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  • Kevin Nivek
    • Scenariste: Lele Vianello Dessinateur: Lele Vianello Editeur: Mosquito Note :
      Résumé:

      En 1920, le baron von Ungern-Sternberg s'avance dans les montagnes avec quelques cosaques de sa garde rapprochée, il revient seul... Quelques années plus tard, une mission archéologique menée par un aventurier français se rend au Tibet à la recherche du trésor disparu de von Ungern...

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Aventure Prix: 16 Nb de pages: 64
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    Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier  , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère  , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉

    Mongolia 1.jpg

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  • Dernières Critiques

    • Olot
      Note :
      Ce roman graphique est un véritable ovni aux éditions Tanibis, d'ailleurs la couverture en dit long sur le récit. L'auteur se présente en introduction comme un musicien passionné par les statues moai de l'île de Pâques. Quand il découvre qu'il en existe une autre en Espagne, il en profite pour le visiter lors d'une tournée en Europe. Il relate dans ce recueil d'histoires courtes des faits divers pour le moins étrange qui se déroulent dans la ville qui accueille cette statue, Olot. L'atmosphère est bien travaillée et curieuse, d'ailleurs il y a des références à David Lynch avec le générique de Twin peaks. Dr. Alderete doit être un amateur de ce genre et réussit à instaurer cette même ambiance à son récit. Entre chaque fait divers, on peut suivre un homme faisant des choses relativement similaire sur plusieurs époque de sa vie.  La partie graphique est très intéressante et certainement l'atout majeur de ce titre. On passe du noir et blanc à des pages assez psychédéliques avec une colorisation spéciale.
      Olot fait partie de ces bandes dessinée inclassable et particulière, on aime ou pas mais c'est très original.
      • 1 réponse

    • Shadow of the ring tome 2
      Note :
      Dans le 1er tome, on avait besoin de se familiariser avec ce nouvel univers, qui était d’ailleurs prometteur. Ce second volume me laisse un peu perplexe. D’abord ; il y a de nouveaux pays avec de nouveaux personnages : on a du mal à bien comprendre qui est avec qui et quelles sont les relations entre les différents pays. Ensuite, il y a les armes, des sortes de tenues de combat qui se ressemblent toutes : ce qui fait qu’entre deux combattants, ce n’est pas toujours aisé de les reconnaitre.

      On a un peu l’impression d’être jeté au milieu du livre sans avoir lu le début : on arrive directement dans l’action, au cœur d’un conflit. D’un côté c’est bien car on n’a pas une introduction interminable mais de l’autre, vu que l’on se trouve dans un univers complétement inédit, on a du mal à s’immerger sans un minimum de connaissance.

      Je regrette également le survol des personnages : on n’a pas vraiment le temps de les connaitre. Pour le moment, le lecteur reste un spectateur ; il y a peut-être trop d’informations d’un coup, on a à peine le temps de découvrir le pays de Keiju que l’on part déjà dans un autre décor. Pour le moment, l’histoire ne m’a pas convaincue et a du mal à capter mon attention.
      • 1 réponse
    • Un second au revoir tome 1
      Note :
      Un peu comme dans Erased ou Le bateau de Thésée, on a un personnage principal qui va revenir quelques années en arrière pour élucider une affaire policière.

      Lors des funérailles de son meilleur ami disparu, Hinata Harusawa découvre que ce dernier a été assassiné lorsqu’ils étaient au lycée et que son corps a été dissimulé dans les murs de leur salle de club : le club d’arts plastiques. Agressé au cours des obsèques, Hinata revient quelques mois avant la disparition de Sora et décide de tout faire pour empêcher le drame. Seulement, d’autres événements ont lieu à la place.

      J’aime bien ce genre d’histoire, en même temps qu’il y a un secret à découvrir, on voit les personnages se débattre dans un passé où le moindre de leurs agissements peut avoir des répercussions. Ces scénarios sont toujours plus travaillés que les mangas de régression où le héros cherche juste à échapper à son funeste destin, scénarios qui se déroulent toujours un peu de la même façon. Dans ces retours dans le passé « policier », on part à la recherche d’indices et souvent les trames sont complexes. On ne sait jamais à quoi s’attendre et on découvre souvent des personnages à plusieurs facettes.

      Le manga est bien orchestré, bien dessiné et on a hâte d’aller découvrir la suite. Un bon début pour un thriller passionnant qui sait nous tenir en haleine. 3 tomes en cours.
      • 1 réponse
    • Jealousy blinds love
      Note :
      D’un côté, il y a Hirino, un prodige du piano qui n’évolue plus depuis le décès de sa mère. De l’autre, Takase, un jeune élève prometteur, fan de Hirino, qui est également un génie. Entre les deux, il y a de l’envie, de la jalousie (par rapport au talent), une relation ambigüe pas très nette. Ils se cherchent, se mentent à eux-mêmes et profitent de l’autre. Mais qui mène vraiment la barque ?

      Ce qui est sûr, c’est que l’histoire joue sur les sentiments, ceux que l’on ressent mais surtout ce que l’on tait. Les personnages se mentent à eux-mêmes, il se mentent entre eux, chacun agit de façon à obtenir ce qu’il veut sans vraiment savoir non plus ce qu’il souhaite vraiment. C’est un vrai imbroglio.

      Pour le lecteur, c’est assez difficile de ressentir de l’empathie. Certes le graphisme est beau et élégant, l’histoire est intrigante mais le développement n’est pas vraiment à la hauteur. D’abord, on aurait aimé une présence plus marquée de la musique qui aurait amenée des envolées romantiques ou dramatiques et surtout nous aurait baigné dans une passion plus prononcée. Et puis, il manque des informations, comme s’appesantir par moment sur certaines pensées, certains ressentis. On a l’impression de survoler un peu l’histoire et c’est dommage.
      • 0 réponse
    • Amour placebo tome 2 (fin)
      Note :
      Satô a découvert que Serika avait une autre vie, une vie avec un mari où il n’avait pas sa place. Finalement tout n’était que mensonge, alors il erre l’âme en peine, le cœur détruit. Il se sent vide, n’a plus envie de rien et s’abandonne à une vie sans lendemain où il prend ce qui passe à sa portée.

      Ce deuxième tome est très sombre, assez glauque et limite dépressif. C’est le vide absolu dans le cœur et l’âme de Satô et Akane Torikai nous le fait bien ressentir. Un désespoir si grand que l’on a l’impression de plonger dans un gouffre sans fin. De ce côté-là, le manga est réussi mais humainement parlant, on ne s’y sent pas à l’aise avec l’envie, presque, de ne pas poursuivre la lecture.

      Amour placebo est un manga pour adulte ou plutôt pour lecteur mature, capable d’appréhender la psychologie et capable de regarder en face un monde qui n’est pas reluisant. Toute la construction du scénario est réussie, les réflexions sont sensées et les descriptions des sentiments sont réalistes, trop peut-être. Car l’histoire est triste, sombre. Elle est intéressante mais on n’a pas vraiment envie d’y revenir.
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