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[ciné] L'effet Papillon


mesoke
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j'ai un peu la flemme de faire un zoli sujet mais j'me soigne...

Réalisé par Eric Bress, J. Mackye Gruber
Avec Ashton Kutcher, Amy Smart, Elden Henson, William Lee Scott..
Date de sortie : 10 Mars 2004

Synopsis: Une théorie prétend que si l'on pouvait retourner dans le passé et changer quelques détails de notre vie, tout ce qui en découle serait modifié. On appelle cela "l'effet papillon". Evan Treborn a cette faculté. Fasciné, il va d'abord mettre ce don au service de ceux dont les vies ont été brisées dans leur enfance. Il peut enfin repartir dans le passé et sauver la seule jeune fille qu'il ait jamais aimée.
Mais Evan va découvrir que ce pouvoir est aussi puissant qu'incontrôlable. Il va s'apercevoir que s'il change la moindre chose, il change tout. En intervenant sur le passé, il modifie le présent et se voit de plus en plus souvent obligé de réparer les effets indésirables de ses corrections. La situation devient rapidement ingérable et ceux qu'il voulait secourir se retrouvent en danger


Avis :
Libération:Les dernières images "projetées" sont un régal, comme les premières. D'un bout à l'autre, le procédé mobilisé pour voyager dans l'espace-temps de l'épatant Effet papillon est enfantin

Monsieur Cinéma:En se concentrant sur la vie des personnages principaux, en oubliant sciemment de donner une quelconque explication scientifique au phénomène surnaturel décrit, les auteurs transforment un film de genre malin en réflexion sur les choix de chacun et leurs conséquences. Surprise : tous les jeunes acteurs sont excellents !

Mon avis perso étant très proches des deux ci-dessus, j'ai préféré laissez parler les professionnels...
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Je suis aussi d'accord. Je l'ai vu hier(printemps du ciné oblige) plus par defaut qu'autre chose. J'ai trouvé personne de motiver pour Big Fish :cry:

Quelle ne fut pas ma surprise. Ce film est tout bonnement terrible autant par l'histoire que par les acteurs.

D'ailleurs ca fait plaisir de voir un film realiser par qq que je ne connaissait pas, avec des acteurs que je ne connaissais pas(le heris joue dans American pie ma ca on va dire que c'est une erreur de jeunesse) et qui est pourtant superbe.....

A ne pas manquer !!!
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heu le hero ne joue pas dans american pie.
tu confonds avec sean scott williams qui a joué aussi dans Et mec elle est où ma caisse (avec ashton kusher d'ailleur laugh.gif ) et aussi dans Bulletproof Monk et égalment dans Road Trip (excellent film d'ailleurs) et tant que j'y suis dans Evolution et il est bientôt à l'affiche avec Bienvenue dans la Jungle

ashton kusher c'est un des hero dans that seventies show
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J'ai vu un très vieux film ou le héros allait dans le passé et écrasait un genre de papillon... Du coup celui-ci ne servait pas de nourriture a un varan qui, a la place mourrait de faim, et ne servait pas de nourriture a un plus gros etc etc et qd ils revenaient dans le présent, tout était bouleversé...

Ceci viendrait-il de cela???
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Un battement d'aile de papillon à Paris peut provoquer quelques semaines plus tard une tempête sur New-York. Cette image décrit l'effet papillon tel qu'il a été mis en évidence par le météorologue Edward Lorenz. Il a découvert que dans les systèmes météorologiques, une infime variation d'un élément peut s'amplifier progressivement, jusqu'à provoquer des changements énormes au bout d'un certain temps. Cette notion ne concerne pas seulement la météo, elle a été étudiée dans différents domaines. Si on l'applique aux sociétés humaines, cela voudrait dire que des changements de comportement qui semblent insignifiants au départ peuvent déclencher des bouleversements à grande échelle.


Voila de quoi ça vient... :wink:
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C'était pas un battement d'aile au Japon provoquerais un ouragan à New york?
Y'a plein de version différente à ce que je vois... laugh.gif
Mais pour le film, j'ai pas aimé... pas du tout.
Peut-être est-ce le jeu de Aston Kutcher aussi qui me plait pas... enfin!!

Je préfère attendre avec grande hâte ''Sunshine of the Spotless Mind'' (Un post bientôt promis, supposé sortir la semaine prochaine ou les autres qui suivent..!!)
Écris par THE Scénariste: Charlie Kaufman. Un type bourré de talent pour cité en autre: Being John Malkovich (1999), Confessions of a Dangerous Mind (screenplay), Adaptation. (2002) (screenplay).
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CITATION(Leeiko)
C'était pas un battement d'aile au Japon provoquerais un ouragan à New york?


Dans ma version c'était également le Japon (pourtant édition française).

D'ailleurs c'est plus ou moins repris dans un Troll de Troy ("Comme un vol de pétaure" si mes souvenirs sont bons), avec un gros délire sur un nuage de papilons qui bloque la tempête du sciécle.
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C’est un bon film fantastique, j'ai bien aimé. La première partie laisse apparaître une certaine angoisse, un suspense lugubre, quelque frisson mais les rebondissements dans la seconde partie joue "trop" sur la surenchère (et deviennent même prévisible, j’y trouve une certaine longueur). Certaines scènes sont caricaturale, d’autres du style des séries TV teenagers.
La fin trop classique mais qui aurait pu être pire. Néanmoins le scénario est plutôt cohérent.

>spoiler ??
>Je le voyais presque au final finir comme son père ou ne plus pouvoir s’arrêter jusqu’à ça perte :evil:.


Est-ce qu’il « ressemble » plus ou moins, dans le thème ou l’histoire à Donnie Darko ?
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  • 2 weeks later...
Spoiler mode on, j'ai ai peur. Vous êtes prévenu

Je crois qu'avec le recul je vais être bien d'accord avec toi Blue, c'est très caricatural sur certains points, un peu longuet sur d'autres.

Pourtant ca reste très original ce qui en fait un film qui sort largement de l'ordinaire en ce moment. C'est vrai que le film est assez prévisible sur la fin (quoique, j'y vais/j'y vais pas... qu'est-ce qu'il risque maintenant hummm ?). Toute la 1ère partie est assez génial quand même car tu sais qu'elle va mourrir, mais quand et comment.... ? et le temps passe, et il est à la fac et ça continue..... Tres bien réalisé tout ca. Sans compter l'effet blackout qui te fait justement avancer dans le temps d'un seul coup comme Evan. Très très bien fait tout ça. Et par la suite les flashback assez géniaux qui justement remplissent ces blackout de manière alternative par rapport à la véritable histoire (que tu connais quand même pour la plupart!!!). Je me répète mais la contrustion est très intéressante je trouve. Ca joue sur le paradoxe temporel de manière très efficace (au moins aussi qu'un terminator 1 à 3, je trouve pas d'autres film à citer avec paradoxe temporel de ce genre désolé).

L'avantage est que si tu n'aimes pas la fin, tu coupes les 3 dernières scènes et tu le laisses au même endroit que son père. Tu obtiens alors un film bien noir qui te laisse sur un doute assez horrible. Rêve ou réalité ? A toi de choisir (la je pense qu'holywood à choisi pour nous j'ai l'impression).

Il y a des interviews des acteurs/du scénariste/du réalisateur quelque part ?

En tout cas, pour le moment j'en sors et je suis emballé. Mine de rien de suis sorti de la salle en me posant un tas de question bêtes... Et si j'avais fait un petit truc en plus (ou en moins) à telle moment de ma vie... Très intéressant sur ce point la. :!:

Dernière remarque, vous noterez qu'en fait c'est pas des changements radicaux dans le passé qui changent "énormément" les choses......

- Il est toujours à la fac, (la prison est la conséquence de son meurtre qui ne serait surement pas arrivé s'il n'avait pas connu Tommy dans une autre vie par exemple).

- Il a toujours les même amis....


Film génial quand même sur plusieurs points, ca aurait pu être culte.
Et il m'a mis indirectement en face de toutes les 'erreurs/conneries/bétises/trucs loupés' plus ou moins stupides que j'ai pu faire ces dernières décades...

/end of mode c'est mon avis à moua.

Et si j'avais acheté une décapotable plutot qu'une moto hein ?
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j'en sors a l'instant. scotché des les premiers minutes. j'y suis allé par un pur hasard, je n'ai mm pas lu le topic :oops: je viens de me ratrapper du coup. je ne savais mm pas qu'il pouvait modifier l'histoire!
je fus donc surpris d'entrée de jeu avec qques sursauts en prime. Un film qui fait réfléchir comme le dit si bien RR (je vais me mettre à écrire un journal moi, on ne sais jamais). Je regrette le coté tenagers évoqué plus haut, et rend la scene un peu caricaturale (évoqué plus haut aussi). J'aurais préféré un film absolument noir du début à la fin avec un héros devenu sérial killer qui détruit tout sur son passage et qui deveint président des US avec un tatouage de chiffre romain, et puis qui se transforme en dinosaure...... je m'emballe, je crois que je vais me coucher... sinon c'était bien. :?
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  • 1 month later...
Je l'ai vu et je suis sorti bien avant la fin. Ayant la flegme d'écrire une critique, j'en ai cependant trouvé une qui correspond à mon état d'esprit.

Source: Le Fantastique.net/Khimaira

L'Effet papillon explore l'hypothèse du voyage dans le temps et des réalités parallèles, sujet fascinant et thème fétiche de la science-fiction : récemment, la trilogie des Retour vers le futur ou encore Un Jour sans fin, d'Harold Ramis, ont abordé la question sur le ton de la comédie, et, dans un registre plus sombre, on peut citer les Terminator de James Cameron, dans lesquels Arnold Schwarzenegger puis Robert Patrick débarquent du futur pour condamner l'humanité à l'anéantissement. Certains se souviendront également de 12:01 pm, bonne série B, signée Jack Sholder, qui est un peu le pendant dramatique du film de Ramis. Quoiqu'il en soit, la liste est longue et il convient de s'interroger sur la pertinence de ce nouveau film.
Quoi de neuf, donc ? Eh bien, pas grand-chose. Evan, notre héros, va s'ingénier à retoucher son passé et, par là-même, celui de ses proches. Ses choix lui feront-ils connaître un sort meilleur ou, au contraire, va-t-il échouer à se dépêtrer d'un destin qui finira toujours par lui échapper ? C'est en répondant à ces questions que L'Effet papillon frappe par son manque d'envergure et de subtilité : chaque correction du passé donne naissance à une nouvelle réalité dans laquelle les protagonistes ont évolué différemment. Ces extrapolations pourraient donner lieu à des hypothèses délirantes, insensées, apocalyptiques (c'est du fantastique, bon sang, il n'est pas interdit d'imaginer et d'exagérer !). Au lieu de ça, on n'a droit qu'a une enfilade de clichés sans imagination. Exemple : la copine d'enfance, serveuse paumée et suicidaire, va se retrouver dans la panoplie d'une bimbo star du campus puis dans celle d'une prostituée junkie croupissant dans son hôtel de passe. Même traitement pour le frangin de celle-ci, tour à tour ex-taulard déséquilibré et reborn christian avec pull-chemise et raie sur le côté...
Difficile, donc, devant ce défilé de caricatures, de prendre tout cela au sérieux et de conserver son premier degré, d'autant que le film pêche également par son manque de cohérence : les bouleversements occasionnés par Evan, quels qu'ils soient, ne semblent avoir d'impact que sur son entourage immédiat (soit quatre ou cinq personnages). Si l'on s'en tient à cette fameuse théorie du chaos, mise en exergue au début du métrage et qui veut qu'un événement microscopique puisse avoir, par ricochet, des conséquences dramatiques insoupçonnées, un tel choix de scénario est difficilement excusable tant il relève de la paresse et de la facilité.
L'Effet papillon est-il donc le plus grand navet de ce début de siècle ? Non, évidemment, car il faut bien faire la part des choses et prendre le film pour ce qu'il est, c'est-à-dire un divertissement fantastique destiné à un large public. À partir de là, soit on adhère un tant soit peu à ce cinéma du samedi soir, sans y regarder de trop près et en savourant tout de même quelques jolis moments de suspense, soit on passe son chemin en reprochant au film sa fadeur et son manque d'ambition.

12:01 pm en tout cas je vous le conseille, parce que c'est vraiment bien comme série B. Je suis par ailleurs bien content que quelqu'un se rappelle de Jack Sholder qui est un peu tombé dans l'oubliette j'ai l'impression.
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mouaisd

le début est super bien avec le môem et le couteau dans la cuisine

on se croirait entrain de lire du King

et pusi ça tombe très vite dans j'utilise à fond MA seule bonen idée du film du coup on turne en rond et c'est limité

autre souci...l(spoiler) les blancs quand il est gamin ce sotn le smoments qu'il changent plus tard certes mais
comem il change avant il ne peut plus avori les même sblancs après tout bonnement...hé oui la bonen idée du film qui sert de moteur n'est même pas bien structuré

un film promoteur qui finit par épuiser des ficelles trop conneu et malheureusement y'a pas de vrai réalisation qui s'appuit sur les hros champ ou l'incconnu autant mementon exploité le récit à la premièr epersonen autant là on se contente d'obeserve ron est pas impliquer dans les émotions sauf avec 2 3images sympa au début après sérieux c'est du récyclage et rien d'autre

à voir c comme ça

mais je préfère donnie Drako qui à défaut de plein d'autre chose avait su trouvé un "ton" unique

sur ce bien à vous,
Monfreid...
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CITATION(Monfreid...)
autre souci...l(spoiler) les blancs quand il est gamin ce sotn le smoments qu'il changent plus tard certes  


JE crois que ce n'est vrai que pour les premiers retours, le film prend ensuite plus de liberté. Ce qui abonde plutot dans ton sens.

De toute manière ce genre de theme est toujours casse geule.
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  • 8 months later...

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