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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Amour Placebo tome 1

    Quelles sont les raisons ??
  2. A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme , les éditions Panini publient un recueil de 6 histoires centrées sur les super-héroïnes Marvel . C'est donc par le tome 1 de cette aventure éditoriale que débute cette série de critiques , avec celle que le grand public a découvert sur Netflix : Jessica Jones , la seule qui ne porte pas de costume particulier , du moins récemment 😉 .Vous l'aurez compris , il est question au cours de ces 176 pages "d'origin story" , mais pas que . Bendis distille un scénario brillant , alternant les flashbacks et son présent . Une introspection de sa vie avec des succès mais aussi des défaites cuisantes , certaines restant vivaces , comme celle avec L'homme pourpre . Netflix ne s'est pas trompé en adaptant ce run en particulier . A l'origine de la création du label MAX instaurant un ton plus adulte , les histoires de Jessica Jones ne sont pas à confier entre toutes mains . Le langage est fleuri et il n'est pas remplacé par des symboles comme dans les autres parutions estampillées Marvel . La violence physique est psychique est présente , tout comme le sexe . Bendis ayant créé de toutes pièces cette héroïne des temps modernes et jouissant d'une latitude importante avec ce label ; peut ainsi donner libre cours à ses idées et instaurer un peu de réalisme dans ce monde de "collants" . C'est noir à l'image du dessin de Gaydos et ses ombrages fréquents . Il réalise aussi des suites de cases centrées sur un protagoniste laissant apparaître ses émotions au fur et à mesure . Un découpage très immersif pour une galerie de personnages bigarrés . Les pages centrées sur son passé sont elles , plus colorées pour mieux signifier un début de carrière prometteur et positif . Une couleur , le pourpre , va venir entacher cette courbe ascensionnelle , à vous de la découvrir au cours de ce récit en format souple .
  3. Titre de l'album : Marvel super-héroïnes tome 1 , Jessica Jones Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Michael Gaydos Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Détective privée, ex-héroïne ratée, Jessica Jones a un penchant pour l'alcool et pour l'autodestruction. Sa vie bascule lorsque son chemin croise celui de Zebediah Killgrave. Tombant sous son emprise, elle devient l'esclave de l'Homme Pourpre pendant de longs mois. Critique : A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme , les éditions Panini publient un recueil de 6 histoires centrées sur les super-héroïnes Marvel . C'est donc par le tome 1 de cette aventure éditoriale que débute cette série de critiques , avec celle que le grand public a découvert sur Netflix : Jessica Jones , la seule qui ne porte pas de costume particulier , du moins récemment 😉 .Vous l'aurez compris , il est question au cours de ces 176 pages "d'origin story" , mais pas que . Bendis distille un scénario brillant , alternant les flashbacks et son présent . Une introspection de sa vie avec des succès mais aussi des défaites cuisantes , certaines restant vivaces , comme celle avec L'homme pourpre . Netflix ne s'est pas trompé en adaptant ce run en particulier . A l'origine de la création du label MAX instaurant un ton plus adulte , les histoires de Jessica Jones ne sont pas à confier entre toutes mains . Le langage est fleuri et il n'est pas remplacé par des symboles comme dans les autres parutions estampillées Marvel . La violence physique est psychique est présente , tout comme le sexe . Bendis ayant créé de toutes pièces cette héroïne des temps modernes et jouissant d'une latitude importante avec ce label ; peut ainsi donner libre cours à ses idées et instaurer un peu de réalisme dans ce monde de "collants" . C'est noir à l'image du dessin de Gaydos et ses ombrages fréquents . Il réalise aussi des suites de cases centrées sur un protagoniste laissant apparaître ses émotions au fur et à mesure . Un découpage très immersif pour une galerie de personnages bigarrés . Les pages centrées sur son passé sont elles , plus colorées pour mieux signifier un début de carrière prometteur et positif . Une couleur , le pourpre , va venir entacher cette courbe ascensionnelle , à vous de la découvrir au cours de ce récit en format souple . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jessica-jones-alias-origines-secretes-marvel-super-heroines-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. jusqu’à

    Il y en aura une sur le multivers aussi cet été je crois . Techniquement , il s'agit de le journée des droits de la femme 🙂 . Mais tu as raison, ça en devient ridicule ...
  5. Kevin Nivek

    Lozère apocalypse

    T'es pas loin toi c'est vrai ^^
  6. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    J'ai effectivement pensé au monsieur SF d'ici en le lisant ^^C'est vraiment cool que les Humano adaptent des romans français de SF sérieux ! On sait nous aussi créer de belles choses , il n'y a pas que les anglo-saxons !!
  7. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉
  8. Titre de l'album : Chasseurs de sève Scenariste de l'album : Alexandre Ristorcelli Dessinateur de l'album : Alexandre Ristorcelli Coloriste : Alexandre Ristorcelli Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Les gigantesques branches de l'Arbre-monde hébergent tout un ensemble de clans, tel celui des chasseurs de sève. Lorsque Pierig est capturé par ce clan belliqueux, il comprend que ce sont ses dons de sourcier qui les intéressent. En effet, l'Arbre-monde se meurt et sa sève nourricière avec lui... Accompagné de trois guerriers, Pierig est contraint de trouver l'origine du mal qui ronge le titan végétal, jusqu'au pied de l'arbre s'il le faut. Mais à l'issue de ce dangereux périple, ses certitudes risquent d'être bousculées. Critique : Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chasseurs-de-seve/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Mais grave , j'ai rien acheté lol ! 2 mangas pour ma fille et le run de Captain en omnibus pré-commandé pour fin février , sinon , nada , rien , nothing !! Vraiment calme , et mars s'annonce pareil non ?
  10. Kevin Nivek

    Amour Placebo tome 1

    Elle a l'air prenante cette histoire . Je sais pas pourquoi , mais elle me fait penser à une émission à la radio que j'ai entendue , sur un certain mal-être des japonais . Ils ont une courbe de natalité en chute libre d'ailleurs . Trop de pressions sur les épaules de la jeune génération ?
  11. Excellent ! Mon frère est cadre à Sanofi , qui va sponsoriser une partie de l'événement , il va essayer d'avoir des places pour lui aussi , vivant à Paris c'est plus facile !
  12. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    Connais pas , ça parle de quoi ?
  13. Kevin Nivek

    King of spies

    Ah oui , pourquoi ? J'ai lu son run Ultimates , il modernise les choses , il apporte un peu plus "d'adulte" , je le trouve pas mal moi 🙂 . Sérieux , dis un peu ce que tu lui reproches !
  14. Kevin Nivek

    King of spies

    Sûr , et je connais son trait . Bon je verrai si une belle occas se présente 🙂
  15. Kevin Nivek

    King of spies

    Héhé , vile tentateur ! On peut pas tout avoir nom de Zeus !!!! En plus , je suis pas un grand grand fan du dessinateur rital 🙂 J'ai Black science de lui que j'ai pas encore fini d'ailleurs !
  16. Clair , c’est sûrement sympa mais alors je passe sans aucun problème là-dessus 😅. J’ai assez de séries fleuve !
  17. Kevin Nivek

    Latah

    Je crains le potentiel relecture !
  18. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    J'ai envie de me lancer dans du Judge Dredd ! Il y aurait des arcs incroyables parait-il ! Vous auriez pas des conseils , car l'oeuvre est grande et fournie ?
  19. Kevin Nivek

    Latah

    C'est vrai tu as raison ,il ne faut pas céder à "l'enflammade" , je suis vite client moi 🙂 .
  20. Non ça va , j'ai déjà Hammerfall sur Charlemagne , qui est une série très sympa 🙂
  21. Kevin Nivek

    Latah

    Que 4/5 ?
  22. Belle couverture en tout cas . Il est plutôt bon Bartoll en principe !
  23. Titre de l'album : La malédiction de mamo Scenariste de l'album : Sas Milledge Dessinateur de l'album : Sas Milledge Coloriste : Sas Milledge Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Une quête d'identité fantastique et sombre dans un monde de sorcières... Orla, petite dernière d'une lignée de sorcières, se voit de retour dans la ville où elle a grandi. La disparition de sa grand-mère, Mamo, a mis Haresden en émoi : les mers se déchaînent, les récoltes se gâtent, et le grenier de Jo, qui est venue chercher son aide, est pris d'assaut par un esprit frappeur ! Tous ces problèmes semblent partager une seule et même source : Mamo. Mais Orla a fui cette vie et se confronter à la malédiction de Mamo réveillera en elle un tourbillon de magie. Critique : Illustratrice et dessinatrice de talent , Sas Milledge avait déjà réalisé un roman graphique sur la jeunesse de Dick Grayson intitulé The lost carnival . Elle réitère le principe avec La malédiction de Mamo , une histoire d'adolescentes mêlées à une sombre affaire de magie . Dans un petit village , véritable coin paumé , une malédiction est à l'oeuvre , touchant les humains , les récoltes , le bétail et même la végétation . Lorsque sa mère est prise d'un mal étrange , Jo Manalo enquête et va commencer sans le savoir un véritable voyage initiatique sur les us de son village , mais aussi sur elle même ! Dans ce monde , la magie est présente , et acceptée par les habitants , aussi ,chaque village est censé être protégé par une sorcière , ici il s'agissait de Mamo , récemment décédée . C'est donc à sa petite-fille , Orla , dernière héritière de la lignée , qu'échoue la responsabilité des lieux . Son envie de découvrir le monde va être freinée par Jo , l'appelant à l'aide . Les deux jeunes filles vont se rapprocher et démarrer une aventure qui va les mener loin dans leurs retranchements , chacune ! C'est un roman graphique prenant son temps , il se dégage de ces paysages bucoliques une certaine quiétude . De son trait rond et élégant , l'auteure donne de la sensibilité aux personnages . On sent rapidement , au hasard de cases avec un gros plan sur deux mains qui s'effleurent , qu'une attraction mutuelle est naissante entre Jo et Orla . Les grands yeux d'influence nippone distillent de l'émotion , il en va de même pour les couleurs chaudes environnantes . A travers cette aventure aux relents magiques , Sas Milledge incorpore un amour naissant fait de non-dits , si propres à cet âge bien particulier . C'est une très belle réussite , le format comics en couverture souple avec une pagination importante (224 pages) convient parfaitement au public ciblé . Ce livre tient peu de place dans un sac à dos , ou un "sac d'ado" 😉 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-malediction-de-mamo/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    La malédiction de mamo

    Illustratrice et dessinatrice de talent , Sas Milledge avait déjà réalisé un roman graphique sur la jeunesse de Dick Grayson intitulé The lost carnival . Elle réitère le principe avec La malédiction de Mamo , une histoire d'adolescentes mêlées à une sombre affaire de magie . Dans un petit village , véritable coin paumé , une malédiction est à l'oeuvre , touchant les humains , les récoltes , le bétail et même la végétation . Lorsque sa mère est prise d'un mal étrange , Jo Manalo enquête et va commencer sans le savoir un véritable voyage initiatique sur les us de son village , mais aussi sur elle même ! Dans ce monde , la magie est présente , et acceptée par les habitants , aussi ,chaque village est censé être protégé par une sorcière , ici il s'agissait de Mamo , récemment décédée . C'est donc à sa petite-fille , Orla , dernière héritière de la lignée , qu'échoue la responsabilité des lieux . Son envie de découvrir le monde va être freinée par Jo , l'appelant à l'aide . Les deux jeunes filles vont se rapprocher et démarrer une aventure qui va les mener loin dans leurs retranchements , chacune ! C'est un roman graphique prenant son temps , il se dégage de ces paysages bucoliques une certaine quiétude . De son trait rond et élégant , l'auteure donne de la sensibilité aux personnages . On sent rapidement , au hasard de cases avec un gros plan sur deux mains qui s'effleurent , qu'une attraction mutuelle est naissante entre Jo et Orla . Les grands yeux d'influence nippone distillent de l'émotion , il en va de même pour les couleurs chaudes environnantes . A travers cette aventure aux relents magiques , Sas Milledge incorpore un amour naissant fait de non-dits , si propres à cet âge bien particulier . C'est une très belle réussite , le format comics en couverture souple avec une pagination importante (224 pages) convient parfaitement au public ciblé . Ce livre tient peu de place dans un sac à dos , ou un "sac d'ado" 😉
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