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  1. Kevin Nivek

    Un père

    Après Antoine de Caunes et son formidable Il déserte (paru chez Dargaud ) centré sur sa relation père/fils, JeanLouis Tripp se lance aussi dans le grand bain familial avec cette oeuvre profondément personnelle ! Il dépeint sa vie comme un roman, son grand talent rend des situations d'enfance anodine comme des moments incroyables et fondateurs. Une période que nous avons tous connus, du moins pour les ainés 😉 , l'arrivée donc d'une petite soeur ou petit frère bouleversant la cellule familiale et son organisation bien établie, mais aussi l'école, les conneries, les mensonges aux parents, les sorties avec les amis(ies), les customisations du vélo avec l'épingle à linge et le carton sur la roue arrière pour imiter le bruit d'une mobylette, mais aussi les peines de coeur, les deuils et les vacances, bref tout ce qui nous construit et nous prépare à l'âge adulte. On se retrouve beaucoup dans cet imposant roman graphique, il y a un peu de nous dans ses pages et on s'y plonge avidement pour savoir où l'auteur veut nous mener. Vos émotions vont naviguer du rire aux larmes, tout est marqué du sceau de la sincérité dans ces pages ! En tant que grand fan de la saga Magasin général (Casterman), j'ai été ravi de retrouver le dessin de JeanLouis Tripp, ses gros nez, ses tronches marquantes, des visages expressifs aux traits grossiers et exagérés, qui tranchent avec des arrières-plans précis et confondant de réalisme, à l'image de la fameuse 404 Peugeot qui pourrait remémorer des souvenirs 😉 . Tout est beau dans ce livre, à faire lire absolument à tous vos proches. Le seul bémol s'il en est, tient à son histoire justement, qui une fois lue ne se prête peu à une relecture, du moins immédiate. Il n'est pas dit en revanche que dans 6 mois ou un an, vous n'ayez pas envie de reprendre un bain de famille à un autre moment de votre vie, vous pourriez y trouver autre chose, qui sait ?? 😉
  2. Kevin Nivek

    Un père

    Titre de l'album : Un père Scenariste de l'album : JeanLouis Tripp Dessinateur de l'album : JeanLouis Tripp Coloriste : JeanLouis Tripp Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Longtemps resté enfant unique, JeanLouis reçoit dans ses premières années l'affection exclusive de son jeune père. Mais avec la naissance de ses frère et soeur, cet âge d'or se termine, et ses parents se déchirent bientôt en d'incessants conflits. Ce climat de tension, qui exacerbe le désir d'indépendance du fils aîné, va influencer ses choix de vie. Dans cette nouvelle introspection, JeanLouis Tripp tente de comprendre le fossé qui s'est peu à peu creusé entre son paternel et lui, malgré l'affection profonde qui les relie à jamais. Critique : Après Antoine de Caunes et son formidable Il déserte (paru chez Dargaud ) centré sur sa relation père/fils, JeanLouis Tripp se lance aussi dans le grand bain familial avec cette oeuvre profondément personnelle ! Il dépeint sa vie comme un roman, son grand talent rend des situations d'enfance anodine comme des moments incroyables et fondateurs. Une période que nous avons tous connus, du moins pour les ainés 😉 , l'arrivée donc d'une petite soeur ou petit frère bouleversant la cellule familiale et son organisation bien établie, mais aussi l'école, les conneries, les mensonges aux parents, les sorties avec les amis(ies), les customisations du vélo avec l'épingle à linge et le carton sur la roue arrière pour imiter le bruit d'une mobylette, mais aussi les peines de coeur, les deuils et les vacances, bref tout ce qui nous construit et nous prépare à l'âge adulte. On se retrouve beaucoup dans cet imposant roman graphique, il y a un peu de nous dans ses pages et on s'y plonge avidement pour savoir où l'auteur veut nous mener. Vos émotions vont naviguer du rire aux larmes, tout est marqué du sceau de la sincérité dans ces pages ! En tant que grand fan de la saga Magasin général (Casterman), j'ai été ravi de retrouver le dessin de JeanLouis Tripp, ses gros nez, ses tronches marquantes, des visages expressifs aux traits grossiers et exagérés, qui tranchent avec des arrières-plans précis et confondant de réalisme, à l'image de la fameuse 404 Peugeot qui pourrait remémorer des souvenirs 😉 . Tout est beau dans ce livre, à faire lire absolument à tous vos proches. Le seul bémol s'il en est, tient à son histoire justement, qui une fois lue ne se prête peu à une relecture, du moins immédiate. Il n'est pas dit en revanche que dans 6 mois ou un an, vous n'ayez pas envie de reprendre un bain de famille à un autre moment de votre vie, vous pourriez y trouver autre chose, qui sait ?? 😉 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-pere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
  4. Titre de l'album : Un dernier été au cimetière Scenariste de l'album : SantaMatita Dessinateur de l'album : SantaMatita Coloriste : SantaMatita Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : La réponse des personnages de cet ouvrage est vraiment particulière, puisqu'ils choisissent de passer leurs congés au cimetière. Une occupation qui pourrait sembler macabre, mais qui est finalement un moyen d'apprécier pleinement la vie. Chaque été, tel un camping improbable, le cimetière se peuple d'une foule variée et hétéroclite. Chacun passe ses vacances dans les cryptes et les tombeaux familiaux, créant ainsi une communauté insolite et partageant joies et chagrins. Mais cette année, une annonce vient bouleverser les vacanciers : le cimetière doit fermer ses portes... Critique : Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-dernier-ete-au-cimetiere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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