histoire Edition : Casterman Acheter sur BDfugue Résumé :1816, les royalistes viennent de chasser du pouvoir les héritiers de la révolution et de l’Empire. Le commandement de La Méduse est confié à un noble qui n’a pas navigué depuis 25 ans. Incompétence, suffisance, indiscipline se conjuguent pour conduire le navire tout neuf à sa perte. Le 2 juillet, la frégate s’échoue sur un haut fond aux larges du Sénégal. Les canots étant en nombre insuffisants, 170 passagers prennent place sur un radeau de fortune abandonné à la dérive. Lorsqu’il est retrouvé deux semaines plus tard, il ne reste plus que 17 survivants ! La révélation dans la presse du naufrage et des horreurs commises sur le radeau va frapper l’opinion publique. Géricault s’empare du sujet et y voit l’occasion de faire exploser les carcans classiques de la peinture. Toutefois, la réalisation du tableau se révélera dantesque et manquera d’engloutir l’artiste corps et âme. Et voilà, premier coup de cœur de cette "rentrée" littéraire (car on ne va pas se le cacher, c'est un peu ça) : Les naufragés de la méduse Pour bien comprendre ce coup de cœur, il faut savoir qu'ayant une connaissance en art très limité (on ne peut pas tout faire ), je ne connaissais que de très loin la véritable histoire de la Méduse. J'ai donc eu, durant cette lecture, le choc de la première fois. Le choc d'un récit qui nous montre que la bêtise humaine et l'orgueil peuvent amener au sacrifice de 150 personnes. Mais cela ne suffit pas à faire de cette BD un coup de cœur. Ce qui en fait un coup de cœur c'est le petit plus amené par nos auteurs qui est de nous présenter, en parallèle du naufrage de la Méduse, le naufrage de la vie d'un Géricault tiraillé entre son cœur et sa raison. La présentation de la vie de Géricault est quasiment aussi intéressante que celle des naufragés de la méduse. Son enquête, ses relations avec sa famille et son implication à outrance dans son œuvre en font un personnage haut en couleur qui apporte à cette BD ce qu'il faut pour en faire une superbe lecture. On a donc deux belles histoires pour le prix d'une seule. Que demander de plus. Un dessin au niveau du scénario ? Et c'est bien sur chose faite avec de beaux dessins et surtout une superbe mise en couleur de la part de Jean-Baptiste Bordas. Ma Note:
  21. Série : Conquêtes Scenario :Nicolas Jarry / Jean-Luc Istin / Dessin : Stéphane Créty my 2 cents Le meilleur des 5 Edition : Soleil Acheter sur BDfugue Résumé :La flotte spatiale canadienne gravite autour d'Enorus alors que, officiellement, les autorités cherchent un endroit pour implanter une première colonie. En vérité un phénomène de glaciation aussi brutal qu'inattendu a étouffé tout espoir de pouvoir un jour y vivre. Enorus est morte et la flotte n'a pas suffisamment de ressources pour rallier une autre planète, à moins qu'elle ne sacrifie la moitié de ses vaisseaux. L'amiral Murphy doit trancher... Et si relisait Universal war one ? Ou le Fléaux des dieux ? Oui je suis un peu triste de dire cela alors même que ce tome 5 est le meilleur de la série mais... on a un peu un arrière-gout de tout ça pour... ben pour quoi ? Pourquoi nous faire 5 tomes sans aucun lien ? 5 tomes qui, jusqu’à celui-là, allaient trop vite en besogne et ne prenait pas le temps suffisant pour bien nous impliquer dans ces histoires ? J'ai dû avoir trop d'attente sur cette série de BDs SF. trop de bon souvenirs de toutes les bonnes BD de SF ambitieuse des années passées... Ce qui est d'autant plus dommage c'est que ce tome ci, le cinquième et dernier, est très bon. En effet cette fois ci Jarry et Istin nous livre un vrai épisode de BattleStar Gallactica : l'important n'est pas tant le fait de conquérir une planète que le fait de montrer au jour de tous la vraie nature de l'homme. Une BD certes plus fataliste mais qui prend plus le temps de bien nous présenter les différents protagonistes et les questions qui leur font faire ces choix "discutables". Une vraie bonne histoire sur fond de SF quoi a contrario des autres qui étaient plus de la SF sans véritables histoires. Bref, convaincu par celui-là mais déçu par l'ensemble. Ma Note:
  22. Série : Le transperceneige Scenario : Matz Dessin : Rochette my 2 cents La fin du prequel Edition : Casterman Acheter sur BDfugue Résumé : Terre, nouvelle ère glaciaire, la course pour la survie a commencé. Le train aux mille et un wagons a débuté sa course pour la survie. Sa première mission consiste à aller chercher tous ceux qui ont « gagné » leur place à bord. Ceux qui sont encore vivants, ceux qui savent où aller, ceux qui peuvent y aller… Pour Jimmy et son père, un contre la montre désespéré s’engage. À bord du Transperceneige, Zeng assiste, impuissant, à la fin de son utopie. Ca y est Matz et Rochette ont fini leur prequel au Transperceneige. Et c'est tellement logique et bon... qu'il manque quasiment un peu de folie. C'est dur à dire. En effet le travail de graphique de Rochette est super. Le scénario de Matz et lui aussi très bon et nous amène exactement là où l'on est au début de l'album mythique de Rochette et Lob. Mais presque "trop parfaitement". Ce que je veux dire c'est que si cette lecture est vraiment très sympa, amenant la fameuse clef sur ce qu'il s'est passé sur terre, mais... je ne sais pas j'aurais aimé un peu plus de folie à défaut d'espoir. C'est un peu le problème dans ce genre de prequel c'est que vu que l'on connait la finalité (si non hop hop on va chez son libraire !!), il est difficile de nous surprendre et de dépasser le statut de "bonne introduction. Et c'est le cas ici. La lecture est super intéressante et captivante. Mais la place dans la postérité est déjà prise par l'original. Ma Note:
  23. Série : La promesse de la tortue Scenario : Stephane Piatzszek Dessin : Tieko my 2 cents une bonne histoire de pirate Edition : Grand angle Acheter sur BDfugue Résumé :1642, le destin de trois filles de rien exilées de France vers l'île de la tortue pour devenir femmes de flibustiers. En 1642, deux ans après son héroïque reprise de l'île de la tortue aux Anglais, le gouverneur Levasseur fait venir des prisonnières françaises, voleuses et prostituées, pour servir d'épouses aux flibustiers et sédentariser la population. Parmi elles, Quitt, Apolline et Louise, trois femmes catapultées dans un monde violent et exclusivement masculin, vont conclure un pacte d'amitié pour s'entraider et survivre coûte que coûte. Mais dans cette période de fureur, leurs routes et leurs aspirations vont bientôt diverger, mettant leur amitié puis leur vie même en péril. La piraterie a de nouveau le vent en poupe ( ) dans le petit monde de la BD. Avant le très attendu Raven, voici venu une histoire prenant place sur la fameuse ile de la tortue. Une vraie grande histoire de pirate qui nous parle de promesse, de trésor et d'aventure. Une histoire de pirate que l'on suit par l’intermédiaire... de femme. Femmes qui, comme on l'avais sublimement vu dans Barracuda, doivent jouer de tous leurs atouts pour se faire une place dans ce monde de brut. Le fait d'avoir choisi trois femmes aux destins radicalement différent sur cette île de la tortue n'est pas sens rappeler l’illustre prédécesseur de Dufaux et Jeremy mais la comparaison s’arrête là. En effet cette BD est plus "légère" et le but des femmes plus simple : rentrer chez elles. Cette simplicité de scénario est à la fois le point fort et faible de cet album : Fort car accessible à tous via un thème que tout le monde connait et une ile de la tortue mythique pour tout fan de flibuste. Faible car on a pour l'instant un peu l'impression de déjà-vu/lu. EN fait, et j'espère me tromper, on voit d'ors et déjà se dessiner la fin.... En résumé, ce premier tome est une bonne histoire de pirate à laquelle il manque un grain de folie pour changer de catégorie. Ma Note:
  24. Série : Le zoo des animaux disparus Scenario : Cazenove Dessin : Bloz my 2 cents Instructif Edition : Bamboo Acheter sur BDfugue Résumé :Déborah est vétérinaire stagiaire dans un parc zoologique qui ne présente que des espèces d'animaux éteintes depuis des siècles, quelques décennies ou quelques mois. Mais il n'est pas sûr que ses études l'aient préparé à soigner un dodo, un éléphant de Sicile ou l'o'u, un oiseau tahitien. Un Zoo imaginaire avec plein d'espèce dont nos enfants n'ont jamais entendu parler. L'idée est bonne et bien faite. En effet on nous présente page par page des espèces disparues aussi bien connues qu'inconnues. L'aspect inconnu est bien pour les enfants car elle montre bien qu'il n'y a pas que les dodos qui ont disparus mais bien d'autres espèces de par le monde. Cette BD est bien faite aussi car traité avec légèreté pour bien plaire aux plus petits. La seule limite de ce genre d'album c'est la relecture. En effet c'est déjà un peu répétitif en fin de lecture donc de la a le relire. Bref ça fera un beau cadeau pour l'anniversaire d'un des copains de vos enfants Ma Note pour enfant:
  25. Série : Aquablue Scenario : Thierry Cailleteau Dessin : Olivier Vatine my 2 cents de la vraie et pur SF Edition : DelcourtBD Acheter sur BDfugue Résumé : Seul rescapé d'un naufrage spatial, le jeune orphelin Nao atterrit sur une planète inconnue : Aquablue, la planète-océan, où de paisibles pêcheurs se chargent de son éducation. Mais cette vie idéale sera bouleversée par l'arrivée de Terriens venus créer un complexe industriel aux conséquences climatiques désastreuses. Nao est au coeur de la lutte inégale qui s'engage : détenteur d'un mystérieux héritage, il possède aussi un lien privilégié avec le plus puissant habitant d'Aquablue... Ça doit être à cause du confinement. Le besoin d'aventure, d’extérieur... je ne sais pas en fait. Mais reste que je suis retombé comme un gosse dans les titres phares de la collection "série B" de chez Delcourt. Vous savez ces titres de la fin des années 90 à début 2000. Et bien il n'y a pas à dire, ils avaient un talent pour nous faire des séries assez longues, intéressantes et dont les premiers arcs resteront dans les annales de la BD. Et comme parler Série BD sans citer Aquablue ? Franchement? Je viens de relire le premier arc (les 5 premiers tomes) et... ben c'est peut être ma meilleure lecture de l'année. En plus... ben j'avais tout oublié. Mais vraiment (les tomes 4 et 5 j'en suis venu à douter de les avoir lus). Entre des héros charismatiques, ennemis puissants à la soldes de grosses boites industriels inhumaines, des clins d'œil aux grands films de SF (faucon mon amour) et un scenario aussi dynamique qu’intéressant, on a tous les ingrédients pour faire une série dont on lit les tomes d'affilé. Une série qui nous fait rêver et sortir de notre quotidien durant 3h comme rarement le fond les nouvelles. En gros tous ce qui fait que cette série se doit d'avoir sa place dans la BDtheque de 1001bd ! Ma Note:
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