Aller au contenu
  • S’inscrire

Kevin Nivek

Les gardiens du post
  • Compteur de contenus

    6 002
  • Inscription

  • Jours gagnés

    83

Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Déjà le 4ème tome de la série "Super-héroïnes" Marvel publiée par Panini , et au menu , la première héroïne à avoir tenu le rôle titre d'un film MCU : Captain Marvel . C'est en 2012 que Carol Danvers reprend le nom de l'ancien héros Mar-Vell , décédé d'un cancer (et oui , même aux super-héros cela arrive) dans les années 80 ; elle devient Captain Marvel . Dans cette histoire , elle est déjà installée au sein des Avengers et flirte avec James "Iron patriot" Rhodes . Mais une vie passée aux confins de la galaxie avec les krees , entre en dualité avec son intronisation en tant que grande défenseure de la planète Terre . L'espace lui manque clairement ! Aussi lorsqu'une place pour surveiller les activités galactiques en tant que représentant humain se libère , elle saute sur l'occasion . D'autant qu'une mystérieuse capsule , avec une humanoïde à l'intérieur est retrouvée par elle et Iron man . En cette période post Infinity et Secret wars , le passage des bâtisseurs a laissé des traces dans la galaxie , et cette naufragée vient quérir de l'aide afin de sauver ce qu'il reste de son peuple . J'en veux un peu à Panini d'avoir choisi ce run , car il nécessite des connaissances sur la grande aventure signée Jonathan Hickman il y a presque 10 ans de cela . On lit "bâtisseurs" sans trop savoir de quoi l'on parle , pour les non-initiés . Un fait regrettable , qui n'entame pas nécessairement la compréhension globale de cette aventure extra-terrestre aux faux airs de polar . Le début possède une fin , ne nous plaignons pas 🙂 . La scénariste Kelly Sue DeConnick s'entoure de David Lopez pour illustrer le récit , ce dernier a déjà travaillé chez Marvel et même la maison voisine : DC .Son trait est net , épuré , presque stérile , certains plans manquent de détails . Le découpage est dynamique et parvient à bien illustrer les scènes d'action , assez nombreuses . Il utilise des couleurs chaudes , cela saute aux yeux , à l'image des cheveux blonds de Captain , presque or brillant . Un genre typiquement américain (alors que l'artiste est espagnol , je sais !!) , qui je dois bien l'avouer , me laisse un peu de marbre .
  2. Titre de l'album : Marvel super-héroïnes tome 3 , She Hulk , verte et célibataire Scenariste de l'album : Dan Slott Dessinateur de l'album : Juan Bobillo , Paul Pelletier Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Elle a la pêche, elle est intelligente, elle est célibataire et elle est verte ! Miss Hulk vit sa meilleure vie au Manoir des Avengers, entre les soirées clubbing entre super-héros et un petit sauvetage d'univers de temps en temps. Mais Jennifer Walters a aussi fort à faire en tant qu'avocate, car elle doit défendre des clients très... bizzares ! Critique : Un peu d'histoire avant d'attaquer cette critique du run de Dan Slott sur She-Hulk 🙂 . Souvenez-vous Lou Ferrigno en 1970 et la série culte Hulk , souvenez-vous aussi qu'en même temps était diffusée la série Super Jaimie ! Voilà la raison de la création par Marvel de ce personnage haut en couleurs : une histoire de droits juste au cas où !! 53 ans pour l'avocate aux faux airs d'Ally McBeal , à la force "hulkéenne" mais avec un atout , celui de rester maître de ses transformations , ce qui n'est pas le cas de son cher cousin Bruce Banner . Voulant surfer sur le ton humoristique amené par John Byrne en 1989 , Dan Slott livre en 2004 douze numéros sur l'avocate , avec la même idée : La rendre réaliste avec son lot de problèmes , toujours ce 4ème mur brisé (elle l'a fait bien avant Deadpool) et amener des touches d'humour . Le succès est au rendez-vous , et vous allez découvrir les 6 premiers épisodes de ce run dessiné par Juan Bobillo , puis (fort heureusement) par Paul Pelletier . Le trait épuré , presque naïf de Bobillo , est typique de la fin des années 90 , début 2000 dans les comics US . Des visages lisses , sans aucun défauts , des décors réduits au plus strict minimum , bref , Paul Pelletier amène plus de rigueur , de finesse et de réalisme dans les deux derniers épisodes . Le point fort est assurément le scénario , qui va poser des questions simples mais jamais vues auparavant ! Prenez par exemple l'employé de la firme Roxxon qui se retrouve intoxiqué par des produits radio-actifs ,puis se découvre des pouvoirs à la Superman , mais attente un procès à l'entreprise car sa vie devient un enfer . Il casse tout ce qu'il touche , sa femme veut le quitter car il ne maîtrise pas sa force etc ..... L'avocate "verte" va l'aider dans son combat contre la peu scrupuleuse société de Dario Agger . Il y a d'autres situations comme celle-ci qui sont abordées et amènent un parfum de fraîcheur dans ce monde immaculé d'armures et de capes . L'autre point fort du récit tient à la personnalité de Jennifer Walters , tantôt fêtarde avec un homme différent chaque soir , tantôt en tailleur dans un grand cabinet d'avocat , elle se retrouve dans des situations assez ubuesques parfois , au grand dame de ses "collègues" de travail , avengers y compris 😉 En résumé , si vous avez la série ou même si elle vous a intrigué , foncez sur ce comics , il est encore meilleur et ne nécessite pas d'avoir une grande connaissance de l'univers Marvel . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/she-hulk-verte-et-celibataire-marvel-super-heroines-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Un peu d'histoire avant d'attaquer cette critique du run de Dan Slott sur She-Hulk 🙂 . Souvenez-vous Lou Ferrigno en 1970 et la série culte Hulk , souvenez-vous aussi qu'en même temps était diffusée la série Super Jaimie ! Voilà la raison de la création par Marvel de ce personnage haut en couleurs : une histoire de droits juste au cas où !! 53 ans pour l'avocate aux faux airs d'Ally McBeal , à la force "hulkéenne" mais avec un atout , celui de rester maître de ses transformations , ce qui n'est pas le cas de son cher cousin Bruce Banner . Voulant surfer sur le ton humoristique amené par John Byrne en 1989 , Dan Slott livre en 2004 douze numéros sur l'avocate , avec la même idée : La rendre réaliste avec son lot de problèmes , toujours ce 4ème mur brisé (elle l'a fait bien avant Deadpool) et amener des touches d'humour . Le succès est au rendez-vous , et vous allez découvrir les 6 premiers épisodes de ce run dessiné par Juan Bobillo , puis (fort heureusement) par Paul Pelletier . Le trait épuré , presque naïf de Bobillo , est typique de la fin des années 90 , début 2000 dans les comics US . Des visages lisses , sans aucun défauts , des décors réduits au plus strict minimum , bref , Paul Pelletier amène plus de rigueur , de finesse et de réalisme dans les deux derniers épisodes . Le point fort est assurément le scénario , qui va poser des questions simples mais jamais vues auparavant ! Prenez par exemple l'employé de la firme Roxxon qui se retrouve intoxiqué par des produits radio-actifs ,puis se découvre des pouvoirs à la Superman , mais attente un procès à l'entreprise car sa vie devient un enfer . Il casse tout ce qu'il touche , sa femme veut le quitter car il ne maîtrise pas sa force etc ..... L'avocate "verte" va l'aider dans son combat contre la peu scrupuleuse société de Dario Agger . Il y a d'autres situations comme celle-ci qui sont abordées et amènent un parfum de fraîcheur dans ce monde immaculé d'armures et de capes . L'autre point fort du récit tient à la personnalité de Jennifer Walters , tantôt fêtarde avec un homme différent chaque soir , tantôt en tailleur dans un grand cabinet d'avocat , elle se retrouve dans des situations assez ubuesques parfois , au grand dame de ses "collègues" de travail , avengers y compris 😉 En résumé , si vous avez la série ou même si elle vous a intrigué , foncez sur ce comics , il est encore meilleur et ne nécessite pas d'avoir une grande connaissance de l'univers Marvel .
  4. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    Rooh , j'ai reçu ce mail des Humanos , voir une partie de sa critique envoyée aux gens abonnés , ça fait drôle !!!!
  5. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    La presse en parle « La résolution graphique qu'apporte Ristorcelli est remarquable, avec un dessin réaliste fouillé jusqu’au moindre détail et une gamme de couleurs pleine de poésie. » L'Écran Fantastique « Une aventure remplie d'action, d'humour et surtout de dialogues finement ciselés. » SyFantasy « Le trait réaliste et inventif, foisonnant de détails, évoque avec justesse l'univers fantastique peuplé de personnages fascinants. Une adaptation réussie. » BDZoom « Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée. Un écrin de premier choix pour tout fan de SF et de mondes imaginaires. » 1001BD.com
  6. Kevin Nivek

    Un monde sans fin

    Héhéhéhé , l'écologie c'est sympa , on arrête le nucléaire , on met des éoliennes partout , mais laissez nous vendre nos Merco , Audi , BMW etc .... Non mais !!! https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/fin-des-voitures-thermiques-en-2035-l-allemagne-revient-sur-sa-position-et-refuse-de-voter-le-texte_5698175.html J'ai le droit de dire que les allemands sont de beaux faux-culs et qu'ils profitent allègrement d'une certaine main-mise sur l'Europe ?
  7. Au début du film il fait apparaître un navigateur face à l'empereur , dans le bouquin il n'y est pas . Mais sinon tu as raison il est très fidèle . C'est marrant que tu lises ça car j'ai commencé il y a peu Le messie de Dune 😉 où l'on voit un navigateur limace dans son sarcophage ^^
  8. Kevin Nivek

    Elden ring tome 1

    Je me lève tôt mais , il t’arrive de dormir parfois 😅???
  9. Entièrement d'accord !
  10. Kevin Nivek

    Justes parmi les nations

    L'éditeur monégasque Plein Vent publie un premier tome centré sur un réseau de résistants dans Nice et ses environs . Une histoire passionnante et d'un réalisme assez effroyable car elle situe le contexte de l'occupation de façon précise et détaillée . La trame narrative se compose d'un échange entre David un homme âgé racontant son histoire à deux enfants , et nous alternons ses phases de récit avec celles du passé où David est un enfant durant le conflit . S'appuyant sur des documents authentiques , les auteurs réalisent un travail de reconstitution remarquable . A travers l'architecture locale (Nice et les villages avoisinants) , les costumes , les noms de personnes ayant réellement existé , et bien-sûr le contexte historique avec la présence des allemands , des italiens , mais aussi des français "collabos" ; c'est tout un pan de l'histoire de l'occupation dans le sud de la France qui s'offre à nous . On découvre ainsi un clergé cachant des enfants au sein des monastères , mais aussi et c'est assez surprenant , le consul général italien dont l'épouse est de confession juive, qui va oeuvrer pour exfiltrer des juifs en Afrique du nord .On apprend surtout les origines de la création du "réseau Marcel" initié par Moussa Abadi et Odette Rosenstock , qui va sauver des centaines d'enfants . Etant donnée la densité des échanges et d'informations, les cases sont chargées en texte ! Explications , dialogues et pensées jalonnent le récit et peuvent parfois "encombrer" les pages . C'est très verbal , les 64 pages ne se lisent pas rapidement comme une BD "normale" . Mais peut-on le reprocher tellement le sujet est lourd ? Il en va de même pour le dessin qui se met au service de la grande histoire , il se veut réaliste et précis . L'importante galerie de personnages est reconnaissable , c'est assurément un atout . Les couleurs sont un peu trop "numériques" , mais cela amène une netteté à l'image et nous offre de belles reconstitutions architecturales ou de l'arrière pays niçois . A noter des annexes sur les noms des "justes parmi les nations" en fin d'album ainsi qu'un texte du fils de Simone Veil , président du Comité français pour Yad Vashem .
  11. Titre de l'album : Justes parmi les nations Scenariste de l'album : Serge Scotto, Eric Stoffel, Yvon Bertorello Dessinateur de l'album : Frédéric Allali , Michel Espinosa Coloriste : Bruno Pradelle Editeur de l'album : Plein vent Note : Résumé de l'album : Durant la seconde guerre mondiale, de nombreuses personnes, au péril de leur propre vie, ont secouru et sauvé des Juifs persécutés : ces héros de l’ombre, ce sont les « Justes parmi les Nations » ! Critique : L'éditeur monégasque Plein Vent publie un premier tome centré sur un réseau de résistants dans Nice et ses environs . Une histoire passionnante et d'un réalisme assez effroyable car elle situe le contexte de l'occupation de façon précise et détaillée . La trame narrative se compose d'un échange entre David un homme âgé racontant son histoire à deux enfants , et nous alternons ses phases de récit avec celles du passé où David est un enfant durant le conflit . S'appuyant sur des documents authentiques , les auteurs réalisent un travail de reconstitution remarquable . A travers l'architecture locale (Nice et les villages avoisinants) , les costumes , les noms de personnes ayant réellement existé , et bien-sûr le contexte historique avec la présence des allemands , des italiens , mais aussi des français "collabos" ; c'est tout un pan de l'histoire de l'occupation dans le sud de la France qui s'offre à nous . On découvre ainsi un clergé cachant des enfants au sein des monastères , mais aussi et c'est assez surprenant , le consul général italien dont l'épouse est de confession juive, qui va oeuvrer pour exfiltrer des juifs en Afrique du nord .On apprend surtout les origines de la création du "réseau Marcel" initié par Moussa Abadi et Odette Rosenstock , qui va sauver des centaines d'enfants . Etant donnée la densité des échanges et d'informations, les cases sont chargées en texte ! Explications , dialogues et pensées jalonnent le récit et peuvent parfois "encombrer" les pages . C'est très verbal , les 64 pages ne se lisent pas rapidement comme une BD "normale" . Mais peut-on le reprocher tellement le sujet est lourd ? Il en va de même pour le dessin qui se met au service de la grande histoire , il se veut réaliste et précis . L'importante galerie de personnages est reconnaissable , c'est assurément un atout . Les couleurs sont un peu trop "numériques" , mais cela amène une netteté à l'image et nous offre de belles reconstitutions architecturales ou de l'arrière pays niçois . A noter des annexes sur les noms des "justes parmi les nations" en fin d'album ainsi qu'un texte du fils de Simone Veil , président du Comité français pour Yad Vashem . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-justes-parmi-les-nations-tome-1-les-reseaux-de-la-liberte/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Si ça c'est pas pour @The_PoP !! https://www.comicsblog.fr/45311-Sean_Murphy_au_travail_sur_un_projet_Zorro_pour_son_propre_nouveau_label Zorro - Murphy 😉
  13. Le second tome de la collection Marvel "Super-héroïnes" nous fait découvrir Miss Marvel , la jeune et intrépide Kamala Khan . Première héroïne musulmane à voir le jour en 2014. En effet , dans une Amérique ayant vécue le 11 septembre , puis l'élection de Obama , les éditeurs Marvel dans un soucis de diversité , décident de créer une ado issue de cette religion et évoluant sur le sol américain . Le succès est immédiat et elle remporte même le prix de la meilleure série à Angoulême en 2016 ! Avec la création de sa chaîne de streaming , Disney sortira une série tv centrée sur elle en 2022 . Il était donc impensable de ne pas proposer un run sur cette jeune héroïne new-yorkaise lors de cette collection dédiée aux femmes . Dans ce tome , nous passons ses origines ainsi que la naissance de ses pouvoirs (un sujet à controverse : mutante , inhumaine ??) , pour mieux la voir évoluer dans cette nouvelle vie avec ses responsabilités . Car oui , elle aurait de faux airs de Peter Parker avec ses questionnements , ses problèmes d'ado , ses obligations de culte qui lui sont rappelées par ses proches etc .... L'humour est omniprésent , même lorsqu'elle rencontre Wolverine , qui n'est pas le plus comique ! Nous suivons donc son enquête , menée tambours battants à travers la ville , voire la France , car elle voyage pas mal avec un certain chien "inhumain" 😉 . Le dessin alterne le correct et le moins bon . D'un trait semi-réaliste "crayonné" on passe à un nettement plus enfantin , rendant Wolverine presque dodu ! Je ne représente pas le public ciblé c'est évident . Ayant vu la série tv , j'ai découvert une autre facette de cette jeune héroïne , nous la reverrons dans le film The marvels en juillet 2023 .
  14. Titre de l'album : Marvel super-héroïnes tome 2 , Miss Marvel Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Jacob Wyatt , Adrian Alphona Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Kamala Khan s'est à peine familiarisé à ses pouvoirs, qu'elle doit déjà affronter ses propres super-vilains ! D'ailleurs, face au mystérieux Inventeur, elle va avoir besoin de renforts... Wolverine, ça suffira ? Et pourquoi pas ajouter Gueule d'Or, le chien des Inhumains ? Être une super-héroïne, c'est dangereux, mais c'est quand même fun !!! Critique : Le second tome de la collection Marvel "Super-héroïnes" nous fait découvrir Miss Marvel , la jeune et intrépide Kamala Khan . Première héroïne musulmane à voir le jour en 2014. En effet , dans une Amérique ayant vécue le 11 septembre , puis l'élection de Obama , les éditeurs Marvel dans un soucis de diversité , décident de créer une ado issue de cette religion et évoluant sur le sol américain . Le succès est immédiat et elle remporte même le prix de la meilleure série à Angoulême en 2016 ! Avec la création de sa chaîne de streaming , Disney sortira une série tv centrée sur elle en 2022 . Il était donc impensable de ne pas proposer un run sur cette jeune héroïne new-yorkaise lors de cette collection dédiée aux femmes . Dans ce tome , nous passons ses origines ainsi que la naissance de ses pouvoirs (un sujet à controverse : mutante , inhumaine ??) , pour mieux la voir évoluer dans cette nouvelle vie avec ses responsabilités . Car oui , elle aurait de faux airs de Peter Parker avec ses questionnements , ses problèmes d'ado , ses obligations de culte qui lui sont rappelées par ses proches etc .... L'humour est omniprésent , même lorsqu'elle rencontre Wolverine , qui n'est pas le plus comique ! Nous suivons donc son enquête , menée tambours battants à travers la ville , voire la France , car elle voyage pas mal avec un certain chien "inhumain" 😉 . Le dessin alterne le correct et le moins bon . D'un trait semi-réaliste "crayonné" on passe à un nettement plus enfantin , rendant Wolverine presque dodu ! Je ne représente pas le public ciblé c'est évident . Ayant vu la série tv , j'ai découvert une autre facette de cette jeune héroïne , nous la reverrons dans le film The marvels en juillet 2023 . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/miss-marvel-generation-y-marvel-super-heroines-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. La couverture est jolie en tout cas !
  16. jusqu’à

    Le Jessica Jones est vraiment bien , j'ai lu Miss Marvel et Captain Marvel , qui sont nettement moins bons . She-hulk est pas mal aussi . Il me reste Black widow et Mighty thor , je te dirai . Mais je n'irai pas jusqu'à dire que c'est collector 😉
  17. Kevin Nivek

    Amour Placebo tome 1

    Quelles sont les raisons ??
  18. A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme , les éditions Panini publient un recueil de 6 histoires centrées sur les super-héroïnes Marvel . C'est donc par le tome 1 de cette aventure éditoriale que débute cette série de critiques , avec celle que le grand public a découvert sur Netflix : Jessica Jones , la seule qui ne porte pas de costume particulier , du moins récemment 😉 .Vous l'aurez compris , il est question au cours de ces 176 pages "d'origin story" , mais pas que . Bendis distille un scénario brillant , alternant les flashbacks et son présent . Une introspection de sa vie avec des succès mais aussi des défaites cuisantes , certaines restant vivaces , comme celle avec L'homme pourpre . Netflix ne s'est pas trompé en adaptant ce run en particulier . A l'origine de la création du label MAX instaurant un ton plus adulte , les histoires de Jessica Jones ne sont pas à confier entre toutes mains . Le langage est fleuri et il n'est pas remplacé par des symboles comme dans les autres parutions estampillées Marvel . La violence physique est psychique est présente , tout comme le sexe . Bendis ayant créé de toutes pièces cette héroïne des temps modernes et jouissant d'une latitude importante avec ce label ; peut ainsi donner libre cours à ses idées et instaurer un peu de réalisme dans ce monde de "collants" . C'est noir à l'image du dessin de Gaydos et ses ombrages fréquents . Il réalise aussi des suites de cases centrées sur un protagoniste laissant apparaître ses émotions au fur et à mesure . Un découpage très immersif pour une galerie de personnages bigarrés . Les pages centrées sur son passé sont elles , plus colorées pour mieux signifier un début de carrière prometteur et positif . Une couleur , le pourpre , va venir entacher cette courbe ascensionnelle , à vous de la découvrir au cours de ce récit en format souple .
  19. Titre de l'album : Marvel super-héroïnes tome 1 , Jessica Jones Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Michael Gaydos Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Détective privée, ex-héroïne ratée, Jessica Jones a un penchant pour l'alcool et pour l'autodestruction. Sa vie bascule lorsque son chemin croise celui de Zebediah Killgrave. Tombant sous son emprise, elle devient l'esclave de l'Homme Pourpre pendant de longs mois. Critique : A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme , les éditions Panini publient un recueil de 6 histoires centrées sur les super-héroïnes Marvel . C'est donc par le tome 1 de cette aventure éditoriale que débute cette série de critiques , avec celle que le grand public a découvert sur Netflix : Jessica Jones , la seule qui ne porte pas de costume particulier , du moins récemment 😉 .Vous l'aurez compris , il est question au cours de ces 176 pages "d'origin story" , mais pas que . Bendis distille un scénario brillant , alternant les flashbacks et son présent . Une introspection de sa vie avec des succès mais aussi des défaites cuisantes , certaines restant vivaces , comme celle avec L'homme pourpre . Netflix ne s'est pas trompé en adaptant ce run en particulier . A l'origine de la création du label MAX instaurant un ton plus adulte , les histoires de Jessica Jones ne sont pas à confier entre toutes mains . Le langage est fleuri et il n'est pas remplacé par des symboles comme dans les autres parutions estampillées Marvel . La violence physique est psychique est présente , tout comme le sexe . Bendis ayant créé de toutes pièces cette héroïne des temps modernes et jouissant d'une latitude importante avec ce label ; peut ainsi donner libre cours à ses idées et instaurer un peu de réalisme dans ce monde de "collants" . C'est noir à l'image du dessin de Gaydos et ses ombrages fréquents . Il réalise aussi des suites de cases centrées sur un protagoniste laissant apparaître ses émotions au fur et à mesure . Un découpage très immersif pour une galerie de personnages bigarrés . Les pages centrées sur son passé sont elles , plus colorées pour mieux signifier un début de carrière prometteur et positif . Une couleur , le pourpre , va venir entacher cette courbe ascensionnelle , à vous de la découvrir au cours de ce récit en format souple . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jessica-jones-alias-origines-secretes-marvel-super-heroines-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. jusqu’à

    Il y en aura une sur le multivers aussi cet été je crois . Techniquement , il s'agit de le journée des droits de la femme 🙂 . Mais tu as raison, ça en devient ridicule ...
  21. Kevin Nivek

    Lozère apocalypse

    T'es pas loin toi c'est vrai ^^
  22. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    J'ai effectivement pensé au monsieur SF d'ici en le lisant ^^C'est vraiment cool que les Humano adaptent des romans français de SF sérieux ! On sait nous aussi créer de belles choses , il n'y a pas que les anglo-saxons !!
  23. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉
  24. Titre de l'album : Chasseurs de sève Scenariste de l'album : Alexandre Ristorcelli Dessinateur de l'album : Alexandre Ristorcelli Coloriste : Alexandre Ristorcelli Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Les gigantesques branches de l'Arbre-monde hébergent tout un ensemble de clans, tel celui des chasseurs de sève. Lorsque Pierig est capturé par ce clan belliqueux, il comprend que ce sont ses dons de sourcier qui les intéressent. En effet, l'Arbre-monde se meurt et sa sève nourricière avec lui... Accompagné de trois guerriers, Pierig est contraint de trouver l'origine du mal qui ronge le titan végétal, jusqu'au pied de l'arbre s'il le faut. Mais à l'issue de ce dangereux périple, ses certitudes risquent d'être bousculées. Critique : Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chasseurs-de-seve/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Mais grave , j'ai rien acheté lol ! 2 mangas pour ma fille et le run de Captain en omnibus pré-commandé pour fin février , sinon , nada , rien , nothing !! Vraiment calme , et mars s'annonce pareil non ?
×
×
  • Créer...