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  1. Titre de l'album : Boichi SF short stories tome 2 Scenariste de l'album : Boichi Dessinateur de l'album : Boichi Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, Boichi revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie – mais à quel prix ? – ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. Critique : Voici le deuxième tome des histoires courtes de science-fiction de Boichi contenant six histoires et des commentaires de l’auteur. Si les deux premières reprennent les codes de la science-fiction (invasion de la Terre par une espèce menaçante, survie dans une station orbitale), la troisième mélange SF et mysticisme comme si Alien rencontrait les cavaliers de l’apocalypse. Mais c’est surtout la 4e histoire « Il était là » qui m’a marqué le plus ! Derrière son apparente simplicité : un camionneur continuant à faire son travail du mieux qu’il peut à l’heure où les robots remplacent les hommes dans leur métier ; on trouve un récit où il y a une forte réflexion sur la place de l’homme dans le monde, et plus particulièrement son utilité. Le personnage principal cherche constamment à prouver qu’il est utile et qu’il fait des taches que les robots ne font pas ; jusqu’à ce que la technologie le rattrape mais aussi la vieillesse. La majorité de ces courtes histoires ont été réalisées comme préquels à des potentielles séries. Hélas, les projets n’ont pas toujours abouti mais cela permet de voir la diversité de l’auteur et également son efficacité à poser rapidement les bases d’une histoire. Un ouvrage intéressant à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Boichi SF short stories tome 2

    Voici le deuxième tome des histoires courtes de science-fiction de Boichi contenant six histoires et des commentaires de l’auteur. Si les deux premières reprennent les codes de la science-fiction (invasion de la Terre par une espèce menaçante, survie dans une station orbitale), la troisième mélange SF et mysticisme comme si Alien rencontrait les cavaliers de l’apocalypse. Mais c’est surtout la 4e histoire « Il était là » qui m’a marqué le plus ! Derrière son apparente simplicité : un camionneur continuant à faire son travail du mieux qu’il peut à l’heure où les robots remplacent les hommes dans leur métier ; on trouve un récit où il y a une forte réflexion sur la place de l’homme dans le monde, et plus particulièrement son utilité. Le personnage principal cherche constamment à prouver qu’il est utile et qu’il fait des taches que les robots ne font pas ; jusqu’à ce que la technologie le rattrape mais aussi la vieillesse. La majorité de ces courtes histoires ont été réalisées comme préquels à des potentielles séries. Hélas, les projets n’ont pas toujours abouti mais cela permet de voir la diversité de l’auteur et également son efficacité à poser rapidement les bases d’une histoire. Un ouvrage intéressant à découvrir.
  3. Nickad

    ABC Bazooka

    Titre de l'album : ABC Bazooka Scenariste de l'album : Yusaku Sawada Dessinateur de l'album : Yusaku Sawada Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Notre différence est une force ! D'origine japonaise, Aiko Glenn entre au lycée Griffton, l'école privée la plus prestigieuse de New York. En apparence elle ressemble à toutes les lycéennes de son âge, à une exception près : comme 1 % de la population, elle possède un pouvoir surnaturel. Ces individus, nommés « métas », sont considérés par beaucoup comme une menace, voire des déviants contre-nature. Capable de manipuler le feu, Aiko a d'ailleurs par accident provoqué un incendie dans lequel sa mère a péri. Marquée par ce drame, Aiko vit désormais seule avec son père. Moquée à l'école en raison de ses origines et de sa nature de « méta », elle songe parfois à utiliser son pouvoir contre le groupe de filles qui la harcèlent, notamment cette peste de Becky Allen. Becky est la championne d'athlétisme et la vedette du Lycée, mais il s'avère qu'elle aussi possède un pouvoir, celui de maitriser l'électricité ! Non loin, Chris Cobain, préférant rester à l'écart, observe le jeu des bourreaux en dissimulant également son propre pouvoir, celui de manipuler l'eau et la glace... Mais la rencontre entre ces trois individus, que rien ne prédestinait à devenir ami.e.s, va révéler au grand jour une sombre vérité et porter secours à toutes celles et ceux qui sont injustement persécutés en raison de leur différences... Critique : L’auteur Yusaku Sawada a voulu que sa BD ait une dimension Queer, voulant défendre la communauté LGBTQIA+ mais il précise cependant que cela reste avant tout une aventure de super-héros destinée à un large public. Alors qu’en est-il vraiment ? En ce qui concerne la partie super-héros, on a une population qui a évoluée, avec l’apparition de certaines personnes dotées de pouvoirs. Ils sont appelés vulgairement « métas » et ne sont pas forcément bien acceptés par la population. Deux groupes métas se ont créés pour défendre leur droit, l’un prônant la violence plus que l’autre. Tout ce contexte n’est pas sans rappeler les X-Men que ce soit dans la mutation des gènes ou dans les interactions métas/ humains. L’aspect Queer est plutôt discret. Certes, on a des personnages utilisant le pronom iel, des homosexuels et lesbiennes mais ce n’est pas mis en avant. Quant aux problèmes qu’ils rencontrent comme le harcèlement, la solitude, le deuil, ils ne sont pas propres à cette communauté. Les autres thématiques comme l’acceptation de soi et des autres, l’amitié, la confiance sont aussi très présents. La majorité des évènements sont liés à leur différence en tant que métas. Vous ajoutez à tout ça, une dimension fantastique supplémentaire concernant l’axe du temps et des réalités parallèles, vous aurez une bonne idée de ce qui vous attend dans le livre ! Et c’est pour moi le plus gros problème du récit : il y a beaucoup trop d’éléments dans ce livre, et ses 300 pages ne suffisent pas à tous les appréhender de façon satisfaisante. C’est parfois fouillis et parfois longuet. L’utilisation des couleurs est également un peu trop dense par moment et n’aide pas toujours à la compréhension. ABC Bazooka est cependant une œuvre intéressante, d’abord par son format entre comics et manga, certains même la mettant au rang de roman graphique. En ce qui me concerne, je pense qu’il a plutôt sa place en comics. Ensuite parce qu’avec sa multitude de thèmes abordés dont certains très actuels, les adolescents peuvent facilement s’y reconnaître. Cependant, cela reste une aventure un peu dense et complexe par moment, pas toujours facile d’accès. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abc-bazooka?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    ABC Bazooka

    L’auteur Yusaku Sawada a voulu que sa BD ait une dimension Queer, voulant défendre la communauté LGBTQIA+ mais il précise cependant que cela reste avant tout une aventure de super-héros destinée à un large public. Alors qu’en est-il vraiment ? En ce qui concerne la partie super-héros, on a une population qui a évoluée, avec l’apparition de certaines personnes dotées de pouvoirs. Ils sont appelés vulgairement « métas » et ne sont pas forcément bien acceptés par la population. Deux groupes métas se ont créés pour défendre leur droit, l’un prônant la violence plus que l’autre. Tout ce contexte n’est pas sans rappeler les X-Men que ce soit dans la mutation des gènes ou dans les interactions métas/ humains. L’aspect Queer est plutôt discret. Certes, on a des personnages utilisant le pronom iel, des homosexuels et lesbiennes mais ce n’est pas mis en avant. Quant aux problèmes qu’ils rencontrent comme le harcèlement, la solitude, le deuil, ils ne sont pas propres à cette communauté. Les autres thématiques comme l’acceptation de soi et des autres, l’amitié, la confiance sont aussi très présents. La majorité des évènements sont liés à leur différence en tant que métas. Vous ajoutez à tout ça, une dimension fantastique supplémentaire concernant l’axe du temps et des réalités parallèles, vous aurez une bonne idée de ce qui vous attend dans le livre ! Et c’est pour moi le plus gros problème du récit : il y a beaucoup trop d’éléments dans ce livre, et ses 300 pages ne suffisent pas à tous les appréhender de façon satisfaisante. C’est parfois fouillis et parfois longuet. L’utilisation des couleurs est également un peu trop dense par moment et n’aide pas toujours à la compréhension. ABC Bazooka est cependant une œuvre intéressante, d’abord par son format entre comics et manga, certains même la mettant au rang de roman graphique. En ce qui me concerne, je pense qu’il a plutôt sa place en comics. Ensuite parce qu’avec sa multitude de thèmes abordés dont certains très actuels, les adolescents peuvent facilement s’y reconnaître. Cependant, cela reste une aventure un peu dense et complexe par moment, pas toujours facile d’accès.
  5. Titre de l'album : Au-delà de Neptune Scenariste de l'album : Gabriele Melegari Dessinateur de l'album : Gabriele Melegari Coloriste : Gabriele Melegari Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : L'objectif n'est pas de voir plus loin, mais de voir mieux. Grâce au programme odyssée, nous allons explorer des planètes inconnues, trouver de nouveaux matériaux et découvrir des sources d'énergie durable inédites. A bord de l'ulysse, le téléscope spatial, la présence d'astronautes sera indispensable. Là-haut, ce ne sont pas de robots dont nous aurons besoin, ce sera d'être humains. Nous avons besoin de créativité. Critique : L'éditeur Steinkis inaugure un nouveau label "Aux confins" avec ce splendide ouvrage de l'italien Gabriele Melegari. Pour une première oeuvre, il fait fort avec cette plongée abyssale dans l'espace et le voyage interstellaire. On y suit Léla, une jeune femme qui a la tête dans les étoiles et ne rêve que de partir, quitter cette terre empoisonnée et grise. Nous sommes en 2283 et l'auteur illustre notre planète bleue (qui n'en a que le nom) dans des cases monochromes grisâtres. La lecture oscille entre Léla seule dans cette gigantesque nef "Ulysse" et des flashbacks de son passé qu'elle se remémore avec sa petite-amie Béatrice. Ces souvenirs lui permettent de ne pas perdre pied, seule dans les coursives du vaisseau au cours d'un voyage prévu de 19 années ! Ses réminiscences viennent ponctuer le présent de sa mission dont le but est bien évidemment de trouver une planète accueillante pour l'espèce humaine. La technologie lui permet d'effectuer des "sorties extravéhiculaires" simulées. En effet elle ne quitte pas le vaisseau physiquement mais de nombreux capteurs l'amènent en immersion profonde dans le vide spatial ou en reconnaissance sur les planètes rencontrées. Une anomalie vient perturber sa mission et son équilibre mental, une irrégularité prenant l'apparence d'une magnifique panthère noire ! Voyage onirique et méta-physique au programme pour une Léla perdue dans le temps et l'espace ! C'est pertinent, le dessin fluide à l'aquarelle nous fait voyager à travers des cases sublimes en pleine page ou dans un découpage astucieux livrant peu à peu son objectif final. Cela rend l'immersion dans l'immensité spatiale saisissante et vertigineuse. On pense aux films Interstellar et Contact en parcourant ce très bel écrin, amateurs de ce type de récits, plongez avec Léla dans cette aventure "presque" plausible 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-dela-de-neptune/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Au-delà de Neptune

    L'éditeur Steinkis inaugure un nouveau label "Aux confins" avec ce splendide ouvrage de l'italien Gabriele Melegari. Pour une première oeuvre, il fait fort avec cette plongée abyssale dans l'espace et le voyage interstellaire. On y suit Léla, une jeune femme qui a la tête dans les étoiles et ne rêve que de partir, quitter cette terre empoisonnée et grise. Nous sommes en 2283 et l'auteur illustre notre planète bleue (qui n'en a que le nom) dans des cases monochromes grisâtres. La lecture oscille entre Léla seule dans cette gigantesque nef "Ulysse" et des flashbacks de son passé qu'elle se remémore avec sa petite-amie Béatrice. Ces souvenirs lui permettent de ne pas perdre pied, seule dans les coursives du vaisseau au cours d'un voyage prévu de 19 années ! Ses réminiscences viennent ponctuer le présent de sa mission dont le but est bien évidemment de trouver une planète accueillante pour l'espèce humaine. La technologie lui permet d'effectuer des "sorties extravéhiculaires" simulées. En effet elle ne quitte pas le vaisseau physiquement mais de nombreux capteurs l'amènent en immersion profonde dans le vide spatial ou en reconnaissance sur les planètes rencontrées. Une anomalie vient perturber sa mission et son équilibre mental, une irrégularité prenant l'apparence d'une magnifique panthère noire ! Voyage onirique et méta-physique au programme pour une Léla perdue dans le temps et l'espace ! C'est pertinent, le dessin fluide à l'aquarelle nous fait voyager à travers des cases sublimes en pleine page ou dans un découpage astucieux livrant peu à peu son objectif final. Cela rend l'immersion dans l'immensité spatiale saisissante et vertigineuse. On pense aux films Interstellar et Contact en parcourant ce très bel écrin, amateurs de ce type de récits, plongez avec Léla dans cette aventure "presque" plausible 😉
  7. Titre de l'album : Cyborgs - Tome 2 - Steel Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Valentina Pinti & Arancia Studio Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Donnée favorite aux élections face à Markus C. Tudor, Heather Macstone est visée dans un attentat où seule sa fille, Sam, survit. Gravement blessée, Sam reçoit des prothèses greffées par Russel. Qui a cherché à les éliminer et pour quelles raisons ? Plongée dans un univers de complots et de trahisons, Sam se sert de son corps de métal comme d'une arme pour découvrir la vérité. Critique : Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard. Autres infos : Storyboard par Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cyborgs-tome-2-steel/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Cyborgs - Tome 2 - Steel

    Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.
  9. Nickad

    Baby tome 1

    Titre de l'album : Baby tome 1 Scenariste de l'album : Chang-Sheng Dessinateur de l'album : Chang-Sheng Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : 50% femme. 50% machine. 100% badass ! 1er décembre 2043... Le "Jour du Jugement" est proche. Dans les rues délabrées de Taïwan un parasite inconnu, Baby transforme les êtres humains en monstres mécaniques, provoquant un véritable carnage et poussant l'humanité au bord de l'extinction. Attaquée par l'un de ces mutants, Élisa survit, mais un Baby réussit à s'introduire dans sa main gauche, sans pour autant la transformer en un hybride mécanique ! Un an plus tard, Élisa décide de quitter la ville pour faire toute la lumière sur cette affaire. Alors qu'elle est gravement blessée, elle croise sous terre une équipe de chercheurs en mission secrète : ils doivent ramener une mystérieuse jeune fille nommée Alice au sanctuaire des humains. Alors qu'ils sont cernés par les mutants et se demandent si leur dernière heure a sonné, Alice pourrait bien être la clé de l'énigme... Quelle est la véritable origine de Baby ? Le mystère qui se cache derrière tout ce chaos sera élucidé au moment même où l'identité d'Alice sera révélée... Après Yan, Chang Sheng revisite le récit postapocalyptique et le survival dans une trilogie d'action survitaminée, entre Parasite et The Walking Dead ! Critique : Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baby-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Baby tome 1

    Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite.
  11. Titre de l'album : BOICHI SF short stories tome 1 Scenariste de l'album : BOICHI Dessinateur de l'album : BOICHI Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la SF part dans huit directions différentes... Bienvenue dans ce premier volet du diptyque des SF Short Stories de Boichi ! Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, le mangaka revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie - mais à quel prix ? - ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. À noter que certaines nouvelles, déjà publiées dans son recueil, Hotel, sont à nouveau mises en avant, accompagnées de leur lot d'histoires inédites et d'anecdotes de création. Critique : Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    BOICHI SF short stories tome 1

    Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière.
  13. Kevin Nivek

    Flux

    Titre de l'album : Flux Scenariste de l'album : Jop Dessinateur de l'album : Jop Coloriste : Jop Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Sur la petite planète [P-412], Tildä No explore des terres stériles à la recherche de minéraux rares. Jeune chercheuse fraîchement recrutée par une compagnie d'énergie, c'est au cours d'une mission qu'elle croise le chemin de San Williams, vieux poète en exil. Leur destin bascule lorsqu'une tempête diluvienne aux effets spectaculaires s'abat sur eux. Rescapés du crash de leur véhicule, ils reprennent connaissance au milieu d'un paysage transformé. Et si les dunes ont mystérieusement laissé place à des marécages luxuriants, le décor n'est pas le seul à avoir subi les influences de l'orage... Leurs corps également métamorphosés, Tildä et San devront comprendre et trouver des réponses. S'ensuit un périple entre poésie et science où l'animal, le végétal, l'évolution, la survie ou la mort sont contenus dans une seule goutte de pluie... Critique : C'est un assez beau voyage que nous propose Jop avec la rencontre de personnages hétéroclites dans un univers qui va bouleverser de nombreux à priori ! Le titre "Flux" va prendre tout son sens au fil de la lecture, en se multipliant sous divers facettes. Tout d'abord le flux de découverte, avec notre héroïne Tildä missionnée par une grande compagnie énergétique pour y effectuer des relevés et diverses analyses des sols. Un évènement climatique inattendu avec une averse de pluie accompagnée de multiples orages va bouleverser les certitudes de la jeune exploratrice. Les paysages auparavant désertiques de cette planète vont de façon soudaine se transformer en campagnes verdoyantes et marécageuses. Sa rencontre avec un poète volontairement égaré, et la transformation de leurs corps va les pousser à entreprendre un flux migratoire vers la civilisation pour tenter de comprendre ces phénomènes extraordinaires. Flux temporel ensuite avec des colons vieillissants ou rajeunissants, voire métamorphosés en animaux. Mais aussi flux gravitationnel avec une mystérieuse boule noire lévitant, accompagnée d'une silhouette extra-terrestre suivant notre duo déboussolé ! Pour illustrer ce monde mystérieux, Jop réalise des planches à l'aquarelle en couleurs directes et charge en lavis les ciels ombrageux. Il impose une couleur dominante adaptée aux paysages rencontrés et aux variations de climat, cela renforce l'immersion du lecteur, un flux de couleurs judicieux 😉 . Le noir et blanc s'invite dans des double-pages illustrant une vieille dame prenant soin de son jardin, qui est-elle, quand est-elle ?? Un flux de mystères s'invite à son tour ! Laissez-vous entrainer dans ce flux de lecture aux côtés de Tildä et le poète San dans cette odyssée temporo-écologique favorisant la réflexion sur de nombreux sujets 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flux/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Kevin Nivek

    Flux

    C'est un assez beau voyage que nous propose Jop avec la rencontre de personnages hétéroclites dans un univers qui va bouleverser de nombreux à priori ! Le titre "Flux" va prendre tout son sens au fil de la lecture, en se multipliant sous divers facettes. Tout d'abord le flux de découverte, avec notre héroïne Tildä missionnée par une grande compagnie énergétique pour y effectuer des relevés et diverses analyses des sols. Un évènement climatique inattendu avec une averse de pluie accompagnée de multiples orages va bouleverser les certitudes de la jeune exploratrice. Les paysages auparavant désertiques de cette planète vont de façon soudaine se transformer en campagnes verdoyantes et marécageuses. Sa rencontre avec un poète volontairement égaré, et la transformation de leurs corps va les pousser à entreprendre un flux migratoire vers la civilisation pour tenter de comprendre ces phénomènes extraordinaires. Flux temporel ensuite avec des colons vieillissants ou rajeunissants, voire métamorphosés en animaux. Mais aussi flux gravitationnel avec une mystérieuse boule noire lévitant, accompagnée d'une silhouette extra-terrestre suivant notre duo déboussolé ! Pour illustrer ce monde mystérieux, Jop réalise des planches à l'aquarelle en couleurs directes et charge en lavis les ciels ombrageux. Il impose une couleur dominante adaptée aux paysages rencontrés et aux variations de climat, cela renforce l'immersion du lecteur, un flux de couleurs judicieux 😉 . Le noir et blanc s'invite dans des double-pages illustrant une vieille dame prenant soin de son jardin, qui est-elle, quand est-elle ?? Un flux de mystères s'invite à son tour ! Laissez-vous entrainer dans ce flux de lecture aux côtés de Tildä et le poète San dans cette odyssée temporo-écologique favorisant la réflexion sur de nombreux sujets 😉 .
  15. Titre de l'album : Conquêtes Tome 9 - Sahondra Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Louis et Kyko Duarte Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après soixante ans de voyage, l'armada africaine est à bout, elle doit débarquer sur Sahondra. Une planète paradisiaque régie par une absurdité biologique : aucune créature n'y mesure plus de quelques centimètres. Qu'est-ce qui tue et régule la biomasse animale ? Un virus ? Une forme de vie inconnue ? Kenya, biologiste de génie, doit percer ce mystère, sinon les siens mourront en exil. Critique : Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome. Autres infos : Ne respirez jamais avant d'avoir fait bouillir votre air ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-9-sahondra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Dakota - Héritage mécanique Scenariste de l'album : Jacopo Paliaga Dessinateur de l'album : Maurizia Rubino Coloriste : Maurizia Rubino Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Il y a trois cents ans, un chaman mis au monde une créature hors du commun : un mécha. Aujourd'hui, ces objets mécaniques font pleinement partie du quotidien des humains. Lorsqu'un jour, en sortant de son école, Dakota tombe nez à nez avec Woody, le tout premier mécha. Ce qu'elle ignore au moment de cette rencontre, c'est qu'elle deviendra la nouvelle cible d'hommes souhaitant s'emparer de Woody. Une véritable chasse à l'homme ou plutôt au mécha est lancée. Mais qui des deux clans s'en sortira ? Critique : Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dakota/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Dakota - Héritage mécanique

    Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂
  18. Titre de l'album : Mekka Nikki - tome 2 Scenariste de l'album : Exaheva Dessinateur de l'album : Félix Laurent Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Les habitants du Terrier peuvent désormais compter sur Nikki et Perko pour leur fournir le carburant qui fera décoller leur vaisseau. Alors qu’ils préparent leur départ, des tensions fragilisent la communauté, qui s’apprête à subir une attaque d’une ampleur encore jamais vue. Critique : Après avoir retrouvé son père , Nikki va en découvrir un peu plus sur son passé et les raisons qui ont mené son paternel à tout quitter . Mais elle va aussi en apprendre d'avantage sur les enjeux du conflit malmenant sa planète . Un second tome riche en révélations avec de nombreux sauts dans le passé , notamment sur la planète Lorunis , berceau de la révolte en cours . Les auteurs ont ceci dit l'adresse de semer encore des pistes scénaristiques supplémentaires à explorer dans les deux tomes futurs . Le rythme est toujours aussi soutenu , les événements s'enchainent à toute allure , Exaheva donne beaucoup de dynamisme au scénario , rares sont les temps morts ! D'autant qu'avec cette fin , l'attente de la suite prévue en septembre va vous paraître longue 😉 . Félix Laurent réalise quand à lui des planches dans son style bien à lui . Malgré la quantité importante de personnages , on les reconnait sans problème , même ceux que l'on redécouvre jeune avec les flashbacks . On sent que le dessinateur prend un réel plaisir à créer des robots et autres machines pour dépeindre cet univers . Une série prévue en 4 tomes , les prochaines parutions sont prévues en septembre et octobre 2024 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mekka-nikki-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Kevin Nivek

    Mekka Nikki - tome 2

    Après avoir retrouvé son père , Nikki va en découvrir un peu plus sur son passé et les raisons qui ont mené son paternel à tout quitter . Mais elle va aussi en apprendre d'avantage sur les enjeux du conflit malmenant sa planète . Un second tome riche en révélations avec de nombreux sauts dans le passé , notamment sur la planète Lorunis , berceau de la révolte en cours . Les auteurs ont ceci dit l'adresse de semer encore des pistes scénaristiques supplémentaires à explorer dans les deux tomes futurs . Le rythme est toujours aussi soutenu , les événements s'enchainent à toute allure , Exaheva donne beaucoup de dynamisme au scénario , rares sont les temps morts ! D'autant qu'avec cette fin , l'attente de la suite prévue en septembre va vous paraître longue 😉 . Félix Laurent réalise quand à lui des planches dans son style bien à lui . Malgré la quantité importante de personnages , on les reconnait sans problème , même ceux que l'on redécouvre jeune avec les flashbacks . On sent que le dessinateur prend un réel plaisir à créer des robots et autres machines pour dépeindre cet univers . Une série prévue en 4 tomes , les prochaines parutions sont prévues en septembre et octobre 2024 .
  20. The_PoP

    La Légion sombre

    Titre de l'album : La Légion sombre Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Erwan Seure - Lebihan Coloriste : Erwan Seure - Lebihan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : En quête permanente de recrues et de défis et sous l'égide de son chef suprême, Reid Eckart, l'armée d'I.S.S. Snipers s'est rebaptisée : « la Légion Sombre ». Dans cet univers sans espoir où seuls les plus forts survivent, Erioch prendra sous son aile Khali et leur rivalité s'étalera sur des années. La Légion Sombre semble quant à elle, sur le point d'éradiquer la dernière poche de résistance. Critique : Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes. Autres infos : Suite de ISS SNipers Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-legion-sombre-iss-snipers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    La Légion sombre

    Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes.
  22. alx23

    Europa tome 2

    Après deux années d'attente, nous pouvons lire la suite d'Europa, la nouvelle série de science-fiction de Léo et Rodolphe, deux scénaristes chevronnés dans Ce registre. L'histoire se scinde en deux parties distinctes. Une histoire se déroule sur Terre, avec plusieurs intrigues dont celle avec un nouveau gourou qui remet en question la science et même les voyages spatiaux. On peut suivre également l'enquête d'un inspecteur sur la mort d’un proche du pape ou un journaliste en quête de réponses dans les sphères fermée de l'église catholique. La seconde histoire se déroule sur la base Europa située sur la quatrième lune de Jupiter, avec de l’exploration dans une ambiance plus SF. Les intrigues sont multiples et l'on avance pour connaitre toutes les ramifications. Les dessins de Zoran Janjetov sont dans un style classique même si l'auteur est à l'aise dans les décors et vaisseaux, les visages semblent crispés dans l'action sur quelqeus cases. Europa continu de passionner surtout avec les découvertes des personnages dans la base Europa où règne une ambiance paranoïaque, comme tous les personnages se suspectes.
  23. alx23

    Europa tome 2

    Titre de l'album : Europa tome 2 Scenariste de l'album : Léo & Rodolphe Dessinateur de l'album : Zoran Janjetov Coloriste : Zoran Janjetov Jr Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Personne ne sait ce qu'il est advenu des équipes envoyées successivement sur Europa. La possibilité d'un sabotage devient de plus en plus probable. Pendant ce temps sur Terre une foule de dévots créationnistes crient au complot et croient dénoncer la mascarade qui prétend que l'on peut envoyer un homme dans l'espace. Pourtant il y a bien des hommes sur Europa et ils ont besoin d'aide. Critique : Après deux années d'attente, nous pouvons lire la suite d'Europa, la nouvelle série de science-fiction de Léo et Rodolphe, deux scénaristes chevronnés dans Ce registre. L'histoire se scinde en deux parties distinctes. Une histoire se déroule sur Terre, avec plusieurs intrigues dont celle avec un nouveau gourou qui remet en question la science et même les voyages spatiaux. On peut suivre également l'enquête d'un inspecteur sur la mort d’un proche du pape ou un journaliste en quête de réponses dans les sphères fermée de l'église catholique. La seconde histoire se déroule sur la base Europa située sur la quatrième lune de Jupiter, avec de l’exploration dans une ambiance plus SF. Les intrigues sont multiples et l'on avance pour connaitre toutes les ramifications. Les dessins de Zoran Janjetov sont dans un style classique même si l'auteur est à l'aise dans les décors et vaisseaux, les visages semblent crispés dans l'action sur quelqeus cases. Europa continu de passionner surtout avec les découvertes des personnages dans la base Europa où règne une ambiance paranoïaque, comme tous les personnages se suspectes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/europa-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Inexistences

    Titre de l'album : Inexistences Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christophe Bec Coloriste : Sebastien Gerard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol. Critique : Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Inexistences

    Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau.
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