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  • La ballade de ran t1&2 (fin)


    poseidon2
    • Scenariste: Osawa Yusuke Dessinateur: Osawa Yusuke Editeur: Doki-Doki Note :
      Résumé:

      True, une ménestrelle, voyage à la recherche de sujets pour ses chansons. Elle arrive dans un village où elle fait la connaissance de Ran. Celui-ci fait partie des exterminateurs de Karmas, des créatures monstrueuses dont ils absorbent le mauvais karma. Pour cette raison, les chasseurs de son ordre sont considérés comme impurs et traités en parias. En voyant de près Ran côtoyer la mort au combat, True prend une décision. Elle va écrire une ballade sur le guerrier...

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantasy Prix: -- Nb de pages: --
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    A un moment il va falloir que l'on se pose des questions en France je trouve: A quel point doit on suivre la dérive japonaise ?  En effet en discutant avec un ami ayant de forte connaissance sur le japon, il m'a dit que les hentai prenaient une place de plus en plus importante dans les ventes aux japons. Quel rapport avec la balade de Ran me demanderez-vous ? Et bien tout simplement que cette petite histoire avait tout pour un une bonne histoire de dark fantaisy sombre à souhait mais... il a fallu que les auteurs rajoutent des gros seins et des blagues régulièrement sur ces gros seins. Sans aucun intérêt ni lien avec l'histoire. 

    Mais vraiment 0. Et si l'on regarde un peu dans le rétro c'est une chose que l'on ne trouvait pas dans Berserk ou autre manga mythique et sérieux. Non pas que cela m'embête quand cela va avec le style du manga. Mais dans de la Dark Fantaisy, ouvertement violent et sombre avec des monstres qui massacrent des gens tout ça, mettre des gros seins et des figures déformées avec des sourires débiles cela ne fait que décrédibiliser l'aventure.

    Et c'est dommage. D'où ma question : doit-on, a l'instar de Kingdom of knowledge et ces scènes de viol inutiles, suivre forcement la mouvance japonaise de parution d'albums de ce genre ? 

    Voilà vous avez 4h, un stylo et interdiction de copier sur le voisin !

    Modifié par poseidon2

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    Commentaires recommandés

    je me demandais justement si c'était bien...

    Concernant ta question, il y a beaucoup de mangas en ce moment avec des filles aux formes disproportionnées, ce qui n'apporte rien à l'histoire ! Par contre, puisque tu sembles viser JK Haru, celui-là a clairement un message engagé et il serait dommage de le reléguer à un hentai. D'un autre côté, si les éditeurs poursuivent ce genre de publication, c'est qu'ils en vendent.

    C'est une discussion que j'ai eu avec Mahô éditions, le manga est en hausse, la sélection va se faire ensuite au porte-monnaie, c'est le lecteur qui va devenir plus sélectif et c'est justement à cause de cette multitude, que les avis / critiques sont importants.

    Modifié par Nickad
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    il y a 6 minutes, Nickad a dit :

    JK Haru

    Je suis d'accord sur le suje plus profond. Est ce que visuellement ca avait besoin d'être aussi cru pour être aussi parlant ? Est ce que cet aspect visuel ne rentre pas dans une démarche commercial en vogue la ou en n montrant moins on pouvait arriver à la même chose. 

    C'est un peu comme les scènes de viols dans Kingdom of knowledge. Inutile. Deux pages ne fin du volume 2. 0 utilité. mais racoleur....

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    autant dans kingdom je trouve aussi que c'était inutile, dans JK Haru, l’œuvre est destinée aux adultes et est volontairement choquante, est-ce que fait différemment cela aurait autant d'impact ??? Il n'y a plus qu'à trouver un autre manga sur ce thème pour voir ce que cela donne...

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    Effectivement ca se discute.

    Pour kingdom c'est hyper frustrant car j'ai du interdire à ma fille de 12 ans de le lire le t2. Car autant les pseudo scène violente et commence a voir l'habitude dans les mangas, autant les scènes de viols je trouve que banaliser cela serait trop violent pour elle.

     

    mais je vais editer mon sujet pour plus parler de cette scene de Kinngdom que de JK Haru

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    • Amants sous contrat
      Note :
      Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant.

      L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes.

      La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit.
      • 0 réponse
    • Young ladies don't play fighting games tome 1
      Note :
      Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !!

      Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies…

      Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve.

      Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité.

      On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour.
      • 0 réponse
    • L'école des dragons sur la montagne
      Note :
      L'école des dragons de la montagne c'est un recueil de 9 nouvelles nous dépeignant la vie courante... d'un univers fantastique.

      Il est globalement découpé en deux parties. Une première tournée autour du mythe de la belle et la bête, imaginant des légendes autour de la Bête, recluse dans son château. Notre autrice laisse libre cours à son imagination sur le pourquoi de cette réclusion et les répercutions qu'aurait la fin de la présence de la bête, quelle que soit cette fin.

      La deuxième partie nous montre... des scènes de la vie courante dans un monde ou les centaures cohabite avec les humains et ou les dragons deviennent une espèce rendue obsolète par l'essor de la technologie. Scènes amusantes permettant une transposition aisée et amusante du racisme, de la gestion de la différence et du passage de mode, d'époque dans un contexte fantastique.

      C'est bien dessiné, super rafraîchissant et très dense pour le prix. Une bonne lecture pour cet été. Seul ombre au tableau : je pense que la version originale devait être en plus gros format car certains dialogues font mal aux yeux tellement c'est écrit petit...


       
      • 0 réponse
    • Naruto - Konoha shinden tome 2/2
      Note :
      Fin du deuxième diptyque sur les personnages secondaires du Konoha post Naruto après Sasuke Retsuden

      Comme on pouvait l'attendre à la lecture du premier tome, l'action arrive enfin dans cette deuxième partie avec l'entrée en scène de membre de la secte "Lumière de Jashin", qui rêve de refaire le pacte de sang fait par Hidan, membre de l'akastuki qui a tué.... Asuma, le père de Mirai.

      De quoi pimenter un peu notre histoire et de raviver le seul véritable intérêt de ces parutions : la nostalgie.

      Car si l'ensemble est sympa et plaira aux aficionados de Naruto comme moi, ce diptyque reste assez moyen, surtout la partie "vieux Kakashi et vieux Gai" qui s'approche du ridicule.

      Bref pour compléter une collection pour les fans. Voir pourquoi pas caler l'étagère Naruto ....

       
      • 0 réponse
    • Comme dans un shojo tomes 1 & 2
      Note :
      Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société.

      Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions.

      C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ?

      Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire.
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