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Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite.
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Titre de l'album : High Key x Low Key Scenariste de l'album : HAIDA Nanako Dessinateur de l'album : HAIDA Nanako Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Captivé par les photos du mystérieux et peu médiatisé Kei, modèle du photographe appelé Mel, Mao se rend souvent aux expositions photos dans le but de voir son idole. Alors qu''il était en train d''admirer un tableau, le photographe Mel en personne lui propose de devenir son modèle. Envoûté par le regard pénétrant de Mel, son visage de mannequin et sa voix posée, Mao se retrouve dans son lit sans même s''en apercevoir. Critique : Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/high-key-low-key/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire.
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Titre de l'album : Goodbye Harlequin Scenariste de l'album : KUSABI Keri Dessinateur de l'album : KUSABI Keri Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le mannequin populaire Eichi Shimizu devient l'égérie masculine de la marque à l'avenir prometteur, Gallant Quartz. Mais il se rend très vite compte qu'il a en fait été recommandé par un ancien camarade de classe, Akino Kubo, avec lequel il avait eu un rapport sexuel. Critique : Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-harlequin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt…
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Titre de l'album : Des détectives au poil Scenariste de l'album : NOJI Dessinateur de l'album : NOJI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rô, un assistant brillant, travaille dans l'agence de détective Sako. Malgré son air menaçant et ses cheveux roses, il est adoré des animaux de compagnie et est la meilleure personne pour les retrouver en cas de disparition. Et surtout, il est fou amoureux de Fumika, son patron. Rô travaille d'arrache-pied pour soutenir Fumi à résoudre ses enquêtes, mais ne perd aucune occasion pour tenter de le faire chavirer... Critique : Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/des-detectives-au-poil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur.
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Titre de l'album : Laisse-moi te détester tome 2 Scenariste de l'album : HIJIKI Dessinateur de l'album : HIJIKI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après être devenu le partenaire de Hazuki, Naoto a donné naissance à un nouvel enfant. Minato. Formant désormais une famille de quatre membres avec Shizuku, les deux hommes filent le parfait amour. Cependant, Naoto est sur le point de faire face à nouveau à son passé traumatisant... Critique : Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/laisse-moi-te-detester-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le rossignol rêve de printemps Scenariste de l'album : NAYUTA Nago Dessinateur de l'album : NAYUTA Nago Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : La tradition du lycée ? Vaincre les élèves de terminale à la baston. Parmi les élèves de première, les meilleurs dans cette catégorie s'y donnent à cœur joie. Ça tombe bien, Haruka Shirakawa aime se battre mais ne rencontre aucun adversaire à sa hauteur. L'ennui total... Arrivé en terminale, il rencontre LA légende vivante de son lycée : Kazuyuki Narumi. Employé comme professeur, il était lui-même élève ici et est connu pour être resté invaincu à son époque. Haruka a trouvé une nouvelle obsession : se battre contre son professeur, ce qui va amener à une certaine proximité... Critique : Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-rossignol-reve-de-printemps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement.
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Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes.
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Titre de l'album : Sous le linceul de la mariée Scenariste de l'album : AKAGAWA Sagan Dessinateur de l'album : AKAGAWA Sagan Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après un épouvantable conflit autour de la succession familiale, la cérémonie de mariage du plus jeune frère, devenu chef de famille, eut lieu dans une ambiance austère. Le visage de la mariée, caché de tous sous un voile épais, lui valut le surnom d’« épouse sans visage ». Mais celle qu’il étreignit lors de leur nuit de noces avait tout de son demi-frère plus âgé, présumé mort… Critique : Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sous-le-linceul-de-la-mariee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : La gloire du matin fleurit la nuit Scenariste de l'album : Donut Choco Dessinateur de l'album : Yu Araki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Yûgen est un lycéen de faible constitution pour qui chaque effort est épuisant. Il évite de se mêler aux autres et mène une vie terne et monotone. Tout l'inverse de son camarade de classe Hideto : éclatant de santé, toujours joyeux, membre du club de foot, il est populaire avec tout le monde. Chaque fois que Yûgen passe à côté du terrain où il s'entraîne, Hideto tente d'engager la conversation avec lui, sans succès. Tout change brusquement le jour où Hideto décède. Yûgen est attristé lorsqu'on lui annonce l'affreuse nouvelle, mais le choc le plus terrible survient lorsque le fantôme de Hideto apparaît soudainement à ses côtés... et lui demande de l'aide pour passer dans l'autre monde. Pour ce faire, Il dresse une liste des choses qu'il regrette de ne pas avoir faites de son vivant, et Yûgen s'attelle à les accomplir une par une... Critique : Une critique de @TheOtaku Un lycéen à la vie triste et monotone, et un autre une vie classe et adoré de tous. Hideto, classe et connu de tout le lycée. C'est la seule personne qui adresse la parole à Yugen, un garçon à faible constitution, très renfermé sur lui. Mais un jour comme les autres, Hideto meurt. Hideto est mort est pourtant Yugen lui le voit et lui parle, un fantôme. Il va tout faire pour que Hideto puisse monter au ciel en paix… Un bon yaoi, dont on connait tous la fin depuis le début. Personnellement, je n'aime pas du tout ce genre de fin, mais chacun ces gouts. Ce one-shot est plutôt bien, tout mignon, beau et plein d’amour. Après, je ne vais pas vous mentir, c’est déjà vu et revu, les mecs populaires et classe qui tombe amoureux du renégat que personne ne connaît. L’un court après l’autre, mais l’autre dit qu’il ne peut pas parce qu'il n'est pas assez bien pour lui. C’est mignon tout plein mais trop vu, et le seul truc (un peu) innovant (c'est-à-dire la fin) est le truc que j’aime le moins … Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-gloire-du-matin-fleurit-la-nuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Une critique de @TheOtaku Un lycéen à la vie triste et monotone, et un autre une vie classe et adoré de tous. Hideto, classe et connu de tout le lycée. C'est la seule personne qui adresse la parole à Yugen, un garçon à faible constitution, très renfermé sur lui. Mais un jour comme les autres, Hideto meurt. Hideto est mort est pourtant Yugen lui le voit et lui parle, un fantôme. Il va tout faire pour que Hideto puisse monter au ciel en paix… Un bon yaoi, dont on connait tous la fin depuis le début. Personnellement, je n'aime pas du tout ce genre de fin, mais chacun ces gouts. Ce one-shot est plutôt bien, tout mignon, beau et plein d’amour. Après, je ne vais pas vous mentir, c’est déjà vu et revu, les mecs populaires et classe qui tombe amoureux du renégat que personne ne connaît. L’un court après l’autre, mais l’autre dit qu’il ne peut pas parce qu'il n'est pas assez bien pour lui. C’est mignon tout plein mais trop vu, et le seul truc (un peu) innovant (c'est-à-dire la fin) est le truc que j’aime le moins …
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Un virus a transformé les humains en zombies, comme souvent, il suffit d’une morsure pour se faire contaminer et il n’y a pas encore de remède. Hikaru est un lycéen qui a vu sa mère dévorer son père, il a réussi à survivre grâce à son voisin Ai, de 3 ans son ainé et aussi son ami d’enfance. Puis ils ont rencontré Yukio, un jeune médecin et Kaname un policier. Ensemble, ils survivent tant bien que mal. C’est en surprenant Ai et Yukio en pleine action, que Hikaru prend conscience que certaines relations ne sont plus comme avant. Mais ce nouveau monde est dangereux et l’on peut perdre à tout moment les personnes auxquelles on tient. Si la partie monde post-apocalyptique zombie est assez classique et ne sort pas du lot, ce sont les sentiments qui sont vraiment importants dans ce yaoi. Il y a d’abord les émotions des survivants, la perte des proches bien sûr, mais surtout l’attachement encore plus fort par rapport à ceux qui restent. Tout un monde qui ne s’articule plus qu’autour de quelques personnes qui deviennent encore plus importantes car il n’y a plus rien à part ça. Alors quand tout un coup, le peu qui reste risque de disparaitre, c’est le drame qui s’annonce et c’est ce point qui sera développé dans la suite du manga. Une suite qui risque d’être sentimentale et touchante, une suite que l’on a hâte de découvrir.
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Titre de l'album : Undead tome 1 Scenariste de l'album : TSUYUHISA Fumi Dessinateur de l'album : TSUYUHISA Fumi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les morts reviennent à la vie et se transforment en zombies à cause d'un virus inconnu... Hikaru, lycéen, se fait attaquer par sa mère infectée et fuit avec Ai, son ami d'enfance qu'il considère comme son grand frère. Alors qu'il n'arrive pas à accepter la funeste réalité, Ai continue à le protéger comme il l'a toujours fait... L'amour pourra-t-il naître dans ce monde dévasté ?! Un BL apocalyptique ! Critique : Un virus a transformé les humains en zombies, comme souvent, il suffit d’une morsure pour se faire contaminer et il n’y a pas encore de remède. Hikaru est un lycéen qui a vu sa mère dévorer son père, il a réussi à survivre grâce à son voisin Ai, de 3 ans son ainé et aussi son ami d’enfance. Puis ils ont rencontré Yukio, un jeune médecin et Kaname un policier. Ensemble, ils survivent tant bien que mal. C’est en surprenant Ai et Yukio en pleine action, que Hikaru prend conscience que certaines relations ne sont plus comme avant. Mais ce nouveau monde est dangereux et l’on peut perdre à tout moment les personnes auxquelles on tient. Si la partie monde post-apocalyptique zombie est assez classique et ne sort pas du lot, ce sont les sentiments qui sont vraiment importants dans ce yaoi. Il y a d’abord les émotions des survivants, la perte des proches bien sûr, mais surtout l’attachement encore plus fort par rapport à ceux qui restent. Tout un monde qui ne s’articule plus qu’autour de quelques personnes qui deviennent encore plus importantes car il n’y a plus rien à part ça. Alors quand tout un coup, le peu qui reste risque de disparaitre, c’est le drame qui s’annonce et c’est ce point qui sera développé dans la suite du manga. Une suite qui risque d’être sentimentale et touchante, une suite que l’on a hâte de découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undead-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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A cause d’une dette contractée par un ami pour qui il s’était porté garant, Makoto a commencé à se prostituer. C’est là qu’il rencontre Maki, un jeune chef yakuza qui dit être tombé amoureux de lui, il lui propose d’être son client exclusif et lui propose pour cela de le payer 5 fois plus. Makoto voit d’abord un moyen de rembourser sa dette plus vite avant de petit à petit ressentir des sentiments pour Maki. Pour le coup, et contrairement à Jealousy, l’histoire est beaucoup plus classique et tourne essentiellement autour du couple Makoto-Maki. Bien sûr, il y a quelques événements autour pour nous rappeler dans quel milieu le récit se déroule et aussi parce que cela va permettre aux personnages de se rapprocher. Leur relation est plutôt mignonne, à noter qu’il y a de nombreuses scènes érotiques, mais le contexte « yakuza » est peu crédible, d’un autre côté ce n’est pas l’objectif principal du manga. Vu que le manga est toujours en cours, j’espère que l’histoire va prendre une autre tournure et nous montrer d’autres aspects du couple Makoto-Maki, un peu plus d’action ne serait pas du luxe.
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Titre de l'album : Une relation basée sur l'argent tome 1 Scenariste de l'album : SAKURAI Nanako Dessinateur de l'album : SAKURAI Nanako Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Makoto Yanai, autrefois un banal employé de bureau, doit rembourser une dette de trente millions de yens, contractée par un de ses amis, qui s'est évanoui dans la nature et dont il était le garant. Pour y parvenir, Makoto n'a pas d'autres choix que de commencer à vendre son corps. Pendant six mois, il subit l'enfer entre les bras d'hommes violents, calculant qu'il devrait avoir fini de tout rembourser dans cinq ans... jusqu'au jour où il croise la route de Ryôhei Maki, membre d'un clan yakuza, qui décide de faire de lui son prostitué personnel. Mais Maki est quelqu'un de dangereux... Est-ce vraiment une très bonne idée pour Makoto de se lier avec la mafia ? Vivez le coup de foudre d'un garde du corps mafieux pour un prostitué désabusé ! Critique : A cause d’une dette contractée par un ami pour qui il s’était porté garant, Makoto a commencé à se prostituer. C’est là qu’il rencontre Maki, un jeune chef yakuza qui dit être tombé amoureux de lui, il lui propose d’être son client exclusif et lui propose pour cela de le payer 5 fois plus. Makoto voit d’abord un moyen de rembourser sa dette plus vite avant de petit à petit ressentir des sentiments pour Maki. Pour le coup, et contrairement à Jealousy, l’histoire est beaucoup plus classique et tourne essentiellement autour du couple Makoto-Maki. Bien sûr, il y a quelques événements autour pour nous rappeler dans quel milieu le récit se déroule et aussi parce que cela va permettre aux personnages de se rapprocher. Leur relation est plutôt mignonne, à noter qu’il y a de nombreuses scènes érotiques, mais le contexte « yakuza » est peu crédible, d’un autre côté ce n’est pas l’objectif principal du manga. Vu que le manga est toujours en cours, j’espère que l’histoire va prendre une autre tournure et nous montrer d’autres aspects du couple Makoto-Maki, un peu plus d’action ne serait pas du luxe. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-relation-basee-sur-l-argent-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Une critique par @TheOtaku Un bon yaoi ! C’est un one-shot qui a pour thème principal ‘’ être un salarié gay ‘’. Okazaki est salarié dans une grande entreprise, un jour, on découvre qu’il est gay et ça fait le tour de toute l’entreprise, on s’éloigne de lui, les gens mal de lui, le juge etc. Un jour, son seul collègue sympa avec lui tombe malade, et un jeune et bel homme entre comme remplaçant dans sa vie en disant devant tous ses collègues « Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ». J’aime beaucoup ce yaoi, et je ne dis pas que les personnes homosexuelles se font martyriser au travail, non, car Okazaki ne se fait pas martyriser. Je dis seulement que l'on à tendance à prendre ses distances car « si il faut il a des vues sur moi » (ça va les chevilles 🤣), mais j’aime beaucoup ce manga parce qu'on a le point de vu de Okazaki et ce n’est pas « on me martyrise » mais plutôt « il faut que je fasse attention à ne pas dire ou faire des choses qui pourront être mal interprétées ». J’aime donc beaucoup le coté "je suis gay DONC je dois faire attention à mes actions" de Okazaki et le côté j’en ai rien à faire qu’il soit gay je dis ce que je pense de Umemoto. Le contraste entre celui qui pense au qu’en dira-t-on et celui qui ne pense pas aux conséquences de ces actions, il aime … bah il aime ‘’ pourquoi devrait il faire attention à ses mots ? ‘’. Une histoire mignonne et attachante, je conseille !
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Titre de l'album : Vous ne le regretterez pas ! Scenariste de l'album : Santaro Dessinateur de l'album : Santaro Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le salaryman Okazaki, traverse actuellement la pire période de sa vie. Ses collègues ont découvert qu''il était gay et des rumeurs infondées circulent dans toute l''entreprise. Coup du sort, son seul collègue s''absente au même moment pour congé maladie et les autres employés prennent leurs distances. C''est alors qu''un jeune employé du service commercial se retrouve muté dans le service d''Okazaki pour effectuer le remplacement. Alors qu''Okazaki pensait que ce remplacement lui avait été imposé, le jeune Umemoto déclare à la surprise de tous : " Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ". Mais que veut-il dire par là ?! Critique : Une critique par @TheOtaku Un bon yaoi ! C’est un one-shot qui a pour thème principal ‘’ être un salarié gay ‘’. Okazaki est salarié dans une grande entreprise, un jour, on découvre qu’il est gay et ça fait le tour de toute l’entreprise, on s’éloigne de lui, les gens mal de lui, le juge etc. Un jour, son seul collègue sympa avec lui tombe malade, et un jeune et bel homme entre comme remplaçant dans sa vie en disant devant tous ses collègues « Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ». J’aime beaucoup ce yaoi, et je ne dis pas que les personnes homosexuelles se font martyriser au travail, non, car Okazaki ne se fait pas martyriser. Je dis seulement que l'on à tendance à prendre ses distances car « si il faut il a des vues sur moi » (ça va les chevilles 🤣), mais j’aime beaucoup ce manga parce qu'on a le point de vu de Okazaki et ce n’est pas « on me martyrise » mais plutôt « il faut que je fasse attention à ne pas dire ou faire des choses qui pourront être mal interprétées ». J’aime donc beaucoup le coté "je suis gay DONC je dois faire attention à mes actions" de Okazaki et le côté j’en ai rien à faire qu’il soit gay je dis ce que je pense de Umemoto. Le contraste entre celui qui pense au qu’en dira-t-on et celui qui ne pense pas aux conséquences de ces actions, il aime … bah il aime ‘’ pourquoi devrait il faire attention à ses mots ? ‘’. Une histoire mignonne et attachante, je conseille ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vous-ne-le-regretterez-pas?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voici le dernier tome de ce yaoi, un manga qui a toute sa place dans cette catégorie et qui mérite même que l’on s’y attarde un peu. Jealousy se passe dans la monde des yakuzas, un jour un jeune chef yakuza Akitora accompagné de son second Asoda partent récupérer de l’argent auprès d’un écrivain. Là il découvre que ce dernier s’est suicidé lors d’un jeu érotique, son partenaire Uchui est toujours sur les lieux et une alchimie s’opère entre lui et Akitora. C’est le début d’une relation étrange et passionnelle. Uichi est un jeune homme étrangement libre, à la fois intéressant et en même temps très destructeur, il ne tient pas vraiment compte de ceux qui l’entourent et agit souvent sur un coup de tête. Akitora est stoïque la plupart du temps, il est marié avec un enfant et ne semble pas avoir de point faible, enfin ça c’était avant de rencontrer Uichi… Quant à Asoda, il a été l’ami d’enfance d’Uichi mais ne le porte pas dans son cœur et encore moins quand ce dernier prend de l’importance dans la vie de son chef. Jealousy porte bien son nom car chaque personnage, au caractère bien travaillé au demeurant, cherche à obtenir quelque chose et ne peut s’empêcher d’en jalouser un autre. Loin d’une relation classique amoureuse comme on a pu en voir dans d’autres yaoi avec des yakuzas, celui-ci détonne par son ambiance et son déroulement. La relation entre Akitora et Uichi est intense et destructive à la fois et l’autrice sait mettre en avant le lien qui les unit et la passion qui les habite. Ce n’est qu’à la fin quand tout éclate que les sentiments se précisent ; une belle fin inattendue, puissante et étrangement touchante.
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Titre de l'album : Jealousy tome 5 (fin) Scenariste de l'album : BERIKO Scarlet Dessinateur de l'album : BERIKO Scarlet Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Suite à la rencontre du jeune Hachi, Rogi Uichi se souvient de son passé. Aujourd’hui père de famille, l’énigmatique personnage est loin d’avoir eu une jeunesse aussi rangé que la vie qu’il semble avoir maintenant. Entre guerre de gangs, amours et passions, Uichi se remémore l’époque où il fit la connaissance de Ôyamato Akitora, l’actuel chef du clan yakuza Ôyamato et père de Tatsuyuki. Critique : Voici le dernier tome de ce yaoi, un manga qui a toute sa place dans cette catégorie et qui mérite même que l’on s’y attarde un peu. Jealousy se passe dans la monde des yakuzas, un jour un jeune chef yakuza Akitora accompagné de son second Asoda partent récupérer de l’argent auprès d’un écrivain. Là il découvre que ce dernier s’est suicidé lors d’un jeu érotique, son partenaire Uchui est toujours sur les lieux et une alchimie s’opère entre lui et Akitora. C’est le début d’une relation étrange et passionnelle. Uichi est un jeune homme étrangement libre, à la fois intéressant et en même temps très destructeur, il ne tient pas vraiment compte de ceux qui l’entourent et agit souvent sur un coup de tête. Akitora est stoïque la plupart du temps, il est marié avec un enfant et ne semble pas avoir de point faible, enfin ça c’était avant de rencontrer Uichi… Quant à Asoda, il a été l’ami d’enfance d’Uichi mais ne le porte pas dans son cœur et encore moins quand ce dernier prend de l’importance dans la vie de son chef. Jealousy porte bien son nom car chaque personnage, au caractère bien travaillé au demeurant, cherche à obtenir quelque chose et ne peut s’empêcher d’en jalouser un autre. Loin d’une relation classique amoureuse comme on a pu en voir dans d’autres yaoi avec des yakuzas, celui-ci détonne par son ambiance et son déroulement. La relation entre Akitora et Uichi est intense et destructive à la fois et l’autrice sait mettre en avant le lien qui les unit et la passion qui les habite. Ce n’est qu’à la fin quand tout éclate que les sentiments se précisent ; une belle fin inattendue, puissante et étrangement touchante. Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jealousy-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment.
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Titre de l'album : La couleur de l'eau Scenariste de l'album : MAKI Ebishi Dessinateur de l'album : MAKI Ebishi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Paradis est une ville où la vie et la mort se côtoient. Lithia, un garçon amnésique, y vit avec Setsu, un tueur à gages couvert de blessures. Il habille toujours Lithia en rouge, est très gentil et rit comme s'il était sur le point de fondre en larmes à tout moment, ce qui met Lithia très mal à l'aise. Mais un jour, leur routine habituelle change du tout au tout lorsque Romanée, un homme qui semble connaître le passé de Setsu, fait son apparition... Critique : Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-couleur-de-l-eau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité. L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs !