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  1. Histoire en 2 tomes et c’est bien dommage car j’aurai aimé en avoir plus ! Sweet room escape et sans doute mon boys love coup de cœur de l’année 2024, pour tout vous dire, je l’ai lu deux fois d’affilée et quelques fois encore après. Je ne m’en lasse pas !! D’abord, son autrice Owal a une patte graphique magnifique, les hommes sont à tomber avec un trait fin, une précision des détails et un sens esthétique sans faute. Ensuite il y a un vrai scénario avec des personnages qui ont une forte personnalité. Haruto est un jeune homme qui vit la vie à pleines dents tout en étant conscient de ce qu’il fait et des implications que cela peut avoir. Son objectif : avoir un amant dans chaque pays ! Quant à Albrecht, c’est un homme d’affaires qui sait ce qu’il veut et qui se donne les moyens de l’obtenir. Il a quand même un petit côté flippant dans sa façon de faire la cour. Que ce soit le dessin ou le scénario, il y a du charme partout, on alterne entre séduction et aventure car Haruto tente d’échapper à Al tout en sachant que c’est son partenaire idéal. Les scène intimes sont également très sensuelles et il y a un léger humour pétillant qui nous fait sourire surtout avec l’arrivée du majordome d’Albrecht. Un livre qui se savoure.
  2. Titre de l'album : Sweet room escape tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : OWAL Dessinateur de l'album : OWAL Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Haruto est un homme d'affaires talentueux voyageant dans le monde entier à la fois pour le travail, et aussi pour se trouver des sex friends aux quatre coins du globe. En partance pour Paris, il rencontre dans l'avion un homme nommé Al qui est tout à fait son genre, mais il préfère finalement ne pas donner suite car ce dernier est un peu trop parfait pour s'amuser. Haruto quitte ainsi Al à l'aéroport en lui promettant d'aller boire un verre s'ils venaient à "se recroiser par hasard" ... Seulement, voilà qu'il tombe à nouveau sur Al dans un restaurant de luxe ?!! Serait-ce le destin ??!! Critique : Histoire en 2 tomes et c’est bien dommage car j’aurai aimé en avoir plus ! Sweet room escape et sans doute mon boys love coup de cœur de l’année 2024, pour tout vous dire, je l’ai lu deux fois d’affilée et quelques fois encore après. Je ne m’en lasse pas !! D’abord, son autrice Owal a une patte graphique magnifique, les hommes sont à tomber avec un trait fin, une précision des détails et un sens esthétique sans faute. Ensuite il y a un vrai scénario avec des personnages qui ont une forte personnalité. Haruto est un jeune homme qui vit la vie à pleines dents tout en étant conscient de ce qu’il fait et des implications que cela peut avoir. Son objectif : avoir un amant dans chaque pays ! Quant à Albrecht, c’est un homme d’affaires qui sait ce qu’il veut et qui se donne les moyens de l’obtenir. Il a quand même un petit côté flippant dans sa façon de faire la cour. Que ce soit le dessin ou le scénario, il y a du charme partout, on alterne entre séduction et aventure car Haruto tente d’échapper à Al tout en sachant que c’est son partenaire idéal. Les scène intimes sont également très sensuelles et il y a un léger humour pétillant qui nous fait sourire surtout avec l’arrivée du majordome d’Albrecht. Un livre qui se savoure. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-room-escape-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Black blood

    Titre de l'album : Black blood Scenariste de l'album : Hayate Kuku Dessinateur de l'album : Hayate Kuku Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ethan est un cyborg, épuisé par les nombreux combats auxquels il a participé. Il est envoyé sur la planète Peridot pour participer à une mission de terraforming, qui lui permettra peut-être de trouver la paix intérieur. Mais quand, peu de temps après son arrivée, il rencontre Mikhail, quelque chose change en lui… Un robot tel que lui, qui n’a pourtant pas de « coeur », peut-il réellement ressentir des sentiments ? Critique : Black blood c’est un manga qui mêle une romance boys’ love et de la science-fiction mais ce n’est pas non plus une histoire ordinaire, c’est le lien qui va exister entre un humain et un cyborg. Côté science-fiction, l’histoire se déroule sur une planète à l’environnement hostile où les humains ne peuvent se promener sans une combinaison de protection. Le seul aspect développé dans cette thématique concerne les cyborgs : on a différent modèles et un peu de description sur leur conception. Mais le véritable sujet réside dans l’essence même du cyborg : un être dont il ne reste quasiment plus d’éléments humains. Dans le cas d’Ethan, il ne reste que son cerveau et quelques vertèbres ; sa rencontre avec Mikhail va le plonger dans une introspection sur ce qu’il ressent et sur la réalité de ses sentiments. Peut-on aimer quand on n’a plus de cœur ? Une réponse à cette question sera apportée comme élément final du récit. Côté romance, on a une belle preuve que l’amour rend aveugle puisque Mikhail ne considère jamais Ethan comme un être différent, il en a conscience mais cela ne change rien à son comportement et à son attirance. On peut dire qu’il l’aime vraiment pour ce qu’il est et non pour son physique. Au final, on a une jolie histoire qui aurait peut-être pu aller plus loin dans l’analyse humaine du cyborg mais qui est suffisante pour un one shot. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-blood-9782385313876?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Black blood

    Black blood c’est un manga qui mêle une romance boys’ love et de la science-fiction mais ce n’est pas non plus une histoire ordinaire, c’est le lien qui va exister entre un humain et un cyborg. Côté science-fiction, l’histoire se déroule sur une planète à l’environnement hostile où les humains ne peuvent se promener sans une combinaison de protection. Le seul aspect développé dans cette thématique concerne les cyborgs : on a différent modèles et un peu de description sur leur conception. Mais le véritable sujet réside dans l’essence même du cyborg : un être dont il ne reste quasiment plus d’éléments humains. Dans le cas d’Ethan, il ne reste que son cerveau et quelques vertèbres ; sa rencontre avec Mikhail va le plonger dans une introspection sur ce qu’il ressent et sur la réalité de ses sentiments. Peut-on aimer quand on n’a plus de cœur ? Une réponse à cette question sera apportée comme élément final du récit. Côté romance, on a une belle preuve que l’amour rend aveugle puisque Mikhail ne considère jamais Ethan comme un être différent, il en a conscience mais cela ne change rien à son comportement et à son attirance. On peut dire qu’il l’aime vraiment pour ce qu’il est et non pour son physique. Au final, on a une jolie histoire qui aurait peut-être pu aller plus loin dans l’analyse humaine du cyborg mais qui est suffisante pour un one shot.
  5. Nickad

    A genoux, suppliant d'être aimé

    On avait déjà découvert ce sous-genre du yaoi qu’est le concept de dom/sub (comprendre dominant et soumis), un genre où certains humains sont dotés d’une seconde nature qui les poussent pour les premiers à donner des injonctions et aux seconds à y obéir. L’abstinence de ce petit jeu ayant des conséquences néfastes sur la santé des concernés et l’idéal est de trouver sa paire (son partenaire). Comme souvent dans ce genre de livres, on commence l’histoire avec un personnage qui ne sait pas qu’il a un second genre. Ici Masaki travaille comme faux-dom pour aider les subs qui n’ont pas de partenaires. Il ignore qu’il est lui-même un sub. Après, le scénario est un peu couru d’avance, il va finir par trouver son dom et accepter sa seconde nature. Le point important du récit ne se situe pas dans l’histoire d’amour même si elle est agréable à regarder et à lire mais dans l’utilisation des injonctions. Si le sub ne peut s’opposer à un ordre du dom, quelles sont les limites à respecter ? On en a un aspect quand un concurrent de Masaki lui ordonne de « crever ». Il y a donc tout un sens moral lié à ce sous-genre qui mérite d’être exploré et pour le moment, on est loin d’en avoir fait le tour. Un livre plutôt intéressant qui a un vrai scénario.
  6. Titre de l'album : A genoux, suppliant d'être aimé Scenariste de l'album : Nonono YAMADA Dessinateur de l'album : Nonono YAMADA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans ce monde, certains hommes et femmes ont un genre secondaire : ils peuvent être des Dom, qui veulent dominer les autres, ou des Sub, qui veulent être dominés. Pour subvenir à ses besoins, en parallèle à ses cours au lycée, Masaki travaille dans un club destiné aux Sub. Le transfert dans sa classe d'un nouvel étudiant, Yusei, va bouleverser sa vie. Ce dernier affirme que Masaki est un Sub ; pour le prouver, il lui donne une Injonction, un ordre impossible à ignorer... Critique : On avait déjà découvert ce sous-genre du yaoi qu’est le concept de dom/sub (comprendre dominant et soumis), un genre où certains humains sont dotés d’une seconde nature qui les poussent pour les premiers à donner des injonctions et aux seconds à y obéir. L’abstinence de ce petit jeu ayant des conséquences néfastes sur la santé des concernés et l’idéal est de trouver sa paire (son partenaire). Comme souvent dans ce genre de livres, on commence l’histoire avec un personnage qui ne sait pas qu’il a un second genre. Ici Masaki travaille comme faux-dom pour aider les subs qui n’ont pas de partenaires. Il ignore qu’il est lui-même un sub. Après, le scénario est un peu couru d’avance, il va finir par trouver son dom et accepter sa seconde nature. Le point important du récit ne se situe pas dans l’histoire d’amour même si elle est agréable à regarder et à lire mais dans l’utilisation des injonctions. Si le sub ne peut s’opposer à un ordre du dom, quelles sont les limites à respecter ? On en a un aspect quand un concurrent de Masaki lui ordonne de « crever ». Il y a donc tout un sens moral lié à ce sous-genre qui mérite d’être exploré et pour le moment, on est loin d’en avoir fait le tour. Un livre plutôt intéressant qui a un vrai scénario. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-genoux-suppliant-d-etre-aime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Sous tes caresses tome 1

    En dehors de la coquille du début concernant le personnage de Koganei « c’est un top assez grand » alors qu’il est plus petit que tous les autres personnages, phrase qui m’a laissée perplexe me demandant de quelle taille on parlait, le récit se lit plutôt bien et n’est pas sans intérêt. En soi, le scénario n’a rien d’original, Niyano vient de rompre avec sa copine qu’il comptait bien épousée et vient se changer les idées dans un bar gay où il fantasme sur un beau mec, Koganei. Pour information, Niyano est bisexuel, il n’a pas l’intention de se jeter sur le premier venu mais essaye de se réconforter en laissant vagabonder son imagination. Mais le regard insistant qu’il porte sur Koganei ne laisse pas ce dernier indifférent. En découvrant qu’ils habitent dans le même immeuble, ils vont se rapprocher peu à peu. Mais le véritable intérêt du récit se situe dans la création du personnage de Koganei, d’abord c’est un top de petite taille, ce qui est plutôt inhabituel, en plus c’est quelqu’un d’ouvert sans être trop entreprenant, il semble peu intéressé et en même temps enclin à réaliser toutes les demandes de Niyano. Cela crée une certaine ambiance délicieusement savoureuse qui supplante le manque d’originalité du scénario.
  8. Titre de l'album : Sous tes caresses tome 1 Scenariste de l'album : Chiaki KASAI Dessinateur de l'album : Chiaki KASAI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Niyano, suite à une déception amoureuse, se retrouve dans l'obligation de déménager. Il n'est pas prêt à se remettre en couple, mais rêver éveillé du corps de Koganei semble lui faire plaisir... Quelle ne fut donc pas sa surprise de réaliser qu'il avait emménagé dans le même bâtiment que lui ! Critique : En dehors de la coquille du début concernant le personnage de Koganei « c’est un top assez grand » alors qu’il est plus petit que tous les autres personnages, phrase qui m’a laissée perplexe me demandant de quelle taille on parlait, le récit se lit plutôt bien et n’est pas sans intérêt. En soi, le scénario n’a rien d’original, Niyano vient de rompre avec sa copine qu’il comptait bien épousée et vient se changer les idées dans un bar gay où il fantasme sur un beau mec, Koganei. Pour information, Niyano est bisexuel, il n’a pas l’intention de se jeter sur le premier venu mais essaye de se réconforter en laissant vagabonder son imagination. Mais le regard insistant qu’il porte sur Koganei ne laisse pas ce dernier indifférent. En découvrant qu’ils habitent dans le même immeuble, ils vont se rapprocher peu à peu. Mais le véritable intérêt du récit se situe dans la création du personnage de Koganei, d’abord c’est un top de petite taille, ce qui est plutôt inhabituel, en plus c’est quelqu’un d’ouvert sans être trop entreprenant, il semble peu intéressé et en même temps enclin à réaliser toutes les demandes de Niyano. Cela crée une certaine ambiance délicieusement savoureuse qui supplante le manque d’originalité du scénario. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sous-tes-caresses-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Dick Fight Island tome 1

    Voilà un titre qui aurait toute sa place dans sur votre étagère WTF, en tout cas, il a le mérite de m’avoir bien fait rire ! Imaginez un archipel où d’anciennes coutumes sont encore pratiquées, certaines de ces iles sont peu ouvertes au monde extérieur et l’ensemble est encore régit par un roi élu lors d’une épreuve particulière. Il s’agit en effet de faire s’affronter les prétendants au trône (1 par île) dans un combat très tactile où le premier qui jouit est éliminé ! Oui, vous avez bien compris, la valeur de ces insulaires se mesure à leur capacité à maitriser leur désir ! Bien sûr, ce serait trop facile si leurs tenues étaient aussi souples et fines que les nôtres. Ici, chacun se pare d’une protection pour son membre, protection particulièrement farfelue (pour nous en tout cas) et fortement démesurée. Le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario est très original, non seulement on part sur un archipel où les habitants sont à la fois évolués et archaïques, pas dans un sens négatif mais par rapport à l’utilisation de coutumes d’un autre temps. Le récit nous réserve quelques passages plutôt drôles comme le fait que lorsque l’on devient un homme, on montre sa virilité en montrant son postérieur ou encore, quand Harto, parti faire ses études à l’étranger, revient avec une technique annale méconnue. Si vous cherchez une histoire originale, avec de beaux dessins qui vous emmènera vers de nouveaux horizons, ce livre est fait pour vous !
  10. Titre de l'album : Dick Fight Island tome 1 Scenariste de l'album : Reibun IKE Dessinateur de l'album : Reibun IKE Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Le grand tournoi des serpents est sur le point de débuter à Pulau Yang Indah. La règle est simple : le dernier guerrier à jouir sera élu roi. Mais quand Harto, guerrier du clan des pierres précieuses, revient de son séjour d'études à l'étranger avec une nouvelle technique redoutable, comment résister ? ! Critique : Voilà un titre qui aurait toute sa place dans sur votre étagère WTF, en tout cas, il a le mérite de m’avoir bien fait rire ! Imaginez un archipel où d’anciennes coutumes sont encore pratiquées, certaines de ces iles sont peu ouvertes au monde extérieur et l’ensemble est encore régit par un roi élu lors d’une épreuve particulière. Il s’agit en effet de faire s’affronter les prétendants au trône (1 par île) dans un combat très tactile où le premier qui jouit est éliminé ! Oui, vous avez bien compris, la valeur de ces insulaires se mesure à leur capacité à maitriser leur désir ! Bien sûr, ce serait trop facile si leurs tenues étaient aussi souples et fines que les nôtres. Ici, chacun se pare d’une protection pour son membre, protection particulièrement farfelue (pour nous en tout cas) et fortement démesurée. Le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario est très original, non seulement on part sur un archipel où les habitants sont à la fois évolués et archaïques, pas dans un sens négatif mais par rapport à l’utilisation de coutumes d’un autre temps. Le récit nous réserve quelques passages plutôt drôles comme le fait que lorsque l’on devient un homme, on montre sa virilité en montrant son postérieur ou encore, quand Harto, parti faire ses études à l’étranger, revient avec une technique annale méconnue. Si vous cherchez une histoire originale, avec de beaux dessins qui vous emmènera vers de nouveaux horizons, ce livre est fait pour vous ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dick-fight-island-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Cicatrices tome 2 Scenariste de l'album : Brandon Arias Dessinateur de l'album : Brandon Arias Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Rapidement mis en difficulté dans leur fugue improvisée, ils trouvent refuge auprès d'Aiko et Koichi, un couple atypique dont l'histoire n'est pas sans rappeler celle des deux adolescents. Est-ce le début d'une nouvelle vie chaleureuse et heureuse pour ce quatuor improbable ? Autrement dit, pourront-ils se cacher éternellement alors qu'un détective privé a été lancé à leurs trousses ? Critique : Deuxième tome de cette étonnante romance entre un jeune garçon qui se sent fille mais que ces parents n'acceptent pas comme tel, portant sa cicatrice en interne, et d'un autre qui a la sienne tellement visible qu'il fait peur aux enfants. Et un tome très bon, plein de bons sentiments orientés sur l'histoire du couple Aiko et Koichi. Un couple tellement humain et qui redonnerait fois en l'humanité. Un couple dont l'histoire fait regarder celle de nos deux ados avec un regard protecteur, mais jamais directif. Une famille de remplacement temporaire qui ne juge pas. Mais ce tome deux n'oublie pas nos deux héros, avec en particulier une finalisation du passé de Kyonosuke et du pourquoi de sa cicatrice. La fin du tome est aussi cruellement réaliste, mais rend l'ensemble encore plus émouvant. Sans parler du cliffhanger pour le moins surprenant. Vivement le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cicatrices-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Cicatrices tome 2

    Deuxième tome de cette étonnante romance entre un jeune garçon qui se sent fille mais que ces parents n'acceptent pas comme tel, portant sa cicatrice en interne, et d'un autre qui a la sienne tellement visible qu'il fait peur aux enfants. Et un tome très bon, plein de bons sentiments orientés sur l'histoire du couple Aiko et Koichi. Un couple tellement humain et qui redonnerait fois en l'humanité. Un couple dont l'histoire fait regarder celle de nos deux ados avec un regard protecteur, mais jamais directif. Une famille de remplacement temporaire qui ne juge pas. Mais ce tome deux n'oublie pas nos deux héros, avec en particulier une finalisation du passé de Kyonosuke et du pourquoi de sa cicatrice. La fin du tome est aussi cruellement réaliste, mais rend l'ensemble encore plus émouvant. Sans parler du cliffhanger pour le moins surprenant. Vivement le prochain tome !
  13. Titre de l'album : Arima veut devenir un omega tome 1 Scenariste de l'album : Cafeco Fujita Dessinateur de l'album : Cafeco Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Un alpha qui travaille dans l'entreprise réputée de son père, Arima Nijô, est ce qu'on pourrait appeler alphasexuel : depuis toujours, il n'est attiré que par d'autres alphas comme lui. Sans que personne ne le sache, il mène une double vie : employé respectable en journée, quand vient le soir, il se déguise en oméga et se prostitue pour passer la nuit avec des alphas... Un jour, après une réservation annulée, il fait la connaissance d'Izumi, un jeune alpha pour qui il éprouve instantanément une attirance intense. Tous deux passent la nuit ensemble sans rien savoir l'un sur l'autre, et se séparent ensuite. Mais, trois ans plus tard, leurs chemins se recroisent, de façon bien différente, lorsqu'Arima retrouve Izumi pour lui apprendre une nouvelle incroyable : bien qu'il soit alpha, il a mis au monde un fils, Ayumu, conçu lors de leur nuit d'amour ! L'attirance existe toujours entre les deux hommes, mais la route qui mène au bonheur est semée d'embûches et de complications... Critique : Arima est un alpha qui a toujours été attiré par des alphas ; hélas, dans cette société cela n’est pas très bien vu surtout quand on est le fils d’un grand patron. Pour assouvir ses envies, il a rejoint un club d’escort où il se fait passer pour un omega, c’est d’autant plus facile pour lui qu’il a le physique pour : petit gabarit et visage délicat. Mais Arima cache un autre secret qu’il a du mal à assumer, sa rencontre avec Izumi pourrait bien bouleverser sa vie. Si l’omegaverse a des règles bien établies, ce qui est intéressant c’est d’avoir des histoires où les personnages sortent du schéma classique. Ici, Arima serait un peu comme un transgenre, un alpha qui va à l’encontre de sa nature profonde. Forcément, son cas soulève de nombreuses questions : comment assumer sa différence ? Comment se faire accepter ? Et avant tout que faire avec con propre corps quand on ne sent pas à l’aise dedans ? Des questions que l’on retrouve facilement dans la quête d’identité sexuelle. On peut aussi y trouver la thématique de la parentalité, des relations d’un soir non protégées où il faut assumer les conséquences. Cela dit, l’histoire peut aussi se lire au 1er degré en profitant simplement de la relation Arima-Izumi qui est plutôt positive et plein de bonnes intentions. La série est en cours avec 2 tomes. A lire pour tous les amateurs du genre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arima-veut-etre-un-omega-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Arima veut devenir un omega tome 1

    Arima est un alpha qui a toujours été attiré par des alphas ; hélas, dans cette société cela n’est pas très bien vu surtout quand on est le fils d’un grand patron. Pour assouvir ses envies, il a rejoint un club d’escort où il se fait passer pour un omega, c’est d’autant plus facile pour lui qu’il a le physique pour : petit gabarit et visage délicat. Mais Arima cache un autre secret qu’il a du mal à assumer, sa rencontre avec Izumi pourrait bien bouleverser sa vie. Si l’omegaverse a des règles bien établies, ce qui est intéressant c’est d’avoir des histoires où les personnages sortent du schéma classique. Ici, Arima serait un peu comme un transgenre, un alpha qui va à l’encontre de sa nature profonde. Forcément, son cas soulève de nombreuses questions : comment assumer sa différence ? Comment se faire accepter ? Et avant tout que faire avec con propre corps quand on ne sent pas à l’aise dedans ? Des questions que l’on retrouve facilement dans la quête d’identité sexuelle. On peut aussi y trouver la thématique de la parentalité, des relations d’un soir non protégées où il faut assumer les conséquences. Cela dit, l’histoire peut aussi se lire au 1er degré en profitant simplement de la relation Arima-Izumi qui est plutôt positive et plein de bonnes intentions. La série est en cours avec 2 tomes. A lire pour tous les amateurs du genre !
  15. Titre de l'album : Le démon du dortoir Scenariste de l'album : Itsu Takami Dessinateur de l'album : Itsu Takami Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Goshi Yôhei a pour activité principale de faire le mur et de semer le chaos dans son dortoir lycéen. Il déchante très vite lorsqu'un nouveau responsable de dortoir apparaît : Ashiba compte bien lui inculquer la discipline. Toutefois, Ashiba semble avoir un secret... Goshi espère le découvrir, et s'en servir comme arme contre son aîné démoniaque ! Critique : Goshi est l’élève à problème du dortoir, il n’est pas vraiment méchant mais il est libre comme l’air et fait fi des règlements et obligations, alors forcément, les professeurs et les surveillants ne savent pas quoi faire pour le gérer. C’est là, qu’un nouveau surveillant de dortoir arrive, Ashiba, qui est aussi le capitaine de l’équipe de judo. Un jeu du chat et de la souris commence alors, qui sera le plus malin des deux ? Nota : Au Japon, les responsables de dortoir sont également des élèves. Le démon du dortoir est un manga léger, plein d’entrain, amusant et vivifiant. Tout se joue entre le « voyou » Goshi bien décidé à trouver le point faible d’Ashiba pour regagner sa liberté et le très sérieux Ashiba qui a bien des raisons de vouloir se charger de l’élève turbulent. L’histoire bascule vite vers une intimité un peu coquine avant de s’étendre sur les sentiments. Le tout est joliment raconté, sans être vulgaire et avec une pointe d’humour. Un livre distrayant qui apporte une bouffée d’air frais et de la bonne humeur Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-demon-du-dortoir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Le démon du dortoir

    Goshi est l’élève à problème du dortoir, il n’est pas vraiment méchant mais il est libre comme l’air et fait fi des règlements et obligations, alors forcément, les professeurs et les surveillants ne savent pas quoi faire pour le gérer. C’est là, qu’un nouveau surveillant de dortoir arrive, Ashiba, qui est aussi le capitaine de l’équipe de judo. Un jeu du chat et de la souris commence alors, qui sera le plus malin des deux ? Nota : Au Japon, les responsables de dortoir sont également des élèves. Le démon du dortoir est un manga léger, plein d’entrain, amusant et vivifiant. Tout se joue entre le « voyou » Goshi bien décidé à trouver le point faible d’Ashiba pour regagner sa liberté et le très sérieux Ashiba qui a bien des raisons de vouloir se charger de l’élève turbulent. L’histoire bascule vite vers une intimité un peu coquine avant de s’étendre sur les sentiments. Le tout est joliment raconté, sans être vulgaire et avec une pointe d’humour. Un livre distrayant qui apporte une bouffée d’air frais et de la bonne humeur
  17. poseidon2

    I cannot reach you tome 2 & 3

    Dur dur de critiquer ces deux tomes tellement ils sont différents. L'histoire continue son petit bonhomme de chemin et avance mine de rien dans ... un sens somme tout très conventionnel mais bien foutu. Nos deux idiots représentent bien des adolescents ne réussissant pas à exprimer ce qu'ils ressentent et préférant se faire des films.... Ce qui est embêtant dans ce deux tomes, c'est que le premier est brouillon au possible. On voit les mêmes scènes du point de vue des deux, mélangés mais aussi en flash back, en rêve avec des retours en avant... bref, on perd rapidement la temporalité et cela rend la lecture assez difficile. Le tome trois est lui bien plus simple, dans la pure lignée d'un shōjo classique. Une sortie scolaire, des problèmes de cœur et des gens qui se dévoilent. Bref une histoire toujours aussi mignonne mais dont j'espère des tomes suivant plus proche du 3 que du 2....
  18. Titre de l'album : I cannot reach you tome 2 & 3 Scenariste de l'album : Mika Dessinateur de l'album : Mika Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : « Si je te pose la question, est-ce que ça risque de briser notre amitié ? » Kakeru a des doutes. Il pense que Yamato, son ami d'enfance, est peut-être amoureux de lui. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, plus il y pense, plus il se focalise sur les moindres faits et gestes de Yamato... ce qui crée un malaise entre eux. Alors qu'il essaie de se convaincre qu'il se fait des idées, Yamato lui dit qu'il n'aimerait pas qu'il se trouve une petite amie... Critique : Dur dur de critiquer ces deux tomes tellement ils sont différents. L'histoire continue son petit bonhomme de chemin et avance mine de rien dans ... un sens somme tout très conventionnel mais bien foutu. Nos deux idiots représentent bien des adolescents ne réussissant pas à exprimer ce qu'ils ressentent et préférant se faire des films.... Ce qui est embêtant dans ce deux tomes, c'est que le premier est brouillon au possible. On voit les mêmes scènes du point de vue des deux, mélangés mais aussi en flash back, en rêve avec des retours en avant... bref, on perd rapidement la temporalité et cela rend la lecture assez difficile. Le tome trois est lui bien plus simple, dans la pure lignée d'un shōjo classique. Une sortie scolaire, des problèmes de cœur et des gens qui se dévoilent. Bref une histoire toujours aussi mignonne mais dont j'espère des tomes suivant plus proche du 3 que du 2.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-cannot-reach-you-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Queutard légendaire vs cul d'acier tome 1 Scenariste de l'album : TOTOFUMI Dessinateur de l'album : TOTOFUMI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Au lycée préfectoral de Hachitne, plus communément appelé lycée de Haten, deux élèves font parler d'eux... Le queutard légendaire Iori Mikagura, qui passe son temps à séduire toutes les filles qu'il croise 365 jours par an, et Minami Sena, un vrai trou du cul ambulant qui passe son temps à rejeter tous ceux qui s'approchent de lui pour mater son fessier d'acier. Mikagura et Sena décident ainsi de se livrer à une véritable bataille de sexe ! Mais ils vont devoir faire face à des sentiments inattendus.. Critique : Après un début d’histoire excellent opposant celui que l’on surnomme « queutard légendaire » à celui dénommé « cul d’acier », on se retrouve avec un récit un peu plus classique. Ce n’est pas que notre couple n’est pas intéressant mais on aurait mieux aimé que leur « affrontement » dure un peu plus longtemps. Contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre, le manga ne parle pas que de relations sexuelles mais c’est plutôt la rencontre de deux garçons qui ont chacun une forte personnalité et un esprit plus qu’ouvert ! Si on a l’impression que la romance arrive assez vite, l’humour reste présent et il y a des trouvailles scénaristiques plutôt sympathiques. C’est un bon premier tome et on espère que la suite gardera cette fraicheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/queutard-legendaire-vs-cul-d-acier-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après un début d’histoire excellent opposant celui que l’on surnomme « queutard légendaire » à celui dénommé « cul d’acier », on se retrouve avec un récit un peu plus classique. Ce n’est pas que notre couple n’est pas intéressant mais on aurait mieux aimé que leur « affrontement » dure un peu plus longtemps. Contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre, le manga ne parle pas que de relations sexuelles mais c’est plutôt la rencontre de deux garçons qui ont chacun une forte personnalité et un esprit plus qu’ouvert ! Si on a l’impression que la romance arrive assez vite, l’humour reste présent et il y a des trouvailles scénaristiques plutôt sympathiques. C’est un bon premier tome et on espère que la suite gardera cette fraicheur.
  21. Titre de l'album : My beautiful boy tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NAGIRA Yuu Dessinateur de l'album : KITANO Megumi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Du haut de la hiérarchie, le beau et indépendant Kiyoi règne sur la classe. Il était né pour être roi. Quant à Hira, il ne parlait presque pas, n'avait pas d'amis et était tout en bas de l'échelle. Hira ne se sentait pas à sa place dans cette nouvelle classe, pourtant, son cœur fut envoûté instantanément à la vue de Kiyoi. En temps normal, ces deux-là ne se seraient jamais fréquentés, mais Hira devint le larbin de la bande et se retrouva avec le numéro de Kiyoi !! Chaque mot qu'il prononçait, chaque centime qu'il donnait était un trésor. Ce sentiment douloureux et asphyxiant ne serait-il pas de l'amour ? Critique : C’est étrange comment cette histoire est tournée. Hira, le personnage principal souffre de bégaiement depuis sa naissance ; à cause de cela il a toujours été mis à l’écart à l’école au point de passer pour un idiot et de devenir le larbin des « populaires ». Pendant de nombreuses années, son seul monde a été la photographie, qui lui sert plus de passe-temps que de passion. Mais le jour où il rencontre Kiyoi, il est ébloui par sa beauté et ce dernier devient alors son dieu pour qui il serait prêt à tout sacrifier. Ce qui est étrange, c’est que l’on ne compatit pas avec Hira. Certes on voit bien qu’il subit du harcèlement et que sa situation est anormale mais son obsession pour Kiyoi provoque une sensation dérangeante voir malsaine. A contrario, quand la situation de Kiyoi change en passant du mec cool et populaire à celui de raté qui a trop frimé, on ressent une certaine empathie. Si les deux personnages vont alors basculer dans une relation étrange où certainement (la série n’est pas finie) chacun y trouvera son compte ; le lecteur ne sait pas trop où il doit se situer. Faut-il prendre le récit comme une histoire d’amour atypique entre deux êtres esseulés ou bien faut-il se concentrer sur la critique évidente de la société et de ses travers ? De ce côté-là le discours est conséquent : harcèlement, maladie, différence, communication, jugement sur les apparences, moutons de panurge… C’est triste à voir d’autant que c’est très actuel… L’objectif du manga est encore flou, il a cependant le mérite de nous interpeller et susciter le débat. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-beautiful-boy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    My beautiful boy tomes 1 et 2

    C’est étrange comment cette histoire est tournée. Hira, le personnage principal souffre de bégaiement depuis sa naissance ; à cause de cela il a toujours été mis à l’écart à l’école au point de passer pour un idiot et de devenir le larbin des « populaires ». Pendant de nombreuses années, son seul monde a été la photographie, qui lui sert plus de passe-temps que de passion. Mais le jour où il rencontre Kiyoi, il est ébloui par sa beauté et ce dernier devient alors son dieu pour qui il serait prêt à tout sacrifier. Ce qui est étrange, c’est que l’on ne compatit pas avec Hira. Certes on voit bien qu’il subit du harcèlement et que sa situation est anormale mais son obsession pour Kiyoi provoque une sensation dérangeante voir malsaine. A contrario, quand la situation de Kiyoi change en passant du mec cool et populaire à celui de raté qui a trop frimé, on ressent une certaine empathie. Si les deux personnages vont alors basculer dans une relation étrange où certainement (la série n’est pas finie) chacun y trouvera son compte ; le lecteur ne sait pas trop où il doit se situer. Faut-il prendre le récit comme une histoire d’amour atypique entre deux êtres esseulés ou bien faut-il se concentrer sur la critique évidente de la société et de ses travers ? De ce côté-là le discours est conséquent : harcèlement, maladie, différence, communication, jugement sur les apparences, moutons de panurge… C’est triste à voir d’autant que c’est très actuel… L’objectif du manga est encore flou, il a cependant le mérite de nous interpeller et susciter le débat. A suivre.
  23. Titre de l'album : Un comptable à la cour tome 1 Scenariste de l'album : Yatsuki Wakatsu Dessinateur de l'album : Kazuki Irodori / Kikka Ohashi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans Un Comptable à la cour, suivez l'aventure épique et romantique d'un salarié addict au travail qui, grâce à ses compétences organisationnelles, trouvera sa place dans un autre monde de la plus improbable des manières ! Seichirô est un salarié ordinaire : exploité par son entreprise, il ne compte pas ses heures. Alors qu'il approche la trentaine, il est au bord du burn out et remet en question ses choix de vie. Mais quand un jour, il tente d'aider une jeune femme semblant aspirée par un étrange vortex, il atterrit dans un autre monde ! Brutalement téléporté dans le royaume de Romani, il va pourtant très vite y trouver sa place : en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, le voilà qui réclame du travail ! Grâce à ses compétences d'expert- comptable, il pourrait bien s'imposer comme un allié de taille dans la gestion de l'État... ce qui éveille la suspicion d'Aresh, le ténébreux capitaine des chevaliers, surnommé le prince de glace. Critique : Nouvel isekai chez Akata qui verse dans la romantasy tout en affichant grandement ses différences. D’abord, le personnage principal, entrainé dans l’invocation d’une sainte, arrive dans cet autre monde sans aucune compétence particulière. C’est même pire que cela car il n’a même pas le kit de base du voyageur à savoir une faculté d’adaptation à cet autre monde, soit une résistance aux particules magiques et/ou mana. Seichiro Kondou est un homme quelconque, un travailleur exploité et compétent qui ne sait pas faire grand-chose d’autre que son métier c’est-à-dire de la comptabilité et des études de budgets. Invoqué par erreur, il a la possibilité d’être entretenu sans rien faire par le royaume dans lequel il atterrit. Cela va à l’encontre de sa nature, il faut qu’il se rende utile, il rejoint donc la section comptable de la cour qu’il compte bien réformer devant l’absurdité de son organisation. Si l’histoire plait tout de suite c’est parce qu’elle s’éloigne des sentiers battus, un humain invoqué par erreur il y en a déjà eu mais un humain quelconque qui n’a même pas les anticorps nécessaires à sa survie basique c’est inédit. En plus de cela, ce n’est pas un personnage qui va partir à l’aventure, non, il fait ce qu’il fait de mieux : du travail de bureau !! En plus de cela, la situation va l’amener à se rapprocher du ténébreux capitaine des chevaliers Aresh, pour sa survie tout d’abord mais on espère et on entrevoit une future romance entre eux. Ses capacités vont quand même l’entrainer dans des situations tendues entre ceux qui sont jaloux de son influence grandissante et ceux qui n’apprécient pas que leurs budgets soient revus à la baisse. Ajouté à cela des déboires magiques, un chevalier servant séduisant et une pointe d’humour, on obtient un manga plus qu’agréable qui sait nous donner l’envie d’aller plus loin. La série est adapté d’un light novel toujours en cours et compte 5 tomes pour le moment. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-comptable-a-la-cour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Un comptable à la cour tome 1

    Nouvel isekai chez Akata qui verse dans la romantasy tout en affichant grandement ses différences. D’abord, le personnage principal, entrainé dans l’invocation d’une sainte, arrive dans cet autre monde sans aucune compétence particulière. C’est même pire que cela car il n’a même pas le kit de base du voyageur à savoir une faculté d’adaptation à cet autre monde, soit une résistance aux particules magiques et/ou mana. Seichiro Kondou est un homme quelconque, un travailleur exploité et compétent qui ne sait pas faire grand-chose d’autre que son métier c’est-à-dire de la comptabilité et des études de budgets. Invoqué par erreur, il a la possibilité d’être entretenu sans rien faire par le royaume dans lequel il atterrit. Cela va à l’encontre de sa nature, il faut qu’il se rende utile, il rejoint donc la section comptable de la cour qu’il compte bien réformer devant l’absurdité de son organisation. Si l’histoire plait tout de suite c’est parce qu’elle s’éloigne des sentiers battus, un humain invoqué par erreur il y en a déjà eu mais un humain quelconque qui n’a même pas les anticorps nécessaires à sa survie basique c’est inédit. En plus de cela, ce n’est pas un personnage qui va partir à l’aventure, non, il fait ce qu’il fait de mieux : du travail de bureau !! En plus de cela, la situation va l’amener à se rapprocher du ténébreux capitaine des chevaliers Aresh, pour sa survie tout d’abord mais on espère et on entrevoit une future romance entre eux. Ses capacités vont quand même l’entrainer dans des situations tendues entre ceux qui sont jaloux de son influence grandissante et ceux qui n’apprécient pas que leurs budgets soient revus à la baisse. Ajouté à cela des déboires magiques, un chevalier servant séduisant et une pointe d’humour, on obtient un manga plus qu’agréable qui sait nous donner l’envie d’aller plus loin. La série est adapté d’un light novel toujours en cours et compte 5 tomes pour le moment. Extrait
  25. Nickad

    My number one tome 8

    Bon si je ne me fie qu’à mes gouts j’aurais probablement mis 4 car j’aime beaucoup les personnages principaux de cette série mais il faut être objectif sur le contenu de ce tome et il y a quelques remarques à faire. Tout d’abord parlons de la série : l’histoire de My number one se déroule dans le monde des arts du spectacle où Takato, un comédien sur la trentaine vient de se faire détrôner de son titre d’homme le plus sexy par Junta, un acteur plus jeune. Ce dernier ne souhaite qu’une chose : devenir le meilleur possible pour pouvoir travailler avec son idole : Takato !! Son admiration va bien au-delà, car il éprouve un amour sans limite pour lui et va même jusqu’à forcer un peu les choses. A force, Takato et Junta se mettent en couple mais ne peuvent pas s’afficher au grand jour du fait de leur statut. Le 8e tome s’inscrit dans l’arc des « liens noirs », où un jeune comédien amoureux de Junta et héritier d’un clan de yakuza vient mettre un peu la pagaille dans leur relation. La deuxième partie du livre se concentre sur la pièce de théâtre que Takato et Junta font ensemble. C’est sur dernier point que le livre perd quelques points. En effet, on a plusieurs pages qui racontent l’histoire de la pièce (un tiers du livre quasiment), mais les informations sont insuffisantes pour bien comprendre la pièce et quelque part, ce n’est pas l’objectif du livre. On sent que ce passage a été conçu pour que l’auteur fasse de belles illustrations, sur ce point c’est réussi mais ce n’est pas une adaptation de la pièce, du coup cette partie peut paraitre un peu long d’autant plus qu’il est incompréhensible (ce sont deux pratiquantes de théâtre qui vous le disent !). On apprécie toujours autant les interactions entre nos deux personnages et on en redemande.
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