Et pendant Angoulême , la presse BD se meurt , ici en copie le mail de ma revue 😞:
Chères lectrices, chers lecteurs,
La situation est grave, mais pas désespérée !
En effet, depuis deux ans, la presse écrite subit de nombreuses conséquences de la crise sanitaire. D’abord, le confinement total du pays qui nous a empêché de diffuser normalement nos magazines pendant plusieurs mois.
Ensuite, une fois que la situation a commencé à s’améliorer, le télétravail s’est installé comme une pratique courante, limitant les déplacements domicile-travail. Conséquence : la chute des ventes en kiosque s’est accentuée, entraînant la fermeture de nombreux points de vente.
Aujourd’hui, la presse écrite subit de plein fouet la forte augmentation du prix des matières premières. Augmentation qui n’épargne pas le papier ! La hausse du prix du papier devrait atteindre 50 %, en 2022.
S’ajoutent, dans le même temps, des revenus publicitaires en baisse, en raison des difficultés économiques de certains de nos annonceurs.
En réaction à ces multiples impondérables... nous ne souhaitons pas augmenter le prix de nos magazines, et cela, aussi longtemps que possible.
Pour y parvenir, il nous est important d’augmenter le nombre de nos abonnés, afin de palier, au mieux, cette drôle de période.
C’est le meilleur moyen de nous assurer que l’exigence éditoriale, l’indépendance et le développement de nos revues puissent se poursuivre.
Lecteurs fidèles ou occasionnels, nous vous invitons à vous abonner, vous réabonner ou à offrir un abonnement à un membre de votre famille, un ami, un proche.
Pour nos rédactions, votre fidélité est un gage, et la raison de notre existence. Nous comptons sur vous et sur votre soutien.
Frédéric Bosser, rédacteur en chef
Lettre-janvier.pdf