Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure.
Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour.
Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant.
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