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  1. Kevin Nivek

    Murdervale , tome 1

    Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉
  2. Titre de l'album : Murdervale , tome 1 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Et si un voyage dans l'horreur pouvait ressouder un couple ? Victor et Sara traversent une période difficile et sur les conseils de leur psy, décident de partir quelques jours ensemble. Sans véritable destination en tête, ils prennent la route. En chemin, ils entendent parler d'un village si perdu qu'il ne figure même pas sur la carte : Murdervale. Ils décident de s'y rendre et d'y prendre une chambre d'hôtel. Mais durant la nuit, Victor a des hallucinations. Est-ce son traitement ou la malédiction dont cette vieille femme leur a parlé ? En voulant fuir l'enfer du quotidien, Victor et Sara semblent être tombés dans un enfer bien pire. Bien plus que sauver leur couple, ils vont devoir sauver leur vie ! Critique : Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-1-le-vol-du-corbeau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    L'alchimiste tome 2

    Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉
  4. Titre de l'album : L'alchimiste tome 2 Scenariste de l'album : Nicolas Beuglet Dessinateur de l'album : Alexandre Saint-Genez Coloriste : Piky Hamilton , Annalisa Ferrari Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : À peine remis de leurs émotions dans les catacombes de la cathédrale de Notre-Dame, Basile, Esperanza, Flamel et Fibus embarquent pour une nouvelle aventure, direction la Crète ! Pour déchiffrer les énigmes du Fondateur, nos héros devront s'engouffrer dans le labyrinthe de Dédale, et vaincre le célèbre minotaure de la mythologie grecque. Le combat ne sera pas que physique : des énigmes et des pièges en tout genre menacent également la vie de nos téméraires aventuriers ! S'ils se rapprochent de plus en plus de la pierre philosophale, nos héros sont loin de se douter que le Masque d'Acier, tapi dans l'ombre, attend son heure pour frapper... Critique : Nos 4 héros quittent les pavés parisiens pour embarquer vers la Méditerranée et les îles grecques , terres mythologique ! Ils suivent toujours le chemin de cailloux sous formes d'indices et énigmes laissés par le Fondateur , tout en étant poursuivis par Masque d'Acier . Le rythme va à 100 à l'heure , l'humour est toujours présent et le lecteur participe aux intrigues des cases sous formes de calculs mentaux et/ou observations de détails . Le scénario prend de l'épaisseur avec des histoires passées refaisant surface , ainsi qu'une pierre philosophale plus énigmatique que jamais ! La suite est prometteuse , car tout n'est pas réglé dans cette terre alternative ! On sent la patte de Alessandro Barbucci qui est le directeur artistique , dans le trait du dessinateur , avec une pointe d'influence "manga" en plus , surtout aux niveau des yeux des protagonistes . Un découpage dynamique accompagné de couleurs pops , tout ceci au diapason d'un scénario rempli d'action ,voilà la recette de cette équipe d'artistes qui nous réserve encore des surprises pour le tome 3 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alchimiste-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉
  6. Titre de l'album : Quand je suis arrivée au château Scenariste de l'album : Emily Dessinateur de l'album : Caroll Coloriste : Emily Caroll Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Après les succès retentissants de Dans les bois (Casterman) et de Speak (Rue de Sèvres), le nouveau conte horrifique d’Emily Carroll revient au source du genre gothique : les vampires. Si le livre semble suivre la trame classique d’un chasseur de vampire en train de s’infiltrer dans le château d’un vampire, c’est pour mieux perdre son lecteur dans un dédale narratif et graphique où le vrai héros n’est pas celui qu’on croît. Comme tant de jeunes filles avant elle, une jeune femme se rend au château avec la ferme intention de mettre un terme aux terribles agissements de la Comtesse. Mais rien ne pouvait la préparer à l’horreur qui se cachait dans ses tourelles maléfiques. Riches de ses influences gothiques, Emily Carroll distille une horreur sourde teintée d’érotisme. Critique : Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-je-suis-arrivee-au-chateau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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