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  • Marvel super-héroïnes tome 1 , Jessica Jones


    Kevin Nivek
    • Scenariste: Brian Michael Bendis Dessinateur: Michael Gaydos Editeur: Panini Note :
      Résumé:

      Détective privée, ex-héroïne ratée, Jessica Jones a un penchant pour l'alcool et pour l'autodestruction. Sa vie bascule lorsque son chemin croise celui de Zebediah Killgrave. Tombant sous son emprise, elle devient l'esclave de l'Homme Pourpre pendant de longs mois.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Super héros
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    A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme , les éditions Panini publient un recueil de 6 histoires centrées sur les super-héroïnes Marvel . C'est donc par le tome 1 de cette aventure éditoriale que débute cette série de critiques , avec celle que le grand public a découvert sur Netflix : Jessica Jones , la seule qui ne porte pas de costume particulier , du moins récemment 😉 .Vous l'aurez compris , il est question au cours de ces 176 pages "d'origin story" , mais pas que . Bendis distille un scénario brillant , alternant les flashbacks et son présent . Une introspection de sa vie avec des succès mais aussi des défaites cuisantes , certaines restant vivaces , comme celle avec L'homme pourpre . Netflix ne s'est pas trompé en adaptant ce run en particulier . A l'origine de la création du label MAX instaurant un ton plus adulte , les histoires de Jessica Jones ne sont pas à confier entre toutes mains . Le langage est fleuri et il n'est pas remplacé par des symboles comme dans les autres parutions estampillées Marvel . La violence physique est psychique est présente , tout comme le sexe . Bendis ayant créé de toutes pièces cette héroïne des temps modernes et jouissant d'une latitude importante avec ce label ; peut ainsi donner libre cours à ses idées et instaurer un peu de réalisme dans ce monde de "collants"  . C'est noir à l'image du dessin de Gaydos et ses ombrages fréquents . Il réalise aussi des suites de cases centrées sur un protagoniste laissant apparaître ses émotions au fur et à mesure . Un découpage très immersif pour une galerie de personnages bigarrés . Les pages centrées sur son passé sont elles , plus colorées pour mieux signifier un début de carrière prometteur et positif . Une couleur , le pourpre , va venir entacher cette courbe ascensionnelle , à vous de la découvrir au cours de ce récit en format souple .

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  • Dernières Critiques

    • Libres de penser - Dix femmes, dix vies philosophiques
      Note :
      J'aime bien cette série chez Rue de Sèvres qui vient nous parler de philosopie en la vulgarisant un peu, mais aidé de véritables professeurs de philosophie. Certes cela n'a que peu à voir avec mon univers de la bd habituel, mais je vous avoue qu'en vieillissant, certains de mes cours de philosophie me sont restés en mémoire et ont pris du sens avec le temps, l'expérience, les épreuves. 

      Bref, j'apprécie un peu de philosophie accessible. Nietzsche étant par exemple un peu trop touffu pour moi, ce Libres de penser vient, en plus de mettre en lumière des personnages que l'histoire a un peu oublié, jeter des sujets passionnants avec des approches pas forcément classiques. De beaux sujets de réflexion et d'enrichissement intellectuel, faits pourtant en douceur. 

      C'est parfois honteux, mais c'est un ouvrage que je recommande pour ceux qui aiment parfois lire de petits passage lors de moments de calme et d'intimité. Oui sur les toilettes par exemple. On apprendra ici, tout en finesse, sans facilité, mais avec fluidité. 

      Le dessin de Marie Dubois et sa mise en scène sont finalement très classiques, et malheureusement l'amateur de bd n'en retiendras peut être pas grand chose, mais l'essentiel est ici ailleurs, et son trait permet de garder la fluidité de la pensée. 
      • 0 réponse
    • Guerres d'Arran - Tome 1 - La compagnie des bannis
      Note :
      C'est peu dire qu'il s'agit probablement de l'un des albums les plus attendus de l'année. 

      En effet depuis le cycle de Lah'saa, les séries sur les terres d'Arran manquait d'un cycle suivi et ambitieux. Attention l'ensemble formait un des lore les plus ambitieux, complet et riche de la Fantasy moderne, mais le souffle commençait à manquer. Hors pas mal de tomes sur les séries Elfes, Orcs et Nains entre autres commençaient à nous suggérer la possibilité d'une nouvelle guerre Titanesque. Le voile avait été levé l'année dernière avec l'annonce donc de la future parution d'un tome 1 d'une nouvelle série intitulées sobrement Guerres d'Arran. Depuis tous les fans retenaient leur souffle.

      Autant vous dire tout de suite que la plupart sont aujourd'hui plus qu'enchantés par ce début d'évènements majeurs magnifiquement mis en scène par Brice Cossu. Son travail est venu encore réhausser ce qui se faisait habituellement sur les séries des terres d'arran, qui étaient déjà pourtant d'un très bon niveau graphique en Fantasy. 

      Pour ma part j'ai été un brin déçu, certains enchaînements d'évènements ne m'ont pas trop convaincus sur la fin du tome qui devait être en apothéose. En fait je fais le difficile car globalement cela passe très très bien, mais je me suis fait la remarque qu'il était dommage d'avoir eu recours à certaines facilités scénaristiques après avoir eu autant de temps pour faire monter la mayonnaise. Le déclencheur reste un poil faiblard pour ma part.

       

      Gardez cependant en tête que globalement je pinaille un peu car je suis très très loin d'être un expert en terres d'Arran, et que les fans sont globalement plus que très enthousiastes. Faisons leur confiance, faisons confiance aux auteurs pour la suite de cette mini série qui s'annonce pour le coup encore plus dantesque. Régalez vous, si vous avez lu les terres d'arran jusqu'ici je n'ai pas trop de doutes sur le fait que vous avez déjà lu ce tome 1 d'ailleurs. Il est clairement indispensable pour les amateurs de la série.
      • 0 réponse

    • Karakuri Circus perfect édition t9&10
      Note :
      Mais qu'est-ce que c'est encore très bon.

      Émotionnellement, c'est juste magique avec des "presque" retrouvailles en mode montagne russe. Scenaristiquement c'est un des tournants de notre histoire avec une explication de la vie du concepteur de l'aqua Vitae et du pourquoi de cette guerre entre Shirogame et Automates.
      Seul point qui pourra paraitre negatif à certains : on ne voit que très peu nos amis du cirque Nagamuchi. L'histoire de Bai Jin et son frère est si dense et interessante, tout comme les combats avec des automates d'un autre calibre, que l'on en oublie presque l'existence de notre petit cirque. Un vrai bon et long moment de lecture. On dirait presque un bouquin illustré.

      Et si le contenu est super interessant en terme d'histoire, le cliffhanger de fin de cu tome 10 est juste insoutenable et une vrai rampe de lancement ppour de sacré combat à venir ! Un conseil, ne finissez pas sur le 10.... ayez le 11 sous le coude!
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      • 0 réponse
    • Romi, la sorcière aux cornes de bélier tome 1
      Note :
      Déroutant et perplexe, ce sont les deux adjectifs que j’associerai à cette lecture. Déroutant en premier car on pense marcher sur un chemin puis on en change, puis on y revient. On ne sait pas vraiment où l’on se trouve, dans un rêve, dans la réalité, dans une histoire dans l’histoire ?

      Perplexe ensuite, sous ses allures de petite farce de sorcière et ses personnages mignons qui s’amusent et qui plaisantent, la situation décrite est absolument effroyable, les derniers instants avant la fin du monde en quelques sorte !

      Je pourrai aussi ajouter imaginatif, ce nouveau monde est original, au début il est très bucolique avec sa végétation envahissante et ses moutons paisibles. Puis il prend des allures post-apocalyptiques avec une menace sous-jacente et des petites phrases qui nous mènent au bord du gouffre.

      Mais comme on ne sait pas si c’est réel ou non, on n’a pas les critères qu’il faut pour jauger l’œuvre ou plutôt on ne sait pas lesquels prendre. Alors ça reste flou, on se demande si c’est bien, on cherche à comprendre l’objectif de l’auteur, s’il y a un message à trouver, une critique à demi-mot… Finalement on reste coi en espérant que la suite nous donne les clefs de compréhension.

      2 tomes en cours
      • 0 réponse
    • How not to summon a demon lord tomes 1 et 2
      Note :
      Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo.

      Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid.

      Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles.

      On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction.

      Extrait
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