Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Statistiques des membres

    4 441
    Total des membres
    1 171
    Maximum en ligne
    Guify
    Membre le plus récent
    Guify
    Inscription
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

Classement

  1. poseidon2

    poseidon2

    Administrators


    • Points

      6

    • Compteur de contenus

      29 263


  2. TheOtaku

    TheOtaku

    Members


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      68


  3. The_PoP

    The_PoP

    Les gardiens du post


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      5 835


  4. Nickad

    Nickad

    Members


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      4 285


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/02/2023 dans toutes les zones

  1. Wouah tu connais vacghement bien ta fille ! (encore heureux) Mais pour une fois ta fille est d'accord, ce shojo est vraiment bien !
    2 points
  2. D'après vous, si on associe la référence actuelle du scénario d'horreur aux personnages chouchous des lecteurs d'une série à succès, ça donne quoi ? Et bien ça donne un succès et comic des plus savoureux. on avait tous été tristes lorsque que le précédent Dream avait "déconstruit" le corinthien. Enfin triste et content, car c'état un beau salaud. L'acteur (et sa performance) choisit par Netflix avait reboosté les fans et DC qui en ont donc fait le personnage central d'un album plus malin que l'on ne pourrait l'imaginer. n effet James tyrion IV joue avec brio avec la reconstruction du Corithien. En effet, il nous montre un cauchemar qui reste un cauchemar mais qui est aussi sensiblement différent de son prédécesseur. Et ce sont ces différences, couplé à un scénario à la James Tyrion IV plein de monstres et de méchants très méchants, qui font dépasser cet album de simple "bon albums" d'horreurs a un excellent spin off de Sandman. Vivement la suite et... vivement d'autre spin off de cette qualité.
    1 point
  3. Mon manga de romance préféré. Ma fille dira que c'est facile parce que le genre n'est pas forcément mon genre de prédilection. Moi, je dirais que justement, n'aimant pas spécialement le shojo et en lisant quand même, il faut vraiment qu'un shojo soit bon pour que je l'apprécie. Et c'est le cas de MasamuneKun's revenge. De façon surprenante pour un tome de manga, ce tome 8 nous donne exactement tout ce que l'on attendait : la confrontation, la vérité et les réactions de nos deux personnages à cette vérité. C'est beau, c'est exactement comme on l'imaginait et émouvant à souhait. Plus que deux tomes pour conclure, mais deux tomes que l'on va savourer et apprécier avant de conclure une série réussie du début à la fin
    1 point
  4. Bien résumé pour Nottingham. Il manque un quelque chose. Le perso central met un peu trop de temps à se positionner je trouve... J'espère que Cosaques ne prendra pas le même chemin. Cela reste de bonnes séries mais.
    1 point
  5. J'avais lu que cette série montait en puissance et qu'il fallait perseverer. Ayant bien aimé les premiers tomes, je n'ai pas eu besoin de me forcer pour lire la suite mais je suis d'accord sur le fait que l'histoire monte en puissance. Mais pas que l'histoire. Ce Karakuri Circus nous montre ici une mise en scène jamais vu dans le manga (voir plus). Via une marionnette narratrice, cette histoire est gérée comme une pièce de théâtre, avec des entractes, des levées de rideaux et des sauts d'une scène à l'autre. Autant visuellement qu'en termes de scenario, cette narration théâtrale ajoute à la dramaturgie de notre histoire. Histoire qui prend de plus en plus d'ampleur avec une explication du pourquoi du combat des shiroganes mais aussi du but des automates. La gestion de deux groupes de héros qui se cherchent sans le savoir est aussi une sacrée trouvaille, car cela renforce notre soutien aux héros ! Encore merci à Meian pour cette superbe édition pour un manga qui mérite vraiment qu'on s'y attarde.
    1 point
  6. En voilà une belle surprise. Coincé entre tous les Isekai de Meian, ce 7th time loop pour passer pour un "autre" titre du même genre. Et bien, il ne faut surtout pas. En effet, notre héroïne ne se réincarne pas, elle revit la même période de sa vie. Et à chaque vie, elle a vécu une vie différente jusqu'à cette septième boucle. Ces boucles font de notre héroïne une personne aussi bien de son époque que sage comme peu de fille de la cour le sont. Ces deux premiers tomes sont aussi l'occasion de mieux cerner le deuxième personnage principal : le futur empereur. Celui qui provoquera directement ou indirectement toutes les morts de Rishe. Celui qu'elle veut infléchir. Le lien entre les deux personnages est aussi bien géré, avec un réchauffement lent, mais perceptible, et une question qui reste toujours en suspens : rien ne semble amener ce jeune homme à devenir un empereur tyrannique. Que va-t-il se passer dans 5 ans ? Qu'est-ce qui va le faire changer ? Tant de questions qui intéressent notre princesse et nous tout autant. En gros le seul souci de ce manga est que nous n'avons qu'un seul tome de retard sur le Japon.... il va falloir s'armer de patience.
    1 point
  7. Le retour de Kingdom c'est toujours une bonne nouvelle et une promesse d'une heure de lecture frénétique. Et encore plus quand on nous offre rien de moins que la fin de la bataille entre Kanki et Kocho. Une bataille qui voit Kanki depasser les limites admissibles en temps de guerre et remettre en cause une partie de son statut ! Cette fin de bataille est super savoureuse et, pour une fois, ne se fait pas sans perte du côté de Quin. Encore deux tomes excellents et une série qui s'approche de la conquête de Zhao.... ce qui commence à faire un peu peur au vu du nombre de régions qu'il reste à conquérir et donc de ce qu'il reste à raconter.
    1 point
  8. Le tome ou tout bascule. Le premier pas vers la partie Shippuden de Naruto avec la fin de l'innocence et l'attaque d'Orochimaru sur le village de Konoha. Voilà ce qu'est ce tome 7 de l'édition Hokage. Sans oubli le combat tant attendu entre Gaara et Sasuke. Bref l'un des tournants les plus importants de la saga. Je profite de cette critique pour saluer le sens du business de Kana. Il allie un sens des affaires aiguisé avec l'utilisation assez exceptionnelle d'une licence finie avec une compréhension de son lectorat qui est assez exemplaire. En effet la série Naurto est à part dans le panel manga. Elle est finie depuis 2016 mais reste une des plus grosses ventes manga et rivalise avec la série One piece qui est, elle, toujours en cours. Et cette édition Hokage est l'exemple de cette réussite. Kana a bien compris qu'une partie des fans de Naruto avaient lu cette histoire lorsqu'ils étaient plus jeunes, prêtés par des copains ou en bibliothèque. Un lectorat qui a évolué et est maintenant salarié et qui peut se permettre d'acheter des mangas. Mais acheter des mangas ne veut pas dire mettre 500 euro d'un coup dans un rachat de l'intégrale en occase... et la arrive la possibilité d'acheter sa série fétiche .... à 15 euro par mois. Moins que deux paquets de clopes... dans une belle édition en plus... Et hop, ils ont ferré toute une génération. Une génération qui achète pour "relire" et qui peut donc attendre, car connait deja la fin. Une génération qui a un peu d'argent. Une génération qui va perpétuer le mythe en faisant lire Naruto à ses enfants. Je le sais, cette génération, c'est la mienne ! Donc chapeau messieurs et dames de chez Kana, belle leçon de marketing qui met tout le monde d'accord.
    1 point
  9. Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas. Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité. Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art !
    1 point
×
×
  • Créer...