Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'roman grpahique'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


6 résultats trouvés

  1. Titre de l'album : Le dernier debout Scenariste de l'album : Adrian Matjeka Dessinateur de l'album : Youssef Daoudi Coloriste : Youssef Daoudi Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Au matin du 4 juillet 1910, des milliers de fans de boxe prennent d'assaut le nouveau stade de Reno, Nevada, pour assister à une confrontation épique et controversée : Jack Johnson, le premier champion noir catégorie poids lourds au monde, arrogant, frimeur, macho, manipulateur et star malaimée des médias, est confronté à un ancien champion blanc Jim Jeffries, décidé à monter sur le ring pour l'argent, mais aussi porté par les suprémacistes blancs. La guerre de Sécession est encore dans toutes les mémoires, le Ku Klux Klan renait de ses cendres mal éteintes dans le sud des États-Unis, la presse défend le « grand espoir blanc ». C'est l'apogée de l'ère des lois Jim Crow, imposant la ségrégation raciale aux États-Unis pour entraver les droits obtenus par les Afro-Américains au lendemain de la guerre de Sécession (abolissement de l'esclavage, citoyenneté pour toute personne née ou naturalisée aux États-Unis, droit de vote pour tous les citoyens). Les spectateurs attendent avec impatience que Jeffries rétablisse la hiérarchie raciale que Johnson a bousculé. Critique : Alors la chapeau. J'ai la palme, et depuis bien longtemps, de l'album le mieux mis en page. c'est sublime, inventif, dynamique et plein d'audace. C'est une réussite ! Rien que pour son découpage, il devrait être donné à lire dans toutes les écoles de graphisme ! Pour tout vous dire j'avais très peur du volume de page à ingérer. Cela me semblait énorme, encore plus si ce livre ne racontait qu'un combat ! Et en fait j'ai dévoré ce livre ! Deja parce que'il est plus aéré qu'il n'y parait et donc les 320 pages se lisent très bien. Ensuite parce que le découpage choisit est hyper efficace. Notre auteur se sert des 15 rounds du combat pour nous raconter la vie de Jack Johnson, esclave et champion du monde de boxe, avec des parallèles entre le dit combat et la vie. Entre une vie sortit tout droit d'un film et une oeuvre (plus qu'une bd) réfléchie et subliment mise en page, on a entre les mains l'un des albums de l'année ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-dernier-debout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Le dernier debout

    Alors la chapeau. J'ai la palme, et depuis bien longtemps, de l'album le mieux mis en page. c'est sublime, inventif, dynamique et plein d'audace. C'est une réussite ! Rien que pour son découpage, il devrait être donné à lire dans toutes les écoles de graphisme ! Pour tout vous dire j'avais très peur du volume de page à ingérer. Cela me semblait énorme, encore plus si ce livre ne racontait qu'un combat ! Et en fait j'ai dévoré ce livre ! Deja parce que'il est plus aéré qu'il n'y parait et donc les 320 pages se lisent très bien. Ensuite parce que le découpage choisit est hyper efficace. Notre auteur se sert des 15 rounds du combat pour nous raconter la vie de Jack Johnson, esclave et champion du monde de boxe, avec des parallèles entre le dit combat et la vie. Entre une vie sortit tout droit d'un film et une oeuvre (plus qu'une bd) réfléchie et subliment mise en page, on a entre les mains l'un des albums de l'année !
  3. poseidon2

    Rivages lointains

    Fiouuuu qu'est-ce que c'est beau. Qu'est-ce que c'est dure..... et pourtant j'ai toujours eu du mal avec les histoires d'amour entre hommes. Mais celle-ci est tellement belle et tellement vraie qu'elle en est envoutante. Et elle est magnifiée par l'époque choisie. Une époque de prohibition ou les hommes se devaient être durs et intransigeants. Peu importe les conséquences. Une époque qui a défini les "self made man" à l'américaine, parti de rien, arrivé tout en haut et ce quel que soit le cout. Une des meilleures lectures de ce début d'année !
  4. Titre de l'album : Rivages lointains Scenariste de l'album : Anais Flogny Dessinateur de l'album : Anais Flogny Coloriste : Anais Flogny Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 1938, Chicago. Jules, un jeune immigré italien de 17 ans, vit de petits boulots jusqu'au jour où Adam Czar, un ponte de la mafia locale, séduit par son culot, lui propose de travailler pour le milieu en récupérant le pizzo payé par les commerçants en échange de leur protection. Attiré par l'argent facile et les beaux costumes, Jules accepte et s'intègre vite grâce à son bagout. Parallèlement, les deux hommes entretiennent dans le plus grand secret une relation amoureuse, situation particulièrement mal vue dans le milieu. Jules prend alors de plus en plus d'assurance, jusqu'au moment où une guerre entre familles les pousse à rejoindre New York. Grâce à ses origines italiennes, il intègre une des familles iqui détient le pouvoir à la Grosse Pomme, pendant qu'Adam, d'origine polonaise, doit se contenter d'être un simple associé... Jules prête serment et devient alors un homme influent à son tour, attisant les tensions entre les deux hommes. Il croise sur sa route Eufrasio, un mafieux impulsif qui l'entraîne dans un jeu devenu incontrôlable et dangereux, surtout lorsque les Fédéraux commencent à s'intéresser de près à leurs affaires... Critique : Fiouuuu qu'est-ce que c'est beau. Qu'est-ce que c'est dure..... et pourtant j'ai toujours eu du mal avec les histoires d'amour entre hommes. Mais celle-ci est tellement belle et tellement vraie qu'elle en est envoutante. Et elle est magnifiée par l'époque choisie. Une époque de prohibition ou les hommes se devaient être durs et intransigeants. Peu importe les conséquences. Une époque qui a défini les "self made man" à l'américaine, parti de rien, arrivé tout en haut et ce quel que soit le cout. Une des meilleures lectures de ce début d'année ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rivages-lointains?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Soixante printemps en hiver

    Une BD de Aimée De Jongh c'est pour moi une BD qui m'attire sans même réfléchir. Jour de sable, le retour de la Bondrée ou l'obsolescence programmée des sentiments ont été pour moi des vrais coups de coeurs La ou je n'ai pas fait bien attention, c'est qu'elle n'est qu'au dessin. J'en ai donc surement trop attendu… car cette BD m'a déçu. L'histoire de la remise en question est pourtant intéressante et nécessaire. Il faut savoir remettre en question son couple et se poser les bonnes questions sur ce que l'on veut faire du reste de sa vie. Mais le problème de cet album, c'est qu'il ne soulève que des questions sans jamais apporter de réponses. On suit rapidement la vie d'une dame perdue qui décide de quitter le confort pour s'offrir plus de liberté. Mais on ne rentre jamais vraiment dans le personnage. On survole cette partie de la vie de Jody sans jamais approfondir. On aimerait en savoir plus. Ne pas rester spectateur et faire de Jody notre amie pour la soutenir. On oublie aussi l'aspect bassement matériel. On ne traite pas réellement (ou de façon très caricaturale) les enfants et petits enfants. Bref c'est un peu pris de trop haut.....
  6. Titre de l'album : Soixante printemps en hiver Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Aimée De Jongh Coloriste : Aimée De Jongh Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le jour de son 60e anniversaire, Josy refuse de souffler les bougies de son gâteau. Sa valise est prête. Elle a pris une décision : celle de quitter mari et maison pour reconquérir sa liberté en partant avec son vieux van VW ! Sa famille, d'abord sous le choc, n'aura dès lors de cesse de la culpabiliser face à ce choix que tous considèrent égoïste. Josy va heureusement tenir bon, trouvant dans le CVL (« Club des Vilaines Libérées ») des amies au destin analogue et confrontées à la même incompréhension sociétale... Mais cela suffira-t-il pour qu'elle assume sa soif d'un nouveau départ ? Et qu'elle envisage peut-être même un changement d'orientation sexuelle ? Oui, si l'amour s'en mêle. Ou pas... Aimée De Jongh et Ingrid Chabbert composent la peinture subtile, touchante et moderne d'une crise de la soixantaine au gré d'un road movie impossible à lâcher avant sa conclusion. Un « Aire Libre » surprenant, osant traiter le tabou du changement de vie et d'orientation sexuelle... Critique : Une BD de Aimée De Jongh c'est pour moi une BD qui m'attire sans même réfléchir. Jour de sable, le retour de la Bondrée ou l'obsolescence programmée des sentiments ont été pour moi des vrais coups de coeurs La ou je n'ai pas fait bien attention, c'est qu'elle n'est qu'au dessin. J'en ai donc surement trop attendu… car cette BD m'a déçu. L'histoire de la remise en question est pourtant intéressante et nécessaire. Il faut savoir remettre en question son couple et se poser les bonnes questions sur ce que l'on veut faire du reste de sa vie. Mais le problème de cet album, c'est qu'il ne soulève que des questions sans jamais apporter de réponses. On suit rapidement la vie d'une dame perdue qui décide de quitter le confort pour s'offrir plus de liberté. Mais on ne rentre jamais vraiment dans le personnage. On survole cette partie de la vie de Jody sans jamais approfondir. On aimerait en savoir plus. Ne pas rester spectateur et faire de Jody notre amie pour la soutenir. On oublie aussi l'aspect bassement matériel. On ne traite pas réellement (ou de façon très caricaturale) les enfants et petits enfants. Bref c'est un peu pris de trop haut..... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soixante-printemps-en-hiver?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...