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Titre de l'album : La duelliste tome 1 - Le maître d'armes Scenariste de l'album : Trifogli Dessinateur de l'album : Trifogli Coloriste : Andrea Celestini Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Paris, sous le règne de Louis XV. La vie de Françoise, une jeune fille de bonne famille de 15 ans, est bouleversée lorsque son père meurt dans un duel d'honneur contre le baron de Valmy, première épée de France. L'adolescente se donne pour mission d'apprendre l'art de l'escrime afin de lui rendre justice. Critique : Chic, le binôme de la trilogie romaine Thrace (édition Graph zepellin) se réunit à nouveau pour une histoire de capes et d'épées sous le règne de Louis XV le Bien-Aimé. Nous quittons le sable des arènes de gladiateurs pour un autre type de combat, celui des duels ! L'honneur est de mise et provoquer une personne en duel n'était pris à la légère, c'est bien ce que va découvrir la jeune Françoise avec la mort de son père au cours d'une de ces joutes aux fines lames. Ce postulat de départ va marquer en elle au fer rouge une envie irrépréhensible de vengeance envers le bourreau de son père et comme le dicton l'affirme, cela se mange froid. La patience et le temps seront ses meilleurs atouts. Car devenir elle aussi une bretteuse assez forte pour affronter la première épée du royaume, relève de l'exploit ! Un maître d'arme déchu va l'aider dans cette entreprise, non sans mal et avec une grande curiosité, car elle se déguise en homme ! Trifogli soigne ce tome introductif avec une présentation large des personnages, les liens les unissant et ceux pouvant les déchirer. Il joue avec les faux-semblants et le passif des uns et des autres pour mettre en place une histoire bien plus grande que cette "simple" quête de vengeance. Les deux tomes suivants seront riches en rebondissements et révélations 😉 Une fois de plus, leur association graphique fait des étincelles, le trait fin de Trifogli associé aux couleurs de Celestini rend une copie soignée et appliquée. Les jeux de regards sont toujours aussi saisissants, les cases bien détaillées pour un découpage dynamique et immersif. Les costumes et mobiliers dans les boudoirs sont fidèles et du plus bel effet, il en est de même pour les dialogues soutenus et fleuris sentant bons le "vieux français". Un lexique est d'ailleurs fourni en annexes pour les traductions et explications. Un beau saut dans le temps qui demande confirmation dans le tome suivant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-duelliste-tome-1-le-maitre-d-armes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Chic, le binôme de la trilogie romaine Thrace (édition Graph zepellin) se réunit à nouveau pour une histoire de capes et d'épées sous le règne de Louis XV le Bien-Aimé. Nous quittons le sable des arènes de gladiateurs pour un autre type de combat, celui des duels ! L'honneur est de mise et provoquer une personne en duel n'était pris à la légère, c'est bien ce que va découvrir la jeune Françoise avec la mort de son père au cours d'une de ces joutes aux fines lames. Ce postulat de départ va marquer en elle au fer rouge une envie irrépréhensible de vengeance envers le bourreau de son père et comme le dicton l'affirme, cela se mange froid. La patience et le temps seront ses meilleurs atouts. Car devenir elle aussi une bretteuse assez forte pour affronter la première épée du royaume, relève de l'exploit ! Un maître d'arme déchu va l'aider dans cette entreprise, non sans mal et avec une grande curiosité, car elle se déguise en homme ! Trifogli soigne ce tome introductif avec une présentation large des personnages, les liens les unissant et ceux pouvant les déchirer. Il joue avec les faux-semblants et le passif des uns et des autres pour mettre en place une histoire bien plus grande que cette "simple" quête de vengeance. Les deux tomes suivants seront riches en rebondissements et révélations 😉 Une fois de plus, leur association graphique fait des étincelles, le trait fin de Trifogli associé aux couleurs de Celestini rend une copie soignée et appliquée. Les jeux de regards sont toujours aussi saisissants, les cases bien détaillées pour un découpage dynamique et immersif. Les costumes et mobiliers dans les boudoirs sont fidèles et du plus bel effet, il en est de même pour les dialogues soutenus et fleuris sentant bons le "vieux français". Un lexique est d'ailleurs fourni en annexes pour les traductions et explications. Un beau saut dans le temps qui demande confirmation dans le tome suivant.
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