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the_argonaut_2004

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  1. the_argonaut_2004

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    On peut au passage rappeler que Star Wars a été inspiré notamment par les bd de Christin & Mézières et leur personnage Valérian. Un tome en particulier est en cause et G. Lucas a tout à fait admis cette influence. Des tas de blog parlent de ce fait et je vous laisse vous y plonger. Très possible que Cameron soit tombé sur la bd Aquablue il y a des années, tout comme Lucas était tombé fou amoureux de la revue Heavy Metal avec Moebius, Druillet, Mézières, et d'autres grands de la bd de ces années-là . Les influences font toujours un parcours conscient et inconscient chez tout créateur.....
  2. the_argonaut_2004

    Avatar

    Oui, c'est vrai, entre Mononoke, Pochahontas et Danse avec les Loups(lui-même inspiré de l'excellent Little Big Man avec Dustin Hoffman), personne n'a relevé, il me semble, une inspiration/comparaison que je trouve personnellement flagrante: Et la série BD Aquablue alors???..... Multinationale sans scrupule, initiation d'un humain parmi une population indigène à la peau bleue, changement de camp, et baston avec des exo-squelettes(!!!) D'autant plus que cette bd a été traduite en anglais et distribuée aux USA il y a déjà plusieurs années. C'est moi qui rêve ou ça fait beaucoup de points communs avec Avatar (excellent divertissement au passage)?........
  3. the_argonaut_2004

    [ciné] 300

    "C'est vrai qu'il y a beaucoup d'hemoglobine mais fait à l'ordinateur la grande majoritée du temps alors ça donne un côté plus léger à toute cette violence." Désolé Ablasio, je n'ai rien contre toi mais je n'ai jamais lu quelque chose d'aussi... naïf et stupide(!!!) Un bras coupé reste un bras coupé, une tête coupée reste une tête coupée, et cela quelque soit la façon dont le cinéma gère ce type d'effet spécial. Je ne comprends pas cette idée de violence légère", c'est navrant... Je suis sincèrement désolé que mes propos tombent sur toi Ablasio mais je m'insurge contre ce genre de remarque... -+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+ D'ailleurs ce film est navrant de bout en bout de crétinerie. Libre à certains journalistes d'y voir des conotations très claires d'extrême droite, moi j'ai tout simplement trouvé ce film mauvais, même en VO. Carnage pour carnage aucun personnage ne m'a fait vibrer et la direction artistique "numérique" qui fait la jubilation de certains est intéressante, certe, mais passé les 5 premières minutes on a tout vu. Il y a de plus cet étrange effet de léger décalage, de léger détourage autour des personnages qui m'a gêné tout au long du film mais bref, peu importe... L'emballage esthétique avait l'air soigné et original, mais le contenu du cadeau m'a déçu par sa.. niaiserie, qui pourtant en BD passe étrangement avec certaine élégance. Bref, une déception aussi grande que le battage médiatique déployé pour ce film. Dommage.... [The Argonaut 2004]
  4. the_argonaut_2004

    [ciné] 300

    Niouuzzze vérifiée: L'image n'est pas un fake, et sur plusieurs sites US il est de fait que Znyder aurait donné son accord pour adapter WATCHMEN. Je n'émets aucune opinion sur "300" que je n'ai pas encore vu mais "Dawn of the Dead était très, très décevant. Espérons que Znyder sera plus à l'aise dans les adaptations bd que dans les (mauvais) "remake"...... [The Argo] La fameuse image pour décanter le boulot aux flemmards: http://www.aintitcool.com/images2007/rorsh...ch_badge_sm.jpg
  5. the_argonaut_2004

    [ciné] 300

    Comme tout véritable fan "truly hardcore" de bd US, je ne suis pas passé à côté de LA nouvelle qui s'est répandue plus vite qu'une trainée de poudre en feu all around the world depuis la semaine dernière. A mon tour d'apporter la bonne parole sur ce forum qui a priori est passé à côté DU scoop de l'année. Je me lance: Dans le dernier trailer non-censuré "de 300" Znyder y a glissé une image s-u-b-l-i-m-i--n-a-l-e ! ! ! ! !....... Et cette image nous montre...... Rorschach!!!!!!!!!!!!!!........... Qu'est-ce que cela veut dire? Eh bien cela veut dire qu'après être passé dans les mains de Terry Guilliam, c'est maintenant au tour de Znyder d'hériter du projet maintes fois lancé mais toujours pas réalisé du film THE WATCHMEN, d'après le chef-d'oeuvre absolu d'Alan Moore. C'est pas de la niouzzze ça?.... Alors calez tous vos mirettes sur ce dernier trailer et vers la fin, dopez-vous à l'ultra-vision pour apercevoir cette image qui, à mon avis, n'est pas un fake mais une annonce aux fans les plus attentifs. Je laisse à ceux qui savent le faire le soin de copier/coller tout le bazar nécessaire pour faire circuler la nouvelle sur ce forum. Enjoy! [The Argonaut 2004] Always on the cutting-edge.... PS: si cette nouvelle a déjà circulée sur ce forum je suis bon pour une flagellation.... spartiate.
  6. "J'ai souvent eu l'impression d'un vicieux relent arnaque avec Shyamalan. Ce que je lui reprocherais principalement c'ets de se focaliser sur une révélation finale qui anesthésie tous les efforts qu'il déploie durant 1h30 de métrage." Pour le coup, 200% avec JKKS concernant cette citation. Ce genre de procédé narratif est amusant le temps du film,..... mais le temps du film uniquement, pas après! L'effet de surprise s'estompe, et l'impression "d'arnaque" prend le dessus. De plus, lors de "6ème sens" ma copine avait deviné la fin et je me suis moi-même surpris à deviner à 80% celle du "Village". Ce qui trrrrrès handicapant pour apprécier les films de ce réalisateur. C'est en découvrant à peu près la fin de ces deux films par les indices qui y sont éparpillés que l'on se rend compte qu'il ne reste vraiment pas grand chose d'autre que le dénouement. Sans chute finale et dénouement, c'est un peu le vide astral. Montage, mise en scène, jeux d'acteurs et autres points d'intérêts sont vite mis en arrière plan car TOUT vise à converger vers un dénouement inattendu qui doit tenir en haleine le spectateur. Reste donc la BO et certains effets spéciaux pour essayer de passer un bon moment lorsque toute surprise est passée. "Incassable" est selon moi le plus raté du genre et passe vraiment à côté de ce que sont les (super)-héros et la notion d'identité secrète. Bref, une catastrophe.... J'ai bien pris le temps de lire les "post" de vous tous qui êtes fan de ce réalisateur et je comprends votre avis. Je ne ressens pas du tout la même chose et malgré des arguments très justifiés et bien tournés, je persiste à croire que ce réalisateur est très surévalué. [The Argonaut 2004] PS: ... Aïe! Ouille! Me tapez pas dessus c'est juste mon avis!.....
  7. the_argonaut_2004

    Promethea

    En revoyant ce sujet revenir en tête je me suis étonné: La parution de "Promethea" n'est donc pas terminée?... Il y a eu 32 numéros de 24 pages environ. Le tome 4 français ça mène où, à l'équivalent du n°16 en VO non?... Y'a encore du boulot avant que la totale soit traduite. Mais bon, le principal est que cette fantastique série soit publiée en intégralité dans notre beau pays. J'imagine que lorsque tout sera paru, il est fort probable que "Promethea" remporte un prix au festival d'Angoulême.......2010(!!!)... Plus sérieusement, pour ceux qui n'ont pas encore franchit le pas plongez corps et âme dans cette série épique absolument unique. [The Argonaut 2004]
  8. Bon, devant les déceptions on préfère faire court. Si comme moi vous vous sentez profondément athée, les messages à peine subliminaux concernant le christ, la rédemption, la sacrifice et autre trinité ne vous toucheront absolument pas dans ce film. C'est un peu comme lorsque l'on est invité à un mariage et que le discours de l'autorité religieuse en présence vous permet de mettre à jour votre carnet d'adresse de mobile(discrètement bien sûr pour ne froisser personne) car vous n'en avez absolument rien à cirer, voire même rien à taper. L'ennui c'est que le film fonctionne et s'appuie littéralement sur ces références religieuses fortes qui en gonfleront certainement plus d'un. De plus, les moment "romantiques" voire "cul-cul-la -praline" ne sont même pas poétiques, et pire que tout, on ne sent quasiment aucune affection entre Clark et Loïs, qui entretiennent une sorte de relation malsaine qui tient de l'amitié lointaine voire oubliée. C'est très étrange. La relation Superman/Loïs est encore plus ambigüe car ils se vouvoient alors que l'on apprend un fait de taille qui oblige à une relation de couple extrêmement forte(!). En dehors de ce détail, à maintes reprises le couple ne décolle jamais vers une relation amoureuse qui fait plaisir à voir car plane au-dessus de leur tête une morale rigoriste que l'on sent pesante tout au long du film. Kevin Spacey et sa compagne sont finalement les plus attachants et les plus équilibrés de tous les personnages, ils sauvent la mise face à la lourdeur relationnelle de Clark-Superman/Loïs Lane. Du coup, on a du mal à voir les effets numériques à leur plein potentiel ou à leur pleine puissance. Il ne servent du coup qu'à relancer l'attention du spectateur entre deux scènes dites "de développement narratif" et leur réussite(car ils sont réussis) est malheureusement vite oubliée dès la sortie de la salle car ils n'ont pas servis à renforcer le caractère des personnages ni l'importance de leurs actions. Un film lourd, au propre comme au figuré. -The Argonaut 2004- [My God?... myself!]
  9. the_argonaut_2004

    Authority

    Pour redonner un peu d'espoir, je rappelle qu'on touve tout ce que l'on veut au jour d'aujourd'hui par ce biais incroyable qu'est internet. Franchement, VI, VO, VF, tout est trouvable, il faut juste s'en donner la peine et être patient. Good luck! -The Argonaut 2004-
  10. "... Malheureusement pas beaucoup d'innovation visuel, c'est surement le point faible du film les prises de vues sont clairs et précises sans nouveautés. La photographie est clair et net, pas de jeu ni d'effet particulier là-dessu. Le scénario est bon, pas de doute la dessu, ça se tiend. Mais aurait pu être plus concentré, plus recentré sur son sujet encore...Naturellement, toute personne qui a vu La Matrix pourra faire facilement des liens avec V, par exemple les combats c'est assez flagrant (sans tout le coté gymnastique par contre), ainsi que les scènes au fameux ralentis..." ... Marrant, cela ne m'étonne pas du tout!!... Pour le reste, Je ne doute pas que ce film puisse être un divertissement correct Leeiko, et tu sembles y avor pasé un bon moment. Au passage, je fait d'ailleurs confiance à certains qui ici, partisans du film bien avant de l'avoir vu, le défendront coûte que coûte sans en voir aucun défaut de peur de se décrédibiliser. That's life!.... [The Argonaut 2004] Snob? Why not, if it's like the Boris Vian's song!!!....
  11. Les qualités objectives d'un film? Quelle est donc cettte étrange tournure? Y-aurait-il donc une commission scientifique de la critique de cinéma?... Je le répète une fois de plus pour raffraîchir les esprits: Bien avant de discuter de la qualité de ce film que personne n'a encore vu j'ai suivi depuis plus d'un an les étapes de ce film et, j'ai été choqué, oui choqué, par les défauts de procédure et les dérapages accumulés par différentes personnalités Hollywoodiennes depuis le synopsis même de "V". C'est de ça que je parle, pas d'autre chose, c'est simple. Que le film soit bon ou mauvais, cela ne m'intéresse pas et ne m'a jamais intéressé dans ce sujet. Je vous donnerai mon avis lorsque je l'aurai vu, c'est à dire quand il passera un soir à la télé dans 2 ans, quand l'actu du film sera bien retombée, et avec le recul nécessaire. That's all folks! [The Argonaut 2004] Just singing in the rain...
  12. La différence, selon moi, est que les américains visent dans quasiment toutes leurs productions cinématographiques un objectif de diffusion mondial. Ce qui explique notamment(mais pas exclusivement) bon nombre de films lisses, bien polissés, fédérateurs, et souvent bien mièvres. Les japonais, eux, font leurs films de leur côtés quoiqu'il arrive. Selon leur succès en Asie ils arrivent tôt ou tard chez nous(sauf quand un curieux et avide cinéphile comme le célèbre Dionnet se déplace au Japon pour aller à la pêche aux curiosités). Cet différence d'objectif est plutôt de bon augure pour le ciné japonais à mon humble avis. Soyons positifs et souhaitons-leur bonne chance! [The Argonaut 2004]
  13. Les deux en fait!.... [The Argoanut 2004]
  14. "Il faut des mauvais films pour appréciés(er) les bons" ------------------------------------------------------------------- Je suis désolé Leeiko, je ne comprends absolument pas ce tu veux dire en écrivant cela!........ Est-ce du second dégré? (je précise, ce n'est pas une attaque verbale de ma part, c'est une vrai question que je pose comme si nous discutions dans un café!). Je n'ai jamais lu un argument pareil et je le retourne dans tous les sens pour le piger comme il le faudrait.... mais sans succés, je n'y arrive pas. Tout ce que je peux dire c'est qu'en ce qui me concerne ce ne sont pas les films de l'affreux Van Damme, de Max Pecas, ou des navets comme BatmanIV ou Daredevil(la liste n'est pas exhaustive, on peut en trouver bien d'autres), qui me font apprécier Orson Welles, David Lynch, Tim Burton, ou Michel Gondry. Un bon film reste un bon film, avec ou sans films mauvais autour non???... [The Argonaut 2004]
  15. Une petite info dans l'air du temps, intéressant. Je vous laisse lire et réagir... The Argonaut 2004 PS: pour éviter un lien "mort", j'ai préféré copier-coller cet article pour vous le faire partager avant qu'il ne soit plus du tout accessible. -------------------- Pour attirer un public surtout composé de jeunes femmes, les studios japonais multiplient les adaptations cinématographiques de mangas. Un pari réussi. Si les amateurs de cinéma japonais en Occident apprécient l'originalité des films réalisés par Kitano Takeshi, Nakata Hideo ou Miike Takashi, le public japonais ne leur a jamais vraiment fait un accueil très chaleureux, ce dernier préférant des productions plus classiques, du moins dans les thèmes abordés ( histoires d'amour ou d'amitié ), ou encore les dessins animés qui, depuis des années, assurent aux studios nippons l'essentiel de leurs revenus. Au cours des dernières années, de nombreux mangas ont été adaptés au cinéma après avoir fait un passage par la télévision. Ces adaptations l'étaient sous forme d'animations, prolongeant ainsi la vie de ces personnages inanimés dans des scénarios très proches des versions publiées dans les magazines ou dans les recueils des séries que les éditeurs mettent en vente tous les semestres. Depuis 2005, la situation a évolué. Suivant à leur manière la mode américaine qui consiste à adapter et à humaniser les héros de comics comme Spiderman ou Batman, les producteurs se sont lancés dans l'adaptation de mangas, en transposant les histoires avec des personnages de chair et de sang. Nana de Yazawa Ai, dont la version française est parue chez Delcourt, a marqué un tournant dans l'histoire cinématographique du Japon puisque sa sortie à l'automne 2005 a été une réussite formidable. Le film, réalisé par Otani Kentarô et interprété notamment par la charmante Nakashima Mika, s'est classé à la troisième place du box-office nippon en 2005. Ce succès confirme celui des ouvrages qui se sont jusqu'à présent écoulés à plus de 2,6 millions d'exemplaires. On parle d'ailleurs d'une suite, car les producteurs ont flairé le bon filon. Les shojo mangas, mangas pour jeunes filles, sont aujourd'hui dans le collimateur des studios japonais qui ont vu dans les lectrices un public captif, celui-là même qui adore les productions coréennes qui ont envahi les petits écrans nippons. Après avoir ouvert le bal en 2005, Nana va laisser la place à Hachimitsu to kurôbâ (Le miel et le trèfle), dont l'adaptation sur grand écran a été confiée à Takada Masahiro, célèbre réalisateur de films publicitaires. Selon le mensuel culturel Invitation, l'été 2006 devrait être celui de ce film qui raconte sur un mode plutôt humoristique les aventures d'étudiants. La multiplication de ces projets d'adaptation de mangas au cinéma reflète aussi la difficulté qu'ont les scénaristes japonais à imaginer des histoires originales. Il est vrai que la concurrence féroce que se livrent les magazines de mangas pour séduire chaque semaine des lecteurs de moins en moins nombreux les oblige à proposer des histoires toujours plus captivantes. Il n'est donc pas étonnant que les producteurs se tournent vers ces séries qui ont fait leurs preuves. Le risque est moins grand et le retour sur investissement presque garanti. Une recette idéale pour les studios qui cherchent des rentrées financières stables. Claude Leblanc pour "Courrier Interbational"/03-2006[i][/i]
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