Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Nevada tome 2 - Route 99 Scenariste de l'album : Fred Duval et Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Colin Wilson Editeur de l'album : Delcourt Note de l'album : 3 Résumé de l'album : À peine remis de son excursion au Mexique pour y rattraper l’Étoile du Texas en mal d’émotions fortes, Nevada repart pour une nouvelle mission. Tout ne va pas se passer comme il l’espérait, mais après tout il a l’habitude. Louise confie à Nevada, l’homme à tout faire des studios d’Hollywood, une livraison de la plus haute importance. À Los Angeles, dans le célèbre quartier de Chinatown, le destinataire attend ce « cadeau » qui facilitera la signature d’un contrat d’exclusivité avec le studio. Malheureusement, le contenu du paquet a l’air de beaucoup intéresser un chef des redoutables triades chinoises… Critique : La deuxième mission pour Nevada commence avec beaucoup d'action pour nous remettre dans le bain avec cet homme de main à tout faire qui travaille pour les studios de cinéma. Le héros va devoir faire une pause dans sa poursuite de Caldwell comme on lui confie une livraison un peu particulière, pour un acteur en vogue. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau signent une série d'action pure et dure avec Nevada. Leur héros est prêt pour toutes les missions et rien de semble pouvoir l'arrêter pour les mener à bien. Nevada vise le divertissement avant tout, sans trop de réflexion avec une légère trame de fond qui n'est pas si importante comme les auteurs ne donnent aucun indice supplémentaires sur leur héros. Au niveau dessin, Colin Wilson confirme son aisance à avec les histoires d'action avec les décors désertiques de chinatown pour ce tome. Le visage du héros est étrange sur certaine cases mais ne gâche en rien le plaisir de lecture. Une version noir et blanc est sortie le même jour en librairie pour profiter des dessins de Wilson. Après le Mexique, les lecteurs peuvent continuer l'aventure avec ce héros imperturbable qui affronte tous les dangers. Comme pour le premier tome, l'histoire se termine en un tome qui ne laisse pas trop voir le passé du héros pour l'instant. Les lecteurs auront peut-être du mal à s'attacher à Nevada si la trame de fond ne gagne pas en profondeur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nevada-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    La Clef de Sid'

    Le scénario de Guillaume Tenaud nous propose un récit prenant et dramatique sur la fin de la vie. En effet, le héros n'a plus de rêve mais continue de revivre ses souvenirs de sa vie passée en compagnie de sa femme. Une aide à domicile va lui redonner la joie de vivre juste en écoutant ce vieil horloger à la retraite, qui conserve malgré tout une bonne répartie. La narration est parfaitement fluide et accroche le lecteur qui souhaite poursuivre cette tranche de vie souvent émouvante. Les planches de noir et noir de Frédéric Claverie sont efficaces avec des dégradés de gris pour donner de la profondeur au trait. Le trait réaliste de l'auteur convient bien au registre et les planches sont très travaillées dans les détails. Le thème général de la vieillesse est traité avec justesse dans ce récit, entre la perte des proches ou la difficulté à gérer sa condition physique fragile. La Clef de Sid' est une agréable surprise et très bonne lecture.
  3. alx23

    La Clef de Sid'

    Titre de l'album : La Clef de Sid' Scenariste de l'album : Guillaume Tenaud Dessinateur de l'album : Frédéric Claverie Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand un vieil horloger prisonnier du passé fait la connaissance d'une jeune aide à domicile qui a tout l'avenir devant elle, le rythme des heures, des minutes et des secondes ne va plus jamais s'écouler de la même manière... Hippolyte Beautrelet, horloger à la retraite, vit seul dans sa maison depuis que son épouse est décédée. Son aide à domicile tombe malade. Une jeune femme la remplace pour quelques temps. Elle va devoir amadouer ce vieux ronchon, devenu obsédé par le temps. Le vieil homme n'a pas toujours toute sa tête et son fils le pousse à aller en maison de retraite et à vendre sa maison. Mais depuis que Sidonie vient l'aider tous les jours, Hippolyte reprend goût à la vie... Critique : Le scénario de Guillaume Tenaud nous propose un récit prenant et dramatique sur la fin de la vie. En effet, le héros n'a plus de rêve mais continue de revivre ses souvenirs de sa vie passée en compagnie de sa femme. Une aide à domicile va lui redonner la joie de vivre juste en écoutant ce vieil horloger à la retraite, qui conserve malgré tout une bonne répartie. La narration est parfaitement fluide et accroche le lecteur qui souhaite poursuivre cette tranche de vie souvent émouvante. Les planches de noir et noir de Frédéric Claverie sont efficaces avec des dégradés de gris pour donner de la profondeur au trait. Le trait réaliste de l'auteur convient bien au registre et les planches sont très travaillées dans les détails. Le thème général de la vieillesse est traité avec justesse dans ce récit, entre la perte des proches ou la difficulté à gérer sa condition physique fragile. La Clef de Sid' est une agréable surprise et très bonne lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-clef-de-sid?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Incroyable

    En voilà une excellente surprise. En effet cette BD ne paye pas de mine (sauf la superbe édition de Dargaud). Suivre les tribulations d'un enfant ressemble à une BD d'humour type Titeuf ou pico bogue alors que ce que nous avons là est d'un tout autre niveau. Sous couvert d’une histoire d'enfant légèrement névrotique, Vincent Zabus nous surprend en nous offrant une histoire drôle mais profondément humaine sur la relation entre un enfant et ses parents. C'est difficile de parler de cette BD sans évoquer la fin. Sans trop en dire. Ce que je dirais juste c'est que Vincent Zabus met en place une histoire qui change totalement de dimension dans le dernier tiers. Et là où c'est très fort c'est que ce dernier tiers nous refait complètement penser les deux tiers précédents. Et ce changement est aussi porté par le trait d'Hippolyte très enfantin qui nous laisse penser que cette histoire est juste une histoire sur un petit garçon mal dans sa peau... et qui change aussi une fois le dernier tiers venu. Vous l'aurez compris, il est difficile de parler de cette histoire sans vous révéler la fin et cela serait super dommage. Je finirais donc uniquement : allez-y, vous ne le regretterez pas 🙂
  5. poseidon2

    Incroyable

    Titre de l'album : Incroyable Scenariste de l'album : Vincent Zabus Dessinateur de l'album : Hippolyte Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : En Belgique, dans les années 1980, Jean-Loup vit en compagnie de son père. Le petit garçon souffre de TOC liés à un cruel manque de confiance en lui et à une certaine solitude due à l'absence de sa mère. Doté d'une grande imagination, doué d'un talent de conteur, il se construit pourtant son propre univers avec beaucoup de fantaisie... Mais comment raconter des histoires aux autres quand on est hypocondriaque ? Comment peut-on tout simplement trouver sa place dans la société alors qu'on est différent des autres ? Une histoire drôle et émouvante servie par les illustrations d'Hippolyte qui ont parfois un petit air de Sempé Critique : En voilà une excellente surprise. En effet cette BD ne paye pas de mine (sauf la superbe édition de Dargaud). Suivre les tribulations d'un enfant ressemble à une BD d'humour type Titeuf ou pico bogue alors que ce que nous avons là est d'un tout autre niveau. Sous couvert d’une histoire d'enfant légèrement névrotique, Vincent Zabus nous surprend en nous offrant une histoire drôle mais profondément humaine sur la relation entre un enfant et ses parents. C'est difficile de parler de cette BD sans évoquer la fin. Sans trop en dire. Ce que je dirais juste c'est que Vincent Zabus met en place une histoire qui change totalement de dimension dans le dernier tiers. Et là où c'est très fort c'est que ce dernier tiers nous refait complètement penser les deux tiers précédents. Et ce changement est aussi porté par le trait d'Hippolyte très enfantin qui nous laisse penser que cette histoire est juste une histoire sur un petit garçon mal dans sa peau... et qui change aussi une fois le dernier tiers venu. Vous l'aurez compris, il est difficile de parler de cette histoire sans vous révéler la fin et cela serait super dommage. Je finirais donc uniquement : allez-y, vous ne le regretterez pas 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/incroyables?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Quand on voit des films comme Mesrine ou encore des films sur les mafieux on se dit que leurs destins étaient prédéterminés. On s'imagine que depuis tout petit ils "devaient" être mafieux. Philippe Pelaez nous montre la qu'en fait il n'en est souvent rien. Au travers de l'enfance de J'acques, il nous montre qu'il s'agit souvent de petits riens qui peuvent faire bacsuler des enfants dans la délinquance.... et même plus. Pour Jacques ce fut un chat. Un chat et être au mauvais endroit au mauvais moment. Un chat qui a lancé l'histoire. Et quelle histoire ! De ce fameux chat à la fin de l'album, la vie de Jacques est rempli à raz-bord. Pas une seconde de sa vie n'a été perdue. Mais comme dans toute vie vécue à 200 à l'heure, le moindre dérapage incontrolé peu finir en drame. Si la vie de Jacques est intense, l'album l'est tout autant avec un recit manié de main de maitre avec une voix off nous racontant l'enfance de Jacques et nous amenant jusqu'à un dénouement... marquant. Le reproche que l'on pourrait faire à cette histoire est l'aspect reportage de la présentation. Poussé par la voix off, on se croirait en train de regarder un documentaire. Et un documentaire n'est jamais très immersif. Le choix du one shot ne permet pas de vraiment s'attacher aux personnages et c'est un poil dommage car la voix off cherche elle à créer de l'empathie pour Jacques. En ajoutant qu'une fois la fin connue on aura du mal à relire cette histoire.... on se retrouve avec un bon one shot sur une bonne histoire sur le parcours initiatique d'un mafieux. Mais une histoire à qui il manque quelque chose pour passer ce statut de bonne histoire.
  7. Titre de l'album : Dans mon village on mangeait des chats Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Francis Porcel Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Le parcours initiatique d'un jeune garçon dans le crime organisé et son cortège de violence. Jacques et Lily surprennent Charon, le boucher-maire, dans le bois en train de capturer des chats, matière première de ses fameux pâtés que tout le monde s'arrache. Lorsque Charon s'aperçoit que sa recette est éventée, il décide tout simplement d'éliminer les enfants qui pourraient trahir son secret. Jacques se défend et tue le boucher. En rentrant chez lui, le garçon s'interpose entre son père ivre et sa petite soeur et tue le tyran. Devenu meurtrier pour sa survie, et parricide par accident, Jacques est envoyé cinq ans en institut d'éducation surveillé pour en sortir chef de bande. Critique : Quand on voit des films comme Mesrine ou encore des films sur les mafieux on se dit que leurs destins étaient prédéterminés. On s'imagine que depuis tout petit ils "devaient" être mafieux. Philippe Pelaez nous montre la qu'en fait il n'en est souvent rien. Au travers de l'enfance de J'acques, il nous montre qu'il s'agit souvent de petits riens qui peuvent faire bacsuler des enfants dans la délinquance.... et même plus. Pour Jacques ce fut un chat. Un chat et être au mauvais endroit au mauvais moment. Un chat qui a lancé l'histoire. Et quelle histoire ! De ce fameux chat à la fin de l'album, la vie de Jacques est rempli à raz-bord. Pas une seconde de sa vie n'a été perdue. Mais comme dans toute vie vécue à 200 à l'heure, le moindre dérapage incontrolé peu finir en drame. Si la vie de Jacques est intense, l'album l'est tout autant avec un recit manié de main de maitre avec une voix off nous racontant l'enfance de Jacques et nous amenant jusqu'à un dénouement... marquant. Le reproche que l'on pourrait faire à cette histoire est l'aspect reportage de la présentation. Poussé par la voix off, on se croirait en train de regarder un documentaire. Et un documentaire n'est jamais très immersif. Le choix du one shot ne permet pas de vraiment s'attacher aux personnages et c'est un poil dommage car la voix off cherche elle à créer de l'empathie pour Jacques. En ajoutant qu'une fois la fin connue on aura du mal à relire cette histoire.... on se retrouve avec un bon one shot sur une bonne histoire sur le parcours initiatique d'un mafieux. Mais une histoire à qui il manque quelque chose pour passer ce statut de bonne histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-mon-village-on-mangeait-des-chats?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Olympus Mons Tome 1 : Anomalie un Scénario : Christophe Bec Dessin : Stefano Raffaele Couleur : Digikore studios Genre : Science-Fiction Edition : Soleil Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : 2026 : des phénomènes inexpliqués et étranges se produisent simultanément en différents lieux. Dans les profondeurs de la Mer Baltique, des chasseurs de trésors sous-marins découvrent ce qui semble être les vestiges d'un artefact inconnu ; dans l'Iowa, un medium est hanté par d'étranges visions dans lesquelles il visite une épave mystérieuse au fond de la mer. Sur un écran, un message adressé aux habitants de la Terre ; sur Mars, des cosmonautes trouvent une série d'objets énigmatiques. En suivant leur piste, ils arrivent sur les pentes de la plus haute éminence de Mars, le mont Olympus, où ils découvrent la carcasse d'un vaisseau spatial. L'énigme est totale mais aucun doute : ces différents phénomènes sont bien liés entre eux ! Avec Olympus Mons, Christophe Bec débute une nouvelle saga d’anticipation et de science-fiction, en collaboration avec Stefano Raffaele pour les dessins. Les deux auteurs de Prométhée nous livrent un récit très proche de ce dernier, aussi bien dans l’histoire que dans la construction du récit. Les lecteurs vont pouvoir suivre une intrigue dans le passé avec Christophe Colomb et son équipage à la limite de la mutinerie. Une autre intrigue dans un futur proche, avec une équipe de chercheurs en plein mer et des fouilles sous-marine. Une troisième intrigue nous présente une équipe de journalistes de documentaires qui enquête sur les mystères archéologiques. Et la dernière intrigue nous emmène sur Mars avec une équipe de scientifiques Russe. Bec alterne les scènes entre les différentes intrigues au bout d’une ou deux planches comme sur Prométhée. Les mystères sont nombreux et prenants pour cette introduction. J’espère que l’on ne retrouvera pas le même problème que sur Prométhée, avec une histoire qui n’avance à cause du nombre de protagonistes importants. Au niveau graphique, Stefano Raffaele livre des planches parfaites dans un style très réaliste comme à son habitude. Les couleurs sont gérés par Digikore studios. Les amateurs de récits d’anticipation tel que Prométhée seront comblé par Olympus Mons. Cette nouvelle série s’annonce sur de nombreux tomes mais ce premier tome attise l’intérêt et soulève de nombreux questionnements. Note : Alx23
  9. poseidon2

    Black Squaw t1

    Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂
  10. poseidon2

    Black Squaw t1

    Titre de l'album : Black Squaw t1 Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Alain Henriet Editeur de l'album : Dupuis Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Etats-Unis des années 20, au coeur de la Prohibition : Bessie Coleman, jeune métisse aux origines Cherokee et afro-américaines, se rêve aviatrice depuis l'enfance. Mais les écoles de pilotage sont un luxe inaccessible lorsque l'on naît femme, pauvre et noire dans l'Amérique de la ségrégation raciale et du Ku Klux Klan... Farouchement déterminée, Bessie rejoint le monde du crime organisé, des distilleries clandestines et des importations illégales : puisque l'époque est propice à tous les trafics, c'est au sein de la pègre et recrutée par Al Capone en personne qu'elle exercera ses talents. "Le balafré" cherche un aviateur n'ayant pas froid aux yeux pour assurer la liaison avec les îles Saint-Pierre et Miquelon, territoire français situé au large du Canada et devenu une véritable plaque tournante de la contrebande d'alcool. Une mission de plus en plus dangereuse au regard des conditions de vol suicidaires et des risques de se faire mitrailler par les gardes-côtes, ou lyncher par les sinistres encagoulés du KKK... A travers les exploits de cette héroïne confrontée à un univers violent et corrompu, et les flashback dévoilant son enfance dans la réserve indienne de son père, les auteurs de "Dent D'ours" révèlent la destinée hors du commun de Bessie Coleman, première aviatrice noire de l'Histoire. Sa volonté acharnée de surmonter les pires obstacles feront d'elle un modèle universel d'émancipation et de lutte contre la discrimination raciale. Critique : Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-squaw-tome-1-nighthawk?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Scénario : Younn Locard Dessin : Florent Grouazel Editeur : actes sud Note : 5/5 L'acheter sur bdfugue Résumé: "Premier volume de "Révolution", une trilogie sur la Révolution française, "Liberté" ressuscite 1789 en se promenant dans tous les étages de la société. Une fresque grandiose, brassant de multiples personnages et qui totalisera près de 1000 pages. Un livre-événement, par les auteurs d'"Eloi". " Le fauve d'or à Angoulême décerné à ce splendide ouvrage . Actes Sud a soigné cette sortie , l'objet est beau , bien relié , un bijou ! Les auteurs souhaitent nous faire vivre la Révolution à travers le prisme de plusieurs personnages , issus des différentes classes sociales .Et il est bien là le coup de force , car d'emblée on est immergé par les lieux dans lesquels évoluent ces protagonistes d'horizons divers . Le trait précis à 4 mains nous plonge dans les rues pavées de Paris , au coeur même de l'insurrection naissante . La rumeur gronde , la fumée des incendies à la Bastille envahit les cases et l'on sent que plus rien ne sera comme avant . Oubliez Marat , Danton , Louis XVI et Marie-Antoinette ; et transpirez avec ces inconnus et leurs propres soucis personnels . Car se révolter c'est louable , mais il faut se loger , se nourrir , en bref , continuer de vivre . D'une mendiante borgne , à un journaliste arriviste et plutôt royaliste , un épicurien et son frère que tout oppose , une galerie de personnages s'élevant grâce à cette Révolution naissante se croisent . On rêverait presque de rencontrer Charlotte Corday dans le tome 2 . Danton a dit au bourreau avant de mourir exécuté : « Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut la peine. » Et bien , ce livre en vaut la peine et a sa place dans toute bédéthèque qui se respecte . Par Nivek
  12. poseidon2

    Les profs - l'album des 20 ans

    Ouiiiii ouiiii vous ne rêvez pas. J'ai bien mis 4.5 à un album des "Profs"... moi aussi ca m'étonne. Mais c'est vrai. Cette album le mérite. Alors non je vous rassure quand meme.... ce ne sont pas les blagues qui méritent un 4.5. (Desolé messieurs les auteurs, je dois maintenir un standing 😄😄 😄 😄 ) Blague à part les blagues sont ce qu'elles sont. Non ce qui mérite votre attention c'est la qualité de réalisation de cet album. Car outre les 20 pages d'histoires illustrées par 20 auteurs de la maison Bamboo, cet album retrace rien de moins que l'histoire de la transformation de bamboo. En effet cette série a transformé un petit editeur en un acteur majeure de la BD francaise. Et cet album montre bien que, n'en deplaise à la société bien pensante de la BD européenne, le commun des lecteurs à vraiment envie de s'amuser et de se detendre. Au travers d'une fresque historique, cet album retrace la progression de la série jusqu'à la consécration : le film. Entre l'histoire de la maison d'édition, celle de la série et des descriptions d'auteurs, cette édition anniversaire à tout d'une édition collector. Une édition qui récompense le pari osé d'un jeune gerant de maison d'édition.
  13. Titre de l'album : Les profs - l'album des 20 ans Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Bamboo Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : En 2000 sortait le premier tome des Profs chez Bamboo. 20 ans et plusieurs millions d’albums vendus plus tard, après deux films au cinéma, on peut sans problème dire que les personnages de Pica et Erroc font partie du patrimoine de la bande dessinée. Pour fêter cet anniversaire, quoi de mieux qu’un album unique. Au sommaire : 22 planches commentées par les auteurs ; une histoire inédite de 20 pages écrites par Erroc et Sti et dessinées par 20 dessinateurs ; des interviews exceptionnelles des auteurs ; 20 ans d’actualités revues par les Profs ; un retour sur l’aventure des Profs au cinéma ; la toute première planche de la série, publiée dans le Journal de Mickey ; et pleins d’autres surprises !!! Critique : Ouiiiii ouiiii vous ne rêvez pas. J'ai bien mis 4.5 à un album des "Profs"... moi aussi ca m'étonne. Mais c'est vrai. Cette album le mérite. Alors non je vous rassure quand meme.... ce ne sont pas les blagues qui méritent un 4.5. (Desolé messieurs les auteurs, je dois maintenir un standing 😄😄 😄 😄 ) Blague à part les blagues sont ce qu'elles sont. Non ce qui mérite votre attention c'est la qualité de réalisation de cet album. Car outre les 20 pages d'histoires illustrées par 20 auteurs de la maison Bamboo, cet album retrace rien de moins que l'histoire de la transformation de bamboo. En effet cette série a transformé un petit editeur en un acteur majeure de la BD francaise. Et cet album montre bien que, n'en deplaise à la société bien pensante de la BD européenne, le commun des lecteurs à vraiment envie de s'amuser et de se detendre. Au travers d'une fresque historique, cet album retrace la progression de la série jusqu'à la consécration : le film. Entre l'histoire de la maison d'édition, celle de la série et des descriptions d'auteurs, cette édition anniversaire à tout d'une édition collector. Une édition qui récompense le pari osé d'un jeune gerant de maison d'édition. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-profs-l-album-des-20-ans?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    L'homme qui tua Chris Kyle

    Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂
  15. Titre de l'album : L'homme qui tua Chris Kyle Scenariste de l'album : Fabien Nury Dessinateur de l'album : Bruno Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Chris Kyle est un héros. Ancien sniper chez les Navy Seals durant la deuxième guerre d'Irak, il a tué plus de 160 « cibles ». Au faîte de sa gloire (Clint Eastwood a même acheté les droits de son autobiographie, bestseller aux États-Unis, pour en faire un film ? ce sera "American Sniper"), Chris Kyle dédie sa vie à aider ses anciens camarades de combats marqués aussi bien physiquement que mentalement par la guerre. Eddie Ray Routh est l'un d'entre eux. Le 2 février 2013, l'inconnu EDDIE RAY ROUTH abat la Légende Chris Kyle. Ce livre raconte l'histoire raconte le crime ? et ses conséquences. Critique : Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-tua-chris-kyle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Au bonheur des dames

    Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet !
  17. Titre de l'album : Au bonheur des dames Scenariste de l'album : Agnès Maupré d'apres Emile Zola Dessinateur de l'album : Agnès Maupré Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : Venue de sa lointaine Normandie, Denise arrive à Paris avec ses deux frères sans un sou en poche... D’abord aidée par l’oncle Baudu, un commerçant méfiant, elle va franchir la porte du Bonheur des Dames, un immense magasin de nouveautés qui fait se déplacer tout ce que Paris compte d’élégantes… Engagée comme vendeuse, Denise découvre autour d’elle les rivalités avec les autres vendeuses, devenant vite la victime d’un système aliénant où il faut sans cesse se battre pour vendre et où les amitiés sont rares. Mais la jeune femme va faire la connaissance d’Octave Mouret, le directeur du Bonheur des Dames, un homme de conquête qui ne songe qu’à l’expansion de son magasin, à défaut de trouver l’amour. À moins que la rencontre avec Denise ne vienne bouleverser ses croyances ? Critique : Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-bonheur-des-dames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Une nuit a rome t4

    A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens.
  19. Titre de l'album : Une nuit a rome t4 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 4 Résumé de l'album : « Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ». Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ? Critique : A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens. Autres infos : On ne pouvait pas le laisser tranquille ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-nuit-a-rome-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Knock out !

    Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie.
  21. poseidon2

    Knock out !

    Titre de l'album : Knock out ! Scenariste de l'album : Kleist Dessinateur de l'album : Kleist Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand la haine engendre la mort, quelle place pour le pardon ? Une ville, la nuit. Un homme est passé à tabac dans une ruelle par un groupe hurlant des insultes homophobes. Abandonné en sang dans le caniveau, il est abordé par une mystérieuse silhouette encapuchonnée, qui recueille sa confession. Né en 1938 dans une île des Caraïbes, Emile Griffith émigre aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, où, devenu modiste, il confectionne des chapeaux pour femme. Jusqu’au jour où son patron repère son impressionnante musculature, due à une jeunesse passée à trimer dans des exploitations agricoles, et le présente à un entraîneur de boxe. Doué, Emile va rapidement grimper les échelons, mais avec le succès viennent la jalousie et les injures contre ce boxeur qui préfère les hommes... Le tragique destin du premier champion du monde de boxe homosexuel. Critique : Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/knock-out-179908?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Hispaniola

    L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin.
  23. alx23

    Hispaniola

    Titre de l'album : Hispaniola Scenariste de l'album : Vianello Dessinateur de l'album : Vianello Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 2.5 Résumé de l'album : Espagne 1938. Un déserteur, officier de la Légion étrangère, tente de sortir du sanglant guêpier de la guerre civile espagnole. Le capitaine Lacombe se la coule douce à Alger, avec la femme de son colonel. Mais il se fait pincer et ça dégénère salement. Le voici obligé de quitter l'Algérie clandestinement pour Marseille. La traversée de la Méditerranée vire au cauchemar quand son bateau croise un navire italien à destination de l'Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Déserteur ou pas, le voici accusé d'espionnage et débarqué directement dans les geôles franquistes, dans l'attente d'un jugement expéditif. Heureusement pour lui, il n'y a pas que les troupes du Caudillo à avoir la gâchette facile. Un commando de républicains prend la prison d'assaut, et le voici embarqué dans la guerre civile. Les brigades internationales lui ouvrent leurs bras, au moment où les soviétiques commencent à éliminer les anarchistes et les non-staliniens... Critique : L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=Vianello?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux.
  25. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux. (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...