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  1. Nickad

    Chastity reverse world tome 4

    Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé.
  2. Titre de l'album : Chastity reverse world tome 4 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTAROU Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Gh... Je ne m'attendais pas à ce que la chasteté inversée ait ce genre de conséquences... Catapultés dans un monde où la chasteté est inversée, Ichikawa et Urisugi, tous deux lycéens, essaient de s'acclimater à ce nouvel et étrange univers, et à sa mystérieuse vision du sexe. Les petites choses du quotidien et la moindre discussion s'avèrent bien plus compliquées que prévu, étant donné le décalage entre leur mentalité et celle des gens qui les entourent... Critique : Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture.
  4. Titre de l'album : Tokyo quatre saisons tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : HARU Dessinateur de l'album : HARU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kyôhei Saotome vient d’une famille qui ne tolère pas l’échec. Lorsqu’il rate ses examens pour entrer à l’université de médecine, sa vie prend soudainement un tournant insupportable, au point qu’il finisse par tenter de se suicider en voulant se jeter sous un train. Mais Yuito Jingûji, son rival du lycée, qui se trouve sur le même quai, le sauve in extremis. Les deux garçons passent alors un marché : Jingûji, qui est parvenu, lui, à entrer en médecine, aidera Saotome à réviser pour repasser les examens d’entrée, si Saotome le rembourse en nature. Critique : Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-quatre-saisons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Tu me coupes le souffle tome 1

    Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire.
  6. Titre de l'album : Tu me coupes le souffle tome 1 Scenariste de l'album : SUMIYA Zeniko Dessinateur de l'album : SUMIYA Zeniko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Au sein de la fanfare municipale, le saxophoniste Jun Shizuki, un épicurien doublé d'un coureur de jupons, a clairement du mal avec le joueur de flûte Yukiji Yano, un garçon populaire aux allures de prince. Mais si rien ne semble les rapprocher durant les répétitions, tous les deux ont un intérêt commun secret... Critique : Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-me-coupes-le-souffle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER
  8. Titre de l'album : How to make a delicious coffee tome 1 Scenariste de l'album : MURAYAMA Yuka Dessinateur de l'album : AONUMA Yûki , Yuu (結布) , SUZUMEMURA Ao Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Une histoire plus tendre que corsée... Au printemps de son année de terminale, Katsutoshi Izumi emménage avec ses cousins après que son père a été muté loin de chez lui. Avec son cousin Joe, tout se passe à merveille, mais lorsqu'il voit Karen, sa cousine, Katsutoshi ne peut cacher son étonnement. En effet, la Karen dont il se souvenait est devenue une beauté indicible... Série terminée en 12 tomes, avec pages intérieures colorisées Critique : Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-to-make-delicious-coffee-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Party boy Kongming ! tome 1

    Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici
  10. Titre de l'album : Party boy Kongming ! tome 1 Scenariste de l'album : YOTSUBA Yûto Dessinateur de l'album : OGAWA Ryo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Célèbre stratège chinois, Kongming meurt d'un âge avancé, las d'une vie de batailles au coeur des 3 Royaumes... et se réveille rajeuni, en costume de son époque, au cœur du Shibuya contemporain et en pleine nuit d'Halloween ! Se croyant en enfer, il est «sauvé» par la voix d'Eiko Tsukimi, chanteuse débutante. La jeune femme rêve de devenir une star mais n'arrive pas à percer. Convaincu de son talent, le stratège déploiera tout son génie pour aider Eiko à accomplir son rêve et triompher du monde impitoyable du divertissement japonais moderne ! Critique : Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/party-boy-kongming-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Trap hole tome 3

    Après avoir imaginé pouvoir oublier son ancienne vie, Haruko voit son passé la rattraper dans un cercle ou elle pensait être à l'abri. Et comme souvent cette nouvelle chute la propulse dans les bras d'un homme. Mais peut-être que cela sera le bon.... Si ce tome est moins dur que les deux précédents, la claque qu'elle prend sur ce tome-ci est plus émouvante car plus intime et venant d'une personne qu'elle respectait. On se demande malheureusement comment le prochain tome pourrait finir de façon agréable pour notre héroïne....
  12. Titre de l'album : Trap hole tome 3 Scenariste de l'album : Yōko Nemu Dessinateur de l'album : Yōko Nemu Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haruko atterrit dans le studio d’Ayumu et commence à préparer sa nouvelle vie. Cependant, cette fois, elle est victime d’un cambriolage et se fait voler tout son argent, ses vêtements et sa carte d’identité ! Haruko désespère et pense qu’elle n’a plus d’autre choix que de rentrer dans sa région natale. C’est alors que Maki, complètement K.O. après avoir été éconduit par Ayumu, la renverse sur le lit… Critique : Après avoir imaginé pouvoir oublier son ancienne vie, Haruko voit son passé la rattraper dans un cercle ou elle pensait être à l'abri. Et comme souvent cette nouvelle chute la propulse dans les bras d'un homme. Mais peut-être que cela sera le bon.... Si ce tome est moins dur que les deux précédents, la claque qu'elle prend sur ce tome-ci est plus émouvante car plus intime et venant d'une personne qu'elle respectait. On se demande malheureusement comment le prochain tome pourrait finir de façon agréable pour notre héroïne.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/trap-hole-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Beautiful place tome 1

    Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge.
  14. Titre de l'album : Beautiful place tome 1 Scenariste de l'album : MATSUMOTO Jirô Dessinateur de l'album : MATSUMOTO Jirô Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La guerre civile ravage le Japon. Simone Hanazawa, lycéenne et soldate, a pour mission d’éradiquer la criminalité dans sa ville... mission qu’elle partage avec son instructrice, la forte tête Momoko Takasaka, et bien d’autres jeunes filles dont les lycées se sont militarisés. Dans le chaos ambiant où la violence règne en maître, il faudra à Simone une volonté de fer (et une arme bien chargée) pour défendre ses principes moraux. Critique : Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beautiful-place-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    L'enfant en moi tome 1

    L’enfant en moi parle d’un sujet sensible : la grossesse chez une lycéenne, le manga a déjà fait ses preuves car il vient de remporter le prix Kôdansha du meilleur shôjo qui avait récompensé précédemment les titres Nina du royaume aux étoiles et A tes côtés. L’autrice aborde le sujet avec une certaine simplicité et une certaine douceur qui se ressentent tant dans le dessin que dans les dialogues, il n’est pas rare de voir plusieurs pages presque entièrement graphiques. Cette narration permet de souligner deux choses : un quotidien tranquille qui va se retrouver chambouler et la montée de la réflexion chez Sachi, la jeune fille enceinte. L’atmosphère est particulièrement bien rendue. Au début Sachi commence à voir des changements infimes, des petites faims, un peu plus de fatigue, de sensibilité… son corps ne réagit pas comme d’habitude, ses règles sont en retard mais ça ne l’inquiète pas car elles sont irrégulières. Puis peu à peu, tout cela l’intrigue alors elle commence à se poser des questions et fait un test de grossesse. Et puis là arrivent d’autres questionnements, que faire ? Comment en parler ? Est-ce que le test est sûr ? Comment l’annoncer au père ? A la famille ? Tout un cheminement où Sachi est seule face à elle-même car c’est avant tout de son corps dont il s’agit. La narration ne rentre jamais dans l’apitoiement, elle pose les faits simplement en mettant chaque personnage en face de la réalité, chacun leur tour. Le récit est aussi très juste et pour avoir été dans une situation un peu similaire, bien que j’étais plus âgée quand c’est arrivé, j’ai ressenti le même genre de questionnement que Sachi, comment gérer l’arrivée d’un bébé quand on ne se trouve pas dans une situation classique (genre couple installé qui travaille) ? Sachi ne remet pas en cause son amour pour Takara ni le fait que ce dernier sera là pour la soutenir et l’aider mais elle porte la responsabilité de son avenir et prend conscience peu à peu de tout ce qui pourrait changer. La série compte actuellement 7 tomes et elle est toujours en cours. Nul doute que Mamoru AOI se penchera sur la réaction de chaque personnage de l’entourage des adolescents en passant par les parents jusqu’aux camarades de classe en montrant différents points de vue. De ce côté-là, pour en avoir entendu des vertes et des pas mûres, il y a de quoi faire ! L’enfant en moi nous promet une belle histoire, très réaliste, sensible qui peut aussi permettre aux adolescents de prendre conscience de certaines réalités et les aider en cas de besoin. A lire.
  16. Titre de l'album : L'enfant en moi tome 1 Scenariste de l'album : AOI Mamoru Dessinateur de l'album : AOI Mamoru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Sachi, en 2e année de lycée, sort avec Takara, un ami d'enfance du même âge qu'elle. Par un jour d'hiver, Sachi commence à se sentir mal. Nauséeuse, elle se rappelle brusquement un soir où, en pleins ébats amoureux, le préservatif de Takara a craqué. Elle décide d'aller acheter un test de grossesse dans une pharmacie loin de chez elle et se rend ensuite dans les toilettes d'un petit restaurant familial. Estomaquée, Sachi regarde les deux petits traits apparaître : le test est positif. Critique : L’enfant en moi parle d’un sujet sensible : la grossesse chez une lycéenne, le manga a déjà fait ses preuves car il vient de remporter le prix Kôdansha du meilleur shôjo qui avait récompensé précédemment les titres Nina du royaume aux étoiles et A tes côtés. L’autrice aborde le sujet avec une certaine simplicité et une certaine douceur qui se ressentent tant dans le dessin que dans les dialogues, il n’est pas rare de voir plusieurs pages presque entièrement graphiques. Cette narration permet de souligner deux choses : un quotidien tranquille qui va se retrouver chambouler et la montée de la réflexion chez Sachi, la jeune fille enceinte. L’atmosphère est particulièrement bien rendue. Au début Sachi commence à voir des changements infimes, des petites faims, un peu plus de fatigue, de sensibilité… son corps ne réagit pas comme d’habitude, ses règles sont en retard mais ça ne l’inquiète pas car elles sont irrégulières. Puis peu à peu, tout cela l’intrigue alors elle commence à se poser des questions et fait un test de grossesse. Et puis là arrivent d’autres questionnements, que faire ? Comment en parler ? Est-ce que le test est sûr ? Comment l’annoncer au père ? A la famille ? Tout un cheminement où Sachi est seule face à elle-même car c’est avant tout de son corps dont il s’agit. La narration ne rentre jamais dans l’apitoiement, elle pose les faits simplement en mettant chaque personnage en face de la réalité, chacun leur tour. Le récit est aussi très juste et pour avoir été dans une situation un peu similaire, bien que j’étais plus âgée quand c’est arrivé, j’ai ressenti le même genre de questionnement que Sachi, comment gérer l’arrivée d’un bébé quand on ne se trouve pas dans une situation classique (genre couple installé qui travaille) ? Sachi ne remet pas en cause son amour pour Takara ni le fait que ce dernier sera là pour la soutenir et l’aider mais elle porte la responsabilité de son avenir et prend conscience peu à peu de tout ce qui pourrait changer. La série compte actuellement 7 tomes et elle est toujours en cours. Nul doute que Mamoru AOI se penchera sur la réaction de chaque personnage de l’entourage des adolescents en passant par les parents jusqu’aux camarades de classe en montrant différents points de vue. De ce côté-là, pour en avoir entendu des vertes et des pas mûres, il y a de quoi faire ! L’enfant en moi nous promet une belle histoire, très réaliste, sensible qui peut aussi permettre aux adolescents de prendre conscience de certaines réalités et les aider en cas de besoin. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-en-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Badducks tomes 1 à 3

    Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour.
  18. Titre de l'album : Badducks tomes 1 à 3 Scenariste de l'album : Toryumon TAKEDA Dessinateur de l'album : Toryumon TAKEDA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Morgan n’a jamais eu de chance. À 10 ans, il est abandonné par ses parents, et 20 ans plus tard la mafia vient lui réclamer le règlement de la dette qu’ils lui ont léguée. Sans le sou, le seul moyen de s’en acquitter est de servir de cobaye aux expériences de Nguyen, maître du monde du crime. Les rejetés de la société, et en particulier les non-humains, finissent sous ses ordres en tant que tueurs, prostitués ou travailleurs forcés. Morgan se réveille avec un tube dans la nuque et… une force exceptionnelle ! Son identité a été effacée : le voici condamné à une vie de servitude. Au moment où il croit tout perdu, Lisa, dernière représentante de son espèce et esclave de la mafia, lui propose un plan d’évasion. Rien ne tourne comme prévu, et les fugitifs se retrouvent avec un bébé dans leurs bagages ! Peu importe, ils font avec… Les deux comparses n’ont ni expérience du combat ni ressources, mais leur soif de liberté est sans égale ! Critique : Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/badducks-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Fends le vent tome 1 Scenariste de l'album : MIDORI Wataru Dessinateur de l'album : MIDORI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec Fends le vent !, suivez le parcours d'un lycéen qui, suite à une amputation de sa jambe, va se lancer dans une course contre la montre pour tenter de participer aux Jeux Paralympiques de Tokyo ! Quand il était collégien, Shôta était la star de son club de foot. Mais depuis qu'il a perdu sa jambe gauche, il n'a plus jamais retouché un ballon. Aujourd'hui lycéen, il prend la vie comme elle vient sans vraiment réussir à se projeter dans l'avenir... jusqu'à ce qu'il croise la route d'un certain Chidori. Ce dernier, orthoprothésiste, lui propose d'essayer une lame de compétition... Et si c'était l'occasion pour Shôta de se lancer dans un nouveau sport ? Critique : Shôta rêvait de devenir un footballeur professionnel mais à présent, il a une prothèse à la place de sa jambe gauche, il n’a plus essayé de courir depuis ni même touché un ballon. Il rencontre par hasard un drôle de gars Chidori dont l’ambition est de se faire un nom comme orthoprothésiste en fabriquant des prothèses pour le handisport. Il propose à Shôta de devenir son collaborateur, une occasion que ce dernier hésite à saisir. Quand j’étais à l’école (et ça remonte) l’un de mes camarades avait une jambe artificielle, je me souviens qu’on évitait d’en parler comme une sorte de sujet tabou ou plutôt par peur de faire une maladresse. On n’entendait beaucoup moins parler d’handisport ou de jeux paralympiques (qui remontent à 1948 pour information). Aujourd’hui, parler du handicap est plus fréquent bien qu’on ne mesure pas toutes les contraintes et implications que cela engendre. Donc l’arrivée de Fends le vent sur le marché du manga est une bonne nouvelle ! Le handicap est abordé de façon simple, sans s’apitoyer sur le sort de Shôta. On découvre le quotidien, les difficultés mais aussi toutes les possibilités qui existent pour aller de l’avant, le handisport notamment et forcément la mise en lumière d’un métier peu répandu : orthoprothésiste. L’histoire mélange intelligemment plusieurs thématiques sans en léser une par rapport à une autre, il y a un équilibre juste, une narration agréable et un graphisme convaincant. Un premier tome réussi qui, sans pour autant être passionné de sport, donne envie d’en savoir plus. La série est finie en 5 tomes. EXTRAIT Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fends-le-vent-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Mynoghra, annonciateur de l’apocalypse est à l’origine un lightnovel disponible aux éditions Mahô. L’adaptation en manga a commencé un an après le début du roman et compte 4 volumes en cours. Si Mynoghra est un isekai, Takuto, le héros est en effet mort de maladie à l’âge de 18 ans, il propose deux particularités intéressantes. La première est que Takuto se réincarne dans le jeu vidéo auquel il jouait mais que l’univers du jeu se déroule lui-même dans un autre monde qui ressemble à celui du jeu sans être pourtant exactement le même. Si certaines de ses compétences et actions peuvent être faites de la même façon que dans le jeu, il y a un certain nombre d’éléments qui n’en faisaient pas parties. Le deuxième point est que Takuto n’arrive pas seul dans ce nouveau monde, il se retrouve avec Ato, un des personnages du jeu, qui semble avoir pris vie et qui se rappelle de toutes les parties que Takuto a jouées. C’est un concept innovant mais un peu étrange auquel il faut s’habituer. Un autre facteur intéressant mais qui n’est pas propre à Mynoghra, c’est que les habitants de ce nouveau monde ne perçoivent Takuto qu’à travers l’énergie qu’il dégage et comme il est d’ascendance maléfique, ils le voient comme une entité noire qui a une forme approximative. On ignore par contre comment Ato le voit. Il y a encore d’autres particularités sur le monde de Mynoghra mais je vous laisse les découvrir. L’histoire a donc des caractéristiques intéressantes pourtant le déroulé des événements n’est pas spécialement révolutionnaire : Takuto et Ato vont faire leur possible pour reconstruire le royaume de Mynoghra dans ce monde afin de pouvoir y vivre en paix. Sauf que les pays voisins ne vont pas forcément les laisser tranquille car ils sont d’ascendance maléfique et donc considérés comme des ennemis. De son côté, Takuto va découvrir qu’il y a déjà des ennemis définis dans ce monde mais on ne sait pas encore comment il va les considérer. Il y a donc des éléments prometteurs dans le scénario, qui ne sont pas, pour le moment, complètement mis en valeur. L’aventure est sympathique mais sans plus, il faudra donc aller plus loin (manga ou light novel) pour s’en faire une idée plus nette. EXTRAIT
  21. Titre de l'album : Mynoghra, annonciateur de l'apocalypse tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUNO Fehu Dessinateur de l'album : GOMI Hidekazu - MIDORIHANA Yasaiko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Takuto Ira est le joueur n°1 d'Eternal Nations, un jeu de stratégie très populaire. Il meurt soudainement d'une maladie incurable, mais par le heureux hasard, il se réveille réincarné dans un univers semblable à celui de son jeu vidéo préféré. Face à lui, il découvre Atô, l'héroïne de la nation de Mynoghra avec laquelle il jouait à chaque partie. Ils décident de s'unir pour créer un nouveau royaume. Critique : Mynoghra, annonciateur de l’apocalypse est à l’origine un lightnovel disponible aux éditions Mahô. L’adaptation en manga a commencé un an après le début du roman et compte 4 volumes en cours. Si Mynoghra est un isekai, Takuto, le héros est en effet mort de maladie à l’âge de 18 ans, il propose deux particularités intéressantes. La première est que Takuto se réincarne dans le jeu vidéo auquel il jouait mais que l’univers du jeu se déroule lui-même dans un autre monde qui ressemble à celui du jeu sans être pourtant exactement le même. Si certaines de ses compétences et actions peuvent être faites de la même façon que dans le jeu, il y a un certain nombre d’éléments qui n’en faisaient pas parties. Le deuxième point est que Takuto n’arrive pas seul dans ce nouveau monde, il se retrouve avec Ato, un des personnages du jeu, qui semble avoir pris vie et qui se rappelle de toutes les parties que Takuto a jouées. C’est un concept innovant mais un peu étrange auquel il faut s’habituer. Un autre facteur intéressant mais qui n’est pas propre à Mynoghra, c’est que les habitants de ce nouveau monde ne perçoivent Takuto qu’à travers l’énergie qu’il dégage et comme il est d’ascendance maléfique, ils le voient comme une entité noire qui a une forme approximative. On ignore par contre comment Ato le voit. Il y a encore d’autres particularités sur le monde de Mynoghra mais je vous laisse les découvrir. L’histoire a donc des caractéristiques intéressantes pourtant le déroulé des événements n’est pas spécialement révolutionnaire : Takuto et Ato vont faire leur possible pour reconstruire le royaume de Mynoghra dans ce monde afin de pouvoir y vivre en paix. Sauf que les pays voisins ne vont pas forcément les laisser tranquille car ils sont d’ascendance maléfique et donc considérés comme des ennemis. De son côté, Takuto va découvrir qu’il y a déjà des ennemis définis dans ce monde mais on ne sait pas encore comment il va les considérer. Il y a donc des éléments prometteurs dans le scénario, qui ne sont pas, pour le moment, complètement mis en valeur. L’aventure est sympathique mais sans plus, il faudra donc aller plus loin (manga ou light novel) pour s’en faire une idée plus nette. EXTRAIT Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mynoghra-annonciateur-de-l-apocalypse-tome-1-9782413049630?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Peleliu Gaiden tome 1 Scenariste de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Dessinateur de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Il s'agit de plusieurs histoires parallèles à l'intrigue principale de Peleliu n'ayant pas pu être intégrées dans le manga d'origine. Critique : Peleliu gaiden est une série en 5 tomes qui raconte des histoires annexes à Peleliu (présentation ICI). On y trouve des histoires qui se sont passées pendant la série principale, des histoires qui se passent après mais surtout et c’est l’un des points les plus intéressants, le point de vue des autres protagonistes : des passages de cette guerre vue par les américains mais aussi par les insulaires. A la fin de ce premier tome, il y a une analyse écrite par l’écrivain Kôta ISHII qui nous explique que Kazuyoshi Takeda avait été un peu contraint de dérouler le scénario en suivant les soldats d’un seul côté, donc un seul point de vue. Ces histoires complémentaires ont pour vocation de montrer que pour les soldats d’un camp comme de l’autre, l’histoire était finalement la même, les mêmes peurs, les mêmes contraintes et finalement les mêmes préoccupations. On comprend également pourquoi la bataille de Peleliu est en partie romancée : les rares survivants japonais (34 sur 10 000 soldats) ont très peu témoignés de leur expérience et les rapports ne reflètent pas toutes les facettes de la guerre. Entre la pudeur nippone liée au déshonneur d’être revenu et les secrets difficiles à avouer, l’auteur a dû s’inspirer d’autres faits réels similaires qui ont eu lieu dans d’autres lieux. Mais son manga a été reconnu d’un point de vue historique et a permis à des enfants ou petits-enfants de comprendre ce que leurs ancêtres avaient vécu. Si Peleliu Gaiden est très intéressant, il vaut quand même mieux avoir lu la série originelle ne serait-ce que pour comprendre qui sont les personnages et visualiser l’ampleur de cette bataille qui était censée être réglée en 3-4 jours selon les américains et qui a duré 2 mois et demi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peleliu-gaiden-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Peleliu Gaiden tome 1

    Peleliu gaiden est une série en 5 tomes qui raconte des histoires annexes à Peleliu (présentation ICI). On y trouve des histoires qui se sont passées pendant la série principale, des histoires qui se passent après mais surtout et c’est l’un des points les plus intéressants, le point de vue des autres protagonistes : des passages de cette guerre vue par les américains mais aussi par les insulaires. A la fin de ce premier tome, il y a une analyse écrite par l’écrivain Kôta ISHII qui nous explique que Kazuyoshi Takeda avait été un peu contraint de dérouler le scénario en suivant les soldats d’un seul côté, donc un seul point de vue. Ces histoires complémentaires ont pour vocation de montrer que pour les soldats d’un camp comme de l’autre, l’histoire était finalement la même, les mêmes peurs, les mêmes contraintes et finalement les mêmes préoccupations. On comprend également pourquoi la bataille de Peleliu est en partie romancée : les rares survivants japonais (34 sur 10 000 soldats) ont très peu témoignés de leur expérience et les rapports ne reflètent pas toutes les facettes de la guerre. Entre la pudeur nippone liée au déshonneur d’être revenu et les secrets difficiles à avouer, l’auteur a dû s’inspirer d’autres faits réels similaires qui ont eu lieu dans d’autres lieux. Mais son manga a été reconnu d’un point de vue historique et a permis à des enfants ou petits-enfants de comprendre ce que leurs ancêtres avaient vécu. Si Peleliu Gaiden est très intéressant, il vaut quand même mieux avoir lu la série originelle ne serait-ce que pour comprendre qui sont les personnages et visualiser l’ampleur de cette bataille qui était censée être réglée en 3-4 jours selon les américains et qui a duré 2 mois et demi.
  24. Nickad

    Fends le vent tome 1

    Shôta rêvait de devenir un footballeur professionnel mais à présent, il a une prothèse à la place de sa jambe gauche, il n’a plus essayé de courir depuis ni même touché un ballon. Il rencontre par hasard un drôle de gars Chidori dont l’ambition est de se faire un nom comme orthoprothésiste en fabriquant des prothèses pour le handisport. Il propose à Shôta de devenir son collaborateur, une occasion que ce dernier hésite à saisir. Quand j’étais à l’école (et ça remonte) l’un de mes camarades avait une jambe artificielle, je me souviens qu’on évitait d’en parler comme une sorte de sujet tabou ou plutôt par peur de faire une maladresse. On n’entendait beaucoup moins parler d’handisport ou de jeux paralympiques (qui remontent à 1948 pour information). Aujourd’hui, parler du handicap est plus fréquent bien qu’on ne mesure pas toutes les contraintes et implications que cela engendre. Donc l’arrivée de Fends le vent sur le marché du manga est une bonne nouvelle ! Le handicap est abordé de façon simple, sans s’apitoyer sur le sort de Shôta. On découvre le quotidien, les difficultés mais aussi toutes les possibilités qui existent pour aller de l’avant, le handisport notamment et forcément la mise en lumière d’un métier peu répandu : orthoprothésiste. L’histoire mélange intelligemment plusieurs thématiques sans en léser une par rapport à une autre, il y a un équilibre juste, une narration agréable et un graphisme convaincant. Un premier tome réussi qui, sans pour autant être passionné de sport, donne envie d’en savoir plus. La série est finie en 5 tomes. EXTRAIT
  25. Fiou j'avais oublié le tome 1 tellement on a pas l'habitude d'attendre aussi longtemps entre deux premiers tomes. Heureusement que ce tome 2 est aussi bon que le premier ! Avec beaucoup moins de combats, mais beaucoup plus de contenu donc. Ce tome deux nous fait vraiment entrer dans l'histoire avec la présentation de l'empereur, des intrigues du palais mais aussi des liens entre notre héros et la famille impériale. Des liens qui viennent doucement épaissir l'histoire en ajoutant un passif intéressant à une situation de crise. Un excellent tome deux qui finit sur une promesse de combats plus présente dans le prochain. Un sans-faute pour l'instant
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