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  1. poseidon2

    Droit au but tome 20

    Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis !
  2. Titre de l'album : Droit au but tome 20 Scenariste de l'album : Thierry Agnello | Jean-Luc Garrera Dessinateur de l'album : Pedro J. Colombo Coloriste : Pedro J. Colombo Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : L'AMOUR DU MAILLOT Le 20ème épisode des aventures de Nino. Chaque mercredi après-midi, Nino rend visite à son grand-père pour l'écouter parler de sa jeunesse napolitaine et évoquer ses attachements de supporter pour le Napoli et l'OM. Un jour, il retrouve dans les affaires du vieil homme un maillot porté par... Alain Giresse. Pour satisfaire la curiosité de son petit-fils, celui-ci lui dévoile son « trésor de guerre » : une valise remplie de maillots ayant appartenu aux légendes du club marseillais. Mais, au grand dam de l'ex-contôleur du Vélo-drome, la collection est incomplète : il manque le maillot de Maradona, remis au Pibe del Oro lors des tractations engagées par Bernard Tapie et Michel Hidalgo pour l'accueillir à Marseille au tournant des années 1990. Nino va alors tenter de mettre la main sur ce « collector », remontant l'histoire du club et celle de son grand-père, allant de France en Italie pour découvrir le passé de joueur d'Alfio. Critique : Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-20?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Immortal Sergeant

    Titre de l'album : Immortal Sergeant Scenariste de l'album : Joe Kelly Dessinateur de l'album : Ken Niimura Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : La veille d'une retraite importune, un détective de la vieille école se voit confier une affaire de meurtre qui le hante depuis des décennies. Malheureusement, Jim Sargent dit « Sarge » doit entraîner son fils Michael, adulte rongé par l'anxiété, dans l'aventure, sous peine de perdre à jamais la tête de l'affaire.Ce duo dysfonctionnel pourra-il surmonter ses propres blocages, ses aveuglements et ses non-dits pour la réussite de cette entreprise ?Les deux auteurs primés de I Kill Giants, le scénariste Joe Kelly (Deadpool, Savage Spider-Man) et l'illustrateur J. M. Ken Niimura (Umami, lauréat d'un Eisner Award) sont de retour pour vous faire vibrer avec Immortal Sergeant ! Critique : Popopopopopo. Attention l'une des claques de l'année pour moi. Rien de moins. Une bd que j'ai ouverte sans trop y croire, le dessin étant particulier. Puis au bout de dix pages, la difficulté à lâcher ce pavé, la frénésie de tourner les pages... Alors même que j'avais ma fille de deux ans avec moi qui jouait... A peine le repas passé, une seule envie, y retourner. Retrouver le "Sarge" et son Fiston et leur quête. Vite vite vite. Des dialogues ciselés et punchy comme des uppercuts, un humour noir, des personnages forts et identifiables si facilement. Comme dans le film Tombe les filles et tais toi de Woody Allen, ou l'un des personnages de Casablanca est finalement omniprésent, ici on ne peut pas ne pas voir Dirty Harry au fil des pages. Simplement, comme dans Dirty Harry, le propos est finalement bien plus nuancé qu'on ne veut bien nous le dire. Ici au fil des pages, les légendes s'estompent, les nuances apparaissent, les jugements s'étiolent, et à la fin il ne nous reste plus que des humains, avec leurs faillites, leurs doutes, et aucunes certitudes. C'est l'histoire de la retraite d'un flic, mais c'est aussi l'histoire d'une parentalité, d'une paternité, et de comment l'homme arrive à surmonter les épreuves qu'il doit affronter. C'est une histoire de vie qui démarre comme une caricature, et qui, avec une vraie tendresse pour son personnage caricatural, va faire avancer le lecteur vers quelque chose de plus intéressant. Sans jugement. Avec des constats, souvent cruels, mais qui apporte plus de compassions que de jugements. Bref, foncez. C'est bien, c'est finalement très beau et immersif. Les dessins sont d'une rare expressivité, d'un dynamisme extraordinaire, alors même qu'ils sont souvent très simple. La marque des grands tout simplement. Le noir et blanc est parfait. Si en plus vous avez les films de Eastwood dans un coin de votre tête, profitez. Immortal Sergeant c'est Gran Torino en BD. Et peut être même en mieux 🙂 A noter qu'en plus l'édition d'HiComics fait les choses très bien puisqu'en fin d'album vous avez le droit a un très chouette making of des auteurs. Et ce n'est pas ici une fioriture éditoriale dispensable. Je le redis donc. Foncez. C'est intelligent et percutant. Immortal Sergeant ne ressemble pas vraiment à une bd que vous avez déjà lue. On fait le plein d'émotions. Et en bonus on a une sacrée aventure qui prend aux tripes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/immortal-sergeant?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Immortal Sergeant

    Popopopopopo. Attention l'une des claques de l'année pour moi. Rien de moins. Une bd que j'ai ouverte sans trop y croire, le dessin étant particulier. Puis au bout de dix pages, la difficulté à lâcher ce pavé, la frénésie de tourner les pages... Alors même que j'avais ma fille de deux ans avec moi qui jouait... A peine le repas passé, une seule envie, y retourner. Retrouver le "Sarge" et son Fiston et leur quête. Vite vite vite. Des dialogues ciselés et punchy comme des uppercuts, un humour noir, des personnages forts et identifiables si facilement. Comme dans le film Tombe les filles et tais toi de Woody Allen, ou l'un des personnages de Casablanca est finalement omniprésent, ici on ne peut pas ne pas voir Dirty Harry au fil des pages. Simplement, comme dans Dirty Harry, le propos est finalement bien plus nuancé qu'on ne veut bien nous le dire. Ici au fil des pages, les légendes s'estompent, les nuances apparaissent, les jugements s'étiolent, et à la fin il ne nous reste plus que des humains, avec leurs faillites, leurs doutes, et aucunes certitudes. C'est l'histoire de la retraite d'un flic, mais c'est aussi l'histoire d'une parentalité, d'une paternité, et de comment l'homme arrive à surmonter les épreuves qu'il doit affronter. C'est une histoire de vie qui démarre comme une caricature, et qui, avec une vraie tendresse pour son personnage caricatural, va faire avancer le lecteur vers quelque chose de plus intéressant. Sans jugement. Avec des constats, souvent cruels, mais qui apporte plus de compassions que de jugements. Bref, foncez. C'est bien, c'est finalement très beau et immersif. Les dessins sont d'une rare expressivité, d'un dynamisme extraordinaire, alors même qu'ils sont souvent très simple. La marque des grands tout simplement. Le noir et blanc est parfait. Si en plus vous avez les films de Eastwood dans un coin de votre tête, profitez. Immortal Sergeant c'est Gran Torino en BD. Et peut être même en mieux 🙂 A noter qu'en plus l'édition d'HiComics fait les choses très bien puisqu'en fin d'album vous avez le droit a un très chouette making of des auteurs. Et ce n'est pas ici une fioriture éditoriale dispensable. Je le redis donc. Foncez. C'est intelligent et percutant. Immortal Sergeant ne ressemble pas vraiment à une bd que vous avez déjà lue. On fait le plein d'émotions. Et en bonus on a une sacrée aventure qui prend aux tripes.
  5. Titre de l'album : Don Quichotte de la Manche Scenariste de l'album : Paul & Gaëtan Brizzi Dessinateur de l'album : Paul & Gaëtan Brizzi Coloriste : Paul & Gaëtan Brizzi Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Don Quichotte passe entre les mains de Paul et Gaëtan Brizzi pour une adaptation somptueuse de ce classique de la littérature espagnole. Paul et Gaëtan Brizzi reprennent le crayon et, après L'Enfer de Dante, s'attaquent à un autre très grand classique de la littérature espagnole, Don Quichotte. L'Hidalgo de Miguel de Cervantes va passer sous les traits uniques des frères Brizzi pour une nouvelle adaptation spectaculaire ! Critique : Après une somptueuse adaptation de la Divine Comédie, l'enfer de Dante, les deux frères auteurs Brizzi se lancent dans une nouvelle adaptation d'un autre classique de la littérature, avec Don Quichotte de la Manche de Cervantes. On retrouve donc avec plaisir les aventures rocambolesques de Don Quichano qui se renomme lui-même Don Quichotte, avant de partir avec sa vieille monture pour venir en aide ou affronter des monstres présents seulement dans sa tête ou sa folie. L'histoire de Don Quichotte est plus légère que celle de Dante avec beaucoup d'humour en compagnie de son fidèle Sancho et de Carrasco son scribe. Les frères Brizzi restent fidèles à l'œuvre d'origine souvent amusante mais aussi triste devant la méchanceté des personnes se moquant de Don Quichotte ou le frappant. La partie graphique est absolument magnifique, la plus grande partie des planches est en noir et blanc en crayonnée mais quelques illustrations ou double page d'illustration sont en couleurs. Le style des dessins se veut caricatural avec des personnages aux expressions très exagérés sur les gros plans des visages. Les scènes d'actions sont parfaites et dynamiques qui se terminent souvent par Don Quichotte perdant et finissant à terre. Ce roman graphique est imposant avec deux cent planches magnifiques où l'on ne peut rester qu'admiratif devant le travail des deux frères. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-quichotte-de-la-manche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Don Quichotte de la Manche

    Après une somptueuse adaptation de la Divine Comédie, l'enfer de Dante, les deux frères auteurs Brizzi se lancent dans une nouvelle adaptation d'un autre classique de la littérature, avec Don Quichotte de la Manche de Cervantes. On retrouve donc avec plaisir les aventures rocambolesques de Don Quichano qui se renomme lui-même Don Quichotte, avant de partir avec sa vieille monture pour venir en aide ou affronter des monstres présents seulement dans sa tête ou sa folie. L'histoire de Don Quichotte est plus légère que celle de Dante avec beaucoup d'humour en compagnie de son fidèle Sancho et de Carrasco son scribe. Les frères Brizzi restent fidèles à l'œuvre d'origine souvent amusante mais aussi triste devant la méchanceté des personnes se moquant de Don Quichotte ou le frappant. La partie graphique est absolument magnifique, la plus grande partie des planches est en noir et blanc en crayonnée mais quelques illustrations ou double page d'illustration sont en couleurs. Le style des dessins se veut caricatural avec des personnages aux expressions très exagérés sur les gros plans des visages. Les scènes d'actions sont parfaites et dynamiques qui se terminent souvent par Don Quichotte perdant et finissant à terre. Ce roman graphique est imposant avec deux cent planches magnifiques où l'on ne peut rester qu'admiratif devant le travail des deux frères.
  7. Titre de l'album : Les 9 vies extraordinaires de la princesse Gaya Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Régis Lejonc Coloriste : Régis Lejonc Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Victime d'un terrible sortilège, l'innocente enfant meurt, et ce bien trop tôt. De siècle en siècle, de la Bavière médiévale qui l'a vue naître aux confins du Mexique, de la Chine impériale aux forêts oubliées de la Grèce ottomane, Gaya va connaître, sous d'autres noms et à différents âges, neuf vies extraordinaires... car tel est le destin de la princesse qui sut attendrir la mort. Critique : Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-9-vies-extraordinaires-de-la-princesse-gaya?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent.
  9. poseidon2

    Padre Sicario

    Titre de l'album : Padre Sicario Scenariste de l'album : Stéphane Marchetti | Thomas Dandois Dessinateur de l'album : Vladimiro Merino Coloriste : Vladimiro Merino Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Salva était le plus grand tueur à gages de Cali. Son nom faisait trembler les plus grand. Mais en prison, il a embrassé la religion et est devenu pasteur évangéliste. À sa sortie, il se donne pour mission de construire un temple en plein coeur de Siloé, le quartier où il a grandi.Le projet n'est pas du goût de Victor, son ami d'enfance qui contrôle désormais le trafic de drogue dans le barrio.Padre Sicario, est un récit d'action sur la violence et la rédemption. L'histoire racontée à hauteur d'hommes, est très librement inspirée de faits réels et d'expériences vécues Critique : Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/padre-sicario?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Padre Sicario

    Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte.
  11. Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins).
  12. Titre de l'album : Astérix - Tome 40 - L'iris blanc Scenariste de l'album : Fabrice Caro Dessinateur de l'album : Didier Conrad Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : « Pour éclairer la forêt, la floraison d'un seul iris suffit » L'Iris blanc est le nom d'une nouvelle école de pensée positive, venue de Rome qui commence à se propager dans les grandes villes, de Rome à Lutèce. César décide que cette méthode peut avoir un effet bénéfique sur les camps qui se trouvent autour du célèbre village gaulois. Mais les préceptes de cette école exercent aussi une influence sur les villageois qui croisent son chemin... Critique : Que trouve-t-on dans ce dernier Astérix ? Alors il y a le quota de blagues pour vieux ✔️ (dont je fais parti), pas sûr que les jeunes comprennent tous les jeux de mots ✔️ (et même certains que non... au moins pour les chansons qui ne sont pas de leur génération - ah ah! 🙂 )). Le quota de critiques sociales ✔️, générationnelles ✔️ et un peu d'actu franco françaises sont de rigueur aussi mais pas trop ✔️ Le dessin est, autant que je m'en souvienne, très fidèle. ✔️ Le quota de nostalgie est respecté aussi. On retrouve toute la galerie habituelle (et désormais obligatoire) de personnages: Les gaulois, les romains, les sangliers, les bagarres, les pirates... Le quota impression de déjà lu mille fois dans les albums d'origine est malheureusement là lui aussi ✔️✔️✔️ et en surdose je dirais. Ca fait même photocopie les cases par endoite, beaucoup de cases très proches et dans un ton un peu terne avec peu ou pas de décors ou souvent la même chose. Je trouve que la colorisation est peu soutenue aussi.... Il faudrait que je revois les albums précédents. Dans mon souvenir, ca pétait bien plus que ça. Le ventre mou scénaristique est là aussi, bien au milieu de l'album, ça c'est dommage par contre. Sur ce point aussi, on retrouve des bouts des albums de la série originelle en pagaille. Bref, il ne va pas en rester grand chose dans 1 semaine. Et c'est dommage comme je le disais, mais c'est mieux que le T39 (de mémoire aussi). Mais bon, comme ça... c'est sans engagement, on ne froisse personne et ça fait un cadeau facile pour grand papa ou papa tout court à Noël dans la famille. Cela dit comme je l'avais dit, c'est plutôt très agréable à lire, le dessin est bien là, les vannes aussi. Il ne faut sans doute plus chercher plus loin. Je reconnais le travail effectué. Ca manque d'envergure quand même. Peut-être que je vieillis (mal donc, je dois être de plus en plus dans les vieux c...rétins). Autres infos : Une bonne cuvée globalement, surtout la 1ère partie. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asterix-l-iris-blanc-tome-40?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Une histoire de la guerre 14-18 Scenariste de l'album : Frédéric Chabaud Dessinateur de l'album : Julien Monier Coloriste : Julien Monier Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : En suivant le destin de Jean, Lucien et Joseph, trois frères précipités dans l'enfer de la Grande Guerre, vous serez plongés au coeur du conflit grâce à la bande dessinée.De la mobilisation dans l'allégresse au désenchantement des premières défaites, des combats au corps à corps aux premiers gaz des tranchées, vous allez découvrir une histoire inoubliable !Inoubliable, mais aussi débordante d'informations et d'anecdotes grâce aux documentaires richement illustrés qui complètent la bande dessinée. Ils vous emmènent dans les lieux de mémoire incontournables et sur les dernières traces encore visibles du conflit. Critique : Les éditions petitàpetit continuent de sortir des docu-BD de qualité avec ce nouvel opus centré sur la première guerre mondiale . La recette reste identique avec des planches BD classiques , ponctuées de double-pages composées d'images d'archives et autres conseils de visite de musée , afin de ne pas oublier ! On sent vraiment à la lecture de cet ouvrage une volonté des auteurs de faire perdurer le souvenir , à la mémoire des combattants . Nous suivons à cet effet le destin de 3 frères avec pour toile de fond la France rurale pré-guerre . Nous les retrouvons à plusieurs âges différents , en suivant leur évolution et celle du monde environnant avec des événements sombres à venir , comme l'assassinat de Jaures , puis celui de l'archiduc François Ferdinand , qui sera le point de départ de la guerre . Le dessinateur de RIP nous offre des planches remarquables , on est littéralement immergé avec les poilus dans les tranchées , on sentirait presque la chaleur des explosions d'obus . La peur se lit dans le visage des combattants , tout comme leurs doutes disséminés ça et là au hasard de discussions entre eux . C'est une mise en abyme réelle et étouffante , on est lié avec ces 3 frères et leur destin . Le plus indéniable , étant aussi ces pages de documents qui sont des mines d'informations ! Vous apprendrez d'où vient le terme "poilu" , l'expression "limoger" , vous découvrirez la majeure partie des musées et autres lieux de commémoration à visiter en France et alentours , c'est complet et bigrement bien fait . Encore un sans faute pour la section docu-BD ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-histoire-de-la-guerre-14-18-en-bd/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Les éditions petitàpetit continuent de sortir des docu-BD de qualité avec ce nouvel opus centré sur la première guerre mondiale . La recette reste identique avec des planches BD classiques , ponctuées de double-pages composées d'images d'archives et autres conseils de visite de musée , afin de ne pas oublier ! On sent vraiment à la lecture de cet ouvrage une volonté des auteurs de faire perdurer le souvenir , à la mémoire des combattants . Nous suivons à cet effet le destin de 3 frères avec pour toile de fond la France rurale pré-guerre . Nous les retrouvons à plusieurs âges différents , en suivant leur évolution et celle du monde environnant avec des événements sombres à venir , comme l'assassinat de Jaures , puis celui de l'archiduc François Ferdinand , qui sera le point de départ de la guerre . Le dessinateur de RIP nous offre des planches remarquables , on est littéralement immergé avec les poilus dans les tranchées , on sentirait presque la chaleur des explosions d'obus . La peur se lit dans le visage des combattants , tout comme leurs doutes disséminés ça et là au hasard de discussions entre eux . C'est une mise en abyme réelle et étouffante , on est lié avec ces 3 frères et leur destin . Le plus indéniable , étant aussi ces pages de documents qui sont des mines d'informations ! Vous apprendrez d'où vient le terme "poilu" , l'expression "limoger" , vous découvrirez la majeure partie des musées et autres lieux de commémoration à visiter en France et alentours , c'est complet et bigrement bien fait . Encore un sans faute pour la section docu-BD !
  15. Titre de l'album : Alpha - Tome 18 - Drones Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vingt-et-un drones livrés par la société américaine Blade Inc. disparaissent en Roumanie. Le coupable est tout trouvé : James Leitton, PDG d'Aerok, un concurrent malheureux que tout accuse. Dwight Tyler est donc dépêché sur place pour interroger Leitton. Une mission a priori simple... qui se complique rapidement quand il découvre l'homme d'affaire assassiné ! Alpha va devoir goûter l'hospitalité roumaine un peu plus longtemps que prévu... Critique : On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent. Autres infos : D'après l'oeuvre créée par Jigounov et rENARD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpha-tome-18-drones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    Alpha - Tome 18 - Drones

    On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent.
  17. alx23

    Douze

    Titre de l'album : Douze Scenariste de l'album : Herik Hanna Dessinateur de l'album : Hervé Boivin Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Fin de la saison, le grand hôtel de luxe perdu dans les Alpes ferme ses portes... Mais pas pour tout le monde. Douze étranges invités font leur entrée. Agents gouvernementaux, anciens policiers, assassins professionnels, ils sont tous les invités de l'Hydre, un insaisissable tueur caché derrière son masque. Les hostilités peuvent commencer. Critique : Herik Hanna nous emmène dans une machination très bien réfléchie avec les douze hommes et femmes jugés les plus dangereux de l'année. Tous sont invités à séjourner une semaine dans un hôtel luxueux et reculé. Dès lors, les présentations vont commencer dans un jeu plus ou moins subtils suivant les personnes. Ensuite le scénariste Herik Hanna propose une Bataille royale avec une jolie somme à la clé. Les dialogues entre les personnages nous permettent de démêler les différentes intrigues et surtout connaitre l'identité de leur hôte. Les dessins d'Hervé Boivin sont classiques surtout au démarrage pour introduire les douze membres. L'auteur joue avec des vues d'ensemble assez bien pensé pour découper les planches en douze cases. La couverture est particulièrement réussie et donne envie d’ouvrir la BD tout en noir et or, avec des armes à feu autour du masque de l’hote. Douze est un très bon récit complet, on ne s'ennuie pas un seul moment et c'est avec plaisir et surprise que l'on apprend qui est à la tête de l'organisation de l'hydre à sept têtes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/douze?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Douze

    Herik Hanna nous emmène dans une machination très bien réfléchie avec les douze hommes et femmes jugés les plus dangereux de l'année. Tous sont invités à séjourner une semaine dans un hôtel luxueux et reculé. Dès lors, les présentations vont commencer dans un jeu plus ou moins subtils suivant les personnes. Ensuite le scénariste Herik Hanna propose une Bataille royale avec une jolie somme à la clé. Les dialogues entre les personnages nous permettent de démêler les différentes intrigues et surtout connaitre l'identité de leur hôte. Les dessins d'Hervé Boivin sont classiques surtout au démarrage pour introduire les douze membres. L'auteur joue avec des vues d'ensemble assez bien pensé pour découper les planches en douze cases. La couverture est particulièrement réussie et donne envie d’ouvrir la BD tout en noir et or, avec des armes à feu autour du masque de l’hote. Douze est un très bon récit complet, on ne s'ennuie pas un seul moment et c'est avec plaisir et surprise que l'on apprend qui est à la tête de l'organisation de l'hydre à sept têtes.
  19. Titre de l'album : Les filles de Sapphô Scenariste de l'album : Arianna Melone Dessinateur de l'album : Arianna Melone Coloriste : Arianna Melone Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Que diront-ils de moi ? Que la beauté ne m'a jamais effleurée et que j'ai trouvé refuge dans la mort ? Qu'est-ce qui me rappelait l'apparence de la divine Aphrodite ? Que je fus l'icône de l'amour entre femmes, défenseur d'une justice féminine ? Ou que je fus si pudique que je ne pouvais écrire quelconque obscénités dans mes oeuvres ? Qui suis-je ? Qui est Sappho ?". Originaire de l'île de Lesbos, Sappho est éducatrice à la Maison des Muses, une confrérie de jeunes filles nobles, où l'on enseigne les arts, la délicatesse,... Critique : Auteure complète , Ariana Melone a déjà sorti des oeuvres comme Gianna et Le bal des folles , avec à chaque fois une présence féminine forte . Elle continue son chemin en remontant le temps au VII et VI èmes siècles avant JC , en proposant un pan de la vie de Sapphô . Avec le peu d'écrits restants sur elle , Ariana Melone imagine la vie de cette femme , poétesse aux idées tellement contemporaines ! Sur l'île de Lesbos ( n'imaginez pas que le terme lesbien vient de là , il s'agit d'autre chose en lien avec cette île , à découvrir dans les annexes de fin d'album) , Sapphô est éducatrice pour les jeunes filles nobles . Elle les initie aux arts , le chant , la délicatesse , l'amour , les devoirs féminins au sein d'un couple , bref , tout le nécessaire devenir une épouse modèle . Mais ces formations peuvent prendre un caractère plus personnel lorsque Sapphô se met à dévoiler ses envies sentimentales voire plus ,envers des élèves ! Imaginez le contexte historique dans une Athènes toute puissante faisant la part belle aux couples hétéros . Toute promotion du féminisme voire d'homosexualité féminine est très vite mal perçue lorsqu'elle touche des nobles . Sapphô aura bien du mal à naviguer dans ces eaux troubles , d'autant qu'elle a sa propre famille avec d'autres sources d'ennuis ! De son trait doux crayonné , aux couleurs passées , "antiques" , Arian Melone expose la vie de cette femme tellement précurseure d'un idéal féminin et féministe , dans une reconstruction historique plutôt fidèle . Il subsiste cependant un manque de liant parfois , elle use d'ellipse fréquemment et cela peut nuire au déroulé de l'histoire , d'autant qu'elle est riche en personnages (pas toujours reconnaissables) . Cela reste néanmoins un vibrant hommage à cette poétesse incarnant par ses écrits une manière différente et plus libre de concevoir l'amour , en tant que femme . A noter une annexe particulièrement bien détaillée et explicative en fin d'album , très enrichissante d'un point de vue culturel . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://graphzeppelin.com/mythologie-grecque/305-achille-3-la-chute-des-legendes.html/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    Les filles de Sapphô

    Auteure complète , Ariana Melone a déjà sorti des oeuvres comme Gianna et Le bal des folles , avec à chaque fois une présence féminine forte . Elle continue son chemin en remontant le temps au VII et VI èmes siècles avant JC , en proposant un pan de la vie de Sapphô . Avec le peu d'écrits restants sur elle , Ariana Melone imagine la vie de cette femme , poétesse aux idées tellement contemporaines ! Sur l'île de Lesbos ( n'imaginez pas que le terme lesbien vient de là , il s'agit d'autre chose en lien avec cette île , à découvrir dans les annexes de fin d'album) , Sapphô est éducatrice pour les jeunes filles nobles . Elle les initie aux arts , le chant , la délicatesse , l'amour , les devoirs féminins au sein d'un couple , bref , tout le nécessaire devenir une épouse modèle . Mais ces formations peuvent prendre un caractère plus personnel lorsque Sapphô se met à dévoiler ses envies sentimentales voire plus ,envers des élèves ! Imaginez le contexte historique dans une Athènes toute puissante faisant la part belle aux couples hétéros . Toute promotion du féminisme voire d'homosexualité féminine est très vite mal perçue lorsqu'elle touche des nobles . Sapphô aura bien du mal à naviguer dans ces eaux troubles , d'autant qu'elle a sa propre famille avec d'autres sources d'ennuis ! De son trait doux crayonné , aux couleurs passées , "antiques" , Arian Melone expose la vie de cette femme tellement précurseure d'un idéal féminin et féministe , dans une reconstruction historique plutôt fidèle . Il subsiste cependant un manque de liant parfois , elle use d'ellipse fréquemment et cela peut nuire au déroulé de l'histoire , d'autant qu'elle est riche en personnages (pas toujours reconnaissables) . Cela reste néanmoins un vibrant hommage à cette poétesse incarnant par ses écrits une manière différente et plus libre de concevoir l'amour , en tant que femme . A noter une annexe particulièrement bien détaillée et explicative en fin d'album , très enrichissante d'un point de vue culturel .
  21. Titre de l'album : Les mots pour le dire Scenariste de l'album : Jerrert Dessinateur de l'album : Elena Ominetti Coloriste : Elena Ominetti Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Désir, adoration, exhibition… des mots chuchotés à l’oreille pour exprimer nos fantasmes les plus intimes, les plus coquins, les plus inavouables. Compilation de 4 histoires, Les mots pour le dire vous entraîne dans un voyage entre imagination et réalité. Après tout tant que la pensée engendre plaisir et satisfaction, pourquoi ne pas oser fantasmer ? Après le succès de Sans un mot… Elena Ominetti et Jerrert reviennent avec cet album à l’érotisme fin et intense sublimé par un dessin sensuel et délicat. Tendons l’oreille à l’appel du désir… Critique : Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/70937-les-mots-pour-le-dire-9782359542011.html/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    Les mots pour le dire

    Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉
  23. Kevin Nivek

    Mongolia

    Titre de l'album : Mongolia Scenariste de l'album : Lele Vianello Dessinateur de l'album : Lele Vianello Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : En 1920, le baron von Ungern-Sternberg s'avance dans les montagnes avec quelques cosaques de sa garde rapprochée, il revient seul... Quelques années plus tard, une mission archéologique menée par un aventurier français se rend au Tibet à la recherche du trésor disparu de von Ungern... Critique : Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mongolia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    Mongolia

    Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉
  25. Titre de l'album : L'alchimiste tome 2 Scenariste de l'album : Nicolas Beuglet Dessinateur de l'album : Alexandre Saint-Genez Coloriste : Piky Hamilton , Annalisa Ferrari Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : À peine remis de leurs émotions dans les catacombes de la cathédrale de Notre-Dame, Basile, Esperanza, Flamel et Fibus embarquent pour une nouvelle aventure, direction la Crète ! Pour déchiffrer les énigmes du Fondateur, nos héros devront s'engouffrer dans le labyrinthe de Dédale, et vaincre le célèbre minotaure de la mythologie grecque. Le combat ne sera pas que physique : des énigmes et des pièges en tout genre menacent également la vie de nos téméraires aventuriers ! S'ils se rapprochent de plus en plus de la pierre philosophale, nos héros sont loin de se douter que le Masque d'Acier, tapi dans l'ombre, attend son heure pour frapper... Critique : Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alchimiste-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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