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  • Les mots pour le dire


    Kevin Nivek
    • Scenariste: Jerrert Dessinateur: Elena Ominetti Coloriste: Elena Ominetti Editeur: Tabou Note :
      Résumé:

      Désir, adoration, exhibition… des mots chuchotés à l’oreille pour exprimer nos fantasmes les plus intimes, les plus coquins, les plus inavouables.

      Compilation de 4 histoires, Les mots pour le dire vous entraîne dans un voyage entre imagination et réalité. Après tout tant que la pensée engendre plaisir et satisfaction, pourquoi ne pas oser fantasmer ?

      Après le succès de Sans un mot… Elena Ominetti et Jerrert reviennent avec cet album à l’érotisme fin et intense sublimé par un dessin sensuel et délicat.

      Tendons l’oreille à l’appel du désir…

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Erotique Prix: 17 Nb de pages: 48
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    Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ?

    C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉

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    • Bienvenue à Pandemonia
      Note :
      En voilà un tome surprenant. Surprenant, car tournant très vite dans le n'importe quoi.

      Mais du très bon n'importe quoi ! On est dans une histoire ou un boni menteur beau parleur se retrouve en enfer et ne se laisse pas démonter. Mais un enfer qui n'est qu'un reflet de notre monde, avec ses problèmes, ses syndicats et un nombre de péchés dingues qui augmentent en même temps que les nouvelles technologies arrivent.

      Un monde plein de démons qui râlent, avec une hiérarchie qui n'en peu plus et des condamnés au final pas si mal lotis.

      Une BD pleine d'humour, de second degré, mais aussi de critique des beaux parleurs et de ceux qui les croient sans réfléchir.


       
      • 0 réponse
    • Edenwood tome 1
      Note :
      Tony S. Daniel est un dessinateur reconnu dans les comics de super-héros avec ses nombreuses contributions à la chauve-souris et à l'univers DC en règle générale. Aujourd’hui, Daniel revient en auteur complet avec le premier tome de la série Edenwood, dans une ambiance très dark fantasy. L'histoire commence très rapidement voir trop, avec des sauts dans le temps et dans des univers parallèles, il faudra bien s'accrocher à l'histoire pour bien suivre. Car une fois passé, ce détail qui ralentit la narration, on découvre un monde imaginaire très intéressant avec une guerre avec des démons, des vampires ou encore des ensorceleuses. Le bestiaire est séduisant pour passer un bon moment avec beaucoup d'aventure et d'action.
      La partie graphie est magnifique, on reconnait le talent du dessinateur pour créer une atmosphère bien sombre ou des planches très dynamiques lors des combats avec la magie et tous les autres effets. L'album se termine sur plusieurs couvertures alternatives de Daniel.
      Les dessins sont vraiment l'atout majeur de ce titre avec quelques défauts à corriger pour la suite sur les sauts entre les différentes époques pour une lecture plus fluide.
      • 1 réponse
    • Carcoma
      Note :
      Décidément la mode des romans graphiques nous sort de plus en plus des BD graphiquement engageante. Attention je ne m'en plains pas du tout. Je suis plutôt du genre à aimer la diversité graphique. C'est pour vous prévenir.

      Ceci dit, je trouve que ce style graphique, âpre, torturé et violent, va vraiment bien avec l'histoire sombre de notre Bateau de Pirate. Une histoire fantastique qui réussi, par son graphisme et son approche sombre, à sortir des sentiers battus de la piraterie. On a ici une histoire très humaine sur le droit à une seconde chance, la fuite et l'acceptation. Acceptation qui, dans un bateau, doit se faire en groupe sous peine d'implosion.

      C'est particulièrement émouvant et triste et, si l'espoir reste au bout du chemin, une vision plutôt sombre du combat entre le désespoir et l'espoir.
      • 2 réponses
    • Aucune tombe assez profonde
      Note :
      Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique.

      Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona.

      Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot.

      Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique.




       
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      • 3 réponses

    • Talentless tome 12
      Note :
      Mais qu'est ce qu'il y a dans la tête de Looseboy ??? Sincèrement ?

      Encore une fois il décide de renverser la table dans ce tome 12 ! On a dû attendre 1 an (c'est malheureusement le timing pou cette série) mais l'attente est comblée avec un nouveau rebondissement... Et encore "nouveau" ????? Mais chut je ne vous gâche rien !

      C'est fou à quel point le scenario réussi à nous offrir des changements tout en gardant une cohérence globale qui ferait pâlir un certain nombre de mangaka.

      Le personnage de Nana continue de jouer sur plusieurs tableaux, alternant intelligemment les mensonges et les vérités, essayant coute que coute sauver tout le monde pour se faire pardonner d'avoir eu le mauvais rôle.....

      Franchement, cette série n'en finit plus de me surprendre et de me tenir en haleine.

      Plus qu'à attendre... 1 an !

       
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