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sin city


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Moi j'avais eu extremement peur en voyant la 1ere bande annonce. Je trouvais que le realisateur avait trop essayé de reproduire l'aspect graphique et que ca donnait une impression de too much.

Finalement j'ai vu la 2eme BA hier et cette fois je suis conquis. En tout cas suffisament pour aller le voir au ciné
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Ai vu une partie de Sin City (en anglais parce qu'il sorti aux U.S.A le 1ère avril). Mes craintes étaient justifiées. Ce film à les points faibles de ses points forts, par contre, il vaut le coup rien que pour le style graphique et le casting. Il me tarde quand même de voir la suite.
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  • 1 month later...
Vu la BA de plus en plus souvent ces derniers temps, a chaque fois ca me fou une grosse claque (aïe), j'adore j'adore! vivement que ca sorte !!! biggrin.gif

Hier soir j'ia vu un reportage sur France 2 aux infos, sur ce film, et ils disaient que c'était génial, enfin voilà de koi renforcer mon impatience face à ce film!! biggrin.gif
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j'ai aussi entendu une critique sur rtl ce matin qui etait tres elogieuse
mais elle m'a bien emmerde quand meme
le mec a completement passe sous silence le fait que c'est tire d'une bd
et pour lui, la maestria des scenes d'actions n'est du qu'au realisateur (qui est en fait le co-realisateur, puisque frank miller est credite aussi, mais ca, il l'a po dit)
et l'esthetique originale, on la devrait a tarentino qui aurait fait conseille sur le film

alors c'est bien qu'il apprecie le film, mais bon, ce serait bien de po phaser son origine de facon aussi ehontee
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Quelques remarques après le visionnage de ce film:


La ville du péché, Sin City, est la cousine de Gotham, la mégalopole corrompue sur laquelle veille Batman. Les albums de cette série de comics (quoique le terme consacré soit désormais BD, lorsqu'il s'agit d'oeuvres ambitieuses) sont édités en France chez Rackam. Ils sont l'oeuvre du dessinateur et scénariste Frank Miller (responsable, il y a un quart de siècle, de la transformation de Batman en antihéros torturé), mais se nourrissent d'une autre culture que celle qui a fait surgir les justiciers masqués.

C'est qu'ici l'idée même de justice n'a pas cours. Ce que Miller met en scène dans ses comics, c'est la lutte pour la survie, l'assouvissement des passions, dans un environnement qui se réfère, par les costumes et les situations à l'imagerie née des romans, films et bandes dessinées noirs des années 1940 et 1950.

On pourrait poursuivre une description détaillée de la bande dessinée, puisque la raison d'être de Sin City, le film, est de la transposer le plus exactement possible à l'écran. Les acteurs sont grimés pour prendre l'apparence exacte des personnages (une idée qu'avait déjà eue Warren Beatty en 1990 pour Dick Tracy), les textes qui apparaissent en haut ou en bas des cases sont déclamés par une voix off, les répliques peuvent toutes tenir dans un phylactère.

LA BD À LA LETTRE

Les actions sont découpées case par case et, puisque les albums de Sin City sont publiés en noir et blanc, la couleur ne fait que des apparitions épisodiques mais spectaculaires ­ - du sang jaune, des lèvres rouges... Enfin, le scénario est découpé en histoires autonomes entre lesquelles des passerelles sont ménagées afin de permettre aux personnages de resurgir de temps à autre.

Bref, toutes les lois de la bande dessinée sont respectées à la lettre, ce qui n'est guère étonnant puisque Frank Miller est l'un des réalisateurs du film. A ses côtés, on trouve Robert Rodriguez, qui après des débuts fracassants (El Mariachi) s'était essentiellement consacré à la sympathique série pour enfants "Spy Kids". Il faut y ajouter un "réalisateur spécial invité", Quentin Tarantino. Mais la présence de deux des sectateurs les plus ardents du cinéma bis dans l'équipe ne suffit pas à ramener Sin City du côté du cinéma.

On retrouve toutes les obsessions de Tarantino (la mutilation des corps, la torture amusante...) sans que rien d'autre ne vienne les animer que le mouvement saccadé de la bande dessinée, quand il faut passer d'une case à l'autre.

Engoncés dans leurs stéréotypes, dissimulés sous leur maquillage et le traitement digital de la couleur, les acteurs se contentent d'animer des silhouettes en deux dimensions. A ce jeu, c'est Mickey Rourke en tueur amoureux qui s'en tire le mieux. On aurait pu s'amuser de voir l'excellent Frodon se muer en psychopathe cannibale, mais il aurait fallu qu'Elijah Wood Jr soit reconnaissable.

La vanité du projet serait totale s'il ne permettait pas de constater à quel point le cinéma et la bande dessinée, arts nés en même temps et nourris des mêmes siècles, sont irréductibles l'un à l'autre.
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Ca fait plaisir de te revoir avec des critique toujours aussi construit. Je ne l'ai pas encore et ne connais pas bine l'oeuvre de miller mais certain qui l'on vu et qui ne lisent pas de BD la trouve genial alors si ca peut les amener à lire la BD.. pourquoi pas :wink:
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QUOTE(the_argonaut_2004)

La vanité du projet serait totale s'il ne permettait pas de constater à quel point le cinéma et la bande dessinée, arts nés en même temps et nourris des mêmes siècles, sont irréductibles l'un à l'autre.

C'est tout simplement parce qu'ils ne fonctionnent pas sur le meme principe pour raconter la histoire, l'une est statique (8cases/planches pour les BDs, 5 pour Manga et 6 Comics) quand l'autre repose sur la cinétique (24 frames/sec).

PS: pour les cases j'ai fais une petite moyenne arrondie à l'entier inférieur sur 10 BDs, 5 Mangas et 5 Comics pris au hazard et de differents auteurs. Ca ne représente pas grand chose bien sur! smile.gif
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euh, the-argonaut, ce serait po mal de citer tes sources quand tu reprends un article comme ca
en l'occurence, il s'agissait d'un article du Monde

enfin bon, c'est vrai que pour une fois, on sent qu'il y a eu un effort pour prendre bd et cine sur un pied d'egalite, ca fait plaisir
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Qui aurait pensé que Sin City, le comics culte de Frank Miller réputé pour son univers sombre et ultra-violent, fût un jour adapté au cinéma? Et pourtant Robert Rodriguez fervent admirateur de l'oeuvre de Miller, nous présent aujourd'hui une curiosité filmique qui revendique pleinement sa qualification d'adaptation.

Trois des plus populaires histoires de la "saga Sin City" constituent la trame scénaristique de l'oeuvre de Rodriguez:
-Sin City
-Le grand carnage (The Big Fat Kill)
-Cet enfant de salaud (That Yellow Bastard)
On y retrouve les dialogues ciselés, tranchants et cyniques de Miller (Tarantino n'est jamais loin) toujours fidèlements retranscrits. Témoin de cet agréable "copié-collé", la Bande-Dessinée n'a pas perdu dans son passage au cinéma les parties non-dialoguées brillament restituées ici grâce à l'artifice d'une voix-off. Seules quelques scènes (malhabillement?) rajoutées, qui font le lien entre les trois intrigues (un peu à la manière de Pulp Fiction d'ailleurs), échappent à la toute puissance du comic-book.

L'autre caractéristique du film, manifeste parfait de la volonté du réalisateur non de rendre hommage à l'oeuvre de départ mais de la transposer le plus fidèlement possible, réside dans "l'ambiance visuelle" de cet OVNI cinématographique. Comme dans les pages du roman graphique où les images sautent au visage, son adaptation prend le risque de choquer pour mieux coller au style défini par Miller. Les couleurs abandonnées, n'apparaissant que par touches discrètes, les lignes claires fondues dans les masses d'ombres, sont bien les codes graphiques de la "ville du pêché". Les décors réduits au strict minimum ont été recrées numériquement (comme dans le précurseur Immortel Ad Vitam) conférant au film cette atmosphère si particulière de "prison aux invisibles barreaux".

Même si le film est loin d'être parfait, il n'en est pas moins par son refus des concessions (violence et nudité sont explicitement montrés) une véritable oeuvre politique dans une amérique rongée par la censure et minée par son hypocrisie dans son rapport à la violence. Reste cette désagréable frénésie peu naturelle au cinéma et surtout cette sensation de débarquer au milieu d'une "fête entre potes". Pourtant il faut s'incliner (avec plaisir) devant la justesse du casting (certains personnages comme Dwight, Miho ou Gail... sont à la limite du supportable tant ils semblent viscéralement tournés vers l'accomplissement de leurs objectifs bien souvents "sanglants"), la passion communicative du réalisateur et l'espoir de voir le futur Sin City (dors et déjà annoncé) se muer en un historique chef-d'oeuvre.
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bon be moi j'ai vu le film hier soir
et je suis tres decu

autant, en photo ca paraissait bien
autant en mouvement, ca le fait po du tout
c'est une adaptation fidele, mais alors au niveau film, c'est plus que bof
tout ce qui me paraissait impressionant dans la bd (le noir & blanc exclusivement, les scenes plein cadre (marv sous la pluie par ex), les scenes d'actions...), tout ca ne passe pas
soit ca reste tres banal (au niveau couleur, vu qu'on ajoute du gris (impossible d'avoir que du noir et blanc), soit ca devient ridicule (le ton tres dur, qui la devient assez humoristique, parfois involontairement, ou les scenes d'action ultre exagerees)
enfin bref, bien decu

et moi qui aavit plus confiance en sin city qu'en batman, j'ai peur du coup
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bon bon ayé nous venosn de le voir avec luuna....et heu bon....j reste trés trés septique...
à la fois superbe, trés bien jouer, inventif, et tout et tout..autant on accede à un niveau de film qui malheuresement tue le film.je m'explique..:
le film est violent, trés violent, comme la bd...( celle-ci est pg 16 tout de même, alors pourquoi juste -12 pour le film... :shock: :shock: ) le choc de cette violence au départ, transforme le film en un gigantesque carnage. Et c'est ce qui se passe en sortant, on garde ces images d'une apologie de la barbarie ainsi que de la torture comme normal....
la bd garde cette frontière de l'illusion, d'un monde fantastique. le film donne un ton finalement trop réaliste à cette violence

mais à part cela....le film est trés beau, trés bien fait, acteur au sommet, scénar terrible....alors pourquoi.... :wink:
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Ah ouai? violent a ce point? genre tu ferme les yeux tellement c'est violent? genre a coté de ca le débarquement dans le soldat rayan c'est de la rigolade? quoi que le soldat rayan, c'est pas tellement gore...

TROP BIEN :twisted: laugh.gif

Par contre je sais pas si ca va passer pour la copine avec qui je vais y aller laugh.gif
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ah oué ? tu l'as trouvé violent ??? a part la dernière scène du yellow bastard , j'ai pas trouvé le films si violent que ca ...

je l'ai deja vu deux fois ( mercredi et jeudi, pas de temps a perdre) . une première chose, je pense que certain ont deja compris: ne pas aller voir ce film en VF! c'est la première fois de ma vie que je VOULAIS voir un film en VO , et bien sure , a mon ciné c'est pas possible . donc parti deux fois de suite pour les voix de merde (abbattez la fille qui fait shelly , svp!!!! et le mec qui fait marv aussi tant qu'on y est . marre de ces voix passe partout et pourtant tr-s casse couille) . je l'ai trouvé très bien , étant un grand fan du premier tome et du yellow bastard ( les deux seuls que j'ai eu pendant très longtemps ; vous savez que les premières éditions francaise valent une fortune d'ailleurs ?? le mien est très abimé de toute facon) et ce depuis moult années ( 95 . a l'époque la scène avec kevin et le chien m'avait rendu malade , je trouvais qu'on atteignait un certain point culminant dans la violence . ok , j'avais 12 ans ) et j'ai trouvé mon star wars: un univers riche , une édition dvd qui sera magnifique ...bref , pas grand chose a redire , quoique ...
outre le doublage , je trouve que le film n'est pas judicieusement coupé . si les trois films s'étaient entrecoupé ca aurait été classe .
certains décors sont super limites ( post production c'est pas encore le top du top) , et je pense que mr rodriguez aurait du s'encombrer d'"un scénario et d'un story board . certains passages , niveau "litteraire" ont mal vieilli: la scène dans la salle de bain de lucille ou marv s'excite est trop excessif , trop grosse ... trop ,quoi! sinon , mais ca c'est un autre problème , quand tu as lu la bd ( plusieurs fois pr certaines perosnnes) , tu n'as pas du tout de suspens .. j'aurais bien aimé aller au ciné sans ocnnaitre la fin dès les premières secondes . bref , c'est pas très important ... mais l'effet de surprise de la violence aurait peut etre été plus important .
enfin et pour finir , les quelques petits écarts a la BD ne sont pas toujorus justifé .. je pinailles vraiment , mais pk avoir montré kevin dès le début ? pk avoir montré la main de lucille a la place du bandage d'origine ?



:roll: :arrow:
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heu c'est pas la violence de ryan c'est différent...

pour répondre à spider..oui je l'ai trouvé violent voir hyper....dans sa volonté de zigouillage à tout va...dans la volonté de vouloir faire mal à l'autre à tout prix ( et c'est peu de le dire...) voilu aprés si la violence devient habituelle....
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